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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Tjahzi

Toutes mes réponses sur les forums

40 sujets de 3,481 à 3,520 (sur un total de 4,560)
  • Auteur
    Messages
  • en réponse à : Rosinski – Expositions et rencontres Lien | Citer
    Exposition au Bozar

    Préparation de l’exposition d’originaux de Thorgal pour la fête de la BD. Ici la première planche du tome 1 présentée par Le Lombard sur Instagram.

    en réponse à : Giulio de Vita Lien | Citer
    Encore Kriss de Valnor

    Thorgal-BD a écrit
    On voit pas mal de dessins réalisés en 2016. Ça signifie que Giulio a continué à prendre plaisir à dessiner son héroïne, même après avoir quitté l’aventure.

    Et en 2017, Kriss de Valnor est toujours dans les pensées de Giulio De Vita. Il partage sur FB le dernier dessin qu’il a réalisé d’elle.

    Sur son blog, on peut aussi découvrir cette photo intitulée  » Sometimes they come back  » . Kriss ne le lâche pas…

    Les planches originales du tome 3 de Kriss,  » Digne d’une reine  » , sont actuellement en vente sur le site de Galerie 9e Art.

    en réponse à : J'ai lu… J'ai vu… Lien | Citer
    Albator adapté une nouvelle fois au cinéma

    Une nouvelle qui devrait faire plaisir à notre webmestre !   

    « Space Pirate Captain Harlock » : Albator adapté une nouvelle fois au cinéma

    HuffPost annonce que le personnage d’Albator, corsaire de l’espace, va s’offrir un lifting pour une nouvelle adaptation sur grand écran. Le réalisateur belge Olivier van Hoofstadt, à qui l’on doit la comédie « Dikkenek » , sera derrière la caméra. Cette adaptation, intitulée « Space Pirate Captain Harlock » , serait prévue pour une sortie en salle courant 2020.

    Olivier van Hoofstadt sera bien accompagné puisqu’il aura à ses côtés Luc Brunschwig, scénariste de bandes dessinées et Leiji Matsumoto qui a inventé le mythique personnage. Figure culte des séries animées des années 80, Albator est un personnage de manga né en 1969. Son générique a marqué les esprits et reste source de nostalgie pour bien des aficionados. Il faut rappeler que le pirate intergalactique avait déjà eu son adaptation au cinéma en 2013 avec « Albator, Corsaire de l’Espace » de Shinki Aramaki.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 8 ans et 3 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Rosinski dans la presse Lien | Citer
    Amnesty International

    Comme mentionné sur la page Facebook de Thorgal, Rosinski s’était déjà engagé en 2004 en soutenant Amnesty International, dans le cadre de sa campagne Control Arms.

    en réponse à : Thorgal – 20 – La marque des bannis Lien | Citer

    Ne te décourage pas Stéph, tu fais un boulot formidable avec tes mises à jour des fiches des albums, notamment avec celle-ci sur « La marque des bannis ».

    Kartlis a écrit
    Et puis, je pense que c’est le pire, le doute, l’incertitude qui rongent Aaricia : Est-ce que Thorgal est avec Kriss ? Que fait-il avec cette misérable femme ? L’aime-t-il ? Ou bien le fils de Vigrid a-t-il menti, s’est-il trompé ? Que s’est-il passé ? Pourquoi l’a-t-il abandonné alors qu’elle a tant besoin de lui ?

    Comme dit Cat, Aaricia affiche ici un courage exemplaire. Un album sans grandes batailles ni tours de magie, mais rempli de valeurs fortes comme on aime les retrouver chez Thorgal ! 

    en réponse à : La licence Thorgal avec Mediatoon Licensing Lien | Citer

    Tyseria a écrit
    Un film live ? C’est donc remis sur le tapis ?

    Un film live et une série animée en projet, c’est pour cela que je me demande s’il ne faudrait pas une mise à jour de cette fiche… puis l’application Thorgal qui elle n’est plus du tout à jour. 

    Thorgal-BD a écrit
    On voit tous des tee-shirts Batman ou Star Wars, mais des tee-shirts Thorgal…

    Oui, je suis surpris qu’il y ait si peu de produits dérivés autour de Thorgal. Même si le besoin ne s’en fait pas assez ressentir, je trouverais ça sympa. Vous connaissez les boutiques Tintin ? Je me demande ce qu’on trouverait actuellement dans une boutique Thorgal…

    en réponse à : Undertaker – Dorison et Meyer Lien | Citer
    Tome 4 – L'ombre d'Hippocrate

    Dargaud a dévoilé la couverture du tome 4 d’Undertaker. L’ombre d’Hippocrate paraîtra le 24 novembre.

    J’espère que Rose va bien s’en sortir…

    en réponse à : J'ai lu… J'ai vu… Lien | Citer
    Mes vacances en Islande

    Tjahzi a écrit
    Je n’ai pas encore vu… Mais ce sera dès demain et durant les deux prochaines semaines : je pars en vacances en Islande, le pays des Vikings du grand nord. Promis, je reviens avec des photos rien que pour vous !

    Bon, je le reconnais, j’ai pris mon temps pour vous parler de mon voyage en Islande qui s’est déjà déroulé la première quinzaine de juillet. Il fallait que je regarde de plus près mes photos, vu que je vous avais promis de vous en montrer. Mais voilà, elles ne reflètent pas bien les paysages que j’ai vus là-bas. Alors j’ai choisi de vous illustrer mes souvenirs avec des photos professionnelles tirées d’un très beau livre que j’ai reçu de mon hôte : « Iceland, small world » .

    Mon hôte, Sigurjon, c’est la personne avec qui j’ai échangé ma maison du 1 au 14 juillet. Cela fait quelques années que je pratique de cette manière pour mes vacances. Ainsi cet été, une famille islandaise occupait ma maison pendant que j’occupais la sienne. Ça fait un peu peur la première fois, mais après quelques échanges, on trouve ça tout à fait normal. Et en y ajoutant l’échange de voitures, ça devient très économique !

    Parce qu’il faut reconnaître qu’un voyage en Islande revient vite cher si on doit louer une voiture, trouver un logement et manger en chemin. L’inconvénient de la voiture que j’ai échangée, c’est qu’elle ne peut pas rouler dans une grande partie du pays, accessible uniquement en 4×4. Mais ces kilomètres à travers des paysages désertiques ne m’ont pas manqué, car il y avait déjà énormément à voir comme ça.

    Nous logions à proximité de Reykjavik, la capitale qui rassemble les 2/3 de la population autour d’elle. Il faut dire que les Islandais ne sont pas nombreux : 300.000 habitants pour 100.000 km², la plus faible densité de population d’Europe. Les Hautes Terres, le centre de l’île, sont même totalement inhabitées. Elles deviennent difficiles d’accès dès la fin de la belle saison qui s’étend de juin à août. Donc nous étions là au meilleur moment pour pouvoir circuler dans le pays sans véhicule tout-terrain.

    Nous nous sommes limités au sud-ouest du pays, qui recèle des paysages déjà très variés. Je n’avais pas envie de passer mes journées à rouler, surtout que la limite maximale est de 90 km/h, même sur les routes à 4 bandes. Et les Islandais sont très respectueux des lois, tout comme de la nature. Vous ne trouverez par exemple jamais un mégot par terre, ni bien sûr tout autre déchet.

    Il faut dire que la nature le leur rend bien. Les paysages sont grandioses, avec des canyons, des montagnes et volcans qui se découpent à l’horizon, et les falaises qui se détachent en bord de mer. C’est là qu’on trouve le plus de vie, avec de nombreux oiseaux marins qui y nichent. A l’intérieur des terres, on peut rencontrer des animaux domestiques, comme des moutons et des petits chevaux. Ils ont été amenés sur l’île par les Vikings qui sont arrivés il y a mille ans depuis la Norvège. Ces chevaux en sont donc les descendants directs.

    Une autre chose qui a peu changé, c’est la langue islandaise qui est restée très proche du vieux norrois des premiers colons, à la différence des autres langues scandinaves. Il parait que même un enfant peut lire un texte du XIIème siècle sans problème. Il y a aussi les noms de familles qui continuent à être transmis comme au temps de Thorgal. On ajoute –son au prénom du père pour faire le patronyme des garçons, et –dottir pour les filles. Ce qui fait que le nom de famille change à chaque génération, un plaisir pour les généalogistes ! Et dans l’annuaire téléphonique, le classement se fait sur la base des prénoms, pas des noms.

    Les Islandais sont plutôt réservés, mais après les premiers contacts, ils deviennent chaleureux, comme leurs maisons. Colorées à l’extérieur, elles sont chauffées grâce à la géothermie. Même l’eau chaude des douches provient directement du sous-sol. Bon, il faut juste s’habituer à cette odeur de soufre qu’on retrouve régulièrement en se baladant.

    L’Islande est d’origine volcanique. Même si nous n’avons rencontré aucun volcan en éruption, la lave refroidie est bien présente dans le paysage. Et les émanations de gaz ou de vapeur d’eau qui sortent du sol nous rappellent régulièrement que le magma en fusion n’est pas loin. Les geysers, les plages de sable noir ou les roches directement issues du magma créent un paysage proche des origines de la Terre.

    La randonnée est le meilleur moyen pour prendre le temps de découvrir le pays. Les sites naturels sont accessibles gratuitement, pourvu que ça dure. Nos seules réservations furent celles pour gravir un glacier et nous baigner dans des sources chaudes. La météo change rapidement, les températures ne sont pas très élevées, mais j’ai trouvé que c’était parfait pour nos balades. Ah oui, une crainte que nous n’avions pas, c’était de redescendre trop tard de la montagne, parce qu’il n’y a pas de nuit en été. Mais pas non plus de volets aux fenêtres des maisons !

    A 4h de vol de chez nous, l’Islande est d’un dépaysement complet, j’espère vous avoir donné l’envie de vous y rendre un jour. 

    en réponse à : Du côté des éditeurs Lien | Citer
    Imprimerie Pollina

    Pollina, c’est l’imprimerie qui a réalisé les derniers albums de Thorgal. Installée à Luçon en Vendée, Pollina emploie 240 personnes. Elle s’est équipée l’année dernière d’une nouvelle presse de 280 tonnes. Voici son installation, des fondations de la dalle jusqu’à l’impression du premier job, résumée en 3 minutes !

    en réponse à : La licence Thorgal avec Mediatoon Licensing Lien | Citer

    Je me demande si cette cible n’est pas complètement dépassée. Je peux comprendre qu’aux débuts de Thorgal, les 15-35 ans étaient le public principal. Quoique, la publication dans le journal Tintin faisait que Thorgal passait entre les mains d’enfants. Et pourtant, 7 ans, c’est vraiment trop tôt pour lire ce genre de BD.

    Mais aujourd’hui, on peut constater lors des séances de dédicaces que les lecteurs qui s’y présentent ont plutôt entre 30 et 50 ans. Ils ne représentent sans doute pas l’ensemble des lecteurs, mais il faut quand même reconnaître que le lectorat de Thorgal a vieilli avec son héros. Alors oui, Le Lombard aimerait bien rajeunir son lectorat, notamment avec la série Louve, mais est-ce que ce désir rejoint la réalité ? Pas sûr du tout…

    Thorgal-BD a écrit
    Les 40 ans de Thorgal sont restés assez sages pour le moment, mais comptez sur moi pour continuer à vous proposer des choses sur ce site jusqu’à la fin de l’année ! Et il y a de belles choses qui s’annoncent pour la rentrée.

    Heureusement que tu es là pour penser aux 40 ans de Thorgal, Stéph ! 

    Celui qui ne va pas se réjouir à la rentrée, c’est mon portefeuille ! Il y aura la sortie du tome 2 de l’intégrale N&B, du tome 5 de la Jeunesse, du tome 7 de Kriss et de l’Artbook de Rosinski. Comme dit Nitrox, c’est pas pour les étudiants, ce budget BD !

    en réponse à : Thorgal – 20 – La marque des bannis Lien | Citer

    Encore une très belle analyse dans « A propos »  Tu as vraiment bien choisi les albums pour ton défi des 40 ans, et on voit clairement qu’ils t’inspirent ! Tellement différent de l’album précédent puisque Thorgal en est absent, mais c’est encore sa famille qui est mise en évidence, et à nouveau en danger par Kriss, l’éternelle ennemie. Malgré son marquage au fer rouge, Aaricia est belle et forte dans cet album qui la met rudement bien en valeur, tout comme ses enfants. Un album incontournable de la saga !

    J’adore ton analyse dans l’atelier. Mais dis, pour une fois que la partie « A propos » est un petit peu plus courte, il a fallu que tu te défoules dans l’atelier !   Superbe analyse de la première planche ! Je m’y étais déjà attardé, c’est typiquement une planche qui dit tout en peu de mots, comme Rosinski et Van Hamme ont pu en créer d’excellentes ensemble.

    Une erreur avait déjà été signalée dans le sujet du forum Des erreurs dans Thorgal ?. A la planche 5, Jolan dit que Tanatloc est le père de Thorgal, alors que c’est son grand-père. Je pensais que l’erreur aurait été corrigée dans les versions ultérieures…

    Dans la partie où tu présentes les planches, est-ce qu’il serait possible de faire défiler les planches en cliquant directement sur la planche affichée, ou sur une flèche de défilement ? Je trouve ça plus pratique que de devoir remonter chaque fois vers la page en miniature au-dessus.

    Je sais que tu annonces aussi sur la page Facebook de Thorgal la nouvelle fiche qui sort chaque mois. Est-ce que tu ne pourrais pas y ajouter à partir de cet album-ci un lien vers l’althing pour donner son avis sur l’album ? Je trouve que l’althing est trop peu connu. Et de toute façon, quand les lecteurs écrivent leur avis sur Facebook, ça disparaît rapidement sous un amoncellement inextricable de messages.

    en réponse à : Rosinski dans la presse Lien | Citer

    C’est Louve qui se joint cette fois à Thorgal pour militer contre les actions dévastatrices du gouvernement polonais. Traduction de la bulle :  » Nous continuons à défendre la forêt « . Voici le commentaire qui accompagne ce dessin sur le FB de Thorgal.

    Le jour de son anniversaire, Grzegorz Rosinski, nous envoie un nouveau dessin inspiré par votre accueil enthousiaste de son Thorgal montrant ses trois doigts et Aaricia avec son parapluie. Grzegorz remercie tous les fans pour votre fidélité et les trolls pour l’inspiration !

    Le journal Le Monde explique les raisons de la colère.

    Située dans l’est de la Pologne, la forêt de Bialowieza est la mieux protégée du continent. D’importantes zones y ont été préservées de l’intervention humaine. De fait, on trouve dans cette forêt vieille de 10 000 ans des écosystèmes uniques. Par exemple, les derniers bisons sauvages d’Europe y ont trouvé refuge. Mais une menace plane sur certains arbres. Une invasion d’insectes xylophages ravage les épicéas. Pour le gouvernement, le seul moyen de sauver la forêt, c’est d’abattre les conifères malades. A contrario, des scientifiques et des écologistes estiment que la forêt doit se régénérer.

    L’Union européenne a pris le parti de ces derniers. Le 2 août, Bruxelles a demandé à la Pologne d’arrêter l’abattage d’arbres.

    en réponse à : Largo Winch – 21 – L'étoile du matin Lien | Citer
    Concours sur Europe 1

    Europe 1 organise un concours pour gagner les 20 tomes de Largo Winch ! Les réponses sont faciles à trouver, et l’inscription est indispensable. Voici le lien pour participer au concours :  http://clube1.europe1.fr/bd

     

    en réponse à : Rosinski – Expositions et rencontres Lien | Citer

    Waouh ! Très tentant comme programme !   Je vais essayer d’assister aux différentes interventions de Grzegorz.

    en réponse à : Thorgal – 12 – La cité du dieu perdu Lien | Citer

    Thorgal-bd a écrit
    Je viens de poster un article vous informant que j’ai entièrement réécrit la fiche de l’album, à l’occasion du 40ème anniversaire de Thorgal.

    J’ai relu toute la fiche, c’est un superbe travail !    Les textes d’introduction, la scène et la phrase, tout est bien choisi. La partie « A propos » est particulièrement fouillée, et c’est sans doute une des analyses les plus personnelles parmi les fiches déjà mises à jour. On voit que cette histoire t’a terriblement inspiré Stéph !

    Il faut dire qu’aucun autre album n’a rassemblé à ce point les proches de Thorgal pour y vivre autant de moments dramatiques. Jolan qui est séquestré, Aaricia qui se fait presque égorger, Kriss qui n’est plus qu’une vieille femme, Tjall qui meurt dans ses bras ! Puis Thorgal découvre ses parents, dans un moment tout aussi intense. La mémoire de sa mère lui donne la force d’affronter son père qui meurt sous ses yeux. Un récit vraiment exceptionnel 

    Je me demande vers quel album tu vas te tourner à présent… 

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 5 – Slive Lien | Citer
    Planches de Slive

    Le Lombard présente 2 nouvelles pages de Slive sur sa page Facebook. Ce sont les planches 13 et 19 de l’album.

     

    en réponse à : Rosinski dans la presse Lien | Citer

    Plutôt que de servir de support publicitaire pour des produits de consommation, j’apprécie que l’image de Thorgal et Aaricia soit associée au soutien de la justice polonaise. Le journal Le Monde explique sur cette vidéo les raisons de la crise politique traversée par la Pologne (durée 4 minutes).

    en réponse à : Largo Winch – 21 – L'étoile du matin Lien | Citer
    Le nouveau tandem Francq et Giacometti se dévoile

    Article sympa sur les auteurs du tome 21 de Largo Winch ICI sur Le Figaro. En voici un extrait :

    Sur la photo officielle, dévoilant le nouveau tandem qui préside à la destinée de Largo Winch, on découvre Philippe Francq et Éric Giacometti côte à côte. Décontractés, détendus même dans de larges fauteuils en cuir, Francq et Giacometti ne se regardent pas. Il semble qu’ils n’aient pas besoin de ça pour se comprendre. le cliché signé Chloé Vollmer, a été pris dans les nouveaux locaux parisiens de BETC, situé à Pantin, sur le site rénové et «branché» des Magasins généraux.

    Après deux ans de dur labeur en commun sur L’Étoile du matin, on sent que les deux hommes ont appris à se connaître. Philippe Francq ne tarit pas d’éloge sur Giacometti, auteur d’une bonne quinzaine de thrillers tels Le Rituel de l’ombre (2005) , Le Règne des Illuminati (2014) ou dernièrement Conspiration (chez Jean-Claude Lattès, 2017): «Éric Giacometti est avant tout un lecteur de Largo Winch de la première heure, précise-t-il. Je le connais depuis longtemps. Il était journaliste économique avant de devenir romancier. C’est devenu un ami. À chaque fois que nous nous rencontrions, nous parlions avec passion de Largo Winch.»

    Et Philippe Francq de poursuivre: «Je me souviens encore de la tête qu’il a faite lorsqu’un beau jour de 2015, dans un restaurant du Marais, je lui ai proposé de reprendre Largo! Il avait les yeux tout ronds! Il n’a pas su quoi dire pendant deux minutes, à part: «C’est énorme!» Je sais que cette proposition avait quelque chose de terrifiant. Il faut tout de même passer derrière quelqu’un comme Van Hamme, un monstre sacré du 9e art. Je savais que je lui faisais un peu un cadeau empoisonné. Il ne faut pas rater son coup! Mais il a su relever le défi.»

    Tiré à 360.000 exemplaires, le nouvel album sonne comme un retour aux sources. Francq et Giacometti sont repartis «comme en 1990, lance le dessinateur. Si je l’ai choisi lui, c’est parce qu’avec l’expérience, j’ai remarqué que les scénaristes de BD repreneurs de héros emblématiques ont toujours envie de mettre leur patte et finissent par déborder sur la psychologie des personnages. Je n’avais pas envie de ça. J’ai appris à connaître Éric depuis une dizaine d’années. J’aime son humilité dans le travail. Il a eu la grande intelligence de ne pas abîmer Largo Winch. Il essaie de rendre service au personnage, plutôt que de se servir lui-même.»

    Son angle d’attaque pour le nouveau diptyque a été simple: «Éric a voulu retrouver le Largo Winch des origines, s’enthousiasme Francq. Dans L’Étoile du matin, l’intrigue économique qui aborde l’univers boursier est de retour.»

    • Ce sujet a été modifié le il y a 8 ans et 3 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Vos séries préférées ? Lien | Citer

    Salut Penny, c’est marrant comme la relation entre Kim et Marc t’a marquée. Quand je te lis plus haut, ça fait penser aux « Feux de l’amour« . Pour moi, leur relation ne prend pas une place aussi importante dans mes souvenirs. Mais comme Stéph, j’ai lu ces albums dans le désordre et sur de nombreuses années, donc ça ne doit pas du tout faire le même effet quand on les lit comme toi rapidement et dans l’ordre.

    Comme Cat, je n’aime pas trop la manière de Leo de dessiner les personnages (sauf les seins des filles, mais moi je suis un homme !  ). Par contre, ses mondes créés de toutes pièces, j’adore ! Les paysages, les arbres, les animaux, les extra-terrestres, c’est vraiment ça que je retiens le plus. Et aussi les relations humaines qui y sont décrites, mais pas particulièrement entre les deux héros principaux. Plutôt la mise en place d’un nouvelle société qui se crée loin de la Terre, avec les nombreux travers qu’on peut retrouver chez les êtres humains.

    en réponse à : BDVD Lien | Citer

    Le jeu vidéo est encore plus ancien que les BDVD. On en parle sur le forum dans ce sujet-ci : http://www.thorgal.com/sujet/jeu-video-la-malediction-dodin/

    • Ce sujet a été modifié le il y a 8 ans et 3 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Idées de cadeau Lien | Citer

    Salut Profane, il ne faut quand même pas que tu traînes pour lui offrir. Un nouveau dessinateur a été choisi pour dessiner Kriss de Valnor, alors bientôt ton achat ne vaudra plus rien ! 

    en réponse à : Lithographie originale de la louve Lien | Citer

    Bonsoir Inchauspe,

    Est-ce que la lithographie de Louve ressemble à celle-ci (70×50 cm) ? Sur Catawiki, cet exemplaire numéroté et signé est estimé à 40 €.

    en réponse à : Thorgal – Intégrale N&B Niffle Lien | Citer
    Annonce du tome 2 de l'intégrale

    Thorgal-BD a écrit
    Je viens d’ailleurs de poster un article présentant cette nouvelle intégrale, c’est ICI dans la partie « COLLECTION » du site. Je vous préviens, j’ai fait dans le dithyrambique. Ce n’est pas du tout pour fayoter. Là, on est sur un album qui réunit tout ce qui a construit ma passion pour la série et m’a incité à travailler sur ce site depuis 18 ans.

    Le fayotage a bien marché !   Voilà ce que dit l’éditeur Niffle de cet article :

    Une présentation remarquable de précision sur Thorgal.com du premier volume de l’intégrale Thorgal dans La Grande Bibliothèque: http://www.thorgal.com/article/niffle-integrale-2017/

    Je sens que notre webmestre va bientôt recevoir son deuxième volume dans un superbe emballage cadeau ! 

    Eh oui, plus qu’un gros mois à attendre avant la sortie du tome 2 de l’intégrale Thorgal. Niffle nous présente la couverture complète, avec cette fois un verso tiré d’un autre album que l’image principale du recto.

    Et c’est chez Dupuis (oui, oui) qu’on peut découvrir les premières planches de « L’enfant des étoiles »

    (à voir en cliquant ICI).

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Vercingétorix

    Kartlis a écrit
    C’est assez classique ce style de collection, non ? Série historique, tout ça… C’est Kennedy à gauche de Cléopâtre ?

    Ah bon, c’est Cléopâtre à droite de Kennedy ? Il me manquait la vue de profil ! 

    Les BD historiques existent depuis longtemps. Le principe de cette nouvelle collection est d’être rigoureux du point de vue historique, tout en rendant l’histoire passionnante. D’après ce que j’ai  pu en lire, ça a l’air plutôt réussi. J’attends de me faire ma propre opinion quand j’aurai lu Vercingétorix. Voici la présentation de la BD par Glénat.

    À l’âge de cinq ans, Vercingétorix vit son père condamné au bucher par les siens pour avoir osé se prétendre roi des peuples gaulois. Nourri de la même ambition, le jeune Arverne apprend la discipline militaire en réalisant ses classes auprès de la puissante armée romaine. De retour en Gaule, il déploie son talent militaire et son éloquence pour unir les tribus gauloises et repousser l’envahisseur romain. Fier, courageux, discipliné et ingénieux, Vercingétorix est pour les célèbres légions l’un de ses plus terribles adversaires. Mais, sans cesse, il est confronté à un stratège plus redoutable encore : Jules César… Découvrez les campagnes de ce premier héros mythique de l’Histoire de France dont la Guerre des Gaules, récit de propagande à la gloire de César, est la seule source écrite existante.

    Lors de la sortie de l’album en 2014, Fred Vignaux a répondu à quelques questions sur sa manière d’illustrer une époque aussi lointaine.

    Que vous inspirait le personnage de Vercingétorix avant de débuter cet album ?

    Frédéric Vignaux : Un personnage moustachu avec un casque ailé : une imagerie très « BD », forgée par des années de lectures de revues plus ou moins bien documentées. Un roi à la tête d’un peuple de « barbares » celtes chevelus, qui résistait à l’oppresseur romain en cherchant à unir la Gaule. On est effectivement loin des théories historiques actuelles !

    Il existe très peu de témoignages sur la vie du chef gaulois, si ce n’est la Guerre des Gaulesde Jules César, et encore moins de matériel iconographique sur lequel s’appuyer. Comment avez-vous procédé pour retranscrire fidèlement une époque aussi lointaine malgré le manque de sources ?

    F. V. : Le manque de sources sur le sujet est flagrant… mais c’est aussi un avantage ! Cela laisse un peu de latitude pour la création. Les principales sources de documentation sont La Guerre des Gaules, les reportages de vulgarisation, les fouilles archéologiques et surtout les troupes de reconstitutions historiques qui postent pléthores de photos sur leurs sites internet. Il existe aussi quelques revues et BD récentes qui abordent le sujet. Il faut savoir qu’en dehors de La Guerre des Gaules de César et de quelques bas-reliefs sculptés, beaucoup de choses restent de l’interprétation ! Ainsi, pour la décoration des boucliers, c’est plutôt la culture celte qui est prise pour modèle. On part aussi du principe que les civilisations gauloises et romaines n’étaient pas si éloignées que cela… ce qui permet de combler les manques.

    Vous avez également travaillé sur d’autres projets de type « fantastique ». Adaptez-vous votre style de dessin selon le type d’histoire qui est racontée et son degré de véracité ?

    F. V. : J’essaie dans la mesure du possible d’adapter mon style au sujet de la BD. Avec l’expérience, mon dessin tend vers plus de réalisme tout en gardant ce côté dynamique qui m’est cher… ce projet tombait donc à point nommé !

    Source interview : http://iofh.glenatbd.com/trois-questions-a-frederic-vignaux/

    Source planche originale : http://bdflash-rambouillet.blogspot.be/2014/04/exposition-frederic-vignaux.html

    en réponse à : BDVD Lien | Citer

    Salut Irminsul   Un sujet sur les BDVD a déjà été ouvert dès 2005 lors de la sortie du premier volume. Pour voir les avis des autres membres, tu peux suivre ce lien : http://www.thorgal.com/sujet/bdvd-thorgal-en-bdvd/

    en réponse à : Wayne Shelton Lien | Citer
    Tome 13 – Vendetta

    Plus qu’un mois avant la sortie de Vendetta, le tome 13 de Wayne Shelton, avec Jean Van Hamme toujours aux commandes.   Les 10 premières pages sont visibles ICI.

    Voici le résumé de l’album dont la sortie est prévue le 25/08/2017 chez Dargaud :

    Que ne ferait pas Wayne Shelton pour deux millions d’euros ? Dans ce treizième tome, c’est la Mafia qui s’offre les services de notre gentleman mercenaire ! Il doit retrouver l’unique héritière du capo di tutti capi. Le voilà parti pour un dangereux tour d’Europe, de l’Italie à l’Angleterre, en passant par Bruxelles. Au programme : menaces, trahisons, révélations, assassinats. Une mission semée d’embûches, placée sous le charme de son amie Honesty…

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer

    Thorgal-bd a écrit
    Fred Vignaux travaille donc sur la suite des aventures de Neige, « Neige origines ».

    Cette couverture de Neige Origines me fait penser au dessin d’Hermann, avec ses personnages qui apparaissent dans la brume. J’aime beaucoup ! 

    En regardant les différentes séries de Fred Vignaux sur le site de Glénat, la BD Vercingétorix parue en 2014 donne une idée de ce qu’on pourrait découvrir avec Kriss de Valnor. Et ici, je trouve que c’est de Giulio De Vita que son dessin se rapproche, dans les cadrages, les couleurs ou le style des personnages. Par contre, le découpage de la planche est plus libre que ce qu’on trouve dans les Mondes de Thorgal. Voici la planche 2 de l’album dont on peut lire les 10 premières pages ICI.

    Cet album fait partie de la collection « Ils ont fait l’histoire« . Voici sa présentation faite par Glénat sur son site.

    Le 5 mars 2014, les éditions Glénat, en collaboration avec les éditions Fayard, lancent une toute nouvelle collection de bandes dessinées historiques : ILS ONT FAIT L’HISTOIRE.

    L’idée : capitaliser sur les points forts de ces deux maisons d’édition pour raconter en BD la vie de figures historiques majeures. Ainsi, sur chaque album, des auteurs de bande dessinée Glénat s’associeront à un ou plusieurs historiens de Fayard pour proposer des portraits biographiques aussi vivants et passionnants que respectueux du corpus historique.

    Pour approfondir le sujet, les albums seront en outre prolongé d’un dossier pédagogique réalisé par le(s) historien(s) en question.

    La collection comptera 30 albums et englobera toutes les périodes historiques. Les deux premiers ouvrages seront notamment consacrés à Vercingétorix et Philippe Le Bel.

    en réponse à : Rosinski dans la presse Lien | Citer
    Soutien de Thorgal à la démocratie polonaise en danger

    Rosinski utilise très rarement l’image de Thorgal en-dehors de la bande dessinée. Il le fait aujourd’hui pour défendre son pays d’origine, la Pologne, qui vit des moments difficiles. Voici le commentaire qui accompagne le portrait de Thorgal sur sa page Facebook.

    Grzegorz Rosinski nous montre le soutien de Thorgal à la démocratie polonaise en danger. #3xWeto c’est l’appel des Polonais à leur président pour ne pas signer les lois votées par le parlement polonais qui menacent directement l’indépendance et la liberté du système juridique polonais.

    en réponse à : Kriss de Valnor – 7 – La montagne du temps Lien | Citer
    Frédéric Vignaux est le nouveau dessinateur de Kriss

    Le nom du nouveau dessinateur de Kriss de Valnor vient d’être annoncé sur le site néerlandophone Strip Speciaalzaak : il s’agit de Frédéric Vignaux.

    Voici une traduction de la première partie du texte. Un seul mot pose problème à la traduction : le titre de l’album !

    Fans de Thorgal, votre attention ! En octobre et décembre, trois publications de Thorgal paraissent avec trois dessinateurs différents. L’un est un tout nouveau nom. Après Roman Surzhenko qui a réalisé un album pour Kriss de Valnor dans les Mondes de Thorgal, à la suite de l’arrêt de Giulio De Vita après cinq tomes,  un nouveau dessinateur a été choisi pour poursuivre la série. Le choix s’est porté sur Frédéric Vignaux, le dessinateur du diptyque fantastique « L’Appel des légendes », le prequel « Neige Origines » (la fin du triptyque paraît chez Glénat en octobre), et publié récemment, un one-shot historique sur Vercingétorix paru dans la nouvelle collection « Ils ont fait l’histoire ». Le tome 7 de la série Kriss Valnor intitulé « De Tijdberg » qui paraît en décembre a de nouveau été écrit par le duo Xavier Dorison et Mathieu Mariolle.

    Et le reste de l’article en bref :

    La seconde publication de Thorgal en cette fin d’année est Slive, le tome 5 de la Jeunesse par Roman Surzhenko. Et la troisième publication est un artbook de Grzegorz Rosinski qui comptera 208 pages pour 29,95 euros.

    Je ne suis pas sûr pour la traduction du titre de Kriss 7 : tijd signifie temps, et berg signifie montagne, ce qui donnerait en traduction littérale « La montagne du temps ». Mais cela demande confirmation. 

    en réponse à : J'ai lu… J'ai vu… Lien | Citer
    Islande

    Je n’ai pas encore vu…

    Mais ce sera dès demain et durant les deux prochaines semaines : je pars en vacances en Islande, le pays des Vikings du grand nord. Promis, je reviens avec des photos rien que pour vous ! 

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Entrecase sur Ouatch TV

    Le magazine TV  » Entrecase  » a réalisé un reportage chez Christie’s. Diffusée hier sur Ouatch TV, l’interview menée par Emmanuelle Klein s’adresse d’abord à Daniel Maghen, l’organisateur de la vente aux enchères (1min53 à 5min20). C’est ensuite Grzegorz Rosinski qui est interrogé sur la relation qu’il entretient avec ses personnages et ses anciennes planches, ainsi que son intérêt pour le processus de création de l’image (5min20 à 8min35).

    en réponse à : Entretien avec Roman Surzhenko Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Hein ? C’est déjà fini ? Ho, j’y pense, pour la musique, il faudrait que j’envoie à Roman un album de Renaud ! Il faudra que je lui propose.

    Eh oui, toutes les bonnes choses ont une fin. Par contre, je ne suis pas sûr que Renaud soit la bonne personne pour apprendre le français à Roman… 

    Kartlis a écrit
    Eh oui, je suis capable de parler de rap, de dessins animés russes et de musique ethnique dans le même post.

    Là je suis sûr que ça plaira à Roman ! 

    en réponse à : Concours – Louve et intégrale Lien | Citer

    Et pour l’intégrale noir et blanc, tu as tout compris Sura ? 

    en réponse à : Yves Sente Lien | Citer
    Ptirou

    Laurent Verron réalise en ce moment une fresque sur l’album qu’il prépare avec Yves Sente pour la fin 2017.

     

    Voici un commentaire de Laurent Verron publié sur Inedispirou à propos de cet album de Ptirou.

    « Yves Sente m’a soumis un projet autour de Spirou. D’emblée, je lui ai répondu qu’étant déjà catalogué dessinateur de reprise, cela ne m’intéressait pas; mais il a insisté en me disant qu’il ne s’agissait pas d’une aventure de Spirou, mais de l’histoire du groom ayant inspiré Rob-Vel. Ce dernier a été steward sur les transatlantiques qui reliaient Le Havre à New York, et sur lesquels travaillaient aussi des grooms. Il avait eu l’occasion d’en rencontrer un qui était rouquin et débrouillard. Plus tard, quand il est devenu dessinateur de BD et que Dupuis lui a demandé de créer le personnage de Spirou, Rob-Vel s’est souvenu de ce groom du [sur]nom de Ptirou. Yves a lu cette anecdote dans la monographie des Pissavy-Yvernault : La Véritable Histoire de Spirou (Dupuis, 2013). J’ai donc accepté, parce qu’il ne s’agissait pas en effet d’une histoire avec Spirou, mais d’un one-shot. Dupuis a signé le projet, qui fera partie de la collection « Spirou par… ». Yves Sente a écrit le scénario, fait le découpage, et j’ai attaqué le dessin au printemps 2014. »

    en réponse à : Xavier Dorison Lien | Citer
    Ateliers d'écriture

    La Nouvelle Revue Française organise des ateliers d’écriture intitulés « Le scénario du roman« . Le formateur de ces Master Class est Xavier Dorison. Voici un aperçu du programme :

    Et si un scénariste se mettait au service des romanciers ?

    Curieuse idée, à priori. La littérature est l’art des mots alors que le scénario est un outil au service d’images et de dialogues. Roman, théâtre, cinéma, grands mythes et bande dessinée n’ont en commun ni le style, ni le décor, ni la mise en scène ou le dessin. Alors, à quoi bon ?

    La réponse est simple, tous ont un impératif absolu : une histoire forte.

    L’intrigue est la condition indispensable à un bon roman. Vous le savez. Seulement voilà, malgré vos réécritures, certains passages restent des ventres mous, des dialogues remaniés dix fois sont toujours sans saveur ; tel personnage manque de dimension, votre récit est sans tension et vous vous perdez dans vos sous-intrigues. Ce n’est pas un problème d’idée. Et encore moins de style. Le problème, c’est l’histoire.

    Véritable colonne vertébrale du récit, elle est la charpente sur laquelle les scénaristes construisent les personnages, les dialogues et le sens. Comment ? Par le travail, l’expérience, l’observation – bien entendu – mais rien de tout cela ne fonctionnerait sans une connaissance intime des mécanismes de la dramaturgie.

    Connus depuis « La poétique » d’Aristote, ils sont enseignés aujourd’hui par les plus grands dramaturges anglo-saxons. Il ne s’agit ni de clichés ou de « règles » de prêt-à-penser pour dire « ce qu’il faut faire » et encore moins d’une « prison créative », mais de principes simples et pragmatiques qui analysent « comment ça marche ».

    Comprendre les éléments fondamentaux d’une scène pour la dramatiser et renforcer son émotion, apprendre à cerner son sujet pour éviter les digressions inutiles et ne pas se perdre dans le développement, renforcer l’empathie et l’évolution de vos protagonistes, cerner les grandes étapes d’une histoire, pratiquer la dynamique du retournement et du fossé émotionnel, créer et maîtriser le sens, autant de sujets qui constituent le cœur de l’enseignement de ce stage.

    Ah, si j’étais romancier…   Tous les détails se trouvent ici : http://www.ateliersdelanrf.fr/xavier-dorison/

    en réponse à : Entretien avec Roman Surzhenko Lien | Citer
    Episode 8 (fin)

    Tjahzi : Thorgal est toujours ton unique projet ?

    Roman Surzhenko : Bien sûr, c’est un projet de rêve ! Thorgal est ma première vraie série. C’est pour ça que j’ai été très impressionné quand les Rosinski m’ont choisi. Je consacre toute mon énergie aux Mondes de Thorgal.

    Tjahzi : Quand tu travailles, tu as besoin de calme ?

    Roman Surzhenko : J’écoute de la musique en dessinant, sauf au début quand je passe du scénario aux planches découpées. Cette première étape de découpage me demande plus de concentration. Après ça, j’écoute tous les styles de musique quand je dessine, que j’encre ou que j’ajoute les couleurs. Mes envies musicales varient, elles m’arrivent par vagues. Je peux écouter pendant plusieurs semaines de la musique ethnique, puis je passe à une période de rock, ou de reggae ou encore de disco des années ’80. Il m’arrive même de mettre des chansons à boire, la musique qu’on retrouve dans les bars. Tout ça me donne beaucoup d’énergie. Pendant les séances de dédicace, je suis à l’écoute des personnes que je rencontre. Mais parfois, quand je dédicace seul, j’aime le faire en écoutant de la musique celtique.

    Tjahzi : Il t’arrive de passer sur le forum de Thorgal.com ?

    Roman Surzhenko : J’y passe, mais je ne participe jamais, parce que je ne crois pas que c’est ma place. Je ne voudrais pas y discuter du travail du scénariste ou d’autres personnes. Je peux juste parler de mon travail, mais je préfère le faire en direct, comme pour cette interview. Sur ce site consacré à Thorgal, Stéphane fait un travail formidable !

    Tjahzi : Quelle sera la prochaine occasion de te rencontrer ?

    Roman Surzhenko : Après les différents festivals en mai et juin, je devrais être à Temploux en Belgique les 19 et 20 août prochains.

    Tjahzi : Roman, un grand merci d’avoir accepté cette interview, et à bientôt !

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 5 – Slive Lien | Citer

    Oui, c’est la marque de fabrique de sa maman ! 

    Comme on n’entend pas parler l’enfant, on ne sait pas s’il a toujours sa langue. Cette histoire de langue coupée par une diablesse, je me demande si ça concerne Slive…

    en réponse à : Vos séries préférées ? Lien | Citer
    La fin des grandes séries en BD

    Jean Dufaux, le génial scénariste des séries Murena, Djinn, Jessica Blandy ou Giacomo C., vient de mettre un terme à une de ses dernières séries, Niklos Koda. Sur France Info, il donne son avis sur la fin de l’époque des grandes séries.

    C’est un sentiment de soulagement qui vous pousse à terminer vos grandes séries ?

    Les très longues séries appartiennent aux années 80-90, une époque révolue. Je pense qu’elles vont toutes s’achever. C’est ce que je fais avec les miennes. Le contexte a changé. Je connaissais des lecteurs qui arrivaient à lire quasiment toutes les nouveautés dans les années 80. Aujourd’hui, c’est impossible. Nous sommes passés de 2000 albums chaque année à plus de 5000. Nous arrivons à saturation. Demander à un lecteur de se souvenir du précédent tome devient impossible. Le temps est devenu trop long pour les grandes séries. On perd les histoires, on perd les ressorts et on finit par perdre les lecteurs.

    L’interview complète de Jean Dufaux se trouve ICI. Avec Jean Van Hamme, il était le scénariste de nombreuses séries que j’ai lues depuis tant d’années. Je suis d’accord avec lui pour dire qu’il est difficile de suivre une même histoire durant des années. Par contre, ce qui pour moi permettrait de continuer à faire vivre des séries comme Thorgal, ce sont des histoires qui se renouvellent d’album en album et qui se suffisent à elles-mêmes. Ce n’est pas le choix des scénaristes qui ont pris la relève de Jean Van Hamme, mais je pense que c’est le seul moyen pour attirer de nouveaux lecteurs qui ne veulent pas relire 35 tomes avant d’arriver à lire le dernier album paru.

    en réponse à : Entretien avec Roman Surzhenko Lien | Citer
    Episode 7

    Tjahzi : Tu t’exprimes de mieux en mieux en français. Comment apprends-tu la langue ?

    Roman Surzhenko : En soirée, je lis des livres ou je regarde des séries en français pour m’exercer, mais également pour m’amuser et me détendre. Le français est la principale langue de la bande dessinée européenne. Quand je participe aux festivals, c’est pour rencontrer les lecteurs et aussi pour m’entraîner à la langue française. C’est une langue riche, avec une culture différente de la mienne. Le Petit Prince de Saint-Exupéry est par exemple un récit beau et surprenant à la fois, destiné autant aux adultes qu’aux enfants.

    Tjahzi : Au fait, est-ce que Louve s’adresse aux adultes ou plutôt aux enfants ?

    Roman Surzhenko : Je dois avouer qu’il y a très peu d’enfants parmi les lecteurs qui viennent à mes dédicaces. Ils préfèrent faire dédicacer Spirou plutôt que Louve. Moi je rencontre surtout des lecteurs adultes. Parfois ils sont bien plus âgés que moi, certains ont découvert Thorgal il y a 40 ans.

    Tjahzi : Maintenant que le tome 7 de Louve est sorti, nous attendons impatiemment Slive, le tome 5 de la Jeunesse. Où en es-tu dans sa réalisation ?

    Roman Surzhenko : J’ai complètement terminé le cinquième tome, et à présent je dessine le sixième tome de la Jeunesse. Il faut savoir que j’achève un album 5 à 6 mois avant sa parution. Je ne peux pas parler du nouvel album, mais je peux juste dire que les lecteurs ont déjà deviné certaines choses. Le personnage de Slive m’inspire, c’est enthousiasmant de dessiner des personnages avec une forte personnalité.

    Tjahzi : Et pour la suite, quelles sont tes envies ?

    Roman Surzhenko : J’aimerais continuer Louve et la Jeunesse, ce sont des séries qui me plaisent.

    Tjahzi : Mais avec le tome 6 de la Jeunesse, on va rejoindre le premier tome de Thorgal, « La magicienne trahie ». La Jeunesse de Thorgal n’est pas éternelle !

    Roman Surzhenko : Dans Conan le Barbare (un des premiers récits d’heroic-fantasy), on a commencé par la saga classique écrite par Robert Ervin Howard, puis il y a eu beaucoup de tomes rédigés par d’autres auteurs. Au point qu’il n’est même plus possible de faire une biographie de Conan car certains livres se contredisent.

    Sans aller jusque-là, on peut revenir plus tôt dans la Jeunesse de Thorgal, comme par exemple le début de son adolescence, ou les premières années de sa vie avec son père adoptif Leif.

    Pour Louve, Yann nous laisse une fin ouverte. Il peut encore se passer des choses avec Skald et sa mère Anina. Moi aussi j’aimerais bien savoir si Skald est ou non le fils aîné de Thorgal. Yann peut amener un élément aussi important dans l’univers de Thorgal, mais ça doit être discuté avec les Rosinski et l’éditeur Gauthier Van Meerbeeck.

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer

    Ah, c’est super d’avoir enregistré le catalogue. C’est un vrai petit bijou, et je me demandais comment sauvegarder son contenu ici à long terme. Là c’est parfait ! 

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