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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Tjahzi

Toutes mes réponses sur les forums

40 sujets de 3,721 à 3,760 (sur un total de 4,560)
  • Auteur
    Messages
  • en réponse à : Thorgal, la série TV Lien | Citer
    Quel acteur pour jouer Thorgal ?

    Au jeu des devinettes pour trouver l’interprète du rôle de Thorgal, le magazine Ciné Télé Revue s’est aussi lancé dans les pronostics.

    Et vous, qui verriez-vous pour interpréter le brave Viking descendant des étoiles ? Il faudrait déjà savoir à quelle époque la fiction télé reprendrait la série, car Thorgal avec les années a vieilli, est devenu le père de trois enfants, dont un avec la terrible Kriss de Valnor.

    Viggo Mortensen ?


    New-Yorkais, il a des origines danoises, ce qui lui donne un avantage pour jouer le fier Viking des territoires du Nord. Mais, à 58 ans, il commence à accuser quelques heures de vol… Même chose pour les Français Romain Duris ou Olivier Martinez, le Danois Mads Mikkelsen, l’Américain Colin Farrell, des noms qui revenaient dans le temps, lorsqu’il y eut un premier projet d’adaptation, au cinéma…

    Sinon, nous verrions bien Scott Eastwood dans la peau du guerrier au bras droit si fort qu’il en fait un archer redoutable.


    Le fils de Clint a les muscles, la plastique et la figure qu’il faut.

    Jake Gyllenhaal ?


    Le beau ténébreux a fait plouf en « prince de Perse », mais il pourrait se racheter dans cette série.

    Le Britannique Sam Claflin, un peu le même type de beauté que Scott Eastwood, ferait bien aussi dans le rôle.


    Le succès rencontré dans « Hunger Games » et conforté par la bluette « Avant toi » en fait une valeur montante, pas encore trop exigeante…

    Enfin, puisque l’hiver est là dans « Game of Thrones« , qui n’en a plus que pour 13 petits épisodes avant de tirer sa révérence… pourquoi pas Kit Harington alias Jon Snow ?


    Il a l’habitude de la fourrure de sanglier et de la neige… Un choix nickel chrome. Ne reste plus qu’à lui trouver son Aaricia et, surtout, la redoutable Kriss.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 8 ans et 9 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Giulio de Vita Lien | Citer
    Dessins originaux sur eBay

    Sur son compte eBay, Giulio De Vita met en vente des dessins originaux. Voici ceux de Kriss de Valnor :

    en réponse à : Undertaker – Dorison et Meyer Lien | Citer
    Tome 3

    L’Ogre de Sutter Camp, le tome 3 d’Undertaker, est arrivé dans les librairies 

    Les premières pages de l’album sont visibles ICI. Et voici le résumé de l’éditeur Dargaud :

    Dans ce troisième tome d’« Undertaker », Jonas Crow n’est plus ce pauvre croque-mort solitaire… même si, lui, aurait bien voulu le rester ! Dorison et Meyer lui ont associé mademoiselle Lin et Rose, la belle Anglaise. De la douceur dans son monde de brutes ? Pas pour très longtemps… Un ancien colonel lui apprend que « l’Ogre de Sutter Camp est vivant » ! Son passé trouble pendant la guerre de Sécession ressurgit, et Jonas engage alors sa « troupe » dans une chasse à l’homme et à ses propres regrets…

     

    Xavier Dorison est verni ! Après la promotion d’enfer du dernier Thorgal, voilà qu’Undertaker bénéficie à son tour d’une belle mise en valeur…

    …jusque dans les couloirs du métro Montparnasse à Paris (Photos FB Undertaker) !

    en réponse à : Forum et site : signaler les problèmes Lien | Citer

    tylinth a écrit
    Moi, j’aimerai bien un petit guide de comment insérer une image…..

    Comme tu vois, suffisait de demander ! 

    pennybridge a écrit
    Au fait, est-il possible de prévisualiser son message, comme auparavant? Je n’ai pas trouvé…

    Non, ce n’est plus possible, et ça m’aurait bien plu de garder cette fonction, parce que ça bouge un peu entre ce qu’on tape ici et l’affichage final. Et j’ai posté plusieurs messages où je ne voyais pas qu’il restait des lignes vides inutiles à la fin de mon texte. Stéph, il n’y aurait pas moyen que ces lignes blanches qui précèdent ou suivent un message soient automatiquement supprimées ? Puis tant qu’on y est, j’aimais bien pouvoir corriger ce qui n’allait pas juste après avoir posté, sans que ça soit indiqué en bas de message…

    en réponse à : Althing – Avis des Lecteurs Lien | Citer

    Waouh ! Tu n’en finis plus ces jours-ci Stéph !  Après la FAQ pour insérer images et vidéos, voici le retour de l’Althing. Il est tout beau, grâce à son bandeau avec vue sur mer, puis l’aération des avis par des bandeaux spécifiques à chaque album, des avatars anonymes variés, une nouvelle interface de vote sympa, des liens vers les fiches des albums… Une superbe évolution 

    Tiens, comme tu mets un lien de l’Althing vers les albums, est-ce que tu mettras aussi un lien dans chaque fiche d’album pour aller voter dans l’Althing ?

    en réponse à : Angoulême Lien | Citer
    Grzegorz Rosinski à Angoulême

    Premières dédicaces de Grzegorz au stand du Lombard à Angoulême :

    Source : FB Thorgal

     

    Vernissage de l’exposition consacrée à Thorgal :

    Source : Twitter Lombard

    en réponse à : Undertaker – Dorison et Meyer Lien | Citer

    Pour le moment, il n’y a pas de limite prévue, mais je ne pense pas qu’on atteindra les 35 tomes de Thorgal   Le principe du diptyque continue, avec le tome 4 qui sortira fin 2017. J’aime bien ce rythme-là qui permet d’avoir l’ensemble de l’histoire la même année.

    en réponse à : Angoulême Lien | Citer
    Cosey Grand Prix d'Angoulême 2017

    Le Journal Le Monde vient d’annoncer la nouvelle : Le suisse Bernard Cosey a remporté le Grand Prix du festival BD d’Angoulême

    Auteur d’une œuvre audacieuse et originale, le dessinateur vaudois de 66 ans a été distingué lors du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême 2017. Deuxième Suisse à figurer au palmarès des Grand Prix après Zep (2004), il succède à Hermann, avec lequel il a en commun de partager le même éditeur, Le Lombard. Tout l’oppose, pour le reste, aux univers âpres et pessimistes du dessinateur belge, qu’on célèbre cette année au bord de la Charente. Les albums de Cosey sont mélancoliques, contemplatifs, humanistes, et parfois même méditatifs. Les « aventures » qu’il propose se déroulent autant au milieu de paysages immaculés – aux confins du Tibet (qu’il connaît bien pour y être allé plusieurs fois) ou du Grand Nord américain – que dans la psyché de personnages à la sensibilité chahutée.

    La bande dessinée franco-belge doit à Cosey une petite révolution quand, en 1975, paraît dans l’hebdomadaire Tintin une histoire n’étant pas destinée au départ à devenir une série, Souviens-toi, Jonathan. Son héros est un jeune homme ayant perdu la mémoire, qui s’enfuit de la clinique où il est enfermé pour rejoindre l’Himalaya, dans l’espoir de trouver trace de son passé. Pétries de tendresse et de simplicité, de nombreuses rencontres avec les habitants des hauts plateaux tibétains jalonneront son séjour, raconté à la manière d’un voyage intérieur.

    Pareille fiction n’était pas habituelle pour les jeunes lecteurs de bande dessinée de l’époque. « Ceux-ci avaient le choix entre les héros “classiques”, qui paraissaient dans Tintin ou Spirou, et les antihéros, qu’on trouvait dans Pilote, se souvient Cosey. Je ne me sentais à l’aise dans aucune catégorie, un antihéros étant aussi stéréotypé qu’un héros, à mes yeux. J’ai voulu créer un personnage qui soit proche de ce que chacun ressent au fond de soi. »

    Le dessinateur va emprunter le prénom Jonathan au best-seller du romancier américain Richard Bach, Jonathan Livingstone le goéland (1970). Il va être, aussi, l’un des tout premiers auteurs de BD à proposer des sélections musicales à écouter pendant la lecture de ses albums (Pink Floyd et Mike Oldfield pour ce premier opus). Il va, enfin, se permettre une mise en scène libérée de toute contrainte formelle, avec des dessins qui débordent des cases, des cases qui s’exonèrent des « gaufriers » de la BD franco-belge, et une conception de la narration dessinée proche de l’idéogramme.

    Cette audace, Cosey la doit en grande partie à Derib, le créateur de Yakari et Buddy Longway. Il passera sept ans dans l’atelier de son maître. C’est avec lui qu’il « montera » à Paris et Bruxelles afin de placer Jonathan dans un journal. « Tous l’ont refusé. Sauf Tintin, le seul où je ne voulais pas qu’il soit publié au départ, car c’était le journal de Derib. Vu que mon style était alors du sous-Derib, je craignais de souffrir de la comparaison », se souvient-il. Le public offrira un accueil enthousiaste à Jonathan, qui, de one shot, va devenir une des séries majeures de la bande dessinée des années 1970 à 1990.

    Mais Cosey va s’en lasser, et surtout vouloir expérimenter d’autres formats, comme le roman graphique, qu’il est l’un des tout premiers à développer en Europe, avec A la recherche de Peter Pan, un diptyque situé en Suisse. Suivront de nombreux albums imprégnés des mêmes ambiances éthérées et de ce faux rythme assumé qui privilégie l’introspection à l’action pure : Le Voyage en Italie, Saigon-Hanoï, Zeke raconte des histoires, Le Boudha d’Azur… Autant d’albums proches du carnet de voyage, qui n’empêcheront pas Cosey de revenir régulièrement à Jonathan, parfois après de longues interruptions (onze ans entre les tomes 11 et 12).

    Son dernier « pas de côté », en 2016, a pour le moins surpris ses lecteurs : Cosey a en effet participé au projet de Glénat de revisiter les personnages de Disney, avec un album appelé Une mystérieuse mélodie, dans lequel il raconte la toute première rencontre (amoureuse) entre Mickey et Minnie. De son prochain projet le dessinateur vaudois ne veut en revanche rien dire, sinon qu’il sera totalement en noir et blanc : une première pour ce maître des couleurs.

    en réponse à : Rani Lien | Citer

    Dans les images que tu montres, la couleur du ciel est très réussie.  C’est sur les couvertures des albums que c’est le moins bon, comme sur le tome 5 vu plus haut dans la discussion. Les couleurs sont trop uniformes, par exemple sur la peau de l’héroïne ou les rochers. Ça paraît trop lisse, dans le dessin comme dans la mise en couleur, ce qui n’est pas le cas sur les couvertures d’Highlands de Philippe Aymond.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 8 ans et 9 mois par Tjahzi.
    en réponse à : La coloriste Graza Lien | Citer
    Interview sur BFM TV

    Belle et rare interview de Graza sur BFM TV. Elle raconte ses débuts comme scénographe de théâtre avant de s’occuper des couleurs des albums réalisés par son mari, le dessinateur Kas. Arrivée en Belgique, c’est tout naturellement que son compatriote Grzegorz Rosinski lui a demandé de s’occuper de la mise en couleur de Thorgal.


    Le premier album de Thorgal que vous avez colorié est le tome 19, La Forteresse invisible. Comment se déroule la collaboration ? Il vous donne des indications ?

    Ce n’est pas Rosinski qui avait des indications, mais Jean Van Hamme dans le scénario. Il était très clair. Il indiquait les moments de la journée, la météo – car en regardant les traits noir et blanc, ce n’est pas évident de deviner cela. Pendant les premiers albums, on a feuilleté le scénario avec le dessin. Tout s’est très bien passé.

    Est-ce que vous pouvez expliquer votre méthode ?

    Pour Thorgal, je travaillais de façon traditionnelle avec la gouache, le bleu [planche où les traits noirs de l’encrage sont imprimés en bleu-gris clair, ndlr] et les films transparents. Ce n’est pas évident: quand on fait le coloriage sur les bleus, on ne voit pas les traits noirs. Mais tout le monde faisait comme cela à l’époque.

    2005, c’est aussi l’année où Rosinski décide de passer à la couleur directe.

    C’est très fatiguant pour un dessinateur de toujours dessiner en noir et blanc. Je le comprends très bien. Il voulait faire autrement et est passé en couleur directe. Ça m’a étonné. J’ai été réticente jusqu’au moment où j’ai découvert le dessin. Je suis revenue quelques années après avec les spin-offs de Thorgal. J’en ai fait sept, je crois. Le dessin de Giulio de Vita [sur la série dérivée Kriss de Valnor, ndlr] ne ressemblait pas à celui de Rosinski. Celui de Roman Surzhenko [qui s’occupe de la série dérivée Louve, ndlr] oui, mais son dessin est très précis. Il travaille sur ordinateur. Pour colorier à la main une planche réalisée à l’ordinateur, c’est extrêmement difficile. Il fallait être extrêmement précis. Ce travail m’a pris deux fois plus de temps que pour l’autre dessinateur. J’ai appris à travailler sur l’ordinateur, mais cela ne m’intéresse pas du tout. Je suis très manuelle. Je fais de la peinture…

    En 2014, vous arrêtez de travailler sur Thorgal. Pourquoi ?

    Ce n’est pas moi. C’est Piotr Rosinski qui a décidé qu’il fallait changer quelque chose. Colorier à la main coûte très cher et les maisons d’édition cherchent toujours à réaliser des économies.

    Depuis vous continuez de colorier des albums de BD ?

    Je continue de travailler avec mon mari. Je suis habituée à un dessin spécifique: celui de Rosinski et de mon mari qui sont vraiment très proches. Je ne cherche pas à colorier n’importe quel album.

    J. Lachasse

     

    Interview complète ICI sur BFM TV, avec une belle animation encrage/mise en couleur qui plaira sûrement à Stéph. 

    en réponse à : Piotr et Zofia Rosinski Lien | Citer
    Le bourreau de travail

    Chez Rosinski, la relation fils-père vue par Pitch Comment

    Source : FB Thorgal

    en réponse à : Thorgal s’amuse Lien | Citer
    Hommage au Scrameustache de Gos

    Toujours sur le même site, un hommage de Rosinski au Scrameustache de Gos réalisé en 1983. 

    en réponse à : Thorgal s’amuse Lien | Citer
    Hommage à Uderzo

    J’ai découvert ici l’hommage rendu par Rosinski à Uderzo en 2007. A l’occasion de ses 80 ans, 34 dessinateurs ont collaboré à l’album « Astérix et ses amis » publié aux Editions Albert René.

    Un sanglier a failli être la source d’un affrontement entre Thorgal et Obélix. Heureusement tout finit bien, enfin surtout pour Thorgal grâce à la porte du Deuxième Monde !

    en réponse à : Angoulême Lien | Citer
    Invitation inauguration expo Thorgal

    Voici l’invitation au vernissage de l’expo Thorgal qui aura lieu le 26 janvier à 17h à Angoulême. Une nouvelle occasion de rencontrer Grzegorz Rosinski 

    en réponse à : Rapprochement avec Le Lombard et les auteurs Lien | Citer

    Tiens, je n’avais pas imaginé que le slogan « Du poil, du cuir et de la fesse » donnerait ça…  On trouve de tout dans le monde de Thorgal ! 

    Tu as quand même eu la chance que la Maison de la BD avait prévu de quoi occuper ta petite famille, sinon j’imagine que la balade sous la pluie aurait gâché ton café littéraire… au fait, il est où le café ? Encore une promesse de campagne ? 

    en réponse à : Historia – Thorgal et la saga des Vikings Lien | Citer

    Je lis petit à petit cet album Historia, il est vraiment intéressant. Je suis arrivé dans la partie consacrée aux dieux. 

    Deux semaines après notre forum, Historia annonce enfin la sortie de l’album sur son site.

    « Pour les fans absolus de la série :

    Le dossier « Thorgal et la saga des Vikings » est également disponible, sous forme d’album et en librairie, avec une très belle illustration inédite de Grzegorz Rosinski. »

    Thorgal-BD a écrit
    L’autre surprise, c’est que l’illustration de couverture ne me dit rien du tout. Il s’agit peut-être d’un inédit ! J’ai bien dit peut-être, hein.

    C’est donc bien vu Stéph ! 

    en réponse à : Xavier Dorison Lien | Citer
    Xavier Dorison présente… RED SKIN !

    Je viens de tomber sur cette vidéo mise en ligne par Glénat. On y découvre Xavier Dorison qui fait la promotion de Red Skin en anglais. Délirant ! 

    Arme fatale le jour. Bombe atomique la nuit.
    Le plus grand super-héros américain… est une espionne russe !

    en réponse à : Rani Lien | Citer

    Je viens de lire les 5 tomes de Rani. J’ai moyennement apprécié… Une histoire et des dessins convenus, qui donnent l’impression de remonter au style de BD des années ’80. L’ensemble est trop classique, dans le genre des films de cape et d’épée, ou Angélique marquise des anges. Et on retrouve toutes les ficelles du scénariste expérimenté qu’est Jean Van Hamme : nombreux moments d’action, mais manque de profondeur, scènes dénudées sans réel intérêt, personnages stéréotypés. Du côté du dessin, ça manque aussi d’originalité, avec des cadrages traditionnels, des personnages un peu raides auxquels il est difficile de s’attacher. Même la mise en couleur parait artificielle. Rien en tout cas pour marquer l’esprit et donner envie d’acquérir la série pour la relire avec passion. Dommage…

    en réponse à : Photos de votre collection Thorgal Lien | Citer

    tylinth a écrit
    J’avais dit que je posterai l’album de luxe du Feu Ecarlate sur ce post alors je m’exécute. Trop trop trop beau.

    Rhhaaa…  la totale là, bravo à toi 

    en réponse à : Concours – #MyThorgalMoment – Thorgal 35 Lien | Citer

    Hé, chouette, 6 gagnants au lieu de 5   Tu crois que si on avait dit qu’il y avait 5×2 ex-aequos, Le Lombard se serait méfié    

    Félicitations à tous pour ce superbe concours, un très beau moment pour le forum. Et promis, je participe aussi au prochain (peut-être pour le tome 7 de Louve ?)

    en réponse à : Une convention Thorgal Lien | Citer

    Ah oui, je comprends pourquoi le 27 décembre a été un jour spécial pour toi…

    Alors en hommage, voici le cosplay de Leïa, en habit d’esclave de Jabba le Hutt (vu sur Wikipedia). 

    en réponse à : Louve – 7 – Nidhogg Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    A part ça, voici une petite exclu, l’une des premières images de l’album ! Plutôt intrigante…

    Ah oui, ça me rappelle l’image qui la précédait dans « La reine des Alfes noirs », quand Stridorn m’a complètement cassé mon coup ! 

    tjahzi a écrit
    Séquence frissons <img src=" /> Non, non, je ne vous dirai pas ce qui arrive à Aaricia…

    stridorn a répondu
    Je veux bien te croire… car tu n’en sais rien, l’histoire d’Aaricia s’arrêtant là dans cet album !

     

    En fait, à la place de Thorgal, j’imaginais qu’Aaricia allait tomber sur l’alfe Vigrid, mais là ça ressemble plus au profil de Loki, c’est bizarre…

     

     

    en réponse à : Une convention Thorgal Lien | Citer

    Voilà ce que Le Lombard annonce pour fêter les 40 ans de Thorgal : « La réalisation de produits dérivés inédits et tirés directement de l’univers Thorgal pour la fin d’année« .

    en réponse à : Concours – #MyThorgalMoment – Thorgal 35 Lien | Citer

    Et les 5 autres gagnants des albums prestige sont…. roulements de tambour… 

    en réponse à : Archéologie viking Lien | Citer
    Exposition "Images de Vikings" à Epinal

    Une exposition intitulée « Image(s) de Vikings » est visible jusqu’au 5 février à la Bibliothèque BMI d’Epinal.

    Voici la présentation de l’exposition :

    À la fin du IXe siècle, les Vikings atteignent Toul… Et s’ils avaient remonté la Moselle jusqu’à Épinal ? L’association lorraine Sons of Midgard vous propose de découvrir la vie quotidienne de ces femmes et de ces hommes, loin des idées reçues. L’exposition vous permettra de découvrir plusieurs aspects de la société viking grâce à des objets reconstitués à partir de trouvailles archéologiques. 

    Le samedi 28 janvier de 10h à 18h à la BMI, l’association présentera sa démarche à travers des ateliers pédagogiques : tissage, armement, vie quotidienne, etc.

    https://www.facebook.com/SonsOfMidgard/

    en réponse à : Une année de bandes dessinées Lien | Citer

    Très bonne question ! La BD se démocratise, mais elle reste quand même un budget important chez nous qui lisons des albums de qualité, alors que dans d’autres pays, les BD sont des produits beaucoup moins durables. Mais acheter des BD pour ne pas les lire, c’est quand même dommage… Donc je me suis depuis quelque temps tourné vers l’emprunt en bibliothèques, qui chez moi proposent des milliers, voire des dizaines de milliers de titres empruntables. Le seul problème, c’est la limite de 6 emprunts à la fois, donc je tourne avec 3 bibliothèques en parallèle. 

    Plusieurs raisons m’ont amené à cette manière de faire. D’abord, je parlais du budget. Mes emprunts me coûtent de 20 à 50 cents le tome, donc le calcul est vite fait, surtout pour des albums que je ne lirai qu’une fois. Puis je ne prends plus le risque d’acheter une BD que je n’aimerai pas. Je l’ai encore fait une fois ou l’autre en me fiant aux recommandations que j’avais lues, et j’ai été déçu. Un exemple ? J’ai acheté l’intégrale de « Il était une fois en France » car c’était une série incontournable. Je ne l’ai encore lue qu’une fois, parce que ce n’est pas le style d’histoire que je recherche, même si elle est d’excellente qualité.

    Un autre point qui me freine pour commencer de nouvelles séries, c’est la pléthore de l’offre qui noie les BD de bonne qualité dans un océan de livres plus éphémères les uns que les autres. Alors à qui faire confiance pour se dire que la série que je commence va continuer ? Pourtant je suis un lecteur (et acheteur) de séries qui constituent plus de 90 % de ma bibliothèque. J’ai d’autre part été touché par la fin de plusieurs séries que je suivais depuis des années. La pire fin est pour moi celle de Buddy Longway qui meurt  avec sa femme dans le dernier tome, au bout de 20 ans passés à partager leur quotidien ! Après, ça devient plus difficile de redonner sa confiance à de nouveaux héros, un peu comme avec des amis qui disparaissent. Avec le temps, c’est plus compliqué de se faire de nouveaux amis que quand on est jeune, sans doute parce qu’on devient plus difficile…

    Je ne suis pas sûr qu’il y aura encore des héros de BD intemporels à l’avenir, notamment parce que les auteurs qui veulent se consacrer à une série qui leur prendra tout leur temps deviennent plus rares. Ils ont envie de varier les plaisirs, ce que je comprends parfaitement. Tout comme les lecteurs sont moins fidèles à leurs héros que par le passé, ce que je comprends tout autant. Malgré tout, je me suis décidé à me relancer dans une nouvelle série que j’espère partie pour des années, celle de Undertaker. Mais je compte sur Xavier Dorison pour ne pas la lâcher de sitôt, sinon gare à lui ! 

    en réponse à : Thorgal – 35 – Le feu écarlate Lien | Citer
    Critique sur la RTBF

    Critique cette fois bien plus positive sur le site de la RTBF, dont voici des extraits passionnés :

    Le retour de Thorgal, avec un nouveau scénariste, Xavier Dorison : du sang neuf pour une série qui réussit -à nouveau- à surprendre, à émerveiller !

    Avec Dorison, pas question de tomber dans les travers et les routines chères à d’autres scénaristes. Pas, non plus, fort heureusement, d’absence de fidélité à l’égard du personnage repris. C’est bien de Thorgal qu’il nous fait suivre les aventures, un Thorgal qui se retrouve en combat, non seulement pour sa survie et celle de ceux qu’il aime, mais aussi contre une évidente forme d’obscurantisme, d’intégrismes religieux, pluriels dans cet album comme dans la réalité d’hier et d’aujourd’hui.

    Cependant, au-delà de cette lutte, au-delà des péripéties aventureuses qui émaillent cet album, au-delà de la violence, de la mort, de la trahison, de la haine, de la rédemption impossible, ce qui sous-tend ce  » Feu écarlate « , c’est le côté humain de Thorgal. On le découvre prisonnier, meurtri moins dans le corps que dans l’âme. On le découvre aussi et surtout en recherche d’amour… Amour paternel à donner, amour filial à recevoir…

    Parce que, finalement, c’est bien cela qui forme la vraie trame de ce livre : les relations entre un père et son fils, pris tous deux dans les remous d’une Histoire qui les dépasse et les oblige à s’opposer, à briser aussi les miroirs invisibles qui ne leur renvoient jamais que des débris de reflets d’eux-mêmes.

    Rosinski est un des dessinateurs essentiels dans l’histoire de la bande dessinée réaliste de ces quarante dernières années, personne ne peut le nier. Un artiste complet qui, dans cet album, a joué avec la couleur.

    Le rouge, couleur du sang, de la haine, de la violence, de la guerre est présent dans chaque planche. Progressivement, cette couleur qui est celle du feu donnant son titre à l’album, finit même par occuper pratiquement tout l’espace.

    C’est vrai qu’en ouvrant le livre, on est immédiatement frappé par cette teinte puissante et omniprésente, très lumineuse, très flashy même… Frappé, étonné, déstabilisé… Mais très vite, on entre dans l’histoire qui nous est racontée également grâce à cette couleur et à ses remous continuels, à ses mouvances, à ses mouvements même, parfaitement maîtrisés par l’art de Rosinski.

    Ce qui m’a marqué aussi, à la lecture de ce  » Feu écarlate « , c’est la manière dont Rosinski s’est approprié, plus me semble-t-il que dans ses précédents albums, son héros vieillissant. Les traits sont burinés, marqués, ils sont ceux d’un homme qui a souffert et qui ne le cache pas, ils sont ceux d’un héros qui fait preuve de fragilité. En même temps, la manière dont Rosinski s’approche au plus près du regard de Thorgal, et des yeux également de ses autres personnages, cette façon de nous accrocher à des regards variés participe à la puissance du récit et, surtout, au fait que chaque lecteur se sente presque en dialogue avec Thorgal…

    Thorgal est une série mythique de la bd réaliste. Rosinski en est depuis toujours le maître d’œuvre incontestable et incontesté. Et ici, avec « Le Feu écarlate », il réussit encore à nous étonner, par la magie de sa couleur, lumineuse, essentielle, par la présence presque charnelle de son trait… Et si cet album nous étonne, m’étonne en tout cas, c’est aussi parce qu’il ne se contente pas de ronronner dans des habitudes par trop routinières. Et là, toute la grâce en revient à Dorison qui fait de Thorgal un héros de plus en plus moderne, tout en restant aussi un merveilleux personnage de tragédie !

    Il y a également des extraits d’interviews audio que je n’arrive pas à mettre sur le forum, alors cliquez ici sur le site de la RTBF pour y écouter Xavier Dorison et Grzegorz Rosinski.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 8 ans et 10 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Thorgal – 35 – Le feu écarlate Lien | Citer
    Critique sur UMAC

    Voici l’extrait d’une critique de l’album parue sur le site UMAC, critique assez négative, mais qui reflète ce que j’ai pu lire dans pas mal de commentaires sur le net. Le deuxième paragraphe s’applique pour moi plus aux albums précédents de Thorgal, car « Le feu écarlate » permet de remonter la pente par rapport à ce qui y est dit. Reste que ce nouvel album n’a pas convaincu une partie du public, et que beaucoup attendent le prochain tome pour retrouver « leur » Thorgal.

     

    « Le Feu écarlate » se voit attribuer un nouveau scénariste, Xavier Dorison, qui se retrouve avec un sacré poids sur les épaules et la responsabilité de boucler une trame qui s’étend à la série dérivée Kriss de Valnor. Et le moins que je puisse dire, c’est que ça ne m’a pas paru très convaincant. Ni la reprise de l’arc narratif, ni la réalisation confuse, ni la mise en pages brouillonne ni surtout les dessins de Rosinski ne m’ont rassuré sur l’avenir de la série : où est passé l’artiste au trait précis et fluide, adepte de la couleur directe, qui cumula les prix à l’époque des albums « Les Archers » et « Le Pays Qâ » ? Des rumeurs affirment qu’il n’est pas bien portant, ce qui pourrait expliquer en partie la déception qu’engendre l’album. Car l’intrigue déjà emberlificotée (même si on comprend vite que les rares alliés de Thorgal ont un gros potentiel de traîtrise, la trame de fond avec la réincarnation de Kah-Aniel se complique avec des considérations d’ordre religieux, politique et stratégique) se noie sous un déluge de sang, multipliant les affrontements de masse, les tueries et les exactions dans une sorte de brouillard écarlate : la cité est sur le point d’être envahie et mise à sac, et Thorgal se retrouve à nouveau dans une course contre la montre, cherchant à sauver son fils avant la cérémonie de réincarnation et à quitter Bagh-Dadh avant l’hallali. Certes, l’omniprésence de la couleur du sang colle avec la Magie Rouge qui est au cœur du récit, mais ça n’aide guère à l’intelligibilité de nombreuses cases.

    D’autant qu’on commence à perdre ses repères sur le personnage même du héros, un Thorgal dont les principes vacillent, aux motivations fluctuantes. Il est souvent bon que les héros évoluent, mais est-ce au prix de l’intérêt propre de ses aventures ? Lors de ses nombreuses pérégrinations, j’avais apprécié ses moments de faiblesse passés et ses élans de grandeur, mais aussi et surtout le fait qu’il ait toujours été fidèle à ses principes moraux, au risque d’opter pour des décisions fâcheuses. Ici, on le voit céder un peu facilement à certaines tentations, changer d’avis un peu trop souvent et battre sa coulpe de façon un peu trop naïve : devant cette beauté orientale aux yeux de braise ou le corps de son fils mû par l’essence d’un sorcier, Thorgal n’est plus que l’ombre de lui-même, un homme incapable d’infléchir son destin, davantage dans la réaction que dans l’action. Bref, on perd un peu de l’essence de ce héros qu’on appréciait tant.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 8 ans et 10 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Une année de bandes dessinées Lien | Citer
    La bande dessinée en 2016

    Voici la synthèse du rapport 2016 de l’ACBD, l’Association des Critiques et journalistes de Bande Dessinée.

    2016 : l’année de la stabilisation

    À quelques dizaines de titres près (50 de plus), la production de bandes dessinées en 2016 est sensiblement la même que celle de l’année précédente. Au fil des ans, le 9e art s’est construit une place de choix au sein de l’industrie culturelle et ses acteurs ont su trouver un rythme de production, ainsi que des politiques éditoriales efficaces, dans un monde en constante mutation économique et artistique : d’où la multiplication des licences et des valeurs sûres allant dans le sens des goûts d’un large lectorat. Les tentatives innovantes ou risquées financièrement se raréfient, mais participent à la consolidation des marchés de niche et des nouvelles diffusions du livre : que ce soit par l’impression à la demande ou par la vente sur Internet.  

    I. Production –  Avec 5 305 livres de bande dessinée publiés en 2016 (dont 3 988 strictes nouveautés) — soit une légère augmentation de 0,9 % par rapport à l’année précédente —, l’offre éditoriale du 9e art se stabilise au-dessus de la barre symbolique des 5 000 publications.

    II. Édition – 384 éditeurs occupent le marché du 9e art en 2016, mais seuls 3 puissants groupes et 12 autres importantes structures dominent l’activité du secteur, en totalisant 67,3 % de la production.

    III. Évaluation –  Sur les 9 premiers mois de l’année, d’après les données Livres Hebdo/I+C, les ventes en valeur seraient supérieures à la moyenne de l’ensemble du marché du livre, mais les tirages initiaux de la plupart des 95 principaux best-sellers de l’année sont toujours en baisse.

    IV. Traduction – L’augmentation des titres venus d’Asie (1541) et des États-Unis (552), lesquels représentent désormais 90,9 % des nouveaux opus traduits, n’empêchent pas le secteur de s’ouvrir aux autres productions étrangères, puisque les 2 302 traductions de 2016 sont issues de 36 pays différents.

    V. Réédition – Avec 964 nouvelles éditions ou intégrales, l’exploitation du secteur patrimonial se stabilise également ; seul augmente le nombre des reprises de héros d’autrefois, avec 57 séries qui se perpétuent au-delà des disparitions ou de l’abandon par leurs créateurs.

    VI. Prépublication – Malgré une distribution dans un réseau confronté à une baisse régulière de sa clientèle (et donc de son chiffre d’affaires), 70 revues spécialisées et 14 éditions particulières d’albums affirment encore la présence de la bande dessinée dans les kiosques, Maisons de la presse ou Relay.

    VII. Information – L’information, l’histoire et la critique de bande dessinée intéressent toujours une certaine partie du lectorat, puisqu’il existe encore, en 2016, 24 revues papier, 44 sites spécialisés et 87 ouvrages d’études spécialisées sur le 9e art.

    VIII. Mutation – Malgré un catalogue de plus en plus complet et des offres attrayantes (80 % des nouveautés et 70 % du fonds récent sont désormais accessibles en version digitale), l’ensemble du marché du numérique n’arrive toujours pas à convaincre un large public.

    IX. Création – En ayant au moins 3 albums disponibles au catalogue d’éditeurs bien implantés et un contrat en cours ou un emploi régulier dans la presse ou l’illustration, 1 419 auteurs réussiraient encore à vivre de la création de bandes dessinées sur le territoire francophone européen, alors que 1 597 dessinateurs ou scénaristes ont pourtant réussi à publier au moins 1 album en 2016.

    X. Adaptation – 23 bandes dessinées francophones ont donné lieu à des films, téléfilms et dessins animés, alors que 184 œuvres réalisées à l’origine pour d’autres médias et 97 ouvrages dépendant de licences issues d’autres supports ont alimenté la production des nouveautés d’un 9e art qui poursuit, par ailleurs, une percée remarquée sur le marché de l’art contemporain.

    Gilles Ratier, secrétaire général de l’ACBD

    Parmi les 4000 nouvelles BD éditées en 2016, les principaux tirages (hors comics et mangas) sont Lucky Luke (500 000 ex.), Blake et Mortimer (400 000 ex.), Lou ! (320 000 ex.), L’Arabe du futur, Les Légendaires, Thorgal, XIII, Les Carnets de Cerise, Les Sisters et Seuls. Outre le nouvel album de Thorgal, on retrouve cette année 2 nouveaux tomes des Mondes de Thorgal.

    Dans la série La Jeunesse, « Berserkers » a été édité en avril à 75 000 exemplaires, tout comme « La reine des Alfes noirs » en septembre dans la série Louve. Le tirage de l’album « Le feu écarlate » en novembre reste aussi stable par rapport aux tomes précédents, avec 200 000 exemplaires pour Thorgal.

    en réponse à : Une convention Thorgal Lien | Citer

    tylinth a écrit
    Alors choisissons Lille !! Vla, j’ai trouvé la destination qui en plus reste en France, pas trop loin de la Belgique, accessible facilement, près  des auteurs, des éditeurs, et des francophones et bien moins chère que Paris.

    Je suis partant pour Lille, en plus ça va bien plaire à Bierodix !   Et pour le reste de ton programme, je signe des deux mains !

    Thorgal-BD a écrit
    Et bien sûr, un cosplay de la gardienne des clés, cela va de soi.

    Stéph, je t’ai déjà trouvé une candidate ici

    en réponse à : Une convention Thorgal Lien | Citer

    C’est marrant, Lore en parlait justement dans les vœux de bonne année, en disant que ce serait chouette que les fans de Thorgal puissent se retrouver. Si même Le Lombard s’y met, alors on va pouvoir le concrétiser en 2017. Profitons du quarantième anniversaire de Thorgal pour faire ça bien. 

    Il faudrait déjà réserver l’expo Thorgal conçue pour le salon BD de Blois, et prévue dans 2 semaines pour Angoulême. Avec bien sûr des planches originales à admirer, mais surtout les auteurs à rencontrer. Un moment de discussion avec les fans, ce serait génial ! Alors oui, les goodies, c’est aussi une bonne idée, il y a tellement peu d’objets dédiés à Thorgal, pourtant ça aurait beaucoup de succès.

    Puis alors ce qui serait super à organiser, c’est un concours cosplay sur l’univers de Thorgal. Ça n’a jamais eu lieu, et pourtant les personnages sont tellement variés que les déguisements sont multiples. Puis ce serait l’occasion de faire participer les jeunes qui adorent se déguiser. Moi-même, malgré mon âge avancé, je n’hésiterais pas à m’y lancer aussi ! 

    en réponse à : Giulio de Vita Lien | Citer
    Vidéos de Giulio

    En passant sur le compte FB de Giulio, j’ai « emprunté » 2 vidéos récentes.

    Sur la première, il dessine un très beau portrait de TEX en 2 minutes chrono !

    Sur la seconde vidéo, on peut écouter Giulio présenter TEX en italien à l’occasion du festival Lucca Comics.

    en réponse à : Concours – #MyThorgalMoment – Thorgal 35 Lien | Citer

    isis a écrit
    Je viens de me rendre compte que j’ai complètement zappé les votes. Je m’en excuse. J’ai malheureusement mon travail et un master sur les bras et à peine le temps de me poser pour faire quoi que ce soit.

    Oh là là, tu resteras notre éternelle étudiante Isis !  Bonne chance avec ton travail !

    en réponse à : Thorgal – 35 – Le feu écarlate Lien | Citer

    Faut arrêter de participer à tous les concours qui passent Tyseria !   Mais c’est quand même fort qu’on ne t’ait pas informé de la manière dont tu l’as gagné…

    Moi (mais pas moi) a écrit
    Je ne reviendrai pas longtemps sur « Le feu écarlate », brillant dernier album. Je me suis intéressé à Thorgal lors de la sortie de « La bataille d’Asgard » et je les ais tous lu à la suite. J’ai adoré « Alinoë », le cycle Qâ, aussi « Kriss de Valnor » mais aussi et surtout la série sur Kriss de Valnor. La direction scénaristique de Sente ne m‘a pas plus choqué que ça dans le sens où elle semblait pour moi naturelle (puisque venue très rapidement dans la suite de mes lectures). Bon après j’étais encore « petit ». Maintenant j’ai une autre appréhension des choses qui ne va sans doute pas vous plaire: à vrai dire j’adore tout la période d’Yves Sente. C’est l’une de mes préférée de la série. (enfin il faut dire que j’aime souvent dans les « grandes œuvres » ce que les fans ce ces mêmes œuvres aiment le moins, allez savoir pourquoi). C’est donc avec un immense plaisir que j’ai lu le dernier album sur lequel je n’ai presque aucunes remarques à faire.

    Je comprends que tu apprécies les scénarios de Sente, c’est par eux que tu as découvert Thorgal. Tout comme pas mal d’entre-nous préfèrent la période Van Hamme durant laquelle nous avons découvert cette série. Par contre, le dernier album « Le feu écarlate » a été écrit par Dorison, un nouveau scénariste.

    La période d’Yves Sente correspond à l’arrivée de la couleur directe de Rosinski. Qu’est-ce que tu as pensé quand tu as découvert les anciennes BD dessinées de manière plus classique ?

    J’aime bien tes idées pour la suite des aventures de Thorgal. 

    en réponse à : Louve – 7 – Nidhogg Lien | Citer

    J’imagine aussi que Rosinski a peint cette scène sur base d’un avant-projet de Surzhenko. La couverture s’inspire de cette case-ci :

    J’ai écrit
    Alors, si je voulais chercher la petite bête dans l’image, je dirais que Nidhogg est trop grand, normalement son œil correspond au maximum à la tête des personnages qu’il rencontre. Vous voulez encore plus précis ?   Habituellement, sa pupille est ronde, pas fendue comme celle d’un chat.

    Ici, Surzhenko a dessiné Nidhogg exactement comme Rosinski le représentait dans « La Gardienne des clés ». C’est uniquement sur la nouvelle couverture que Nidhogg ressemble plutôt à Smaug.

    JS a écrit
    c’est Smaug et Nidhogg en même temps

    en réponse à : Photos de votre collection Thorgal Lien | Citer

    Tu vas nous faire attraper un torticolis en regardant tes étagères de travers ! 

    tyseria a écrit
    PS : vous pensez que ça vaut combien, cette édition (cadeau, surement) ? 2 €, c’était une arnaque ?

    Euh… je viens de la voir à moins de 1 € sur PriceMinister

     

    Pour participer à cette expo photos, je vais piquer une image que j’avais placée sur une autre discussion du forum. J’ai eu la chance de gagner en 2014 des ex-libris qui accompagnaient le tirage de tête du 1er tome de la Jeunesse de Thorgal, « Les trois soeurs Minkelsönn ». Pour remercier Steph du forum et Steph du Sphinx d’Or, j’avais dessiné cet arc-en-ciel avec mes albums. 

     

    en réponse à : Au théâtre avec Jean Van Hamme Lien | Citer

    Toujours à glaner des bribes sur les projets théâtraux de Jean Van Hamme, je découvre cette autre interview qu’il a accordée lors de son passage au Liban. Extrait du site de Kamsyn :

    Sa première pièce, pas encore jouée, a un côté très polar, Agatha Christie, et la seconde qu’il est en train d’écrire se passe dans un cabinet ministériel. « C’est à propos de tous les petits coups bas qui se trament dans les cabinets. Bien entendu, je me suis documenté auprès de deux ministres. En Belgique, contrairement à la France, nous avons des administrations différentes qui se retrouvent parfois en opposition, donc on se tire facilement dans le dos tout en formant un front uni face au people ».

    en réponse à : Thorgal – Intégrale N&B Niffle Lien | Citer
    Couverture tome 1

    Sur le site de la FNAC, on peut découvrir la couverture du tome 1 de la nouvelle intégrale, avec ce commentaire :

    Redécouvrez l’épopée légendaire de Thorgal en noir et blanc dans une série d’intégrales de luxe !

    – Une série légendaire à redécouvrir dans un format luxe : des planches en noir et blanc qui viennent sublimer le trait de Rosinski

    – Un premier volume rassemblant les 6 premiers tomes de la série

    – 5 intégrales prévues recouvrant les tomes 1 à 29, dont le second volume en novembre.

    en réponse à : Louve – 7 – Nidhogg Lien | Citer
    Couverture

    Pour Kriss, il faudra sans doute encore patienter…

    Voilà, j’ai rapatrié l’image de couverture affichée par Jakub sur le site Thorgalverse

    en réponse à : Lettre d’informations Lien | Citer

    non  Pas de changement avec GMail, la superposition des titres est toujours la même.

    Thorgal-BD a écrit
    Je viens de poster la lettre de décembre, avec beaucoup de retard, désolé. Je n’ai pas du tout eu le temps de m’en occuper cette semaine.

    Attention à ton foie avec tes 2 semaines de réveillon ! 

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