Toutes mes réponses sur les forums
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Serre-livres
Voilà un très beau serre-livres pour encadrer vos albums de Thorgal !
Malheureusement, il n’est pas à vendre…
Source : arlequin_workshop sur Instagram
Skaldpresque… mais la réponse est acceptée !
C’était donc Skald dans l’album « Crow ».
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 4 mois par Tjahzi.
Le mois dernier, Olivier parlait justement de son exemplaire très particulier du TT dans ce sujet :
http://www.thorgal.com/sujet/ed-jonas-tl-au-dela-des-ombres/
Bravo Yans de France
Tu ne reçois pas une copie du message reçu ici, également dans ta boîte e-mail ? C’est une option à cocher ça ? Je ne me souviens plus, mais de mon côté, tous mes messages privés me sont aussi signalés dans ma boîte e-mail…
un guerrier ?
riche ou pauvre ? pauvre
Ex-libris DurangoPas mieux que toi Nils !
Je ne connais pas l’origine des dessins 1 et 4 reproduits par Espace BD.
La librairie bruxelloise Durango est également à l’origine d’une série d’ex-libris de Thorgal.
1/ Ex-libris imprimé en sérigraphie d’un format de 18 x 28 cm, numéroté sur 375 exemplaires et signé par Van Hamme.
2/ Ex-libris imprimé en sérigraphie d’un format de 14,7 x 19,9 cm, numéroté sur 375 exemplaires et signé par Van Hamme.
3/ Ex-libris imprimé en sérigraphie d’un format de 17,8 x 23,5 cm, numéroté sur 300 exemplaires et signé par Van Hamme.
4/ Ex-libris imprimé en sérigraphie d’un format de 13,8 x 19,8 cm, numéroté sur 350 exemplaires et signé par Van Hamme.
5/ Ex-libris imprimé en sérigraphie d’un format de 18 x 10 cm, numéroté sur 350 exemplaires et signé par Van Hamme.
6/ Ex-libris imprimé en sérigraphie d’un format de 17,2 x 23,8 cm, numéroté sur 375 exemplaires et signé par Van Hamme.
7/ Ex-libris imprimé en sérigraphie d’un format de 16 x 25 cm, numéroté sur 350 exemplaires et signé par Van Hamme.
Chronique du tome 14 sur Ligne ClaireAnalyse du 14ème album de Lady S, Code Vampiir, sur le site Ligne Claire.
Lady S, un tome 14 où Aymond rebat les cartes
« Lady S est une série créée par Jean Van Hamme et Philippe Aymond. On en est au tome 14 désormais sous la houlette pleine et entière du dessinateur Philippe Aymond qui en assure scénario et couleurs. Elle a un destin compliqué Lady S, dont on ne sait plus très bien qui elle est, ni d’où elle vient. On se demande si c’est Suzan ou Shania ? Néo-Zélandaise ou Estonienne ? Fille d’ambassadeur américain ou de Juifs dissidents d’U.R.S.S. ? Enfant perdue ou voleuse à la petite semaine ? Victime de chantage ou espionne de haut vol ? On surfe sur un personnage insaisissable qui pourtant, dans cet épisode, va retrouver ses repères mais le payera cher. Aymond rebat les cartes en en dévoilant certaines.
Prisonnière dans un sous-marin, Lady S se souvient de son appartenance contrainte et forcée au Circat, service spécial européen, puis à la DGSE qui a voulu en faire une tueuse. Elle se souvient aussi de ce nouveau drone sous-marin capable d’aller se connecter sur des câbles au fond des océans pour pomper les données informatiques qui y transitent. Le Vampiir en test par la marine estonienne a disparu. On repêche un marin qui annonce un échelon rouge. Lady S est au même endroit que le blessé, hospitalisé à Tallinn, mais pour voir sa tante qui perd la mémoire. Elle s’est retrouvée embarquée dans une aventure dont elle ne sait rien, mais les services de renseignements ne croient pas au hasard.
Shania ou Lady S, va bien sûr faire le faux-pas de trop. Sa tante va lui raconter la vérité sur ses origines, ce qui est l’un des moments forts de l’album, en particulier pour les fans de la série. On retrouve aussi les bons, les méchants, le petit ami de Lady S qui se pose des questions car agent de la CIA. Aymond fait un cocktail du tout avec ingéniosité car l’album se lit bien, d’une traite. Lady S n’est pas une super-héroïne et c’est aussi ce qui fait son charme et son intérêt. Un petit côté XIII peut-être, avec ses hauts et ses bas. On manipule à tour de bras. Un nouveau départ pour Lady S avec suite ou pas ? Dessin toujours aussi efficace et bien cadré de Philippe Aymond. »
Source : Ligne Claire
Ah mais ça va, j’aime aussi beaucoup Maria de Los Santos, surtout quand elle cherche à se souvenir des étreintes de XIII…
Misha?
Arn?
dans la série Louve ?
un personnage récurrent ?
avec les dents ?
toi tu as entamé la bouteille de vodka !
bon Penny, si tu as aussi un coin consacré à Manara, moi je dis pas non…
Tiens, ça existe toujours cette collection Troisième Vague du Lombard ? Album mystère…. hmm… oui mais lequel ?
dans la série de la jeunesse de Thorgal ?
ou si peu…
Sigurd?
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 4 mois par Tjahzi.
Si
Polish Comic Art date même le dernier dessin de 1983.
Pourquoi pas… une photo de ta collection XIII ne peut pas faire de mal ici…
Masculin?
Jeune?
Aristophania tome 2 – ProgredientesChronique sur Ligne Claire du second tome d’Aristophania dessiné par Joël Parnotte et scénarisé par Xavier Dorison.
Aristophania T2, la pression monte dans l’Azur
« La suite d’un conte fantastique qui joue à Mary Poppins – en plus hard – et à Peter Pan réunis. Xavier Dorison et Joël Parnotte au dessin ont reconstitué le duo du flamboyant Maître d’armes. Le récit d’Aristophania, qui en est à son second opus, a l’Azur pour roi. Des enfants en mal de destin hors du commun, un Roi banni dangereux et une vieille comtesse, Aristophania, qui vole à grand chapeau. Il y a dans cette saga beaucoup de recherche, de mystère, de combats des forces du bien contre celles du mal. On avait parlé de fantaisie pour le premier tome, mais de plus en plus dramatique, violente, et romantique aussi. Un beau mélange des genres bien mené par Dorison.
Monsieur Cayenne soigne la mère des enfants qui a été interceptée par le Roi banni puis recouverte de Calamyrhs, catalyseur puissant empêchant l’énergie de regagner son corps. Cayenne leur raconte comment les membres de la cour Sombre, en manque d’Azur, le volent aux autres qui deviennent leurs esclaves. Seule la comtesse et ceux de la cour d’Azur peuvent attirer l’Azur qui est dans la nature. De retour, la Comtesse précise aux enfants que la femme qui est leur mère ne montre que sa part sombre à cause de la Calamyrhs et seule la source Aurore peut la soigner. Ses enfants peuvent la trouver. Mais la Comtesse Aristophania est en conflit avec la reine qui veut qu’elle renvoie les enfants chez eux, hors de l’Azur. Pas question d’en faire des disciples à moins qu’en sept jours l’un d’eux attire l’Azur à lui. Les expériences et les leçons peuvent commencer.
Une drôle d’école, avec des énigmes, des épreuves, des pièges et l’histoire de l’Azur. Des pouvoirs magiques sont en jeu. Parnotte fait vivre avec brio cette histoire qui a maintenant bien pris ses marques. On sait où on va désormais et des personnages diaboliques envahissent la scène, la violence aussi, redoutable et impitoyable. On gravit un échelon et les enfants ont des caractères différents. La pression monte et la face noire prend la main. »
Source: Ligne Claire et Dargaud
Yves Schlirf partage déjà une planche du tome 3 parvenue chez Dargaud :
Posté 18 décembre 2019 à 7 h 46 en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 8 – Les deux bâtards Lien | CiterLes deux bâtardsAlors, ce titre du tome 8, vous en pensez quoi ?
Posté 17 décembre 2019 à 22 h 46 en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 8 – Les deux bâtards Lien | CiterRésumé éditorial du tome 8L’angoisse et la violence règnent en maître dans le domaine d’Harald à la dent bleue. Elles n’épargnent personne, ni son bâtard de fils, ni ces vikings venus d’un lointain village. Prisonnier de ce tyran, Thorgal est condamné à participer à ses terrifiants jeux de cirque… Toujours sans nouvelle d’Aaricia, parviendra-t-il à déjouer les pièges du roi sanguinaire ?
Posté 17 décembre 2019 à 22 h 42 en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 8 – Les deux bâtards Lien | Citer3/3 mots du titre retrouvés, bravo à tous !un des deux personnages est-il le fils d’Harald à la dent bleue ?
l’autre est-il un de ses proches ?
le dernier mot du titre est-il un juron ou un mot vulgaire ? tout dépend du sens qu’on donne au mot…
Le second personnage est-il Thorgal ?
Les deux chenapans ?
Les Deux Vikings ?
Les deux Haraldson ?
Ce serait vraiment très laid, j’espère me tromper
« Les deux bâtards » ?
Polish Comic Art publie actuellement toute une série de dessins (connus et moins connus) de Thorgal sur sa page Instagram. Mais comme ils éditent aussi une version polonaise N&B de Thorgal en parallèle, je ne sais pas exactement ce qui figurera dans l’une ou l’autre des publications. Voici quelques dessins de Rosinski pour vous faire rêver…
Source : Polish Comic Art sur Instagram
Mais on en profite quand même pour lui déballer ses éditions spéciales et autres tirages de tête de Thorgal, il faut aérer tout ça !
Série dérivée?
Uniquement?
ami ou ennemi ? ami
toujours en vie ?
Mise en vente du tome 1C’est demain
J’ai reçu la réponse de Polish Comic Art : la mise en vente du tome 1 démarre ce mardi 17 décembre.
Si vous êtes intéressé, ne traînez pas, il n’y aura que 280 exemplaires en français.
Pour rappel, cette intégrale grand format en couleur de Thorgal est éditée en Pologne grâce à Piotr Rosinski, le fils de Grzegorz. Chaque volume contiendra 4 albums de Thorgal, d’un format presque deux fois plus grand que les éditions classiques (360 x 290 cm), et sera complété de plusieurs bonus. Chaque exemplaire sera numéroté et accompagné d’un bel ex-libris signé par Grzegorz Rosinski.
Le tome 1 qui compte 208 pages est vendu 599 zlotys, soit 140 euros, auxquels il faut ajouter 15 euros de frais de port. Pour commander le premier volume, c’est ici :
http://polishcomicart.pl/index.php?id_product=410&controller=product&id_lang=6
Vous pouvez retrouver les premières photos de l’intégrale ici en haut.
personne humaine ?
d’origine viking ?
La bibliothèque de JeanRencontrée au détour de Facebook, cette superbe bibliothèque thorgalienne m’a donné envie de vous la partager. J’ai demandé l’accord de Jean, son propriétaire suisse, qui a tout de suite accepté !
Source : FB de Jean
Posté 16 décembre 2019 à 21 h 51 en réponse à : Largo Winch – 22 – Les voiles écarlates Lien | CiterEntretien dans Le ParisienEntretien avec les deux auteurs de Largo Winch dans le journal Le Parisien, où l’on parle un peu de l’avenir de la série…
«Largo Winch va devenir plus écolo»
Le dessinateur du patron aventurier et son nouveau scénariste confient quelques secrets de fabrication et autres indices sur la suite de la saga.
Créé par le scénariste belge Jean Van Hamme (80 ans, créateur également de Thorgal et XIII) et son compatriote, le dessinateur Philippe Francq (58 ans), le personnage de Largo Winch, héritier milliardaire du groupe W, vit désormais ses aventures sous la plume d’un nouvel auteur, le Français Eric Giacometti (56 ans). Cet ancien journaliste du « Parisien-Aujourd’hui en France », auteur de thrillers économiques, a signé le dernier diptyque « L’étoile du matin » et « Voiles écarlates ».
A l’origine un personnage de roman, devenu ensuite un héros de BD. Quand j’ai rencontré Jean Van Hamme, il y a trente ans, nous avions le projet de raconter des histoires d’aventure. Jean avait bien conscience qu’on ne pouvait plus le faire à la manière des années 1950, époque à laquelle il restait encore des coins de planète à découvrir, où on connaissait moins bien certains pays… Il voulait des aventures qui se passent dans des centres urbains, sur fond d’économie. Les albums « OPA » et « Business Blues » ont permis de fixer le cadre de vie du héros, montrer qu’il n’a pas de soucis financiers et que son emploi du temps est libre. Qu’il est un chef d’entreprise mais que chacune des divisions du groupe W ayant son patron, le groupe tourne qu’il soit là ou pas…
C’est une BD très divertissante avec des scènes d’action mais, pendant quelques planches, vous vous arrêtez et vous intégrez des concepts économiques. Ça a été la plus-value de cette BD. Personne ne l’avait fait avant. Ce contexte est l’occasion de fixer une bonne histoire.
J’ai choisi Eric, rencontré par ailleurs bien avant. Il était la personne qui semblait pouvoir reprendre cette série. En plus d’écrire des romans, il a été journaliste économique et je désirais renouer avec l’aventure financière, un temps délaissée.
Il fallait que ce soit la suite du tome 20, au cours duquel le méchant s’en sortait, et que Largo, le héros, se refiscalise. Jusque-là, la particularité de l’empire dont il avait hérité reposait sur 10 bouts de papier dans une Anstalt àVaduz (NDLR : société spécifique du Liechtenstein qui est exemptée d’impôts sur les flux financiers réalisés à l’extérieur du pays), ce qui lui évitait de payer des frais de succession. Son père adoptif, Nerio Winch, en avait eu l’idée mais à notre époque ce n’était plus tenable, ni éthique.
Un tiers de nos lecteurs sont probablement des cadres, dirigeants, avocats, banquiers, gestionnaires de fortune… Des Français, Belges et Suisses… Ils adorent Largo parce que la série traite du monde et de l’économie actuels. Les deux autres tiers, dans la grande majorité, sont des lecteurs traditionnels de BD qui aiment les histoires d’aventure et les personnages de la série.
Un personnage de bande dessinée contemporain, et je parle de tous ceux qui ont existé depuis les années 1930, comme Tintin, Spirou, Fantasio et tant d’autres… s’il est animé régulièrement avec la sortie d’un album au moins tous les deux ans, sans grosses interruptions, il a toutes les chances de perdurer 50 ou 100 ans et de se moderniser au fil du temps. Cela dépend aussi bien sûr de la fidélité du lectorat.
La série s’est vendue à plus de 11 millions d’exemplaires à travers le monde et est traduite en 17 langues. Le dernier opus a été tiré à 300 000 exemplaires.
Dans ce petit univers de la bande dessinée, il faut 30 ans minimum pour installer un personnage dans la culture générale d’une société. Les films ont participé à ce que Largo rentre dans l’imaginaire du grand public. Cet ensemble conjoncturel favorable explique que lorsque « L’étoile du matin » est sorti, Olivier Bossard, le directeur du master finance d’HEC, l’a adoré et a voulu utiliser Largo Winch pour son projet de livre « Introduction à la Finance ».
L’année prochaine est l’année de la BD, Citéco (NDLR : la Cité de l’Economie, nom du nouveau musée à Paris) était intéressé pour une exposition temporaire en 2020. La BD est devenue un vecteur pédagogique, la preuve avec Economix (NDLR : la première Histoire de l’économie en bande dessinée, publiée dès 2012), « Les algues vertes, l’histoire interdite » ou « Sarkozy Kadhafi, des billets et des bombes »…
Cela donne une image plus crédible. Peut-être que si Largo avait été inventé aujourd’hui, on l’aurait situé en Chine ou ailleurs. Cela dit, la dynastie des Winch étant des migrants yougoslaves — leur vrai nom est Winczlav — venus aux Etats-Unis se réfugier, cela fait partie de l’histoire de ce continent.
Actuellement, les activités du groupe W, construit tout au long du XXe siècle, sont : mines, métallurgie, grande distribution, transport maritime… A partir des prochains albums, il va y avoir diversification. On va le rendre plus écolo en participant par exemple à la lutte contre le réchauffement climatique.
Il n’y a aucun patron équivalent sur la planète. Un patron qui fait des bénéfices, ne délocalise pas, ne licencie pas, baisse le salaire de ses grands directeurs en cas de mauvaises performances… Moi je n’en connais pas ! Cela en fait un personnage de milliardaire sympathique. Le patron que j’aurais aimé avoir en tant que salarié.
Source: Le Parisien
Posté 16 décembre 2019 à 20 h 59 en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 8 – Les deux bâtards Lien | Citer2/3 des mots du titreOh là, on s’emballe
D’abord, le titre est composé de 3 mots, sans nom propre.
S’agit-il de marins ?
ce sont des marins, mais pas que…
Les deux barreurs de skuta de la forteresse de Nonnebaken
Malgré ce titre particulièrement hasardeux, le second mot est trouvé
Le titre du tome 8 commence donc par « Les deux ………………….. »
Posté 16 décembre 2019 à 19 h 31 en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 8 – Les deux bâtards Lien | Citerest-ce un duo de personnages ? couple ou autre ?
duo mais pas couple
les personnages font-ils partie de la famille d’Harald à la dent bleue ?
un des deux personnages
le titre du nouvel album fait-il rêver ?
Le titre est-il du Yann tout craché? (Jurons ou noms inconnus?)
Posté 15 décembre 2019 à 22 h 26 en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 8 – Les deux bâtards Lien | Citer1/3 des mots du titreAh ben non JJ, faut pas chercher la réponse sur le net, sinon c’est plus du jeu
Est-ce que ce sont de nouveaux personnages ? Si j’ai bien compris le titre :
Et ma proposition, mûrement réfléchie :
Les époux Arnolfinson
Malgré cette longue réflexion, je dois malheureusement te dire que seul le premier mot est bon.
les personnages sont-ils des associés comme les 3 vieillards du pays d’Aran ?
ou les personnages forment-ils un groupe homogène comme les Alfes noirs ?
Tharm a écrit
J’avoue, pas du tout habituée des forums en général ^^ ça ne m’empêche pas de trouver le site extra !On le serait à moins, gagner deux fois au concours des pierres d’Odin, c’est pas du jeu !
Mais félicitations quand même Tharm, et bonne chance avec tes amours !
Posté 15 décembre 2019 à 10 h 43 en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 8 – Les deux bâtards Lien | Citerle titre de l’album parle d’un lieu ?
Est-ce un personnage ?
ou plutôt des personnages
Le croc blanc
bien essayé !
Posté 14 décembre 2019 à 17 h 15 en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 8 – Les deux bâtards Lien | CiterJs a écrit
Alors je ne peux pas participer! Donnerwetter!Désolé Jakub, tu en sais trop !
Un titre en 2 ou 3 mots (ou plus) ? en 3 mots
qui contient un nom propre ?
Posté 14 décembre 2019 à 12 h 28 en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 8 – Les deux bâtards Lien | CiterRetrouvez le titre du tome 8 !Petit jeu pour découvrir le titre du nouvel album qui sortira le 13 mars.
A vos questions, auxquelles je ne répondrai que par
ou par
,
ou à vos propositions de titre pour ce tome 8 de la Jeunesse de Thorgal
Maxime a écrit
j’ai une idée pour le titre
« Du sang et des tripes » !!
PS : Merci à Jakub pour le partage
Nouveau personnage mystère à retrouver. A vos questions !
Hirondl
Tu en fais la collection
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 4 mois par Tjahzi.
Tome 1 – Lord HéronLes images du cycle de Sioban arrivent plus nombreuses chaque jour. D’abord sur la page FB de la Complainte des Landes Perdues, cette planche dessinée par Paul Teng avec Jean Dufaux au scénario.
Et ce matin, c’est la coloriste Bérengère Marquebreucq qui livre le titre du premier tome de ce nouveau cycle, « Lord Héron« , tout en partageant de nouvelles vignettes de l’album.
Sources : FB de La Complainte des Landes Perdues et de Bérengère Marquebreucq
VigridNouveau coup gagnant pour Bugs qui a reconnu Vigrid apparaissant ici dans « Le sacrifice » !
Tome 1 en 2020Vu sur le compte Twitter de Bérengère Marquebreucq, la coloriste du nouveau cycle de la Complainte consacré à Sioban avec Paul Teng au dessin.
Source : Twitter de Bérengère Marquebreucq
biberonné à la vodka ?
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