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Posté 15 janvier 2019 à 22 h 38 en réponse à : Thorgal – 3 – Les trois vieillards du Pays d'Aran Lien | Citer
Merci pour ton analyse, Ray.
Coïncidence ou influence, l’époque était plus audacieuse qu’aujourd’hui dans les découpages des planches, dans les scénarios qui nous emmenaient vers de nouveaux horizons, à chaque fois surprenants. Quelle créativité !
Fred, te voilà déjà touché par la malédiction du jeu d’Eleusis !
Ton premier message disparait, et le second apparait, mais différent ! Bon, je tiendrai quand même compte des 4 personnages pour te répondre.
Thorgal
Jolan
Varth
La gardienne des clés
Alors, quelle est cette règle secrète qui relie ces 3 premiers personnages ? A vous de me proposer 3 autres personnages pour en savoir plus…
Entretien sur ScenearioSceneario diffuse un entretien avec Fred Vignaux qui remonte au début de l’année dernière, peut-être lors du festival d’Angoulême ? En tout cas, le bruit environnant est pénible, les questions difficilement compréhensibles, mais heureusement Fred passe bien, en mots et en images.
Donc des infos pas toutes fraîches, car on se situe après la sortie de « La montagne du temps », le premier tome de Kriss dessiné par Fred. A ce moment-là, on ne sait pas encore qu’il reprendra la série principale de Thorgal ! Mais cela reste agréable de suivre cette discussion avec celui qui tient entre ses mains l’avenir de Thorgal.
Glénat : 50 ans d'éditionPour ceux qui ne connaissent pas Jacques Glénat, BDGest propose une interview de l’éditeur qui fête les 50 ans de sa première publication… au départ, un simple fanzine nommé « Schtroumpf » ! Cet entretien nous fait découvrir un homme passionné depuis toujours par son métier. Une rencontre vraiment agréable !
https://www.bdgest.com/news-1326-BD-Glenat-50-ans-d-edition.html
<i>Dans le milieu bédéphile, le nom de Jacques Glénat est très souvent associé au mot « passion ». C’est sans doute l’une des raisons qui explique l’aventure de cinquante ans vécue à la tête de la maison d’édition grenobloise dont il est le créateur. Dans ses locaux parisiens, lors d’un d’entretien à la fois riche et passionnant, il est revenu sur les moments-clés, les succès… et le reste. Entrepreneur attaché à son indépendance, il évoque également un prochain grand projet et la préparation du passage de témoin.</i>
Au niveau des Archers ?
C’est pas un frémissement ça, c’est une explosion
Van Hamme répétait souvent que les meilleurs scénarios arrivaient quand le cadre était restrictif. Un cadre trop ouvert (liberté totale de créer) ne poussait pas vers le haut le scénariste.
Une info intéressante que Fred Vignaux nous a partagée dans une interview est que Yann lui a proposé un scénario à choix multiples. Comme dans les histoires dont vous êtes le héros, Yann a laissé à plusieurs reprises Fred choisir entre l’histoire de base, et une variante. Fred expliquait qu’il a choisi pratiquement à chaque fois la variante, ce qui pourrait peut-être nous surprendre dans le prochain tome de Thorgal…
Posté 14 janvier 2019 à 23 h 46 en réponse à : Pas de grande histoire sans un(e) méchant(e) à la hauteur ! Lien | CiterAh mais c’est clair pour moi aussi, Kriss n’était la meilleure des méchantes que parce qu’elle pourrissait la vie de Thorgal. Je n’étais pas du tout fan d’une série rien qu’à elle, où elle s’est affadie loin de Thorgal. Seulement voilà, maintenant que Yann a tous les personnages sous la main, j’ai bien peur qu’elle ne réapparaisse déjà dans le prochain tome…
Posté 14 janvier 2019 à 21 h 48 en réponse à : Pas de grande histoire sans un(e) méchant(e) à la hauteur ! Lien | CiterTous les guerriers morts au combat sont pris en charge par les Walkyries. Dans son jugement, la déesse Freyja doit décider si Kriss est digne de rejoindre le Walhalla. Sinon elle sera condamnée à errer éternellement dans les brumes glaciales du Niflheim.
En croisant la route de Thorgal, elle s’est à son tour fait remarquer des dieux en lui pourrissant la vie. Voilà pourquoi Kriss passe en jugement devant Freyja.
Effectivement, il ne s’agit plus d’une rumeur quand c’est le témoin direct, c’est-à-dire ton libraire, qui en a parlé lui-même avec l’éditeur. Merci pour l’info Ablaay, c’est déjà un point positif pour la suite…
Dessinés par Jigounov, projet de couverture et demi-planche en couleur de XIII dévoilés sur le compte Twitter du directeur éditorial de Dargaud.
J’aimerais beaucoup, mais rien n’est moins sûr… croisons les doigts !
Nouvelle règle du jeuJeu d’Eleusis
Le but du jeu est de découvrir la règle secrète qui relie différents personnages des albums de Thorgal.
Un meneur de jeu invente une règle que les autres joueurs doivent retrouver.
Pour cela, ils peuvent proposer jusqu’à 3 personnages à la fois.
Pour chaque personnage, le meneur dit s’il est accepté
ou refusé
en suivant la règle.
Lorsqu’un joueur pense avoir découvert la règle secrète, il l’énonce. S’il échoue, le jeu continue.
S’il réussit, il invente à son tour une nouvelle règle secrète qu’il propose aux autres joueurs.
Dans le jeu de base, le joueur qui invente la règle est appelé « dieu ». Si un joueur pense avoir trouvé la règle, il devient le « prophète ». Le prophète remplace le dieu en disant à sa place si les 10 personnages suivants sont ou non acceptés. Le dieu doit contrôler le prophète. S’il se trompe, le prophète est écarté de la manche en cours. S’il réussit, il devient dieu à son tour. Je propose de mettre de côté cet aspect pour rendre le jeu plus simple et rapide.
Règles déjà découvertes
- Les personnages sont barbus.
- Les personnages ont foulé de leurs pieds au moins une fois dans leur vie le village des Vikings du Nord dans le Northland.
- Les personnages ont montré qu’ils savaient tirer à l’arc.
- Les personnages ont tué un Viking.
- Les personnages n’ont pas les cheveux noirs.
- Les personnages sont Européens, nés en Europe de parents vivant en Europe.
- Les personnages ont du sang atlante dans les veines.
- Les personnages ont été présents dans au moins 2 séries (mère ou dérivée).
- Les personnages ont échangé un baiser avec Thorgal.
- Les personnages sont plus jeunes que Thorgal.
- Les personnages ont été blessés sous nos yeux.
- Les personnages sont d’origine humaine.
- Les personnages ont des membres de leur famille dans les albums.
- Les personnages ont déjà discuté avec un personnage ne vivant pas sur Midgard.
- Les personnages ont évolué physiquement dans les albums.
- Les personnages ont retourné leur veste vis-à-vis de Thorgal et des siens.
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 10 mois par Tjahzi.
Salut Ray, je viens de lire sur Ligne Claire que la série Capricorne va connaître une édition intégrale en N&B. Le premier tome sort à la fin de ce mois au Lombard : http://www.lelombard.com/series-bd/capricorne-integrale,585/
Un objet aux pouvoirs inouïs âprement convoité par une bande de malfrats et une organisation gouvernementale sans scrupules, une mystérieuse source d’énergie qui libère un monstre assoiffé d’électricité, une riche héritière dotée de pouvoirs paranormaux et menacée de kidnapping, un sous-marin plongeant au point d’origine de lumières étranges qui émanent des abysses… Depuis qu’il est installé comme astrologue à New York, l’énigmatique Capricorne est continuellement confronté à des affaires insolites, des découvertes fantastiques et des ennemis implacables.
La série-phare d’Andreas rassemblée en 4 intégrales.
Critique de l'intégrale sur AmazonJe n’ai pas vu l’album, donc voici le retour – un peu désabusé – d’un lecteur sur Amazon.
« Le scénario, romanesque à souhait, plein de rebondissements et servi pas un dessin magnifique en couleurs directes, offre sur la forme une belle mise en abyme à cette histoire de peintre trahi, à la façon d’un comte de Monte-Cristo.
Mais qu’est-ce qui a pris à l’éditeur de vouloir l’allonger artificiellement en y ajoutant une dizaine de pages « hot » illustrant les relations de notre peintre avec ses modèles?
Passe encore l’intérêt très relatif du principe (délire perso du dessinateur), n’offrant aucun intérêt scénaristique et transformant un chef d’oeuvre quasi-tout public en oeuvre moins équilibrée et gratuitement racoleuse. Mais les pages ajoutées sont d’une laideur qui entache littéralement l’oeuvre.
Oubliez les planches peintes à l’huile sur feuille d’1 m. par 70 cm aux couleurs magnifiques, les ajouts sont de vulgaires crobards au feutre noir représentant sommairement fellations et autres postures sexuelles diverses… Des gribouillis sans grande valeur artistique qui seraient sans incidence si ils avaient été relégués dans un cahier de croquis préparatoire en fin d’album, sauf que l’éditeur a choisi de les insérer directement au sein de l’histoire entre deux planches finales…
Imaginez regarder Lawrence d’Arabie en 70 mm, 4k entrecoupé toutes les 20 minutes des sextapes des acteurs tournées en Vhs noir et blanc, ou contempler le Radeau de la Méduse au Louvre, complété à même le mur et au marker, de petits personnages à poil se sautant les uns les autres… Impensable? Par pour l’éditeur visiblement!
Alors ne vous y trompez pas, si l’album est sous blister ce n’est pas tant, pour préserver les yeux sensibles de scènes sulfureuses, que de masquer la réalité des apports. Aussi, privilégiez la version intégrale classique, au format plus grand, ce qui magnifie les planches (les vraies, les finales), ne casse pas inutilement votre lecture par des interludes de murs de toilettes publics et vous permet de prêter l’album à la famille sans vous faire vanner en retour ! »- Ce sujet a été modifié le il y a 6 ans et 4 mois par Tjahzi.
Intégrale complète de SkarbekAu moment de la sortie de l’album « Aniel » fin novembre, j’ai loupé la réédition de l’intégrale de Skarbek (parue le 28/11). Vous savez, cette intégrale à laquelle on a ajouté des croquis osés.
Je viens de lire cet article sur l’album dans le journal Le Soir : Les fantasmes révélés du comte Skarbek.
« En 2004, La Vengeance du comte Skarbek consacrait le talent de scénariste d’Yves Sente. Libéré de son carcan de repreneur des aventures de Blake et Mortimer, l’auteur bruxellois s’engouffrait sur les traces d’Alexandre Dumas pour signer un récit de cape, d’épée et de fantasmes graphiques. Kasia, l’épouse de Grzegorz Rosinski, lui avait soufflé le désir secret de son mari d’embrasser la création d’un roman graphique sensuel, à la manière des nus impressionnistes de Renoir, Manet ou Degas…
Yves Sente s’est mis au travail pour brosser le destin d’un peintre maudit, Louis Paulus, prêt à tout pour croquer la Vénus du monde. Faire l’amour pour peindre : voilà qui promettait de tirer Grzegorz Rosinski de la routine de Thorgal, son héros fétiche. L’artiste a renversé sa table à dessin et dressé un chevalet dans son atelier. Il a déchiré les contraintes stylistiques de la bande dessinée traditionnelle avec l’envie de jeter au panier les poncifs et les tabous hérités du journal Tintin.
Grzegorz Rosinski est reparti d’une feuille blanche. Pour rafraîchir sa palette graphique, il a réinventé sa technique. Les planches de La Vengeance du comte Skarbek ont été réalisées debout, sur des toiles d’un mètre de haut. Le dessinateur a taché son tablier. Il s’est investi de tout son corps, de toute son âme, dans cette aventure palpitante qui a transformé sa manière d’appréhender la bande dessinée. Il a dressé de Louis Paulus, le portrait extravagant d’un homme au visage délavé par la luxure, dans le Paris mondain du XIXe siècle.
Pourtant Grzegorz Rosinski n’a fait qu’effleurer le fantasme, comme le révélera plus tard Yves Sente. En dépit de la passion romanesque qui l’emportait, il n’a pas osé aller au bout des scènes érotiques racontées par le scénariste. L’édition « intégrale complète » inclut aujourd’hui la quinzaine de planches lascives esquissées dans le découpage original de La Vengeance du comte Skarbek mais jamais mises au net.
« Grzegorz avait commencé comme à son habitude par faire un crayonné rapide et déjà sublime de l’ensemble du récit, pages érotiques comprises, confie Yves Sente dans la préface de l’édition complète. Par la suite, Grzegorz décida de passer à la couleur directe et souhaitait plus d’espace pour lâcher ses coups. Je remodelai donc le récit initial de 80 pages, qui devint un deux fois soixante-deux planches… et Grzegorz m’annonça seulement à ce moment qu’il renonçait finalement à intégrer les planches dites érotiques. Il n’osait plus, le grand timide ! »
Si Yves Sente ne fut pas trop désappointé par la reculade son ami Grzegorz Rosinski, l’éditeur n’aura de cesse de relancer le dessinateur pendant quinze ans, jusqu’à ce qu’il accepte de publier les crayonnés originaux des planches licencieuses. Elles ont été finalement intercalées dans l’album aux endroits précis où Yves Sente les avait initialement prévues.
« La possibilité est enfin offerte au lecteur de découvrir ces planches qui donneront une idée très claire de ce qu’aurait pu être la version érotique de La Vengeance du Comte Skarberk », conclut le scénariste, avant d’ajouter, dans un clin d’œil malicieux, que la prochaine étape consistera à convaincre Grzegorz Rosinski de les achever. « Si après lecture, vous vous dites que vous aimeriez un jour voir ces planches finalisées avec les textes qui les accompagnent, il ne vous restera qu’à lancer une pétition en ligne… »
Le plus émoustillant dans cette « version érotique », c’est de voir soudain révélé tout le non-dit de l’histoire. On s’invite dans l’intimité des personnages en ouvrant tout grands les yeux sur leurs péchés de chair. »
Le retour de la vengeance du Comte Skarbek, c’est ICI aux éditions Dargaud.
Article sur ActuaBDGrzegorz Rosinski n’a jamais reçu le Grand Prix d’Angoulême. Certains disent qu’il n’est attribué qu’aux auteurs complets, c’est-à-dire à ceux qui sont à la fois scénaristes et dessinateurs de leurs BD. Mais cette règle n’en est pas vraiment une. Alors pour qui vont voter les auteurs cette année ?
ActuaBD propose 5 bonnes raisons pour attribuer le Grand Prix d’Angoulême 2019 à Grzegorz Rosinski :
- Il termine sa carrière cette année. Il vient d’arrêter Thorgal, sa grande série, reprise aujourd’hui par d’autres artistes qui ne lui arrivent pas à la cheville. Quand il publie pour la première fois en mars 1977, sur un scénario de Jean Van Hamme, le premier épisode de la série Thorgal, La Magicienne trahie, personne ne sait que l’année suivante, l’Église catholique se dotera d’un pape polonais, ni que le cadre dilettante de chez Philips qui s’essaie au scénario professionnellement depuis quelques mois avec le soutien financier de son épouse deviendra l’un des plus gros vendeurs de bande dessinée de la francophonie moins de dix ans plus tard. Si Rosinski doit beaucoup à Van Hamme, l’inverse est aussi vrai.
- Il s’est essayé au roman graphique en noir et blanc, a été de l’équipée d’(A Suivre), s’est essayé au roman épique, au western, à la couleur directe. On sait que sa carrière ne se limite pas à Thorgal, que sa production polonaise précédente est déjà abondante et de qualité, et que d’autres chefs d’œuvre sont venus s’ajouter à celui-ci, déjà titanesque : Le Grand Pouvoir du Chninkel (1988 ), prépublié dans (A Suivre), La Complainte des landes perdues avec Jean Dufaux (1992), le One-shot Western avec Jean Van Hamme (2001), La Vengeance du comte Skarbek avec Yves Sente (2004) où il passe à la couleur directe, une technique qui lui autorise un geste plus ample dans le dessin, de même que des matières, des modelés et des transparences inédites dans sa gamme colorée.
- Il est internationalement reconnu. Rosinski est traduit dans 20 langues : anglais, allemand, espagnol, portugais, italien, turc, coréen, polonais, néerlandais, danois, suédois, tchèque, serbe, croate, tamoul… Il a reçu de nombreux prix dont l’Alphart du public à Angoulême en 1989 et en 1996. Il a vendu 15 millions d’albums de Thorgal. Le développement d’une série télévisée en prise de vue réelle de la bande dessinée Thorgal est en cours, par le réalisateur Florian Henckel von Donnersmark (oscarisé pour La Vie des autres).
- C’est l’un de nos plus grands dessinateurs réalistes classiques. Thorgal est le représentant majeur de la Sword and Sorcery classique dans la bande dessinée franco-belge, qui allie l’ingéniosité narrative de l’un des plus grands raconteurs d’histoires de son époque avec la puissance graphique d’un dessinateur dont la formation académique va renouveler le dessin réaliste francophone en dehors de tout effet d’école alors que la consanguinité avec le trait d’Hergé et d’Edgar P. Jacobs était, dans les années 1980, en train d’enfoncer la BD franco-belge dans un insupportable maniérisme.
- Il est polonais. C’est un grand auteur classique qui n’est ni français, ni belge, ni japonais, ni américain mais qui a fait souffler de l’Est un vent nouveau et dont le style renvoie aux classiques canadien Hal Foster ou américain Alex Raymond. Après tout, les Catholiques ont élu un pape polonais. Pourquoi la bande dessinée n’aurait-elle pas elle aussi un ressortissant du pays de Sa Sainteté ?
Et puis, avec Rosinski, comme avec son ami Hermann, on aura un Grand Prix qui n’a pas sa langue dans sa poche. Ça nous changera des mutiques américains et japonais de ces dernières années…
Article richement illustré sur ActuaBD :
https://www.actuabd.com/Cinq-raisons-pour-attribuer-le-Grand-Prix-d-Angouleme-2019-a-Grzegorz-Rosinski
- Ce sujet a été modifié le il y a 6 ans et 4 mois par Tjahzi.
Finition patine bronzeStatue définitive de Samuel BoulesteixVu sur la page FB de Samuel Boulesteix :
Thorgal vient d’être validé définitivement.
Il ne me restait plus qu’à convaincre Rosinski avec la patine… défi relevé… il adore !A présent je vous donne rendez-vous au festival d’Angoulême du 24 au 27 janvier prochain pour le voir au sein de l’exposition organisée par la CCI (chambre de commerce et d’industrie), n’hésitez pas à me contacter pour recevoir l’affiche officielle de l’exposition.
Un film inédit sur le Work-in-progress de Thorgal y sera projeté, ainsi que bien d’autres surprises autour de ce personnage qui sera mis à l’honneur de multiples façons.
Posté 12 janvier 2019 à 16 h 53 en réponse à : Kriss de Valnor – Tirage de Tête – La Dague du Temps Lien | CiterSignaturesVu chez BD Empher :
Séance de signatures hier avec Frederic Vignaux sur les tirés à part et les certificats de Kriss de Valnor.
Ambiance studieuse comme vous pouvez le constater, et moments très agréables en sa compagnie.
C’était top, un grand merci pour ta disponibilité et ta réactivité Fred !!Ah, cette case magnifique, je l’ai en affiche grand format à la maison.
J’hésite comme toi à m’acheter la série complète recolorisée par Fred Jannin, mais j’ai déjà les planches de Gaston dans tant de versions… En attendant, je tourne autour, et je me suis offert pour les fêtes « En direct de la rédaction » et « Toutes les couvertures des recueils du Journal de Spirou par Franquin« . Chaque réapparition de Gaston me fait toujours le même effet.
Waouh ! Elle était originale, ta règle du jeu !
En fait, j’avais fait plus simple. Ma règle était : Les personnages sont plus jeunes que Thorgal.
- Ce sujet a été modifié le il y a 6 ans et 4 mois par Tjahzi.
Planches humoristiquesLaurent a écrit
Il faut préciser aussi que les histoires courtes de « L’enfant des étoiles » et « Aaricia » étaient des commandes du journal « Super Tintin » sur des thèmes imposés. C’est dans ce cadre là qu’on a eu les planches humoristiques » Le couple de l’année » (spécial superstars – 1985), « La clef du troisième monde » (spécial absurde -1984), ou » le jeu de la lune barbaresque » (spécial chevaliers -1984). Elles sont sur ce site, mais je ne me souviens plus où ! Il faut demander au Patron ou à Tjahzi s’ils s’en souviennent.Et le Patron refile la patate chaude à Tjahzi…
Après quelques recherches, j’ai retrouvé la trace de ces 3 histoires dans 3 parties différentes du forum. Une vraie caverne d’Ali Baba, ce site
Mais ma recherche reste incomplète. J’ai déjà vu « Le couple de l’année » en français, mais je ne sais plus où… reste la version polonaise :
– « Le couple de l’année » (spécial superstars – 1985) : http://www.thorgal.com/sujet/thorgal-superstar/
– « La clef du troisième monde » (spécial absurde -1984) : http://www.thorgal.com/sujet/thorgal-samuse/#post-189352
– « Le jeu de la lune barbaresque » (spécial chevaliers -1984) : http://www.thorgal.com/sujet/le-jeu-de-la-lune-barbaresque/
Posté 9 janvier 2019 à 21 h 54 en réponse à : Kriss de Valnor – 8 – Le maître de justice Lien | CiterUne petite fichounette ??
J’ai dévoré ton analyse d’une traite, on voit que l’album t’a terriblement inspiré !
Quand on le compare avec le tome 36 de Thorgal, c’est effectivement lui qui sort gagnant, et qui apparait comme le véritable album de clôture de l’arbre des Mondes.
D’une certaine façon, peut-être plus que « Aniel », cet album vient clore l’immense arc narratif ouvert par Jean Van Hamme dans « Le sacrifice ». La porte latine est fermée, la porte orientale l’est aussi, les troupes de Magnus, repoussées chez elles, l’équipe de Jolan, renvoyée à la maison. Paradoxalement, « Le maître de justice » est peut-être le véritable album de clôture de l’immense cycle des mages rouges.
C’est tout à fait ça ! Cet album qui contient des scènes magnifiques, surtout dans la partie consacrée à Kriss, intronise Fred Vignaux comme le repreneur officiel et de grande qualité de l’avenir de Thorgal. C’est pour moi le dernier coup de maître de Grzegorz Rosinski !
Pennybridge a écrit
En tout cas, ce point mis à part, le scénario est très prenant et bien écrit. Quelqu’un a un autre avis?Je l’ai lu, mais pas acheté. Notamment parce que le débordement d’hémoglobine m’a saturé. Et pourtant, l’aventure du Maître d’Armes est fameuse, teintée d’histoire, d’ésotérisme, de guerre de religion, et de fantastique, comme dans la grande majorité des œuvres de Xavier Dorison. J’apprécie ses scénarios, tout comme ceux de son complice Fabien Nury, dont les dialogues finement ciselés sont décoiffants. Mais chez les deux scénaristes, je ne supporte plus cet excès de violence, comme on en rencontre d’ailleurs dans beaucoup de séries actuelles. C’est aussi ce qui m’a fortement dérangé dans « Le Feu écarlate » de Thorgal.
Pour autant, Xavier Dorison reste un des meilleurs scénaristes actuels, même si il se consacre de plus en plus à l’enseignement, comme on peut le découvrir dans cette interview qu’il a accordée à Casemate.
Dans Casemate 120, Xavier Dorison et Joël Parnotte présentent Aristophania, conte de fées moderne plongeant à la fois dans le merveilleux et dans la violence crasse du début de l’ère industrielle française. Xavier Dorison explique notamment qu’il pense épuiser toutes ses envies de scénarios dans les quinze ans à venir. Et pourrait ensuite devenir professeur à plein temps, aidant des auteurs à monter leurs projets. Ce job de script doctor, il l’exerce déjà aujourd’hui, en particulier plusieurs fois dans l’année lors d’ateliers à la Nouvelle Revue française (NRF). Pour casemate.fr, il explique comment un scénariste de bande dessinée peut sortir de l’eau des romanciers en difficulté avec leurs propres histoires.
La suite est ici dans Casemate : https://casemate.fr/dorison-est-ce-grave-script-doctor/
Qu’est-ce que tu vas déterrer là Penny ?
Heureusement, j’avais pris note quelque part de la règle que j’avais choisie. Mais en attendant que je la retrouve, est-ce que tu te rappelles de ton côté de celle que tu avais trouvée ?
Posté 8 janvier 2019 à 9 h 36 en réponse à : Kriss de Valnor – 8 – Le maître de justice Lien | CiterMathieu M a écrit
Merci à tous pour vos avis et commentaires. Les belles étoiles sur votre Althing me font chaud au coeur en ce début d’hiver froid. Stéphane devrait bientôt vous proposer quelques bonus et extras autour de ce tome 8.Je viens de recopier dans l’Althing l’avis que j’avais posté ici sur « Le Maître de Justice ». L’album est fort apprécié par les lecteurs !
Tiens, ils sont où les bonus et les extras annoncés par Mathieu Mariolle ? Hmm ?
Posté 8 janvier 2019 à 8 h 58 en réponse à : Kriss de Valnor – Tirage de Tête – La Dague du Temps Lien | CiterMuff a écrit
A-t-on une idée du coût de ce tirage de tête, d’autant plus que la même maison d’édition propose le deuxième volume de « Complainte des landes perdues » dessiné par Béatrice Tillier ?Ah oui tiens, Frédéric Vignaux et Béatrice Tillier dédicaceront d’ailleurs tous les deux leur tirage de tête à Angoulême sur le stand de BD Empher. Pour avoir une idée du prix de vente de « La Dague du Temps », on peut le comparer avec « Inferno » (sur le site de BD Empher).
La Complainte des Landes Perdues TT2
150 exemplaires dont 67 en version Collector
Grand Format 31 x 43 cm
Couverture
– Dos toilé noir
– Dessin inédit de Béatrice Tillier
– Marquage à chaud Or sur C1, dos et C4
– Vernis softouch sur l’ensemble.
Cahiers intérieurs
– 16 pages de croquis couleur
– 56 pages N&B + textes
– 56 pages couleur sans texte.
Ex-Libris Couleur 1 illustration
Disponible début février 2019
Prix de vente public : 199 € + 14 € de frais de port
En Avant-Première sur le festival FIBD d’Angoulême fin janvier.
- Ce sujet a été modifié le il y a 6 ans et 4 mois par Tjahzi.
Posté 7 janvier 2019 à 21 h 45 en réponse à : Kriss de Valnor – Tirage de Tête – La Dague du Temps Lien | CiterPremières images de l'albumJeremiah par HermannIsis a écrit
J’ai enfin retrouvé le tome 1 de l’intégrale qui m’avait été offert en juin.Encore un coup de ton facteur ?
Moi c’est le tome 3 que j’ai reçu sous le sapin, je le déguste à petites doses…
Thorgal-BD a écrit
Et pourquoi que Thorgal a pas eu droit à un fourreau, mmh ?Ben parce que Thorgal est imprimé dans l’autre sens, pardi !
Niffle n’en finit plus avec ses albums plus tentants les uns que les autres dans la collection de La Grande Bibliothèque N&B. Voilà que sort dans un mois le 1er tome des aventures de Jeremiah par Hermann !
L’éditeur a aussi donné deux infos à propos de la suite de Thorgal en N&B. Le prochain tome sortira en avril. Et le dernier tome se terminera bien par l’album 29 en couleurs directes.
Source : Niffle sur FB
Et puis l’éditeur choisit également bien ses sources. Regardez le lien proposé sur son site !
Vœux d'Eric GiacomettiSalut Johann,
Le tome 22 devrait sortir fin d’année, comme c’est le cas habituellement pour Largo Winch. Philippe Francq a prévenu qu’il prendrait son temps pour le réaliser, donc je pense qu’il ne faut pas l’attendre plus tôt…
Le dessinateur n’est pas sur les réseaux sociaux, mais son scénariste oui. Alors pour patienter, voici ses vœux un peu particuliers pour 2019.
Source : https://www.facebook.com/eric.giacometti.auteur
Au diable la bonne année ! Voici 5 suggestions pour vous lancer dans un projet en 2019. Explications… Ce premier janvier, un lecteur, un peu ronchon sur les bords, m’a envoyé un message privé plutôt cocasse. Il exècre le rituel des bons vœux, « pénible et hypocrite », et m’incite à ne pas « m’égosiller sur la rengaine dégoulinante de la Bonne année ». Pour mieux me concentrer sur mes livres. J’ai trouvé son message assez gonflé et puis… Et puis je me suis dit qu’il serait plaisant de changer la donne en 2019. Car, entre nous, vous souhaiter « bonne année, bonne santé, de l’amour, de l’argent, du bonheur, etc. » ne va pas changer grand-chose à votre vie. Je doute que l’expression de ma sympathie vous offre une telle corne d’abondance… En revanche, je peux vous souhaiter la réussite dans vos projets en vous donnant 5 clés qui m’ont été précieuses dans ma vie d’écrivain et d’auteur BD. Non pas des recettes, il n’en existe pas, je serai toujours incapable d’expliquer le succès de nos livres avec Ravenne Jacques, ou d’un Largo Winch (je continue la saga), mais plutôt 5 pistes de réflexion pour voir les choses sous un autre angle…
Je ne sais pas si elles seront utiles, elles paraîtront peut-être primaires et vous pouvez les mettre à la poubelle. Mais dans mon cas je me félicite chaque jour de les avoir suivies. Elles ont marché à merveille.
- Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends. La célèbre maxime de Nelson Mandela. L’échec est constructif. Ce qui peut sembler saugrenu pour un esprit français porté à encenser ses réussites et à jeter un voile opaque sur ses gadins. Mais dans les pays anglo-saxons le « fail » est une étape importante, pas une fin. Pour ma part, j’ai écrit des livres qui furent des bides avant de trouver ma voie. Et pourtant j’aime mes premiers ouvrages, peu importe qu’ils n’aient pas trouvé le chemin du succès, ou qu’ils soient imparfaits, ils font partie de moi. Le seul fait d’être publié chez un éditeur est déjà un défi réussi, peu importe le nombre de ventes (sauf si vous voulez en faire votre métier et en vivre).
- Vous êtes Jekyll et Hyde ! Votre meilleur ami et votre plus grand ennemi. Ne portez pas sur autrui la responsabilité d’un échec. J’ai foiré l’un de mes livres car je ne l’avais pas assez… travaillé. Ce n’était ni la faute de l’éditeur ni de l’attachée de presse. En revanche, j’ai cru en moi pour repartir à l’attaque. Ayez confiance en vous ! Et le seul moyen de fortifier cette confiance c’est de travailler encore et toujours.
- Ecoutez les gens plus compétents que vous. Et oui, ils existent. Vous êtes peut-être un esprit supérieur, mais les cimetières sont remplis de génies anonymes et incompris. Ecoutez ceux qui maîtrisent leur art, avec malice, tel Guillaume de Baskerville dans Le nom de la Rose. Je dévore toujours les conseils d’écriture et de créativité d’autres auteurs plus talentueux et plus érudits que je ne le serai jamais. Ils sont comme des professeurs bienveillants, à la fois proches et lointains. Tel Stephen King avec son ouvrage Ecriture. Quand je rédige un scénario de Largo Winch j’interroge des spécialistes dans leur domaine économique. Ils sont plus calés que moi. J’apprends du dessinateur Philippe Francq qui excelle dans son art. Ou alors je joue la complémentarité, comme avec Jacques. Nous apportons à l’un ce qui fait défaut à l’autre. C’est la force de notre duo.
- Fuyez les Détraqueurs ! Ces personnages maléfiques d’Harry Potter qui détraquent tout par leur seule présence. Vous aurez toujours des Détraqueurs pour vous décourager et vous critiquer. J’en ai rencontré dans ma carrière (et dans ma vie tout court). Pour le Rituel de l’ombre, le premier Marcas, un spécialiste autoproclamé du polar qui avait lu le manuscrit nous avait conseillé de ne pas le publier, « un texte sans intérêt ». Personne n’allait l’acheter. Résultat, il a été vendu à plus de trois cent mille exemplaires, toutes éditions, et diffusé dans seize pays. Bref, ces spécimens toxiques abondent dans la vie de tous les jours. Hommes ou femmes, ils peuvent être méprisants ou faussement amicaux, séduisants ou horripilants, toujours plus doués pour la critique que sur l’encouragement. Cyniques ou blasés, voire dépressifs, ils aiment pinailler, même sur des détails qui peuvent paraître anodins, sans s’émerveiller ni s’enthousiasmer. Ils distillent un petit commentaire acide pour évacuer leurs aigreurs. On finit par les reconnaître, ils arborent soit un ego sur dimensionné soit une propension à se poser en victimes. Très souvent ils veulent nous faire payer, consciemment ou pas, leurs propres échecs, sentimentaux ou professionnels. Leur plaisir ? Vous dévaloriser. Courage… Fuyez !
- Ecoutez votre intuition. Elle chuchote à vos oreilles pour votre plus grand bien. Surtout dans les processus de créativité. C’est une voix merveilleuse.
Bonne année 2019, zut je l’ai quand même écrit.
Eric Giacometti
Fitir a écrit
la courtisane peinturlurée empoisonnéeCe personnage qui n’apparaît que dans quelques cases m’a fort marqué à l’époque. D’abord parce qu’elle n’apparaît que pour mourir dans les bras de Thorgal. Et ensuite parce qu’elle se rend compte qu’elle n’a rien vécu, en comparaison avec l’amour qui lie Thorgal à Aaricia… J’aurais aimé que la fin de Salouma, que nous avons connue bien plus longtemps, soit au moins aussi forte que la fin de cette courtisane apparue furtivement dans la vie de Thorgal.
Mais enfin ! Qui s’est permis de faire des jeux de mots dans Thorgal ?
Festival Les Imaginales à EpinalGrzegorz Rosinski sera l’invité d’honneur du festival « Les Imaginales« en mai à Epinal. Le visuel de l’affiche est un dessin bien connu (que Stéph va sûrement nous retrouver
) qui a été adapté pour l’occasion par son fils Piotr.
Voici l’article paru dans Vosges Matin :
Le festival des Imaginales 2019 dévoile ce jour sa nouvelle affiche signée par l’un des maîtres de la BD, le dessinateur polonais de la série Thorgal, Grzegorz Rosinski. Il fera l’objet de deux grandes expos à Épinal.
Après la venue du prestigieux illustrateur du Seigneur des anneaux John Howe l’an dernier, les Imaginales, festival spinalien des littératures imaginaires mettent cette année encore la barre plus haut (du 23 au 26 mai). En conviant un artiste polonais de renom, Grzegorz Rosinski, le dessinateur de la célèbre série des Thorgal. Pour preuve, son Viking préféré et son fils ont pris place sur l’affiche de l’édition 2019, dévoilée ce jour et tirée d’un de ses dessins originaux revisité pour y intégrer le château spinalien.
Les Imaginales rendront donc hommage au dessinateur originaire des Carpates, aujourd’hui âgé de 77 ans avec deux grandes expositions. L’une dans le parc de l’espace cours et la seconde au musée départemental. Grzegorz Rosinski, aujourd’hui en convalescence, après des soucis de santé, a souhaité arrêter la série. Et se consacrer à la peinture. Son fils Piotr l’assiste. Il sera en charge de la scénographie artistique de ces deux événements. L’homme, qui veille sur son papa, se réjouit. « Mon père a en réalité beaucoup dessiné de choses fantastiques et ce sera la première fois que cet aspect de son travail est mis en avant. Le fantastique est un moyen pour lui de s’octroyer une forme de liberté vu qu’il travaille énormément d’après documentation. Il est très rigoureux. Avec Thorgal, il a produit des millions de dessins très beaux. Le plus dur sera de choisir ! » En attendant de découvrir cette sélection, le tandem sera au festival d’Angoulême du 23 au 26 janvier où il partagera un stand avec Les Imaginales…
Une erreur s’est glissée dans le commentaire ci-dessus. A vous de la retrouver…
AvantLouve remonte le temps jusqu’à la préhistoire sous les traits de Mumu la Bâtarde dessinée par Lereculey ! On retrouve Yann dans toute sa splendeur dans cette nouvelle série judicieusement intitulée « Avant ». On se prend à rêver…
Pour les planches suivantes, c’est ICI. Le tome 1 de la série arrive le 1er mars chez Dupuis.
Dans le clan du Smilodon, les jours passent paisiblement entre les jalousies féminines qui se règlent par des soupes de ciguë, les batailles de bouses de rhinocéros, les négociations sauvages à dos d’aurochs pour des histoires de cocufiage… Souricette, la fille que le chef Smilodon a eue avec la terrifiante Goana, a elle aussi envie de montrer de quoi elle est capable. Ras-le-bol d’être la bâtarde que personne n’écoute ! Flanquée de son petit frère Crox, elle chassera le tigre à dents de sabre, s’initiera au chamanisme et apprendra même de nouveaux mots… Quel pied, la Préhistoire !
Source : https://www.dupuis.com/avant/bd/avant-tome-1-mumu-la-batarde/76158
Très bonnes statistiques pour le site, avec plus de visiteurs, et surtout plus d’animation sur le forum avec des vrais passionnés de Thorgal !
La baisse d’abonnés du côté de la lettre d’informations et de la page Facebook, je les interprète comme un désaccord avec l’évolution de Thorgal. La suite logique, ce sera la baisse des ventes des albums…
Bonne année à ce forum en super forme grâce à ses Thorgaliens passionnés !
Thorgal-BD a écrit
Et voici mon premier cadeau pour l’année 2019, avec la complicité involontaire de mon dessinateur préféré.Le truc vert, qui plonge et qui remonte, j’ai tout de suite pensé à ce qui est sorti de la bouche d’Aniel ! Alors pour une fois, je préfère la blague de Louve !
Joyeux Noël !Bon réveillon à tous !
Recherche de nouveaux personnagesRoman Surzhenko nous partage sur sa page Instagram ses recherches pour de nouveaux personnages.
Intrigant, n’est-ce pas ?
Je viens de finir la lecture de la seconde partie de « L’enquête ». Regarder cet album, c’est un peu comme revoir un album photo de famille, y retrouver de nombreux souvenirs, avec la nostalgie de savoir que le passé ne reviendra pas. Savoir aussi qu’on y a passé des moments forts ou émouvants, et remercier pour cela ses auteurs talentueux : Jean Van Hamme, Philippe Xavier et le regretté William Vance.
Quelques regrets pour cet album trop court, parce qu’on voudrait prolonger encore ce moment. Aussi parce qu’une bonne partie des personnages ont déjà été présentés dans le tome précédent. Ah, j’apprécie quand même le scoop autour des origines de Jessica Martin. Tout comme l’apparition de Scott Dundee du Groupe Winch. Et les liens avec le XIII Mystery consacré à Judith Warner. Il restera ce mauvais choix d’avoir changé le format de l’album maintenant, alors qu’il clôture justement le premier cycle.
Tome 10 – InfernoDans la Complainte, voici la suite du cycle des Sorcières par Béatrice Tillier.
Réception du tome 2 du cycle 3 de Complainte des Landes Perdues (tome 10, Inferno) avec le port-folio en bonus pour les premiers lecteurs !
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