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Posté 26 novembre 2023 à 20 h 58 en réponse à : Vignaux, Recht et Rosinski sont sur un bateau Lien | Citer
Excellente nouvelle, on a retrouvé Olivier !
Mais deux semaines pour te remettre et nous rédiger un compte-rendu, là tu m’inquiètes… l’apéro était si fort que ça sur le bateau ?
Allez, on attend impatiemment tes photos
Posté 25 novembre 2023 à 19 h 45 en réponse à : Vignaux, Recht et Rosinski sont sur un bateau Lien | CiterVoilà pourquoi on ne retrouve plus Olivier !
Là, c’est avant que Thorgal ne se lance dans sa séance de maquillage.
Source : Dossier de presse de l’album partagé par J. Lachasse
Posté 25 novembre 2023 à 19 h 26 en réponse à : Thorgal Saga – La déesse d’Ambre – Bec & Mangin Lien | CiterUn dessin très réussi, autant dans l’équilibre de l’image que dans les détails, avec ces roches taillées intrigantes et ces indiens inquiétants. Et puis retrouver Thorgal dans sa tunique noire, que de souvenirs !
Sortie du tome 22 de GastonC’est aujourd’hui que le nouvel album de Gaston Lagaffe sort
France Info propose le jeu des 7 différences :
Le retour de Gaston Lagaffe : les 7 différences avec un album de Franquin
Plus de trente ans après la parution de son dernier gag dans le journal de Spirou, Gaston Lagaffe fait son retour. Delaf, auteur québécois, succède ainsi à un des plus grands auteurs de la BD, André Franquin. Un 22e tome sans boulette ni bévue ?
Comme avec ceux qu’on trouve dans le journal de Spirou, nous nous sommes amusés au jeu des 7 différences. Vous connaissez ? Deux images côte à côte et vous devez trouver les erreurs ou les différences. Là, l’exercice porte sur le Gaston de Delaf versus celui de Franquin. Vous pourrez aussi jouer en lisant ce nouvel opus, Le Retour de Lagaffe, en librairie le 22 novembre qui, même s’il fera hurler des grincheux, n’est déjà pas une trahison graphique ou un travail bâclé.
1/ Un album made in America
Delaf, l’auteur des « Nombrils », succède à Franquin sur « Le Retour de Lagaffe »
Delaf, de son vrai nom Marc Delafontaine, n’est pas belge comme Franquin. Il est Québécois, il a 50 ans et vit à Sherbrooke, une ville à 50 km de la frontière américaine. C’est de là-bas, à son domicile, qu’il a dessiné et conçu le scénario de ce nouvel album. Il y a passé beaucoup de temps, quatre années, notamment durant la période étrange et pas franchement rigolarde de la pandémie. Il est déjà le dessinateur d’une série humoristique à succès, Les Nombrils, qui paraît chez le même éditeur Dupuis.
2/ Un Gaston conçu sur un écran
Franquin dessinait ses planches sur du papier. Delaf est passé à l’ordinateur. Il travaille sur une tablette graphique. Et cela convient bien à l’auteur canadien, grand méticuleux. Il a amassé des milliers de fichiers issus des planches originales de Franquin qu’il a conservés sur l’écran latéral de son ordinateur. Il a ainsi pu « retrouver facilement les références à des objets, personnages, décors ou attitudes », a-t-il confié au journal Spirou. Et d’ajouter : « sur tablette graphique, je peux dessiner en très grand format et adopter une posture de travail qui ménage mon dos ! ».
Gaston et Léon Prunelle dessinés par Delaf
3/ Un 22e tome qui commence en gags et finit en récit
L’essentiel des albums du Gaston de Franquin est une suite de gags. Delaf s’y plie au début avec, il faut lui reconnaître, un certain brio. Puis il glisse peu à peu, de planche en planche, vers une histoire qui finit en aventure quasi policière. C’est la touche la plus personnelle apportée par Delaf à Gaston. Tout comme sa série Les Nombrils qui a commencé par une suite de gags et se prolonge maintenant au gré des albums en histoire où les caractères des personnages sont plus développés.
Lagaffe avait pris des vacances avant de revenir travailler à la rédaction de Spirou.
4/ Après le dernier Franquin, mais toujours seventies
Pas de téléphone portable ou d’ordinateur sur les bureaux de la rédaction de Spirou où travaille (enfin « travaille », c’est beaucoup dire) Gaston. À la lecture de l’album, nous ne faisons pas de saut dans le temps. Gaston commence sa carrière en 1957, mais Franquin a donné corps au personnage autour des années 1970, notamment par la publication des albums. Avec Delaf, nous restons dans cette période, mais le Canadien joue avec astuce sur le retour de Gaston. L’action se situe donc après le dernier album de Franquin et toute la rédaction salue avec peu ou prou d’enthousiasme le revenant. C’est donc une suite sans trahison de temporalité sur le gaffeur de Franquin.
Les seuls téléphones portables sont ceux inventés par Gaston dans « Le Retour de Lagaffe ».
5/ Les nouveaux gags objets
Les nostalgiques retrouveront dans l’album le mythique Gaffophone, la boule de bowling, le Gaston en latex, la redoutable boîte du petit chimiste ou la collection d’appeaux. Mais Delaf a eu la bonne idée d’ajouter son lot d’inventions en clin d’œil à notre époque : un vélo électrique, un Aïe-Phone, une glace qui transforme Gaston en Spiderman ou un purificateur d’air à essence !
Le vélo électrique façon Gaston
6/ Les nouveaux personnages
Absent des albums de Franquin, l’imprimeur fait son apparition dans ce nouveau tome. La bonne cinquantaine bedonnante, le personnage est un râleur. Un psy aussi pointe son (long) nez et soigne une bonne partie de la rédaction. Delaf fait revenir Fantasio. Franquin l’avait écarté des histoires de Gaston pour ne pas faire sombrer le personnage dans la schizophrénie. D’un côté le Fantasio colérique et rigoriste chez Gaston et de l’autre le Fantasio fantaisiste et distrait dans Les Aventures de Spirou et Fantasio.
Fantasio revient lui aussi dans ce 22e album.
7/ Et Franquin dans tout ça ?
Même si Delaf ne l’a pas dessiné, il est bien présent dans le récit puisqu’il est question de planches de Franquin égarées. Une mise en abyme que l’auteur belge ne s’est jamais permise. D’ailleurs, Franquin n’a jamais fait apparaître dans Gaston des personnages réels de la rédaction de Spirou à l’exception de Raoul Cauvin, le prolifique scénariste des Tuniques Bleues. Cauvin était à l’époque responsable du laboratoire de reproduction des éditions Dupuis. Delaf le ressuscite dans la même fonction pour ce 22e tome qui est, in fine, un bel hommage à son génialissime créateur.
Source : France Info
Je vous parlais plus haut de l’exposition-vente organisée à Courtrai en Belgique. Un catalogue limité sera publié pour l’occasion.
Le 8 décembre les artistes Philippe Xavier & Frederic Vignaux viendront à Kortrijk pour assister à leur exposition.
Au programme : Vernissage et apéro dédicaces dès 19hrs
En plus, nous avons un catalogue limité qui arrive bientôt…
Inscrivez-vous et nous serons les premiers à vous informer.
https://tinyurl.com/3y96aya7 Stripweb.be toujours une bande dessinée d’avance !
BDweb Courtrai – Stripweb Kortrijk Librairie BDweb
Source : FB de Fred Vignaux
Dédicace de Fred à « La Case à Bulles »
Source : FB de La Case à Bulles
Journal Tintin 77 ans couverture cartonnéeMerci pour la publication Stéph.
Vu l’actu très chargée de ces dernières semaines, il n’y avait de toute façon aucune urgence pour l’exposition qui reste ouverte jusqu’en août 2024.
Tu as bien fait de remonter ce sujet car un nouvel album vient de paraître !
Il s’agit donc de la version avec couverture cartonnée bleue du Journal Tintin spécial 77 ans.
J’avais acheté la version à couverture souple orangée en septembre et je m’étais retenu d’en parler trop en détail vu que plusieurs membres du forum attendaient plutôt l’album cartonné. C’est l’occasion pour moi de m’y replonger, puis d’enfin aborder l’histoire courte de Thorgal dessinée – et scénarisée! – par Fred Vignaux.
Source : Le Lombard
Posté 21 novembre 2023 à 13 h 10 en réponse à : Vignaux, Recht et Rosinski sont sur un bateau Lien | CiterInquiétude à bord du Costa Toscana où on a perdu toute trace d’Olivier. On a juste retrouvé l’excellent tome N&B d’Adieu Aaricia dédicacé par Robin Recht, ce qui n’est pas rassurant car Olivier tenait plus que tout à cet album. L’enquête suit son cours…
Posté 21 novembre 2023 à 13 h 00 en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | CiterOn dirait qu’il manque une tranchefile pour tenir les cahiers ensemble…
Waouh ! Bravo pour ton initiative Totom !
Les 2 sources de Thorgal.com où tu trouveras des infos à relayer sont les actualités en page d’accueil du site et les nouvelles publiées dans le forum. Par rapport au site, tu apportes un ‘plus’ en publiant les infos en anglais, félicitations
Giulio de Vita a arrêté de dessiner Kriss de Valnor pour se consacrer à d’autres projets, dont le plus important est son musée de la BD dont ont parle dans les messages ci-dessus. Il a profité du départ du scénariste Yves Sente qui a quitté la série Thorgal et celle de Kriss en 2014.
On a parlé de l’annonce de De Vita à la page précédente : http://www.thorgal.com/sujet/giulio-de-vita/page/2/#post-49110
Clovis sangrail a écrit
Bonjour,
À l’occasion d’un séjour en famille, j’ai eu l’opportunité de me rendre début novembre à la rétrospective Rosiński à Łódź.
Vous en trouverez le compte-rendu et les photos dans les sujets suivants du Forum Alix auquel je participe d’ordinaire :
Merci Clovis pour ce super reportage à Łódź
Il y a de quoi passer des heures dans cette exposition !
Je me permets de reprendre quelques-unes de tes photos ici pour attirer les curieux chez Alix.
Posté 18 novembre 2023 à 22 h 13 en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | CiterAlima a écrit
Malheureusement, je n’ai toujours pas compris comment partager une photo sur ce forum pour vous montrer ça…
Bonsoir Alima, tu peux envoyer tes photos par mail à webmestre@thorgal-bd.fr, Stéph les postera pour toi dans la discussion.
Le LombardLes Éditions du Lombard partagent les couvertures des deux albums sur leur site… ils ont juste oublié la peinture dorée !
Source : Le Lombard
Mise en place en magasinThorgal-BD a écrit
Chouette ! J’adore toujours autant les mises en places d’albums en magasin. Merci, n’hésitez pas à faire de même, où que vous l’aperceviez.Dans ma petite ville, j’ai comparé tout à l’heure la mise en place de l’album dans 3 magasins : Club, Carrefour et Cora. Et le tout grand gagnant est Cora (même si c’est un magasin où je ne mets quasi jamais les pieds) !
Chez Club, en pile auprès de Largo Winch…
Chez Carrefour, à côté de Blake et Mortimer…
Et chez Cora, sur un chouette présentoir à côté de celui de Jones… Bravo à Yann qui aligne les deux scénarios !
J’ai ôté la vilaine étiquette qui masquait Thorgal pour vous faire de belles photos du présentoir sous tous les angles !
J’aime beaucoup ce portrait de Thorgal…
Par contre celui-ci…
Tiens, on dirait que Thorgal doit soulever le Père Noël !
Vue latérale du PLV…
Tout cela est très alléchant, mais là où Cora fait bien plus fort que ses concurrents, c’est que je retrouve l’album de Thorgal mis en évidence à 4 autres endroits du rayon BD. Alors là, chapeau bas !
Posté 17 novembre 2023 à 22 h 17 en réponse à : Largo Winch – 23 & suivants – Giacometti et Francq Lien | CiterEdition documentéeJe l’ai acheté… mais pas encore lu ! Je m’y plonge juste après ceci !
J’ai failli confondre les deux versions de l’album tout à l’heure à la librairie. Je comprends maintenant pourquoi ma fille m’avait acheté l’édition augmentée du tome 23 sans s’en rendre compte. Les deux versions sont mélangées dans la même pile, voilà un bon moyen de les vendre !
Il faut dire qu’elle se ressemblent vraiment…
Il y avait juste un autocollant en plus pour les plus attentifs.
Mais en feuilletant le dossier qui complète l’édition limitée, j’ai trouvé qu’il n’en valait pas la peine. J’ai finalement choisi l’album de base. Voici les quelques pages qu’on retrouve dans ce dossier :
Et pour terminer, la quatrième de couverture nous annonce des titres à la « Voir Venise… « ...Et mourir« .
Posté 17 novembre 2023 à 21 h 44 en réponse à : Miséricorde – par Jean Van Hamme et un collectif de dessinateurs Lien | CiterJe l’ai tenu en main tout à l’heure, un peu feuilleté mais pas acheté, je le garde pour ma liste de Noël.
Je possède très peu de BD de ce format moyen, je vous ai pris une photo en librairie pour comparer sa taille avec 2 autres albums (qui eux sont déjà arrivés chez moi).
Bob de GrootOn apprend le décès de Bob de Groot, le scénariste de Léonard et Robin Dubois, dessinés par son complice Turk.
Robin Dubois était une de mes séries préférées dans le journal Tintin, j’adorais l’humour absurde des gags de Bob de Groot.
La RTBF rend hommage à cet auteur qui a marqué la BD franco-belge durant de nombreuses années :
Léonard est orphelin : l’auteur de BD belge Bob De Groot est décédé
Les Éditions du Lombard ont la profonde tristesse de vous faire part du décès de Bob de Groot, survenu ce 17 novembre 2023 à Ottignies (Belgique), à l’âge de 82 ans, indique dans un communiqué des Editions du Lombard. Scénariste, dessinateur et découvreur de talents, co-créateur des célèbres Léonard et Robin Dubois, il prit son envol sous l’aile des plus grands pour atteindre le firmament du 9e Art. »
« Loin de se limiter à la BD humoristique, il multiplia les collaborations dans tous les genres et laisse derrière lui une œuvre pléthorique à la mesure de son infatigable envie d’écrire. La Direction, et l’ensemble des auteurs, collaborateurs et personnel de la maison d’édition s’associent à la douleur de sa famille et de ses proches. »
Dès l’enfance, ce natif de Bruxelles n’est intéressé que par une seule chose : la bande dessinée. Délaissant les cours dès que possible pour s’adonner à sa passion – quand bien même il s’agit dans un premier temps d’organiser les jeux de plage du journal Spirou. À croire qu’offrir rires et évasion aux enfants était une seconde nature chez Bob de Groot.
Bien vite, il rejoint l’équipe du studio de dessins de l’éditeur de Marcinelle. Déjà prolifique, il publie son premier mini-récit dans Spirou en 1962, et place ici ou là dessins, strips et pages dans les quotidiens belges. Il attire l’attention de Maurice Tilleux, dont il devient un des assistants. Car s’il est doué d’une inventivité personnelle bouillonnante, Bob de Groot n’a pas non plus son pareil pour se glisser dans l’univers des autres, surtout s’il s’agit de leur écrire un gag désopilant dont il signe le story-board – habitude qu’il conservera toujours. C’est ainsi qu’il fait la connaissance de Philippe Liégeois, alias Turk. Tous deux sont alors auteurs complets mais l’un peine sur les scénarios et l’autre commence à vivre le dessin comme une limitation à son envie d’écrire toujours plus. La solution est toute trouvée, d’autant qu’ils partagent un goût certain pour l’absurde, les jeux de mots et le comique visuel à la Tex Avery. C’est le début d’une belle amitié, selon la formule consacrée.
Les deux compères tapent un jour à la porte du Studio Greg. Rencontre déterminante s’il en fut : le créateur d’Achille Talon les prend sous son aile, négociant leurs premiers contrats avec Le Lombard, corrigeant les planches du jeune scénariste, jusqu’au jour où il n’a plus d’amélioration à lui suggérer. Ensemble, de Groot et Turk feront les riches heures du journal Tintin version Greg (lequel en prend la direction en 1965). Ils y créent Robin Dubois, qui leur vaudra souvent les honneurs des lecteurs, par l’entremise du référendum. C’est dans l’une des pages de cette série phare que, en 1974, de Groot a l’idée d’un vieil inventeur – Léonard – qui vient d’inventer le parcmètre. Comme Greg lance Achille Talon Magazine, il leur demande de développer le concept qui, selon lui, se prêterait bien à une série comique. Une idée de génie : Léonard est né. Le reste appartient à l’Histoire, et dans le gag de Robin Dubois, le vieil inventeur s’appellera Mathusalem.
Mais il serait dommage de réduire Bob de Groot à ses héros les plus célèbres. Ce serait oublier qu’il fut l’illustrateur d’une série de Fred. Que, sur le conseil de Jean Van Hamme, il s’aventura sur les rives du récit réaliste en écrivant pour Philippe Francq le sombre et touchant Des villes et des femmes. Qu’à l’instar de son mentor Greg, il fut rédacteur en chef d’un magazine, L’œuf, où il fut le premier à croire en un humoriste débutant nommé Philippe Geluck. Qu’il sut avec succès se glisser dans les pas de Goscinny, Franquin ou Macherot pour écrire Lucky Luke, Modeste et Pompon ou Clifton. Qu’il fut directeur littéraire du groupe Alpen, où il révéla entre autres Jean-François Di Giorgio et André Taymans. […]
Source : RTBF
Dédicaces du tome 41 par Fred VignauxPetite synthèse des dédicaces de « Mille yeux » annoncées jusqu’à présent :
- Jeudi 16 novembre 17h-20h : La Case à Bulles à 92600 Asnières-sur-Seine
- Vendredi 17 novembre 16h-19h : Librairie Sanzot à 75014 Paris
- Jeudi 23 novembre 17h-20h : Librairie Traits d’Esprits à 75006 Paris
- Samedi 25 et dimanche 26 novembre : festival « Chaville en BD » à 92370 Chaville + exposition
- Samedi 2 décembre 15h-17h : Fnac à 4000 Liège (B)
- Vendredi 8 décembre 19h : BDweb à 8500 Courtrai (B) + exposition-vente
Dédicaces du tome 41Petite synthèse des dédicaces de « Mille yeux » annoncées jusqu’à présent :
- Jeudi 16 novembre 17h-20h : La Case à Bulles à 92600 Asnières-sur-Seine
- Vendredi 17 novembre 16h-19h : Librairie Sanzot à 75014 Paris
- Jeudi 23 novembre 17h-20h : Librairie Traits d’Esprits à 75006 Paris
- Samedi 25 et dimanche 26 novembre : festival « Chaville en BD » à 92370 Chaville + exposition
- Samedi 2 décembre 15h-17h : Fnac à 4000 Liège (B)
- Vendredi 8 décembre 19h : BDweb à 8500 Courtrai (B) + exposition-vente
En dédicace avec Philippe XavierFred Vignaux sera en dédicace avec Philippe Xavier à 2 reprises :
- le 23 novembre de 17h à 20h chez Traits d’Esprits à Paris
- le 2 décembre de 15h à 17h à la Fnac à Liège (B)
Sources : Traits d’Esprits & Le Lombard
Posté 17 novembre 2023 à 16 h 06 en réponse à : Kriss de Valnor – 1 – Je n’oublie rien ! Lien | CiterTotom6892 a écrit
L’histoire prend place entre le tome 28 et le 29 ?Les séries « Kriss de Valnor » et « Louve » ont été conçues comme des histoires se déroulant en parallèle avec la série mère. Le tome 1 de Kriss arrive après le tome 31 de la série Thorgal, il faut donc l’imaginer à ce moment-là. Tu verras d’ailleurs par la suite que certains tomes de Kriss ont des liens directs avec la série principale.
Totom6892 a écrit
Une autre série parallèle vous semble possible ? Hormis les Thorgal vu parTout est possible dans le monde de Thorgal !
L’autre série parallèle qui a un impact sur la série mère est « Louve » , même si c’est moins important qu’avec la série « Kriss de Valnor » . Pour terminer, la série « La Jeunesse de Thorgal » peut se lire à n’importe quel moment car elle n’a pas d’impact sur la série principale.
Tu peux retrouver la chronologie de parution de tous les albums ici :
http://www.thorgal.com/albums/nouveautes/
Il faut cliquer dans le menu sur « Ordre croissant » pour voir quand arrivent les albums des séries parallèles.
- Ce sujet a été modifié le il y a 1 an et 7 mois par Tjahzi.
Posté 17 novembre 2023 à 15 h 34 en réponse à : Miséricorde – par Jean Van Hamme et un collectif de dessinateurs Lien | CiterCritique sur Addict-CultureRetour positif à propos de « Miséricorde » sur le site Addict-Culture.
« On ne présente plus Jean Van Hamme (Thorgal, XIII, Largo Winch), une figure de la bande-dessinée aux 45 millions d’albums vendus ! Avec 7 autres grands talents, il publie 7 nouvelles dans Miséricorde (Dupuis). Inégal mais souvent jubilatoire.
C’est toujours un pari que de réunir autant d’auteurs contemporains au service d’histoires courtes et surprenantes. Mais la maison Dupuis et son illustrissime scénariste Van Hamme ont manifestement su convaincre une pléiade d’artistes de les accompagner dans cette aventure. Et ils ont bien fait, car la mise en scène graphique est aussi riche que bien écrite.
Chacun sait en effet que, pour embarquer son lecteur et sa lectrice dans un temps court, il ne faut pas tergiverser. De ce point de vue, Miséricorde tient la corde. Pour cela, l’album s’appuie sur 7 histoires à l’ancrage historique varié, machiavéliques ou monstrueuses, souvent mortelles, toujours implacables.
On commence ainsi par faire connaissance avec un auteur débonnaire de romans de gare, dont les personnages se veulent tous plus sadiques les uns que les autres. Mais attention, sa femme veille au grain et n’est pas aussi effacée qu’elle en l’air. Au final, dans ce récit dessiné par Aimée de Jongh (Jours de sable, Soixante Printemps en hiver), le bonhomme tombera de haut.
Il en sera de même pour le directeur général adjoint de la Chronos Incorporated, personnage aussi savoureux qu’imbu de lui-même et de son invention : une petite pilule censée arrêter le temps. Illustrée par Jose Luis Munuera, qui co-pilote par ailleurs les aventures de Spirou & Fantasio, Les bretelles (c’est le nom de cette nouvelle) se révèle être une étonnante fiction !
Le vol d’Icare et Comment avoir sa statue sur la place Joachim XIII (rien que ça), avec respectivement Ricard Efa et Emmanuel Bazin au dessin, s’avèrent plus convenus et donc moins convaincants. Plus cruel est le récit porté par Christian Durieux dans Les dents de l’amour, qui fait se rencontrer un vieux garçon bedonnant et une femme trop bien pour lui. Après avoir fait ample connaissance avec sa dulcinée, le pauvre garçon se fera avoir par cette femme à l’appétit féroce.
Quant à Adios, amigo, où les dessins de Djief nous entraînent dans une ambiance chaude et pesante, et Le piège avec Dominique Bertail à la manœuvre, ce sont là deux récits au parfum acidulé à déguster sans modération. Le premier, qui met aux prises une blonde roublarde et un journaliste en mal de sensations fortes, fait quelque peu froid dans le dos. Le second s’apparente à un conte plutôt amusant.
Bref, il y en a pour tous les goûts, pour peu que l’on aime être surpris et se laisser piéger par des histoires où la miséricorde n’a… aucune place ! »
Source : Addict-Culture
Posté 17 novembre 2023 à 15 h 20 en réponse à : Largo Winch – 23 & suivants – Giacometti et Francq Lien | CiterSortie du "Centile d'Or"Le tome 24 de Largo Winch parait aujourd’hui !
A cette occasion, BDGest propose de gagner les 2 derniers tomes de la série. Pour jouer, c’est
ICI.
Largo est en couverture du dernier Casemate qui lui consacre un dossier de 8 pages. Une partie de l’entretien avec les auteurs est accessible gratuitement en ligne
ICI.
« Plus un poil de sec ! À peine de retour en cata de l’espace, Largo effectue un plongeon de haut vol, surfe plein pot, tel Iron Man, sur un Flyboard à la poursuite d’un hélico. C’est le retour de la grande aventure pour le milliardaire chéri de la BD comme l’expliquent Philippe Francq et le romancier-journaliste Éric Giacometti, successeur de Jean Van Hamme au scénario. Suite et fin de leurs interviews à découvrir dans Casemate 173.
Est-il concevable qu’un milliardaire pilote une navette spatiale telle Astéria ?
Philippe Francq : Absolument, si c’est sa passion. Ancien pilote de chasse, Olivier Dassault, successeur de son père à la tête de l’empire Dassault Aviation, disparu dans un crash d’hélicoptère, pilotait lui-même ses engins. Même s’il le faisait toujours accompagné par un pilote professionnel.
Que vous ont apporté les conseils de Jean-François Clervoy, spationaute français avec trois missions spatiales de la NASA au compteur ?
Énormément de choses ! Inventer une navette spatiale calquée sur celle de Richard Branson de Virgin, mais sans qu’elle lui ressemble tout à fait, oblige à se poser un nombre incalculable de questions. Quelle altitude peut-elle atteindre ? Pendant combien de temps peut-elle rester en orbite ? Celle de Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon, ne fonctionne pas de la même manière, va beaucoup plus haut qu’Astéria et tourne plusieurs fois autour du globe. Celle de Branson a un temps de vol, de l’allumage du moteur à son retour sur le tarmac, de plus ou moins 7 minutes. 360 secondes… dont seulement 30 à 60 pour pouvoir admirer la Terre dans sa globalité. C’est vraiment très court !
Tiens, on ne voit pas Bernard Arnault, ex-première fortune mondiale parmi votre centaine de milliardaires. Pas assez bédégénique ?
On montre juste Jeff Bezos. Je n’avais pas envie qu’on reconnaisse spécialement des gens. Ni de m’embêter à caricaturer untel ou untel. Il y a tellement de milliardaires ! Tous les plus riches du monde quand on les présente dans la presse. Mais personne n’a vraiment une vue précise sur les comptes de chacun. Pareil pour les bateaux, c’est toujours « le plus grand du monde » qui vient d’être construit… avant d’être détrôné par le suivant.
Pensez-vous finir votre carrière en compagnie de Largo ou rêvez-vous d’autres personnages, d’autres histoires ?
Je ne sais plus qui disait, Jean-Claude Carrière peut-être, qu’on a toujours l’impression qu’on aura le temps de faire des choses, qu’on pourra changer de vie. En fin de compte, on meurt toujours dans l’urgence, pris par trente-six mille trucs. Sans jamais accéder à plein de choses qu’on pensait possibles.
Imaginez-vous Largo figé ou évoluant, vieillissant peut-être ?
La question de l’évolution d’un personnage, ce sera ses repreneurs qui en décideront. Jusqu’à présent, Largo subit une évolution continue.
Est-il vrai que vous aviez dessiné Reno sans grand enthousiasme ?
Reno, c’est Ploucs-ville, une concentration de casinos pour les bouseux ! Un très bon film de Clint Eastwood s’y termine. Van Hamme avait choisi Reno dans Golden Gate, le onzième Largo Winch, parce qu’il se déroulait en grande partie à San Francisco, plus proche de Reno que Las Vegas. À l’époque, en 2000, oui, j’aurais préféré dessiner Vegas que cet endroit ringard jusque dans la déco des casinos !
Difficile de toucher au scénario une fois que tout est établi ?
On ne peut pas, quand tout a été pensé, les quarante-six pièces sont bien emboîtées !
Mais vous n’aimez guère les cadres bien serrés…
Des scénaristes vont jusqu’à préconiser certains angles de vue. Cette méchante tendance, qui vise à tout imaginer avant le dessinateur, les coince parfois, bride leur imagination. Stephen Desberg m’avait écrit un scénario que je n’ai pu dessiner, car la moitié des choses étaient indiquées. Éric et Jean ont ce talent d’en dire un minimum, mais de façon suffisamment éloquente pour que mon imagination puisse travailler. Un personnage, une fois dessiné, sera sans doute fort éloigné de ce que le scénariste avait en tête. Oui, pour un tas de raisons, le scénario est hyper important pour l’architecture et la structure du récit. Mais, ensuite, c’est comme pour le piano (auquel je ne connais rien) : une main s’occupe de l’architecture de la mélodie, l’autre l’accompagne de manière parfois beaucoup plus libre. Un scénario doit laisser de la liberté au dessinateur.
Côté couverture, c’est le retour au fond blanc des premiers albums ?
Philippe Francq : Je ne voyais vraiment pas quelle couleur coller derrière. Je n’ai pas de règle pour la couverture. L’idée peut arriver en milieu d’album. Parfois, je n’en ai toujours pas en bouclant l’histoire. Pour ce diptyque, ce fut pile le contraire : j’ai réalisé ces deux couvertures avant d’attaquer le récit. Ne me demandez pas pourquoi ! Il m’amusait de savoir, en dessinant la couverture de La Frontière de la nuit que celle du suivant, Le Centile d’or, dormait dans les oubliettes de mon ordinateur de travail. Sans que je l’aie montré à personne.
Un travail agréable ou un pensum ?
En tout cas, un exercice très particulier. À l’Institut Saint-Luc de Bruxelles, on nous demandait d’imaginer dix projets de couverture « il y en aurait bien un qui émergera ! ». J’ai toujours détesté cet exercice. Quand jaillit une idée, elle devient irremplaçable. Impossible de faire cinq projets de couverture aussi bons les uns que les autres.
Francq, unique juge en la matière ?
Oui, je choisis seul. C’est une grande chance. Chez certains éditeurs, tout un comité de commerciaux se penche sur la question. Et le pauvre dessinateur ignore lequel de ses projets va ressortir gagnant de la réunion. Terrible. Une pratique, au vu de ses résultats, toujours assez lamentable. Les commerciaux gardent toujours en tête la couverture du précédent album. S’il a bien marché, ils penseront réitérer le même succès en choisissant une couverture presque identique. Une illusion. On ne peut pas faire deux fois la même chose. C’est en choisissant un autre angle qu’on surprendra le lecteur.
Zep, dans Casemate 170 : « Si je devais dessiner un Largo Winch, boulot de dingue et pas très folichon, ce serait avec le logiciel Midjourney. »
Philippe Francq : Encore une réaction idiote. Une IA ne sera jamais capable de penser une page de la même manière que nous ! Une planche demande autant de travail sur l’architecture de la page qu’en dessin pur. Je passe une semaine sur chaque page… Je regardais dernièrement un documentaire d’Avril Tembouret, L’Histoire de la page 52, qui retrace la création d’une planche du Valérian – Souvenirs de Futurs. On voit Jean-Claude Mézières, à sa table à dessin, organiser une page à trois strips. La première image, en introduction, représente une arène où l’on sent qu’il va se passer quelque chose. On le suit, au deuxième jour, encrant sa première image alors que le deuxième strip n’est qu’à peine esquissé et le troisième totalement vide. Passent les jours… il découpe le premier strip, redessine l’image et l’encre à nouveau. Et le premier strip initial atterrit dans une armoire bourrée de papiers : toutes les cases auxquelles il a renoncé. Au final, Mézières, qui pourtant dessine vite, aura passé sept jours sur cette page. Tout comme moi. Sauf que je n’ai pas d’armoire aux strips non publiables !
Comment se décompose une de vos semaines ?
Les trois premiers jours, je ne fais rien, ne pousse pratiquement pas le crayon. Je réfléchis. Puis, je commence à dessiner sur des feuilles volantes A4. Lorsque j’ai tous mes croquis et une idée de l’architecture générale de la page, j’attaque la planche. Et, là, ce que je vais encrer, c’est béton ! J’ai suffisamment pensé ma page pour ne plus rien y changer. C’est un peu comme un scénario final. Une fois le récit gravé dans le marbre, on ne touche plus à rien. Idem pour le crayonné.
Difficile de chausser les bottes du grand maître Jean Van Hamme ?
Éric Giacometti : Je n’ai pas son parcours, ni ses millions d’albums vendus, ni la parfaite maîtrise de cette mécanique. Auteur de polars, je ne pratiquais pas du tout ce type de narration. Heureusement, Philippe me nourrit. Dès le début, on a tenu pas mal de brainstormings sur ses envies. Ici, la navette ne devait pas s’écraser dans le parc national du Yosemite – il y a longtemps que Largo ne s’était pas baladé dans d’aussi grands espaces –, en pleine Sierra Nevada, mais à Las Vegas. Je pensais lui faire plaisir puisqu’il avait déjà dessiné Reno…
Transpirer sur Largo ne vous freine-t-il pas dans votre production de thrillers ?
Pas du tout. En même temps, pendant deux ans, j’ai travaillé sur Mediator. Nous nous sommes mangé 3500 pages de procédures judiciaires ! Le travail, finalement, n’est pas une histoire de temps, mais une question de plaisir. Soit on est dedans, soit on n’y est pas.
Pas envie d’adapter vos romans en BD ?
On l’a fait avec Marcas. Mais les gens n’achètent pas la même histoire en BD, forcément plus pauvre. 480 pages contre 80 planches… on ne peut pas tout mettre. Et puis, regardez les adaptations de bouquins qui sortent depuis des années. Toutes n’ont pas réalisé des cartons ! La BD me permet de me confronter à des univers très différents. Philippe a besoin d’un an pour boucler les 46 pages d’un Largo. François Duprat a réalisé les 180 de notre Mediator en un an et demi… La maîtrise de la narration dessinée de Philippe est telle qu’il peut vous exposer, pendant une heure, comment il a disposé ses cases sur une planche. Un Largo, ça se dévore sans se demander ce qu’il peut y avoir derrière. Alors que tout est profondément pensé. Je me souviens très bien de la planche 37 de Colère rouge où Silky saute dans l’eau. Et de son découpage si particulier. Philippe s’empare d’une scène d’action, ou pas, et met en place une mécanique que le scénariste ne soupçonnera pas.
Philippe Francq : Le lecteur non plus ! »
Source : Casemate
Posté 16 novembre 2023 à 13 h 48 en réponse à : Vignaux, Recht et Rosinski sont sur un bateau Lien | CiterMoi aussi je veux des infos croustillantes !
Tiens, quel outil Fred a-t-il utilisé pour sa dédicace ?
Posté 16 novembre 2023 à 13 h 44 en réponse à : Kriss de Valnor – 1 – Je n’oublie rien ! Lien | CiterSalut Totom, c’est un bon choix de commencer par là. Les 3 séries parallèles des Mondes de Thorgal sont terminées. La série Kriss de Valnor compte 8 tomes que tu retrouveras ici : http://www.thorgal.com/albums/par-series/?serie=kriss-de-valnor
Bande-annonce en PologneVu sur Świat Thorgala – Thorgal’s World : la bande-annonce de l’album par l’éditeur polonais Egmont.
Toujours rien du côté du Lombard…
Catalogue LeclercLa sortie de l’édition spéciale du tome 41 chez Leclerc est accompagnée d’un entretien avec les auteurs de « Mille Yeux » publié dans le catalogue du magasin :
Petit zoom sur l’interview :
Source : Catalogue Leclerc
Eh, bien inspiré ce lay-out !
Mais je n’inclinerais pas le plan, ça donne l’impression que Thorgal va glisser en bas.
Salut Clovis, je passe de temps en temps lire le forum « Alix » , c’est sympa de te retrouver ici.
Et tes gouts classiques me plaisent aussi. Au plaisir de te lire…
- Ce sujet a été modifié le il y a 1 an et 7 mois par Tjahzi.
Posté 14 novembre 2023 à 0 h 07 en réponse à : Largo Winch – 23 & suivants – Giacometti et Francq Lien | CiterTournée dédicaces des auteursÀ l’occasion de la parution du nouvel album, « Le Centile d’or » , Philippe Francq et Eric Giacometti seront en dédicace :
Jeudi 16 novembre 18h – 21h : Soirée de lancement de l’exposition et de la bande dessinée à la galerie Huberty & Breyne en présence des auteurs Philippe Francq et Eric Giacometti
Adresse : 36 avenue Matignon 75008 ParisVendredi 17 novembre 17h – 19h : Séance de signatures à la galerie Huberty & Breyne en présence des auteurs Philippe Francq et Eric Giacometti
Adresse : 36 avenue Matignon 75008 ParisSamedi 18 novembre 15h – 18h : Rencontre suivie d’une séance de signatures à la FNAC de Bordeaux en présence des auteurs Philippe Francq et Eric Giacometti
Adresse : 50 rue Sainte-Catherine 33000 BordeauxDimanche 19 novembre 16h30 – 18h30 : Séance de signatures à la librairie Comptoir du Rêve de Toulouse en présence des auteurs Philippe Francq et Eric Giacometti
Adresse : 25 rue Charles de Rémusat 31000 ToulouseMardi 21 novembre 16h30 – 18h30 : Séance de signatures à la librairie Slumberland en présence de Philippe Francq
Adresse : Place Emile Buisset 2 6000 CharleroiMercredi 22 novembre 16h – 18h30 : Séance de signatures à la librairie Multi BD en présence de Philippe Francq
Adresse : Bd Anspach 22 1000 BruxellesJeudi 23 novembre 17h – 19h : Séance de signatures à la librairie Furet du Nord en présence de Philippe Francq
Adresse : Grand Place 59000 LilleVendredi 24 novembre 17h – 19h : Séance de signatures à la librairie La Procure en présence des auteurs Philippe Francq et Eric Giacometti
Adresse : 8 place Bellecour 69000 LyonSamedi 25 novembre 15h – 17h30 : Rencontre suivie d’une séance de signatures au Decitre Part-Dieu en présence de Philippe Francq
Adresse : 17 rue du Docteur Bouchut 69003 LyonMercredi 29 novembre 17h30 – 19h : Séance de signatures à la librairie Payot Rive-Gauche en présence de Philippe Francq
Adresse : Rue de la Confédération 7 1204 GenèveSource : Site de Largo Winch
Concours FB du LombardJ’ai encore mieux, mais il ne faut pas traîner !
Le Lombard organise quotidiennement un concours Facebook pour gagner des albums. Aujourd’hui – et uniquement aujourd’hui – on peut gagner les 3 derniers albums de Thorgal ainsi qu’un ex-libris ! C’est ICI.
À remporter aujourd’hui : les 3 derniers tomes de la série « Thorgal » (39, 40, 41) + un Ex Libris exclusif signé Fred Vignaux !
Tentez votre chance ! Pour participer :
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Source : FB du Lombard
L’interview des auteursL’éditeur Dargaud a réalisé un entretien avec les auteurs d’Undertaker pour la sortie du tome 7.
Undertaker : plus qu’un western, un conte philosophique !
Les auteurs d’Undertaker se réinventent sans cesse. Ils partagent, dans une interview exclusive, les coulisses de leur nouvel album :
Comment est né ce nouveau cycle d’Undertaker ?
Ralph Meyer : Le procédé est maintenant bien installé : quand on termine un diptyque, on se réunit à trois pour un débrief informel et chacun donne des pistes sur ce qu’il a envie de faire dans le suivant. Cela peut concerner les lieux, les thématiques, les situations, les personnages… Et avec tout cela, Xavier imagine un nouveau scénario. Un point de départ important pour cette histoire, c’était le retour du personnage de Rose.
Xavier Dorison : Jonas en est amoureux et, à la fin du tome précédent, il était parti à sa recherche. Il fallait donc en effet qu’il la retrouve… Mais comment ? En courant dans ses bras, au ralenti, pour un baiser passionné ? Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants ? Certainement pas !
Caroline Delabie : Il y avait aussi chez nous une volonté, comme chaque fois, de changer de décor et d’ambiance. Et après l’aridité de l’Arizona, les forêts vertes de l’Oregon et les neiges hivernales, cette nouvelle histoire, plus urbaine, se passe dans l’automne texan, avec des couleurs et des lumières que nous n’avions pas vues jusque-là dans Undertaker.
R.M. : C’est très important de se renouveler. Spontanément, j’ai plus de plaisir à dessiner les éléments organiques ou minéraux des grandes plaines et des canyons que des intérieurs victoriens, comme c’est beaucoup le cas dans cet album. Mais avec un scénario de cette qualité, tout devient agréable à dessiner…
Parlons donc de ce scénario… Une fois que les envies concernant les personnages et les ambiances étaient posées, comment avez-vous choisi la thématique d’ensemble ?
X. D. : Pour chaque diptyque d’Undertaker, on tente d’aborder, dans le cadre du western, une problématique universelle et intemporelle. Ça a été l’avidité et les écarts de richesse dans le premier cycle, l’utilitarisme médical dans le deuxième, la notion de « vie bonne » dans le troisième… Dans ce nouveau cycle, la question est celle du fanatisme : comment, sous un prétexte moral, des gens, souvent sous couvert de religion, parviennent-ils à s’approprier la colère d’autres gens pour servir leur propre intérêt ? Et le point qui cristallise notre attention dans l’album est la question de l’avortement.
R. M. : Ce qui est étonnant, c’est la façon dont ce scénario se télescope avec l’actualité du Texas, où l’avortement a été très récemment interdit ! Comme on le voit dans l’album, à la fin du XIXe siècle, il était légal et ne constituait pas un sujet de société central…
X. D. : D’ailleurs, sauf erreur de ma part, aucun western n’aborde frontalement cette question. Pour moi, c’est un cas emblématique de ce qu’on appelle la pensée extrême, qui consiste à avoir un certain nombre de principes qu’on cherche à appliquer à tout prix, sans nuance, sans discernement, sans tenir compte des personnes ou des circonstances. Alors on a pris ce sujet universel qui touche au corps, au pouvoir, aux principes, pour le ramener dans cette sorte de théâtre grec qu’est le western.
C. D. : Le changement de contexte sort cette question de notre actualité et permet d’y réfléchir différemment, de manière plus lucide ou plus objective, sans la mélanger avec d’autres considérations de notre époque.
Ce fanatisme est incarné par la redoutable Sister Oz. Comment est né ce personnage ?
C. D. : Au départ, Xavier était parti sur un personnage masculin qui reprendrait des traits d’Anthony Comstock, l’homme qui a incarné le puritanisme aux États-Unis à la fin du XIXe siècle. Mais il a trouvé plus intéressant de créer un personnage féminin. Il y avait beaucoup de femmes dans les ligues de vertu, comme il y en a beaucoup aujourd’hui dans les mouvements pro-life aux États-Unis. Le fait que ce soit une femme rend sans doute les choses plus profondes, moins manichéennes, même si la Sister Oz est réellement dangereuse, capable de tuer de sang-froid en étant convaincue que c’est pour le bien de la communauté.
X. D. : Comme tous les fanatiques, elle recrute sur les champs de la misère, de la tristesse et de la honte de soi. Pour autant, Sister Oz n’est ni cynique ni sadique. Elle est au contraire sincère, pleine de ces bonnes intentions dont l’enfer est pavé. Et elle a un vrai charisme.
R. M. : J’ajoute qu’elle est très belle. Il nous semble important, pour qu’un personnage soit mémorable, qu’il y ait un décalage entre son aspect physique et sa réalité profonde. C’est vrai qu’elle est terrible, mais on comprendra dans le tome 8 comment Sister Oz est devenue qui elle est.
Comment réagit Jonas face à cet adversaire ?
R. M. : Jonas est d’abord absorbé par sa déception amoureuse, centré sur ses problèmes. Et il ne s’est sans doute jamais posé de question sur le droit des femmes à disposer de leur corps… Entre les arguments de Sister Oz et sa discussion avec Miss Winthorpe, qui souhaite avorter, il se forge au fur et à mesure sa propre éthique sur le sujet.
C. D. : Jonas est vraiment un personnage attachant ! Tout en étant désabusé, il s’engage une fois encore pour aider des gens qu’il ne connaît pas. Et sur le fond des questions, il sait être attentif aux personnes et aux situations qu’il rencontre, sans juger, et sans camper sur des principes absolus. Est-ce qu’au fond il ne croirait pas un peu en l’humanité ?
X. D. : Jonas croit être cynique et n’avoir rien à proposer, à part une certaine idée de la liberté. Il est impressionné par Sister Oz, qui prétend lutter pour la vie mais dont on va voir qu’elle est résolument du côté de la mort. Parce que son métier lui fait côtoyer la mort, Jonas est toujours au plus près des grandes questions existentielles, et c’est ce qui nous intéresse. Avec tous les codes du western, nous cherchons toujours à faire d’Undertaker une série qui s’approche du conte philosophique.
Source : Dargaud
Promo en vidéoDargaud se donne à fond en vidéo pour la promotion d’Undertaker !
Première lectureAprès une première lecture de « Mille Yeux » , je sors avec un avis mitigé. Certains éléments s’améliorent d’un album à l’autre, d’autres pas…
Parmi les éléments positifs, on a droit cette fois à une histoire auto-conclusive, mais qui s’ouvre déjà sur la suivante à la dernière planche. Yann est un véritable feuilletoniste, dommage pour lui que l’hebdomadaire Tintin n’existe plus…
On a aussi droit à des personnages intéressants, même si je trouve le méchant trop peu mis en évidence, et la gentille trop mignonne pour le rôle. De son côté, Boréale s’affirme, mais ses paroles sont maladroites. Le plus bizarre arrive quand elle raconte son métier antérieur à Jolan, c’est complètement hors de propos.
Du côté des références aux dieux, ça se calme un peu, et les jurons ont définitivement disparu. Yann souhaite toujours nous en apprendre plus sur les Vikings, avec dès la première page un premier mot de vocabulaire expliqué, sans pourtant vraiment d’intérêt…
Thorgal est encore présenté avec un caractère désagréable (sauf à la fin quand il a fumé), n’arrêtant pas de donner des ordres autour de lui. A un moment que vous connaissez déjà bien avec la chute de Thorgal, il demande à Mysla (la gentille) d’aller lui chercher une corde pour enfin sortir de son trou, et quand elle revient, il l’accuse d’avoir volé les cordes ! Un vrai bipolaire !
Je disais au début « première lecture », mais j’ai relu 24 heures plus tard l’album en remettant les planches dans le bon ordre. J’entends par là qu’en plus du cliffhanger en fin d’album, Yann utilise la technique du soap opera qui consiste à entremêler les fils de l’intrigue, entre d’une part, la quête de Thorgal, et d’autre part l’attente de Jolan et Boréale, pour donner justement moins l’impression qu’on attend beaucoup dans cet album.
Le scénariste mélange également les séquences de l’histoire sous forme de flash-back, donc je me suis écrit mon propre plan avec les pages numérotées pour relire le récit dans l’ordre. C’est malheureusement révélateur d’une intrigue assez faible, où on retrouve finalement Thorgal, Jolan et Boréale dans un bateau, comme au début de l’histoire. Sauf Sven, ce personnage apparu mystérieusement au début de l’album, mais qui disparait tout aussi vite. Bizarre…
Côté graphique, les couleurs sont assez tristes, mais c’est le lieu de l’action qui veut ça. Thorgal passe son temps sous terre, et Jolan sur une île en pleine tempête. Pas très folichon… Pas plus que les scènes qui pourraient être impressionnantes, comme par exemple l’arrivée dans le temple souterrain ou le bateau pris dans la tempête.
J’ai encore en tête le jour où j’ai découvert les grandes cases dessinées par Fred Vignaux dans « La Montagne du temps » , là j’étais vraiment impressionné. Ici tout apparait trop serré dans ces petites cases qui ne donnent pas d’air aux scènes qui le mériteraient. L’effet donné par exemple en couverture de l’album ne se retrouve pas à l’intérieur du récit. Dommage…
Il y a des moments où j’aurais voulu améliorer cet album, y mettre des annotations sur l’importance à accorder à certaines scènes, ou d’autres justement sans intérêt, et aussi corriger les dialogues et les incongruités du scénario, puis je me suis dit que ce n’était pas vraiment mon rôle de lecteur. Pourtant, j’en avais envie, c’est déjà ça.
- Ce sujet a été modifié le il y a 1 an et 7 mois par Tjahzi.
Posté 10 novembre 2023 à 22 h 14 en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | CiterRhooo…. Môssieur Olivier se fait désirer sur sa croisière !
Posté 10 novembre 2023 à 22 h 12 en réponse à : Thorgal Saga – La déesse d’Ambre – Bec & Mangin Lien | CiterMerci Patrice (et Christophe !
) pour toutes ces informations très intéressantes
On baigne déjà tellement dans « La Déesse d’Ambre » grâce aux dessins partagés qu’on a l’impression d’une parution imminente, mais il nous faudra patienter encore un bon bout de temps !
Sortie du tome 7Mister Prairie, le tome 7 d’Undertaker, parait ce 10 novembre en même temps que Mille Yeux de Thorgal !
Présentation en images :
Source : FB de Dargaud
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