Toutes mes réponses sur les forums
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Ah, tu t’es inscrit ? Alors tu as participé à l’explosion du nombre de membres du groupe !
Avec cette semaine le record d’inscriptions depuis la création du groupe « Les Fans de Thorgal » en 2008.
Il faut dire que la proposition de cet héritier a bien contribué à dynamiser ce groupe qui vivotait…
Allez, je prends le temps de partager les photos de cette collection qui est effectivement splendide !
Festival "Des Planches et des Vaches" en avril 2022Après Angoulême en mars, on pourra retrouver Fred Vignaux au festival normand « Des Planches et des Vaches » d’Hérouville Saint-Clair du 2 au 3 avril 2022.
Fred y sera présent avec une quarantaine d’autres dessinateurs.
Source : Des Planches et des Vaches
Posté 1 mars 2022 à 23 h 12 en réponse à : Thorgal – 3 – Les trois vieillards du Pays d'Aran Lien | CiterRéédition avec de nouvelles couleursJackdrden a écrit ici
Il y a les 10 premières pages des 3 tomes recolorisés sur le site du Lombard dans les albums à paraitre. Je dois bien avouer que les tomes 1 et 2 me laissent indifférents, mais le tome 3, WAOUH! Je n’aimais pas les couleurs originales des « 3 vieillards du pays d’Aran ». De mon humble avis c’est juste magnifique, ça change tout, c’est un autre livre. Celui là (« Les 3 vieillards du pays d’Aran » ) je vais l’acheter, c’est sur et certain! Après je n’ai jamais vu la version noir et blanc, donc le « choc » sera peut être moindre pour ceux et celles qui connaissent la version noir et blanc.On peut découvrir les nouvelles mises en couleur ICI sur le site du Lombard.
J’ai feuilleté mon album en le comparant avec la nouvelle version en ligne. De mon côté, je trouve moins de changements de couleurs que dans les 2 premiers tomes de la série. Ici, plutôt que de toucher aux couleurs vives, ce sont principalement la foule et le décor qui sont modifiés. Le plus flagrant est la dernière double page ci-dessous où les couleurs de la nuit passent du marron au bleu !
Source images : Le Lombard
Posté 1 mars 2022 à 22 h 36 en réponse à : Thorgal – 1 – La magicienne trahie – Nouvelles couleurs ! Lien | CiterMerci pour l’info Jackdrden !
C’est un plaisir de relire ces histoires avec de nouvelles couleurs.
Pour les retrouver sur le site du Lombard, c’est ici : https://www.lelombard.com/bd/nouveautes
Jeu d'aventure coopératifLa société polonaise d’éditions de jeux de société Portal Games lancera en mai 2022 un appel à financement participatif sur le site Gamefound. Son but : sortir en 2023 le jeu de société coopératif « Thorgal – The board game » .
Je vous copie les infos disponibles sur le site de l’éditeur polonais en « traduction google » :
https://portalgames.pl/en/thorgal-the-board-game-a-new-cooperative-adventure-game/
« Portal Games est heureux d’annoncer « Thorgal: The Board Game », un nouveau jeu d’aventure coopératif se déroulant dans l’ univers de Thorgal.
« Thorgal: The Board Game » emmène les joueurs dans un monde fictif incorporant des éléments de la mythologie nordique, la légende de l’Atlantide, la science-fiction et l’horreur. Il raconte l’histoire héroïque d’un mystérieux guerrier doté de pouvoirs surnaturels venus du monde extérieur et qui, après avoir été élevé par les Vikings , s’efforce de trouver un endroit où sa famille puisse vivre en paix tout en repoussant les ennemis.
« Thorgal: The Board Game » avec la couverture de Frédéric Vignaux, l’illustrateur de la série de bandes dessinées, arrive sur le site de financement participatif Gamefound en mai 2022 et sera commercialisé en 2023.
« Thorgal: The Board Game » est un jeu d’aventure coopératif pour 1 à 4 joueurs âgés de 14 ans et plus conçu par Joanna Kijanka, Jan Maurycy et Rafał Szyma. Les joueurs incarnent Thorgal, sa femme Aaricia, leur fils Jolan et Kriss, une guerrière mortelle, et se lancent dans une série d’aventures.
Le jeu se compose de 10 scénarios autonomes, chacun prenant environ 90 à 120 minutes de jeu. Les scénarios ne forment pas une campagne et n’ont aucune fonctionnalité héritée, ils peuvent donc être joués par différents groupes de jeu et sur une période prolongée.
« Thorgal: The Board Game » est livré avec un livre de cartes. Chaque scénario est joué sur une carte différente que les joueurs explorent tout en remplissant les objectifs du scénario et promet des aventures complètement différentes, des opportunités cachées et des personnages vivants. Les joueurs sont libres de choisir s’ils voyagent en un seul groupe ou se séparent pour couvrir plusieurs zones en même temps. Ils effectuent également des quêtes secondaires qui pourraient les aider à gagner un scénario.
Une autre caractéristique importante du jeu est le livre d’histoires contenant des descriptions narratives des rencontres que les personnages font dans chaque scénario. Les aventures décrites dans le livre sont spécifiques à chaque scénario et personnage, mais beaucoup d’entre elles sont aléatoires dans un scénario, offrant une meilleure rejouabilité et permettant un jeu répété. La moralité des personnages et les décisions passées jouent toutes un rôle important dans la résolution des rencontres.
« Thorgal: The Board Game », tout en ayant un fort élément narratif, offre un mécanisme de sélection d’action préféré des fans. Semblable à de grands jeux comme Puerto Rico ou Race for the Galaxy, à chaque tour, un joueur actif choisit une action à effectuer par l’ensemble du groupe, un joueur actif exécute sa version complète et tous les joueurs passifs exécutent sa version la plus faible, quel que soit leur emplacement sur la carte. Cela crée un espace de décision intéressant et rend chaque tour important pour tout le monde autour de la table.
Un autre mécanisme important concerne le développement du personnage. Les capacités sont améliorées pendant le jeu et affectées négativement par les blessures subies au combat. Les personnages rassemblent des ressources et fabriquent des objets pour les aider à survivre dans le monde dangereux et à gagner des compagnons qu’ils rencontrent en chemin.
Fondé en 1999 en tant qu’éditeur de RPG de table, Portal Games a commencé à produire des jeux de société de haute qualité en 2007 et est rapidement devenu l’un des principaux éditeurs de jeux de table au monde avec des titres primés comme Detective, Empires of the North, Imperial Settlers, Robinson Crusoe et Stronghold dans leur catalogue estimé. Au cours de la dernière décennie, notre équipe de conception de jeux dirigée par Ignacy Trzewiczek a remporté plus de 100 prix et nominations de l’industrie, notamment Kenner Spiel des Jahres, Golden Geek, International Gamers Award, The Dice Tower Award et plusieurs prix du jeu de l’année à travers le monde.«
Sources : Portal Games & Gamefound
Tome 10 – SydöniaDeux mois sans nouvelles du tome 10 de la Jeunesse
Il est temps de remédier à ça
Roman a bien avancé dans les dessins du nouvel album…
La publication du tome 10 est prévue en 56 pages pour le 24 juin sous le titre « Sydönia« . En voici le résumé :
« Le roi Harald la Dent Bleue est peut-être mort, mais son esprit demeure… de la plus littérale des façons ! La Flygja, un esprit lié à sa lignée, a rejoint la princesse Sydönia. Chez cette âme bien née, la cruauté n’a point attendu le nombre des années. Et la jeune possédée a juré d’envoyer les meurtriers de son père le rejoindre au pays des ombres. Au premier rang desquels Thorgal, désormais lié par le serment du sang à cette guerre qu’il ne désire ni ne cautionne. Mais la rage enfantine de Sydönia ne fait aucune distinction…«
Source image : Insta de Roman Surzhenko & source texte : Amazon
Chouettes ex-libris et belle dédicace ! Thorgal y assiste à une pluie d’étoiles filantes ?
Ce sera un match nul cette année, avec le Thorgal 40 par Fred Vignaux et la Jeunesse 10 par Roman Surzhenko.
Béatrice Tillier prend son temps pour son cycle des Sorcières, mais son espace de travail est à l’image de son style… incroyable !
Elle travaille sur la couverture d’un tirage N&B de sa série. Merci pour les images Lokocha.
Buck DannyComment ça, hyper vieux, Buck Danny ??
La BD de mon enfance !!
Après vérification, la série a quand même commencé 20 ans avant Blueberry, tu as raison, elle date un peu…
Bon c’est vrai, c’est de la BD assez lourde, d’une autre époque, je ne pense pas que j’arriverais à en relire un album…
Mais qu’est-ce qui a pris à Yann de se lancer dans la jeunesse de ce personnage ?
J’ai cherché à comprendre ses motivations et j’ai trouvé cet article que je vous copie ci-dessous.
Buck Danny, 73 ans, revient dans le Pacifique avec une déclinaison de la série culte qui se penche sur ses (très) jeunes années. Une entame séduisante signée Yann au scénario, et De Luca au dessin.
Depuis plus de 70 ans, il sillonne les airs à bord d’engins volants plus ou moins sophistiqués, selon les périodes de l’Histoire et la nature des conflits armés qui l’ont vu servir, toujours loyalement, l’US Air Force.
Mais après 40 premiers albums imaginés par ses créateurs, Victor Hubinon et Jean-Michel Charlier, Buck Danny s’était un peu égaré, ensuite, dans des guerres où la technologie avait peu à peu remplacé l’instinct – et le sien était fameux – et des albums certes maîtrisés sur le plan technique, mais souvent complexes et où manquait ce sel propre à la grande aventure qui avait fait sa marque de fabrique.
Avec Buck Danny – Origines, une collection lancée fin janvier par Dupuis, l’ami Buck s’offre, sur un dessin parfaitement posé entre hommage et modernité de l’Italien Giuseppe De Luca, une cure de jouvence, et replonge dans ses jeunes années, notamment celles qui l’ont vu combattre l’armée japonaise lors de la Guerre du Pacifique, au début des années 40. Voire un peu plus tôt encore, alors qu’il n’était qu’un jeune gamin qui rêvait, déjà, d’engager le combat, tel l’as de la voltige qu’il allait devenir ensuite, et malgré un père revêche qui le destinait à une carrière d’ingénieur, et rien d’autre.
« Comme quand je reprends Thorgal, ce qui m’intéresse, c’est la jeunesse du personnage. L’enfance, plus précisément, un âge où tout est encore possible, où l’existence n’est pas encore verrouillée par l’argent, les enfants ou les responsabilités « , explique Yann, à qui l’on doit le scénario de ce qui est annoncé comme un diptyque. Et qui a pris plaisir à, dit-il, « boucher les trous » dans l’existence d’un héros cher à son cœur. Et pour cause.
« Lisse, Buck Danny? Pas pour moi, sourit le sexagénaire (67 ans), assis dans le café bruxellois où il a ses habitudes. Et le tome 2 va expliquer pourquoi il est devenu aussi impassible, en apparence du moins. Non, pour moi, Buck Danny, c’est un personnage spécial, l’incarnation du boy-scout, un gars qui place la parole donnée, la patrie et le devoir au-dessus de tout. Et je sais de quoi je parle parce que j’ai eu… un père comme ça: l’honneur, c’était le plus important à ses yeux. Alors, oui, retrouver ces caractéristiques chez Buck Danny me le rend, forcément, plus sympathique puisqu’il me fait penser à mon père.«
Il n’est pas le seul à lui rappeler des souvenirs: Sonny Tucson, amuseur public de la série et grand ami de Buck Danny à qui un diptyque sera également consacré au sein de la même collection (voir ci-dessous), lui fait penser… à son propre frère, « qui avait lui aussi beaucoup d’énergie, ce qui en faisait souvent un bouc émissaire parfait quand nous étions à l’école« .
« Et puis, reprend Yann, Buck Danny était une des rares séries que mon père me donnait le droit de lire quand j’étais gamin. Parce qu’il trouvait ça bien documenté. Il y avait ça et Tintin parce qu’il était capitaine sur un navire marchand et était tombé, une fois, sur Coke en stock, qui l’avait bluffé par la précision avec laquelle Hergé avait su représenter ce monde qu’il connaissait si bien. »
Bref, cette déclinaison, où l’on retrouve une sonorité proche de la série originelle, faite d’expressions d’un autre temps telles que « gosh« , « damn« , « gee » ou « bloody hell!« , est une affaire familiale. Et ça vaut aussi pour Buck Danny, dont on explore aussi, outre son père, les relations qu’il entretenait avec sa mère et son jeune frère, celui qu’il surnommait volontiers « Microbe »… et au sujet duquel on devrait en savoir davantage dans un deuxième volet déjà très attendu.
Yann a par contre dû jouer du frein sur les expressions dévolues à l’ennemi japonais, au cœur de cette nouvelle aventure: « J’ai pu placer un ‘‘brouteurs de riz’’, mais dû laisser tomber le célèbre ‘‘face de citron’’ de Jean-Michel Charlier. C’est typique de la série, certes, mais au XXIe siècle, ça ne passe plus, et c’est bien normal « .
Alors que Buck Danny fait équipe, dans ce premier « jet », avec un certain… Flash Gordon, en fait un authentique as de l’air prénommé Donald mais surnommé ainsi en référence au super-héros américain, ses fidèles acolytes, Sonny Tucson et Jerry Tumber, auront également droit à un diptyque au sein de la collection Buck Danny – Origines, sur des scénarios respectifs de Frédéric Zumbiehl et, une fois encore, Yann.
Le scénariste français, mais installé à Bruxelles, sera également aux manettes d’une autre déclinaison en deux volets consacré, lui, à Lady X, ennemie jurée de Buck Danny… et qui apparaît déjà, à la dérobée, dans deux cases du Pilote à l’aile brisée. On vous laisse chercher.
Source : Journal L’Avenir
Le dessinateur masquéFred dédicaçait hier son nouvel album Neokóra à la librairie Ça va buller à Strasbourg.
Posté 20 février 2022 à 21 h 03 en réponse à : Thorgal – 1 – La magicienne trahie – Nouvelles couleurs ! Lien | CiterAvant – AprèsDeux autres planches remises en couleur par Gaétan Georges sont également partagées.
Curieusement, je trouve que la nouvelle version donne un style de BD plus réaliste et plus adulte.
Et j’adore le coucher de soleil sur la neige dans la seconde planche !
Source : Twitter de Paul Giner de Casemate
Fabrizio RussoSur le groupe FB de fans polonais Świat Thorgala – Thorgal’s World, on découvre la planche d’un projet avorté de one-shot Thorgal dessiné par l’italien Fabrizio Russo.
Analyse de l'album sur UMACVoilà une analyse fort détaillée, Penny !
Je t’ai lu l’album en main, ce qui m’a permis de m’y replonger pour la première fois depuis sa lecture. Comme toi, je trouve qu’il y a de bonnes choses, et d’autres beaucoup moins bonnes. Et je suis d’accord avec toutes tes remarques.
Je vous partage une analyse également bien argumentée publiée sur le site UMAC, Comics & Pop Culture. L’article complet est en plus agrémenté d’extraits de la BD, et d’une synthèse avec ses points positifs et négatifs.
« Malgré le schéma habituel (comme le lui avait rappelé Kriss naguère, si Thorgal rechigne à partir à l’aventure, il ne tarde jamais à retrouver le goût du risque qui a fait de lui un pirate sans merci), l’impression d’ensemble est étrange : cela va vite, trop vite peut-être, au point qu’on se demande pourquoi essayer de caser autant d’éléments dans si peu de pages.
Une fois sur place, nos héros vont suivre bon an mal an une structure narrative connue avec quelques ressorts usés, mais cela fonctionne à peu près, la magie de la découverte et l’élégance de la narration en moins. Certaines situations sont téléphonées, d’autres amenées sans subtilité, cela manque de liant et de justesse de ton, mais on suit ça sans déplaisir, sans passion non plus.
Il faut dire que Thorgal, encombré par un Jolan surpuissant mais incapable d’user de ses pouvoirs quand il le faut (bien pratique), bridé psychologiquement par un nombre incalculable de mauvais choix effectués par le passé pour la sauvegarde de sa famille, n’est plus le héros qu’on adulait une fois privé de sa liberté de jugement et de mouvements.
Depuis la Forteresse invisible et la parenthèse Shaïgan, on le sent engoncé dans ses responsabilités et ses principes moraux, constamment en porte-à-faux et chaque péripétie suivante n’a fait que confirmer que le capital sympathie qu’il générait allait en s’amenuisant.
Sans doute aurait-il mieux valu qu’il tourne définitivement la page, d’autant qu’on avait lancé Jolan (le fils doté de pouvoirs télékinésiques hérités des ancêtres Atlantes), Louve (sa fille, capable de parler aux animaux) et même Kriss sur des aventures en solo qui auraient pu représenter l’avenir de la franchise.
Mais non, il semblerait que la trame principale de la saga devienne le creuset de ces spin-off et que chaque récit converge vers elle, un peu comme dans le Marvel Cinematic Universe, où les films Avengers bénéficient des développements créés dans les autres.
Peut-être aussi que ni Louve ni Jolan n’ont pu capitaliser sur leur aura héroïque, largement inférieure au Thorgal des Archers ou de toutes ses aventures au cœur du Deuxième Monde (on regrette la séduisante Gardienne des clefs). La saga semble se déliter irrésistiblement depuis la Couronne d’Ogotaï et Thorgal perd chaque fois un petit peu de son charisme, un petit peu de sa grandeur et de sa noblesse d’esprit, devenant un héros poussif qui passe son temps à maugréer sur son destin.
Néanmoins, ses qualités physiques font de lui un aventurier redoutable qui, s’il refuse d’ôter la vie à la légère, n’en demeure pas moins un combattant farouche, un limier affûté et un archer incomparable.
Quant aux dessins, ils sont agréables, avec un encrage très similaire à ce qu’on connaissait, quoique moins porté sur les rouges sombres. Toutefois les visages apparaissent plus durs, plus fermés, moins esthétiquement expressifs que ceux de Rosinski : les gros plans laissent transparaître des profils plus massifs, des traits moins fins qu’auparavant (c’est particulièrement notable sur ceux de Jolan et Kriss).
La gestion de l’action apparaît parfois plus brouillonne, mais on peut considérer que le flambeau est bien passé et on n’y perd pas vraiment au change, d’autant qu’on retrouve quelques pages presque muettes où les cases s’épanchent et les décors prennent le pas sur les dialogues.
Un épisode qui s’achève sur un happening annonçant sans doute quelques profonds changements dans l’avenir qui mettront en péril le fragile équilibre que Thorgal tentait, envers et contre tous (hommes et dieux, surtout les dieux, ces sacripants tout-puissants), de préserver. »
Source : UMAC, Comics & Pop Culture
- Ce sujet a été modifié le il y a 3 ans et 4 mois par Tjahzi.
On y distingue même la tignasse de BoJo !
Rock & Stone – L'intégralePublication cette semaine de l’intégrale de Rock & Stone. Les 2 tomes qui le composent ont été publiés en 2014 et 2016 chez Delcourt, avec Gaétan aux couleurs.
Sources : FB de Gaétan & Editions Delcourt
Magnifique !
C’est du haut de gamme, surtout pour la couverture ! Une bien belle manière de découvrir le travail de Fred Vignaux en noir et blanc, et de s’approprier sa couverture alternative.
Ralph Meyer entame le storyboard du tome 7 d’Undertaker… il ne fait jamais les choses à moitié !
Avec toujours Dorison, Meyer et Delabie au générique.
Je ne vous avais pas encore partagé la couverture du tome 6, Salvaje, sorti en 2021.
Un artbook Undertaker est aussi en préparation pour la fin de cette année.
Il y a
du pain sur la planchede la planche sur la table !Sources images : Facebook de Ralph Meyer & Twitter d’Yves Schlirf
Salut Jérémie, bien content que tu aies retrouvé lé chemin de Midgard et de ce forum !
Bon retour parmi nous !
Posté 12 février 2022 à 10 h 43 en réponse à : Thorgal – 1 – La magicienne trahie – Nouvelles couleurs ! Lien | CiterOh, cette couverture s’est bien allégée…
Il était temps, au vu des 63 albums qui y figurent ! Le hors-série « Aux origines des Mondes » n’est plus repris, c’est normal, il n’est plus d’actualité.
J’aime moins la police de texte utilisée pour les titres des albums. Et l’ombre de Kriss ne plane plus derrière la famille de Thorgal. Pourtant, elle est encore bien présente dans le dernier tome !
L’arbre des Mondes ne figurait déjà plus dans « Neokóra », il y a été remplacé par un cahier graphique, auparavant spécificité des éditions spéciales pour la Fnac.
Au final, bonne évolution qui permettra bientôt d’ajouter des albums de nouveaux auteurs dans la partie des Mondes de Thorgal. Tiens, je me demande comment ils vont intituler cette partie-là : One-shots ? Thorgal vu par… ?
Posté 9 février 2022 à 16 h 38 en réponse à : Thorgal – 1 – La magicienne trahie – Nouvelles couleurs ! Lien | CiterLa réponse se trouve sur l’excellent site http://www.thorgal.com/auteurotheque
Rosinski a mis en couleur les 18 premiers tomes de Thorgal avant de passer le relais à Graza.
Pour Isis, voici la nouvelle mise en couleur sans comparaison.
Posté 6 février 2022 à 21 h 03 en réponse à : Thorgal – 1 – La magicienne trahie – Nouvelles couleurs ! Lien | CiterLe fureteur est de retour !
En lien avec ce qui a déjà été discuté dans le sujet consacré au tome 2, le chroniqueur de Casemate précise que la nouvelle mise en couleur concerne les 3 premiers tomes de Thorgal. Elle est réalisée par Gaétan Georges, le coloriste des 3 derniers tomes dessinés par Fred Vignaux. La sortie des 3 tomes recolorisés est prévue pour le 15 avril au prix exceptionnel de 5 € chacun. Et une dernière info que certains ne vont pas apprécier : les couvertures des albums ne changent pas !
Même si comme tout passionné de Thorgal, j’aurais apprécié une version spéciale de ces albums avec une couverture alternative, je comprends le choix du Lombard qui est de mettre à jour ces 3 albums en remplaçant les anciennes versions avec leurs couleurs criardes. D’où l’offre de lancement à 5€ pour les lecteurs qui possèdent déjà ces albums.
Mais venons-en à ces couleurs criardes : je crois qu’elles vont me manquer ! Bon, des boucliers rouges et jaunes pour les Baalds et des cheveux rouges pour Slive, ça pique ! Mais moi j’aimais tout ce contraste sur cette planche dynamique au découpage très réussi. Rosinski osait des mises en page audacieuses à ses débuts, dommage que tout ça s’est assagi par la suite.
J’apprécie habituellement les couleurs pastel de Gaétan Georges, mais je ressens moins le dynamisme de cette page avec ces couleurs plus réalistes. Bon, ça m’aura quand même permis de voir apparaitre les motifs sur la tunique de Gandalf, une belle surprise. Mais du côté des combats, c’est trop doux, on ne voit même plus le sang gicler au passage de la lame de Thorgal !
Après les mangas, l'arrivée des manhwas coréensMon enfance n’a pas croisé le Club Dorothée et ses dessins animés japonais, je n’ai donc jamais accroché aux mangas par la suite. Mais je reconnais que leur production industrielle est une très belle réussite, tout comme les séries télé américaines qui tiennent le haut du pavé depuis des décennies. Et la déferlante des manhwas coréens est pour bientôt !
En complément des articles partagés par Stéphane, voici un autre entretien avec la directrice du Lombard, Christel Hoolans, dans le journal belge Le Soir.
« Christel Hoolans dirige les éditions du Lombard et Kana, le principal label manga du groupe Média-Participations, basé à Bruxelles. Kana a été créé à l’initiative d’un éditeur bruxellois au nez fin, Yves Schlirf, en 1996. C’est la maison d’innombrables best-sellers comme Naruto, Death Note, Detective Conan, Yu-Gi-Oh !, Monster, La Rose de Versailles ou Le Sommet des dieux.
L’an dernier, le chiffre d’affaires de Kana a progressé de 120 %, sans même prendre en compte le succès du roman graphique de Goldorak. Nous avons fait appel au « jutsu », la compétence de Christel Hoolans, pour tenter d’éclairer les raisons de ce « seiko ».
Comment expliquer le « seiko », l’immense succès, du manga enregistré ces deux dernières années sur le marché du livre franco-belge ?
Dès avril-mai, on a vu un frémissement dans les ventes. Le confinement, Netflix et les plateformes d’animes spécialisées ont provoqué un rush. Netflix investissait depuis cinq ans déjà dans la japanime. Ils avaient un catalogue énorme. Depuis 2014, la croissance des ventes des mangas était ininterrompue. En 2019, on avait déjà connu une année historique et, là, les mangas ont encore explosé les records. Pour moi, c’est clairement Netflix qui a permis cet avènement. Si l’on prend l’exemple de Naruto, le héros de manga le mieux classé au Top 10 des ventes, la ressortie de ses dessins animés sur Netflix a entraîné des demandes sur toutes les catégories de ses produits dérivés. Et des tas d’autres séries de mangas ont des tomes 1 dans le Top 100 des meilleures ventes de bandes dessinées. C’est le signe d’un recrutement massif de nouveaux lecteurs.
Le tsunami des mangas s’explique aussi par le fait que les anciennes séries fonctionnent aussi bien, voire mieux que celles du fonds ?
Naruto est une série terminée depuis 2016 et avec l’effet Netflix, la série retrouve un succès énorme. Trois tomes sont dans le Top 10. Globalement, les nouveautés représentent 27 % de ventes de mangas pour 73 % au fonds. Les ventes sur les anciens tomes ont augmenté de 100 % pendant la pandémie. Les élèves privés d’école se faisaient les séries comme Naruto sur Netflix, puis avaient l’envie de lire les mangas, d’autant qu’il y avait des épisodes différents de ceux que l’on peut voir en animation. L’un nourrissait l’autre comme dans un cercle de magie vertueuse. Par ailleurs, les consommateurs de mangas sont très communautaires : ils partagent leur passion, se prêtent les différents tomes… J’ajoute qu’en France, il y a eu un effet booster grâce au « Pass Culture », au point que la presse l’a renommé « Pass Manga ». Tous les jeunes de 18 ans avaient droit à plusieurs centaines d’euros pour acheter des livres, des places de cinéma ou de concert. Le Pass a été énormément utilisé pour acheter des livres et 60 % des livres achetés étaient des séries complètes de mangas !
La Belgique étant elle-même une terre de héros de BD, elle a longtemps résisté à l’engouement mondial pour le manga. Là, les francophones ont craqué mais pas encore les Flamands ?
La Belgique francophone vient de vivre un bond historique dans les ventes de mangas. Beaucoup d’acheteurs sont des jeunes issus de l’immigration. Les mangas les ont ramenés vers le livre car c’est de la lecture extrêmement addictive. Les séries paraissent avec une nouveauté tous les deux ou trois mois, et un nombre de tomes qui peut aller jusqu’à 100 volumes, voire davantage. Les gamins les enchaînent car on est aussi accro qu’aux séries télé américaines. Pour ce qui concerne la Flandre, aucune série n’est parvenue à être rentable depuis dix ans. C’est une exception mondiale ! Une explication tient au fait que les Flamands préfèrent lire majoritairement des créations flamandes. Une autre est de constater que ceux qui sont intéressés par les mangas préfèrent les lire en anglais plutôt que d’attendre leur traduction en néerlandais…
Le succès des mangas ne met-il pas en péril l’avenir des auteurs franco-belges ?
La bande dessinée traditionnelle souffre de la concurrence non seulement des mangas, mais aussi des séries télé, des jeux vidéo… Le rythme de publication de nos auteurs ne correspond plus toujours à la demande actuelle. Faire patienter le lecteur pendant un an pour un tome 2 est devenu plus difficile. Mais il reste de la place pour de vrais succès franco-belges, comme Mortelle Adèle, Les Légendaires… L’édition franco-belge est aussi en croissance. On voit des premiers tomes de nouvelles séries avec des tirages impressionnants comme Elle, vendu à 80.000 exemplaires, alors que sa jeune autrice était inconnue jusque-là, ou les 20.000 exemplaires des Omniscients, œuvre d’une dessinatrice dont c’est le premier livre également. Je pense que les mangas provoquent des impulsions salutaires dans l’édition franco-belge.
Pour mieux résister à la concurrence des mangas, ne faudrait-il pas changer notre façon de créer de la bande dessinée ?
Le problème, c’est que nous vivons dans un monde diamétralement opposé. En manga, on est dans un univers industriel, où l’on cible la création en fonction des goûts des lecteurs. On intègre directement les produits dérivés dans la réflexion. Je dirais que le manga est dans le divertissement, alors que la BD est dans le 9e Art. Chez nous, une BD n’est quasi jamais une commande d’éditeur mais un projet d’auteur. Et quand on dit à un auteur qu’il va devoir travailler avec quatre autres, que son nom ne sera pas en couverture, qu’il sera payé au mois et ne touchera pas de droits si c’est un succès… c’est difficile à entendre ! Dans le manga, avant même d’écrire la première ligne du scénario d’une nouvelle série, on élabore une bible graphique qui dit tout des personnages : leur généalogie, leurs mensurations, leurs amis, leurs goûts, ce qu’ils mangent… Les personnages sont testés dans des magazines, là où nous n’avons plus de véritable presse de bande dessinée pour lancer des séries innovantes… Plus de 70 % des héros de manga actuels sont nés dans des journaux, dont le célèbre Shōnen Jump, créé en 1968…
Après les mangas, faut-il s’attendre à une vague de manhwas coréens ?
Les manhwas coréens dépassent le succès des mangas sur le digital, où l’on assiste à un tsunami ! Il y a déjà des millions de lecteurs de ces webtoons coréens en français. C’est feuilletonnant, avec de la nouveauté en continu. Ils ont un Google coréen, Naver, qui met des tonnes de créations chaque mois sur le réseau. C’est un autre monde. Les Coréens sont à la conquête du marché mondial de la bande dessinée. Ils inondent le marché de créations gratuites et occupent le temps de cerveau des ados franco-belges pour qu’ils ne lisent plus que ça. Les auteurs de webtoons sont des employés de studio. Leur statut n’est pas du tout le même que celui de nos auteurs de bandes dessinées.
Vous avez un manga initiatique à recommander pour ceux qui n’en ont jamais lu ?
Lorsque nous vivions ensemble, de Kazuo Kamimura, un manga de niche, dans un style poétique un peu nouvelle vague, ou Sunny de Matsumato Taiyo, dont je suis une très grande fan. Il a un style proche du roman graphique. Il nous fait passer par toutes les cases de l’émotion : on pleure, on rit, on a des papillons dans le ventre. »
Source : Journal Le Soir
Ah, il m’aurait fait plaisir, ce nouvel album de Nottingham. Je l’ai feuilleté tout à l’heure en librairie, ça m’a l’air d’être une histoire bien construite et surtout bien dessinée. J’ai aussi regardé le dernier Duke d’Hermann. On y reconnait tout de suite l’ambiance qu’il crée dans ses albums crépusculaires. Mais bon, qu’est-ce qu’il a contre les femmes pour leur gâcher à ce point le portrait
Donc au final, on a le bandeau en bas qui change tous les mois, et le bandeau en haut qui change tous les jours. C’est parfait, j’adore redécouvrir toutes ces images !
Jean-Claude MézièresValérian et Laureline pleurent Jean-Claude Mézières
Compagnon de route de Jean Giraud / Moebius, il était l’un des initiateurs de la bande dessinée de science-fiction en France avec la série « Valérian et Laureline » qu’il dessinait sur le scénario de son ami de jeunesse Pierre Christin. Mézières était l’un des dessinateurs français les plus solides et les plus influents de sa génération, tant en France qu’à l’international. Il vient de décéder, aujourd’hui le 23 janvier à l’âge de 83 ans.
Ce qui caractérise Mézières avant tout, c’était son sourire, sa gentillesse, sa modestie, lui qui a été le compagnon de route des plus grands. Son dessin est pourtant aussi puissant que celui d’Uderzo et aussi inspiré que celui de Moebius. Mais il n’a jamais dévié de sa voie de dessinateur classique. Il avait pourtant une aura internationale : George Lucas l’a regardé de près pour faire ses Star Wars, il a travaillé sur Le Cinquième Élément de Luc Besson qui adaptera plus tard son Valérian.
[…] Suite de l’article à lire sur ActuadBD
Bravo Gerboise, Odin te veut du bien !
La Sagesse des mythes 2021Fred continue à réaliser les couvertures de « La Sagesse des mythes », ce qui donne une très belle homogénéité à la collection. Ses illustrations sont magnifiques, je trouve par contre le style des BD beaucoup trop classique. Si Glénat reprend un jour les couvertures dans un album, je suis partant !
Voici les albums illustrés par Fred en 2021 :
Source images : La Sagesse des mythes chez Glénat
La jeunesse de DurangoRoman Surzhenko nous annonce ici sur sa page instagram qu’il entame le deuxième tome de la Jeunesse de Durango.
Notre dessinateur se spécialise dans la jeunesse des héros !
Après plus de 10 ans consacrés à Thorgal, je suis très content qu’on lui ait proposé la création de cette série où il peut développer un tout nouvel univers.
Bizarrement, je n’ai aucun tome de Durango dans ma bibliothèque. J’imagine que la série ne m’a pas attiré quand elle a démarré dans les années ’80. Pourtant, j’aimais bien l’ambiance des westerns de Sergio Leone et Ennio Morricone. Le film « Le Bon, la Brute et le Truand » est pour moi un chef d’œuvre dans le domaine. Je lis sur Wikipédia que Durango est inspiré du personnage joué par Jean-Louis Trintignant dans le western spaghetti « Le Grand Silence », un film sorti en 1968.
Roman a trouvé tout de suite ses marques en lançant la Jeunesse de Durango écrite par Yves Swolfs. Celui-ci reste toujours scénariste de la série principale dont il a cédé le dessin à Thierry Girod puis Iko. Il dessine à présent sa nouvelle BD western, Lonesome.
Voici quelques extraits de planches de la Jeunesse parmi les très nombreux dessins partagés par Roman sur Instagram. Aucune planche n’est mise en couleurs, annonçant peut-être un autre coloriste que lui sur Durango.
Source images : Instagram de Roman Surzhenko
Ah, je me le suis fait offrir en fin d’année, cet album. Une belle manière de clôturer la série Jonathan que j’ai suivie depuis ses débuts. Je crois que je vais relire tous les tomes pour encore mieux profiter de ce tome final en seconde lecture.
Les paysages de Cosey se prêteraient tellement bien à ces nouveaux bandeaux que Stéph nous a mis à côté de notre profil…
Salut Hicks
Je ne pense pas qu’il y ait d’intégrale Thorgal en vue. Moi à ta place, j’achèterais les tomes individuels d’occasion, surtout pour le plaisir d’admirer les couvertures dessinées par Rosinski.
Je viens d’acheter plusieurs suites de séries BD qui me manquaient sur eBay, et la série complète de Djinn sur Vinted. Le tout était en très bon état, quasi neuf, en tout cas en bien meilleur état que toutes mes BD personnelles, lues et relues pendant tant d’années. Tout ça pour des prix fort intéressants car les frais de port des colis sont raisonnables, notamment via Mondial Relay.
J’ai vu plusieurs ventes de la série Thorgal sur Le Bon Coin, à regarder de plus près pour voir si ça correspond à tes critères de recherche…
PS : Il ne faut pas abuser avec le webmestre, ça peut lui provoquer des gonflements difficilement gérables par la suite !
- Ce sujet a été modifié le il y a 3 ans et 5 mois par Tjahzi.
83 ans !Bon anniversaire Jean Van Hamme !
Vos histoires sont éternelles, merci pour tout
Belle initiative, cette « Bricole du jour » ! Je ne suis jamais rassasié des paysages dessinés par Grzegorz…
Je vois juste un petit souci de mise en page quand on clique sur le profil d’un membre :
Félicitations Marilou
Restent deux chances pour nous avec les dons de Frigg et d’Odin à la clef !
Bonjour Weyb, la proposition du webmestre est toute différente et plutôt positive : en plus du sujet qui existe dans ce forum, ce serait de créer une page sur le site proprement dit. A l’exemple du sujet du forum consacré à la famille de Thorgal et qui a débouché sur une page spécifique ici : http://www.thorgal.com/famille-aegirsson/
Et je trouve l’idée excellente !
- Ce sujet a été modifié le il y a 3 ans et 5 mois par Tjahzi.
Hé, pas mal comme projection, je signe tout de suite pour ce programme alléchant !
Imagine… on verrait apparaître, entre 2021 et 2026, 6 nouveaux tomes de la Complainte !
Ce serait un rythme complètement fou
Ah que j’aime tes aventures thorgaliennes, dignes des meilleurs scénaristes du Lombard !
Il y a quand même un truc que je ne comprends pas dans ton Escape Game consacré à Thorgal…
Thorgal-BD a écrit : J’ai ressorti mes projets thorgaliens. Un jeu de société commencé en 2013, un livre dont vous êtes le héros ébauché en 2014, des bouts de scénarios.
C’est lequel de tes projets qui a débouché au final sur un Escape Game
Le point sur les cyclesStéph, j’ai pensé à toi en découvrant ce feuillet présentant les cycles de la Complainte. Voilà de quoi faire le point sur les albums qu’il te reste à lire. Et devinez où j’ai trouvé ce feuillet publicitaire ? Dans mon dernier tome de Thorgal, pardi !
Je recommande vraiment le nouveau cycle des Sudenne dessiné par Paul Teng. J’avais un peu peur de son style trop fouillé et manquant d’intensité, mais là, son dessin s’est encore amélioré dans cette reprise. J’ai beaucoup apprécié la qualité de son trait, digne prolongement du travail de Grzegorz Rosinski dans le cycle de Sioban.
Et puis Jean Dufaux, toujours fervent successeur de lui-même depuis plus de 20 ans dans cette série, ouvre de nouvelles pistes qui vont donner du fil à retordre à la belle Sioban. Je suis impatient de lire le tome 2 de ce cycle. Lokocha, tu penses qu’il arrivera déjà en 2022 (sachant que le tome 3 de Béatrice est déjà annoncé pour cette année) ?
Bienvenue dans le monde de Thorgal, Weyb !
Ce forum n’est pas mort, il est éternel comme Thorgal !
Mais comme lui, il a des hauts et des bas, le tout dépendant des membres, mais surtout des auteurs qui font vivre Thorgal.
Comme tu le soulignes, les incohérences chronologiques récentes ont dû décourager quelque peu les passionné-e-s du sujet. Mais je suis sûr que tout le monde appréciera ta proposition de mise à jour de cette chronologie.
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