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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Tjahzi

Toutes mes réponses sur les forums

40 sujets de 401 à 440 (sur un total de 4,482)
  • Auteur
    Messages
  • en réponse à : Vignaux, Recht et Rosinski sont sur un bateau Lien | Citer

    Moi aussi je veux des infos croustillantes !    Tiens, quel outil Fred a-t-il utilisé pour sa dédicace ?

    en réponse à : Kriss de Valnor – 1 – Je n’oublie rien ! Lien | Citer

    Salut Totom, c’est un bon choix de commencer par là. Les 3 séries parallèles des Mondes de Thorgal sont terminées. La série Kriss de Valnor compte 8 tomes que tu retrouveras ici : http://www.thorgal.com/albums/par-series/?serie=kriss-de-valnor

    en réponse à : Thorgal – 41 – Mille yeux Lien | Citer
    Bande-annonce en Pologne

    Vu sur Świat Thorgala – Thorgal’s World : la bande-annonce de l’album par l’éditeur polonais Egmont.

    Toujours rien du côté du Lombard…   

    en réponse à : Thorgal – 41 – Mille yeux Lien | Citer
    Catalogue Leclerc

    La sortie de l’édition spéciale du tome 41 chez Leclerc est accompagnée d’un entretien avec les auteurs de « Mille Yeux » publié dans le catalogue du magasin :

    Petit zoom sur l’interview :

    Source : Catalogue Leclerc

    en réponse à : Thorgal – 41 – Mille yeux Lien | Citer

    Eh, bien inspiré ce lay-out !    Mais je n’inclinerais pas le plan, ça donne l’impression que Thorgal va glisser en bas.

    en réponse à : Présentations Lien | Citer

    Salut Clovis, je passe de temps en temps lire le forum « Alix » , c’est sympa de te retrouver ici.

    Et tes gouts classiques me plaisent aussi. Au plaisir de te lire…    

    • Ce sujet a été modifié le il y a 1 an et 5 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Largo Winch – 23 & suivants – Giacometti et Francq Lien | Citer
    Tournée dédicaces des auteurs

    À l’occasion de la parution du nouvel album, « Le Centile d’or » , Philippe Francq et Eric Giacometti seront en dédicace :

    Jeudi 16 novembre 18h – 21h : Soirée de lancement de l’exposition et de la bande dessinée à la galerie Huberty & Breyne en présence des auteurs Philippe Francq et Eric Giacometti
    Adresse : 36 avenue Matignon 75008 Paris

    Vendredi 17 novembre 17h – 19h : Séance de signatures à la galerie Huberty & Breyne en présence des auteurs Philippe Francq et Eric Giacometti
    Adresse : 36 avenue Matignon 75008 Paris

    Samedi 18 novembre 15h – 18h : Rencontre suivie d’une séance de signatures à la FNAC de Bordeaux en présence des auteurs Philippe Francq et Eric Giacometti
    Adresse : 50 rue Sainte-Catherine 33000 Bordeaux

    Dimanche 19 novembre 16h30 – 18h30 : Séance de signatures à la librairie Comptoir du Rêve de Toulouse en présence des auteurs Philippe Francq et Eric Giacometti
    Adresse : 25 rue Charles de Rémusat 31000 Toulouse

    Mardi 21 novembre 16h30 – 18h30 : Séance de signatures à la librairie Slumberland en présence de Philippe Francq
    Adresse : Place Emile Buisset 2 6000 Charleroi

    Mercredi 22 novembre 16h – 18h30 : Séance de signatures à la librairie Multi BD en présence de Philippe Francq
    Adresse : Bd Anspach 22 1000 Bruxelles

    Jeudi 23 novembre 17h – 19h : Séance de signatures à la librairie Furet du Nord en présence de Philippe Francq
    Adresse : Grand Place 59000 Lille

    Vendredi 24 novembre 17h – 19h : Séance de signatures à la librairie La Procure en présence des auteurs Philippe Francq et Eric Giacometti
    Adresse : 8 place Bellecour 69000 Lyon

    Samedi 25 novembre 15h – 17h30 : Rencontre suivie d’une séance de signatures au Decitre Part-Dieu en présence de Philippe Francq
    Adresse : 17 rue du Docteur Bouchut 69003 Lyon

    Mercredi 29 novembre 17h30 – 19h : Séance de signatures à la librairie Payot Rive-Gauche en présence de Philippe Francq
    Adresse : Rue de la Confédération 7 1204 Genève

    Source : Site de Largo Winch

    en réponse à : Thorgal – 41 – Mille yeux Lien | Citer
    Concours FB du Lombard

    J’ai encore mieux, mais il ne faut pas traîner !   

    Le Lombard organise quotidiennement un concours Facebook pour gagner des albums. Aujourd’hui – et uniquement aujourd’hui – on peut gagner les 3 derniers albums de Thorgal ainsi qu’un ex-libris ! C’est ICI.

    À remporter aujourd’hui : les 3 derniers tomes de la série « Thorgal » (39, 40, 41) + un Ex Libris exclusif signé Fred Vignaux !

    Tentez votre chance ! Pour participer :

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    Source : FB du Lombard

    en réponse à : Undertaker – Dorison et Meyer Lien | Citer
    L’interview des auteurs

    L’éditeur Dargaud a réalisé un entretien avec les auteurs d’Undertaker pour la sortie du tome 7.

    Undertaker : plus qu’un western, un conte philosophique !

    Les auteurs d’Undertaker se réinventent sans cesse. Ils partagent, dans une interview exclusive, les coulisses de leur nouvel album :

    Comment est né ce nouveau cycle d’Undertaker ?

    Ralph Meyer : Le procédé est maintenant bien installé : quand on termine un diptyque, on se réunit à trois pour un débrief informel et chacun donne des pistes sur ce qu’il a envie de faire dans le suivant. Cela peut concerner les lieux, les thématiques, les situations, les personnages… Et avec tout cela, Xavier imagine un nouveau scénario. Un point de départ important pour cette histoire, c’était le retour du personnage de Rose.

    Xavier Dorison : Jonas en est amoureux et, à la fin du tome précédent, il était parti à sa recherche. Il fallait donc en effet qu’il la retrouve… Mais comment ? En courant dans ses bras, au ralenti, pour un baiser passionné ? Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants ? Certainement pas !

    Caroline Delabie : Il y avait aussi chez nous une volonté, comme chaque fois, de changer de décor et d’ambiance. Et après l’aridité de l’Arizona, les forêts vertes de l’Oregon et les neiges hivernales, cette nouvelle histoire, plus urbaine, se passe dans l’automne texan, avec des couleurs et des lumières que nous n’avions pas vues jusque-là dans Undertaker.

    R.M. : C’est très important de se renouveler. Spontanément, j’ai plus de plaisir à dessiner les éléments organiques ou minéraux des grandes plaines et des canyons que des intérieurs victoriens, comme c’est beaucoup le cas dans cet album. Mais avec un scénario de cette qualité, tout devient agréable à dessiner…

    Parlons donc de ce scénario… Une fois que les envies concernant les personnages et les ambiances étaient posées, comment avez-vous choisi la thématique d’ensemble ?

    X. D. : Pour chaque diptyque d’Undertaker, on tente d’aborder, dans le cadre du western, une problématique universelle et intemporelle. Ça a été l’avidité et les écarts de richesse dans le premier cycle, l’utilitarisme médical dans le deuxième, la notion de « vie bonne » dans le troisième… Dans ce nouveau cycle, la question est celle du fanatisme : comment, sous un prétexte moral, des gens, souvent sous couvert de religion, parviennent-ils à s’approprier la colère d’autres gens pour servir leur propre intérêt ? Et le point qui cristallise notre attention dans l’album est la question de l’avortement.

    R. M. : Ce qui est étonnant, c’est la façon dont ce scénario se télescope avec l’actualité du Texas, où l’avortement a été très récemment interdit ! Comme on le voit dans l’album, à la fin du XIXe siècle, il était légal et ne constituait pas un sujet de société central…

    X. D. : D’ailleurs, sauf erreur de ma part, aucun western n’aborde frontalement cette question. Pour moi, c’est un cas emblématique de ce qu’on appelle la pensée extrême, qui consiste à avoir un certain nombre de principes qu’on cherche à appliquer à tout prix, sans nuance, sans discernement, sans tenir compte des personnes ou des circonstances. Alors on a pris ce sujet universel qui touche au corps, au pouvoir, aux principes, pour le ramener dans cette sorte de théâtre grec qu’est le western.

    C. D. : Le changement de contexte sort cette question de notre actualité et permet d’y réfléchir différemment, de manière plus lucide ou plus objective, sans la mélanger avec d’autres considérations de notre époque.

    Ce fanatisme est incarné par la redoutable Sister Oz. Comment est né ce personnage ?

    C. D. : Au départ, Xavier était parti sur un personnage masculin qui reprendrait des traits d’Anthony Comstock, l’homme qui a incarné le puritanisme aux États-Unis à la fin du XIXe siècle. Mais il a trouvé plus intéressant de créer un personnage féminin. Il y avait beaucoup de femmes dans les ligues de vertu, comme il y en a beaucoup aujourd’hui dans les mouvements pro-life aux États-Unis. Le fait que ce soit une femme rend sans doute les choses plus profondes, moins manichéennes, même si la Sister Oz est réellement dangereuse, capable de tuer de sang-froid en étant convaincue que c’est pour le bien de la communauté.

    X. D. : Comme tous les fanatiques, elle recrute sur les champs de la misère, de la tristesse et de la honte de soi. Pour autant, Sister Oz n’est ni cynique ni sadique. Elle est au contraire sincère, pleine de ces bonnes intentions dont l’enfer est pavé. Et elle a un vrai charisme.

    R. M. : J’ajoute qu’elle est très belle. Il nous semble important, pour qu’un personnage soit mémorable, qu’il y ait un décalage entre son aspect physique et sa réalité profonde. C’est vrai qu’elle est terrible, mais on comprendra dans le tome 8 comment Sister Oz est devenue qui elle est.

    Comment réagit Jonas face à cet adversaire ?

    R. M. : Jonas est d’abord absorbé par sa déception amoureuse, centré sur ses problèmes. Et il ne s’est sans doute jamais posé de question sur le droit des femmes à disposer de leur corps… Entre les arguments de Sister Oz et sa discussion avec Miss Winthorpe, qui souhaite avorter, il se forge au fur et à mesure sa propre éthique sur le sujet.

    C. D. : Jonas est vraiment un personnage attachant ! Tout en étant désabusé, il s’engage une fois encore pour aider des gens qu’il ne connaît pas. Et sur le fond des questions, il sait être attentif aux personnes et aux situations qu’il rencontre, sans juger, et sans camper sur des principes absolus. Est-ce qu’au fond il ne croirait pas un peu en l’humanité ?

    X. D. : Jonas croit être cynique et n’avoir rien à proposer, à part une certaine idée de la liberté. Il est impressionné par Sister Oz, qui prétend lutter pour la vie mais dont on va voir qu’elle est résolument du côté de la mort. Parce que son métier lui fait côtoyer la mort, Jonas est toujours au plus près des grandes questions existentielles, et c’est ce qui nous intéresse. Avec tous les codes du western, nous cherchons toujours à faire d’Undertaker une série qui s’approche du conte philosophique.

    Source : Dargaud

    en réponse à : Undertaker – Dorison et Meyer Lien | Citer
    Promo en vidéo

    Dargaud se donne à fond en vidéo pour la promotion d’Undertaker !   

    en réponse à : Thorgal – 41 – Mille yeux Lien | Citer
    Première lecture

    Après une première lecture de « Mille Yeux » , je sors avec un avis mitigé. Certains éléments s’améliorent d’un album à l’autre, d’autres pas… 

    Parmi les éléments positifs, on a droit cette fois à une histoire auto-conclusive, mais qui s’ouvre déjà sur la suivante à la dernière planche. Yann est un véritable feuilletoniste, dommage pour lui que l’hebdomadaire Tintin n’existe plus…

    On a aussi droit à des personnages intéressants, même si je trouve le méchant trop peu mis en évidence, et la gentille trop mignonne pour le rôle. De son côté, Boréale s’affirme, mais ses paroles sont maladroites. Le plus bizarre arrive quand elle raconte son métier antérieur à Jolan, c’est complètement hors de propos.

    Du côté des références aux dieux, ça se calme un peu, et les jurons ont définitivement disparu. Yann souhaite toujours nous en apprendre plus sur les Vikings, avec dès la première page un premier mot de vocabulaire expliqué, sans pourtant vraiment d’intérêt…

    Thorgal est encore présenté avec un caractère désagréable (sauf à la fin quand il a fumé), n’arrêtant pas de donner des ordres autour de lui. A un moment que vous connaissez déjà bien avec la chute de Thorgal, il demande à Mysla (la gentille) d’aller lui chercher une corde pour enfin sortir de son trou, et quand elle revient, il l’accuse d’avoir volé les cordes ! Un vrai bipolaire !

    Je disais au début « première lecture », mais j’ai relu 24 heures plus tard l’album en remettant les planches dans le bon ordre. J’entends par là qu’en plus du cliffhanger en fin d’album, Yann utilise la technique du soap opera qui consiste à entremêler les fils de l’intrigue, entre d’une part, la quête de Thorgal, et d’autre part l’attente de Jolan et Boréale, pour donner justement moins l’impression qu’on attend beaucoup dans cet album. 

    Le scénariste mélange également les séquences de l’histoire sous forme de flash-back, donc je me suis écrit mon propre plan avec les pages numérotées pour relire le récit dans l’ordre. C’est malheureusement révélateur d’une intrigue assez faible, où on retrouve finalement Thorgal, Jolan et Boréale dans un bateau, comme au début de l’histoire. Sauf Sven, ce personnage apparu mystérieusement au début de l’album, mais qui disparait tout aussi vite. Bizarre…

    Côté graphique, les couleurs sont assez tristes, mais c’est le lieu de l’action qui veut ça. Thorgal passe son temps sous terre, et Jolan sur une île en pleine tempête. Pas très folichon… Pas plus que les scènes qui pourraient être impressionnantes, comme par exemple l’arrivée dans le temple souterrain ou le bateau pris dans la tempête.

    J’ai encore en tête le jour où j’ai découvert les grandes cases dessinées par Fred Vignaux dans « La Montagne du temps » , là j’étais vraiment impressionné. Ici tout apparait trop serré dans ces petites cases qui ne donnent pas d’air aux scènes qui le mériteraient. L’effet donné par exemple en couverture de l’album ne se retrouve pas à l’intérieur du récit. Dommage…

    Il y a des moments où j’aurais voulu améliorer cet album, y mettre des annotations sur l’importance à accorder à certaines scènes, ou d’autres justement sans intérêt, et aussi corriger les dialogues et les incongruités du scénario, puis je me suis dit que ce n’était pas vraiment mon rôle de lecteur. Pourtant, j’en avais envie, c’est déjà ça.   

    • Ce sujet a été modifié le il y a 1 an et 5 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer

    Rhooo…. Môssieur Olivier se fait désirer sur sa croisière !   

    en réponse à : Thorgal Saga – La déesse d’Ambre – Bec et Mangin Lien | Citer

    Merci Patrice (et Christophe !  ) pour toutes ces informations très intéressantes   

    On baigne déjà tellement dans « La Déesse d’Ambre » grâce aux dessins partagés qu’on a l’impression d’une parution imminente, mais il nous faudra patienter encore un bon bout de temps !   

    en réponse à : Undertaker – Dorison et Meyer Lien | Citer
    Sortie du tome 7

    Mister Prairie, le tome 7 d’Undertaker, parait ce 10 novembre en même temps que Mille Yeux de Thorgal ! Présentation en images : 

    Source : FB de Dargaud

    en réponse à : Thorgal – 41 – Mille yeux Lien | Citer
    Critique sur Zoo le Mag

    Oh, je l’ai aussi trouvé à l’avance dans une librairie Club, c’est la première fois que ça m’arrive !   

    Je le lis ce soir… En attendant, voici une première critique de l’album publiée sur Zoo le Mag. Attention, légers spoilers, mais j’ai enlevé les plus gros, libre à vous d’aller les lire dans l’article.   

    Poursuite du cycle entamé il y a deux albums, cette aventure saupoudrée de mythologie scandinave et d’une pincée de SF répond aux canons de la série, sans avoir le souffle épique des grands albums de Thorgal. Le dessin est à la hauteur.

    Yann s’ingénie à multiplier les aventures dans l’esprit de Jean Van Hamme, créateur de la série avec Grzegorz Rosinski. Il s’en sort plutôt bien, cependant on a un peu de mal quand Boréale se met à expliquer la physique quantique à Jolan : elle était astrophysicienne, sur sa planète ! On sait bien que Van Hamme distillait parfois de la SF dans ses histoires, mais quand même… Dans cet épisode, Thorgal se fait aider par Mysla, une jeune femme un peu sorcière, plutôt attachante. Jolie, aussi.

    Au dessin, Fred Vignaux assure. Il a clairement intégré la grammaire graphique de Rosinski, qu’il s’agisse des personnages récurrents ou des seconds rôles qu’il crée lui-même, tel le Haersir, la brute tyrannique qu’affronte ici Thorgal. Le gouffre, avec ses zones d’ombre et de lumière, est très bien traité aussi. Les couleurs de Gaétan Georges sont à l’avenant.

    On peut se dire que la série aurait dû s’arrêter quand Van Hamme a déclaré forfait. Mais si on accepte le principe de la reprise, laissons de côté les « C’était mieux avant », et goûtons notre plaisir avec ces madeleines de Proust. Même si la recette n’est plus tout à fait la même…

    Et la dernière case donne un sens tout autre à l’histoire. Après ce cliffhanger, rendez-vous dans un an pour la suite de ce cycle !

    Source : Zoo le Mag

    en réponse à : Jeux – Thorgal / le jeu de cartes polonais Lien | Citer

    Il est resté dans la poche des souscripteurs.   

    en réponse à : Jeux – Thorgal / le jeu de cartes polonais Lien | Citer
    Annulation de la campagne de financement

    Information importante   

    Lucrum Games a décidé d’annuler la campagne de financement participatif actuelle !

    Voici les raisons invoquées sur leur page Facebook (traduction du polonais) :

    « Chers fans de Thorgal,

    Nous tenons à exprimer notre sincère gratitude à chacun d’entre vous pour votre incroyable soutien et la quantité écrasante de commentaires que vous nous avez donnés lors de la campagne « Thorgal : Card Game » . Pour les éditeurs qui commencent tout juste sur Kickstarter, votre contribution a été inestimable et nous a aidé à apprendre et à comprendre encore plus..
    En utilisant vos commentaires et suggestions, nous avons décidé d’annuler notre campagne actuelle. Bien que cela n’ait pas à paraître évident, cela témoigne de notre engagement à créer le meilleur jeu possible. Vos observations et idées ont mis en évidence non seulement les erreurs que nous avons commises lors de la préparation de la campagne elle-même, mais aussi de nouvelles opportunités et corrections qui, selon nous, nous permettront de livrer un jeu qui non seulement répondra mais dépassera encore les attentes.
    Thorgal reviendra plus fort, plus engagé et plus en accord avec les désirs de sa communauté dévouée. Ce voyage a pris un tournant inattendu, mais nous vous assurons que nous travaillons déjà avec diligence pour réactiver la campagne, qui prendra en compte vos inestimables suggestions que vous nous avez partagées.
    Merci encore pour votre incroyable soutien et nous avons hâte d’accueillir Thorgal à nouveau.« 
     
    en réponse à : Thorgal Saga – Wendigo – Duval & Rouge Lien | Citer
    Dossier de présentation

    Un dossier de présentation de l’album a été distribué aux libraires, en voici quelques images :

    Source : Bédéthèque de BDGest

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer
    L'Édition Prestige en détails

    Génial ! Les premières images qui détaillent l’édition prestige d’Adieu Aaricia proviennent du Bon Coin où l’album est proposé à 110 €  Pour rappel, l’album est en vente actuellement au prix de 60 €, par exemple ici sur le site du Lombard :

    https://www.lelombard.com/bd/thorgal-saga/adieu-aaricia-edition-prestige

    En attendant, faute de grives, on mange des merles, alors voici ces premières images de l’album posé sur un tapis d’un autre temps…

    en réponse à : Jeux – Thorgal / le jeu de cartes polonais Lien | Citer
    Différences entre les 2 jeux polonais Thorgal

    Sur le site Board Game Geek, Drakkainen s’est lancé dans un comparatif entre le jeu de Lucrum Studio et celui de Portal Games, les deux jeux polonais dont on parle ces derniers temps. Voici les différences principales qu’il relève entre les jeux (traduction automatique de l’anglais) :

     

    « Thorgal, le guerrier viking bien-aimé connu pour ses aventures épiques, s’est récemment frayé un chemin dans le monde du jeu de table avec non pas une mais deux interprétations intrigantes. Lucrum Studio et Portal Games ont chacun donné vie à leur vision unique de l’univers de Thorgal, offrant aux joueurs des expériences de jeu distinctes. Dans cet article, j’examinerai les différences les plus significatives entre ces deux jeux, en soulignant ce qui les distingue.

    1. Jeu compétitif ou coopératif :
    La principale différence réside dans la nature du gameplay. « Thorgal: The Card Game » de Lucrum Studios offre une expérience de jeu compétitive et conflictuelle. Les joueurs s’engagent dans une compétition directe, opposant leurs compétences et leurs stratégies. En revanche, « Thorgal » de Portal Games adopte une approche coopérative. Dans ce jeu, les joueurs travaillent ensemble pour surmonter des défis, résoudre des énigmes et des mystères en équipe. Cette distinction clé dans le style de jeu détermine l’atmosphère générale et les objectifs de chaque jeu.

    2. Mécanismes de livre d’histoires ou de cartes :
    « Thorgal » de Portal Games introduit un composant de livre d’histoires interactif, améliorant le récit et plongeant les joueurs dans le monde de Thorgal. Il encourage la narration et l’aventure grâce à l’utilisation d’un livre d’histoires dédié. D’un autre côté, « Thorgal: The Card Game » de Lucrum Games est purement basé sur des cartes, se concentrant sur des éléments tactiques et stratégiques. Il s’appuie sur les mécanismes et les interactions des cartes elles-mêmes pour piloter le gameplay, offrant une expérience de jeu différente qui met l’accent sur la prise de décision et la gestion des ressources.

    3. Fonctionnalité de jeu en tournoi :
    « Thorgal : le jeu de cartes » de Lucrum Games offre une fonctionnalité supplémentaire qui s’adresse aux joueurs compétitifs : le jeu en tournoi. Avec des règles et des mécanismes spécifiques au tournoi, il permet aux joueurs de tester leurs compétences et leurs stratégies contre une communauté de joueurs plus large, introduisant un élément de compétition organisée qui peut conduire à un niveau d’engagement plus profond pour les joueurs compétitifs.

    4. Personnages spécifiques contre factions entières :
    Dans « Thorgal » de Portal Games, les joueurs incarnent des personnages spécifiques, se plongeant dans les quêtes scénarisées et les dilemmes auxquels ces personnages sont confrontés. Cela crée un lien narratif fort entre les joueurs et l’univers de Thorgal. Dans « Thorgal : The Card Game » de Lucrum Studio, les joueurs s’alignent avec des factions entières, offrant une expérience plus large, axée sur les factions, où les décisions stratégiques tournent autour des interactions et des forces de ces groupes plus larges.

    En conclusion, Lucrum Studio et Portal Games ont donné vie au monde captivant de Thorgal dans leurs jeux respectifs, et les différences entre les deux rendent chaque titre unique. Le choix entre la compétition conflictuelle et axée sur les cartes de « Thorgal : Le jeu de cartes » et l’aventure coopérative et scénarisée de « Thorgal » de Portal Games dépend en grande partie de vos préférences de jeu et si vous recherchez un face-à-face. compétition ou narration immersive. Quel que soit votre choix, les deux jeux offrent des opportunités passionnantes de vous lancer dans des voyages épiques dans l’univers de Thorgal.« 

    Source : Board Game Geek

    en réponse à : Age des personnages ?? Lien | Citer
    Chronologie des albums

    Egmont, l’éditeur polonais des albums de Thorgal, s’est essayé à une frise chronologique reclassant les albums de la série mère et des séries parallèles.   

    Source : FB de Swiat Komiksu

    en réponse à : Concours – Les pierres d'Odin Lien | Citer

    Vive Odin !  Eviv Bulgroz   

    en réponse à : Largo Winch – 23 & suivants – Giacometti et Francq Lien | Citer
    Largo Winch – Tome 24 – Sortie le 17 novembre

    Je rêve d’une bande annonce comme celle-là pour Thorgal…

    en réponse à : Thorgal – 41 – Mille yeux Lien | Citer

    Un personnage mystère du tome 41 croisé sur le net…   

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer
    Concours Facebook du Lombard

    Je viens de voir que Le Lombard organise un concours sur sa page Facebook pour gagner l’édition prestige d’Adieu Aaricia !    Attention, c’est ICI et uniquement aujourd’hui    

    Source : FB du Lombard

    en réponse à : Thorgal Saga – La déesse d’Ambre – Bec et Mangin Lien | Citer

    Patrice a écrit
    Concernant le titre, je vais lui poser la question quand il reviendra vers moi. Christophe Bec est une vedette et un artiste célèbre. Je n’ose pas le sur solliciter par politesse.

    Oui bien sûr, je comprends parfaitement   

    Pour l’hébergement des images que je poste sur le forum, j’utilise Zupimages en utilisant le lien direct proposé par le site. C’est quand même surprenant que Servimg ne fonctionne plus ici, c’est peut-être temporaire ?

    en réponse à : Thorgal Saga – La déesse d’Ambre – Bec et Mangin Lien | Citer

    C’est chouette que vous vous soyez lancés !    Vous nous ferez des photos à la réception des dédicaces ?

    Tiens, comme vous êtes en contact avec Christophe Bec, est-ce que vous pourriez lui demander si le titre de l’album est maintenu comme annoncé au départ, ou s’il est devenu simplement « La Déesse d’ambre » comme je l’ai lu dernièrement ?

    en réponse à : Jeux – Thorgal / le jeu de cartes polonais Lien | Citer
    Explication du jeu en vidéo

    Chouette initiative avec Geek Factor qui présente le fonctionnement du jeu de cartes Thorgal.   

    Bon d’accord, c’est en anglais avec un accent polonais, mais vous avez 42 minutes de présentation vidéo pour découvrir le jeu en images, ça en vaut vraiment la peine   

    Et puis en regardant la vidéo sur Youtube, vous pouvez afficher les sous-titres et les paramétrer en français.   

    • Ce sujet a été modifié le il y a 1 an et 5 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Vignaux, Recht et Rosinski sont sur un bateau Lien | Citer

    Oh, je me demandais justement dans la discussion sur « Adieu Aaricia »  à quoi ressemblait cet album prestige…    Tu nous fais saliver là Olivier ! 1 semaine de croisière avec les 3 dessinateurs de Thorgal, c’est tout bonnement incroyable      

    Je te souhaite d’en profiter au maximum, et ramène-nous plein de souvenirs !   

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer
    Sortie de l'album prestige en noir et blanc ce 3 novembre

    Merci pour la relance Ludna, c’est bien aujourd’hui que sort la version noir et blanc d’Adieu Aaricia, le jour même de l’anniversaire de Robin Recht ! Alors bon anniversaire Robin     

    En essayant de m’imaginer comment s’ouvre le triptyque, je pense que la couverture partagée par Patrice va se retrouver à l’intérieur. Voilà ce que donnait le dessin complet de Robin :

    Et voici les 3 images de couverture présentées par 9e-store où vous pouvez d’ailleurs lire un extrait de l’édition prestige. C’est à voir ICI.

    Moi aussi j’aimerais voir en 3D ce que donne l’ouverture de cet album !   

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Vente aux enchères chez Daniel Maghen

    Thorgal et Kriss apparaissent ce 16 novembre dans la vente aux enchères « Bande dessinée et illustrations » organisée chez Daniel Maghen.

    La Cité du Dieu perdu (T.12), Le Lombard 1987

    Planche originale n° 35,

    prépubliée dans Le Journal de Tintin n° 600 du 10 mars 1987.

    Encre de Chine sur papier 36,2 × 50 cm

    Séquence-clé de la série Thorgal, où « L’enfant des étoiles » découvre, grâce à la Déesse sans nom, la nature quasiment divine de ses origines. Et au passage, combien son attitude proprement généreuse et indépendante irrite profondément les dieux. Jean Van Hamme convoque là le mythe de Prométhée, puni éternellement par les dieux pour avoir donné le feu aux hommes. Rosinski, quant à lui, donne à la Déesse sans nom une impressionnante présence mariale. Existentielle, presque philosophique, cette planche tranche avec les nombreuses scènes d’action de cet album. Son dépouillement et le caractère oraculaire du long monologue de la Déesse sont des ponctuations essentielles, et ont contribué à donner à la série Thorgal les atours d’une quête mystique.

    Kriss de Valnor, illustration originale

    réalisée pour un ex-libris par la librairie Brüsel en 2013. Signée.

    Encre de Chine, encre de couleurs, gouache et rehauts de pastel sur papier 29,5 × 42 cm

    On oublie souvent que la formation initiale de Rosinski en Pologne est la peinture. Son dessin ne subit donc pas, au départ, l’influence des productions franco-belges, américaines ou italiennes. Ce qui donne à son trait une dimension originale qui, depuis, a fait école. Deux aspects caractérisent son œuvre : son énergie – ce portrait de Kriss de Valnor a quelque chose d’électrique – et sa faculté à communiquer sur la psyché de ses personnages : on la voit ici, rebelle, déterminée, dangereuse, comme hérissée d’épines… Nous voilà prévenus.

    Source : Daniel Maghen Enchères

    en réponse à : Rosinski dans la presse Lien | Citer
    Article dans Newsweek

    Newsweek, un journal polonais, publie un article sur Grzegorz Rosinski suite à l’exposition qui lui est consacrée à Lodz. L’article polonais est réservé aux abonnés, mais je vous partage malgré tout la très belle photo de Grzegorz qui illustre l’article.   

    Source : Newsweek

    en réponse à : Miséricorde – par Jean Van Hamme et un collectif de dessinateurs Lien | Citer
    Présentation de l'album sur BDzoom

    Gilles Ratier propose sur BDzoom une présentation éclairante de l’album « Miséricorde » qui sort demain en librairie. On peut y découvrir une planche dessinée par chacun des auteurs dans une belle diversité de styles !   

    « Miséricorde » : les petites nouvelles tendres et cruelles de Jean Van Hamme…

    Même s’il a souvent déclaré qu’il mettait la pédale douce sur ses activités en BD, le célèbre et vénérable scénariste Jean Van Hamme — 84 ans au compteur ! — ne peut s’empêcher de produire toujours régulièrement. Cette fois-ci, il s’est amusé à ressortir quelques jouissives nouvelles littéraires — où il n’y a aucune miséricorde à espérer (d’où le titre !) — qu’il avait initialement écrites pour divers supports entre 1968 et 2008. Il les a offertes à sept talentueux illustrateurs contemporains qu’il a lui-même sélectionnés, dont les traitements graphiques de ces petites friandises, tour à tour tendres, roublardes, cruelles ou pétillantes, risquent de surprendre bien des lecteurs… dans le bon sens du terme ! Tout comme les développements narratifs qu’a su y insuffler le créateur de « Largo Winch », « XIII » ou « Thorgal »…

    Au fil des années, Van Hamme a donc écrit un certain nombre de nouvelles (18 selon ses derniers comptes) et c’est son père qui a fait publier l’une des premières — « Les Bretelles » —, sans le lui dire, sous le nom de plume de René Pageant, en 1968 : une histoire de temps à vendre en pilules qui n’aurait pas dépareillé dans son « S.O.S bonheur » (scénarisé pour Griffo, d’abord dans Spirou en 1984, puis en trois albums chez Dupuis). Elle est enluminée ici par l’excellent graphiste espagnol José Luis Munuera

    Son compatriote Ricard Efa, lui, s’est approprié « Le Vol d’Icare », où un tueur en cavale terrorise un club de parachutistes.

    Quant à Christian Durieux, il s’est jeté avec gourmandise sur « Les Dents de l’amour ». C’est le récit d’un garçon bedonnant qui rencontre une femme trop bien pour lui : une histoire d’amour complètement dingue qui lui tombe dessus.

    « Comment avoir sa statue sur la place Joachim XIII » est aussi l’une des toutes premières tentatives de Jean Van Hamme en tant que nouvelliste et c’est Emmanuel Bazin qui a adapté en BD cette courte histoire de putschiste pris à son propre jeu.

    Peu de temps après, celui qui nous gratifia de quelques mémorables épisodes de « Blake et Mortimer » écrivit « Le Piège » où une redoutable marieuse de la Belle Époque se retrouve face à son plus grand défi. Là, c’est Dominique Bertail qui s’en est emparé avec son talent habituel…

    Il y a aussi le plus récent « Adiós, amigo », qui met en scène un journaliste de l’exotique ancienne colonie de Maragua victime d’une froide machination : la plus longue de ces surprenantes bandes dessinées (18 planches), laquelle est illustrée, cette fois-ci, par le minutieux Québécois Djief.

    Sans oublier « L’Ange de miséricorde », imagé par la Hollandaise Aimée de Jongh, où un auteur de romans de gare finit par se rendre compte que ses personnages le trahissent : un hommage malin, de ce maître es-narration qui n’a certainement pas encore écrit son dernier mot, à son épouse Huguette, laquelle a réellement changé le destin de certains de ses protagonistes.

    Bref, vous avez compris que si vous vous laissez tenter par cet étonnant recueil de 94 pages au format « roman graphique », vous risquez de ne pas le lâcher avant de l’avoir terminé !

    G. Ratier

    Source : BDzoom

    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer

    J’ai lu d’une traite « La Folie Seamus » !  

    Ma crainte était fondée, Seamus souffre terriblement dans cet album, d’où le titre… Sioban fait tout ce qu’elle peut pour le sauver, ce qui débouchera sur un affrontement armé avec sa cousine Aylissa, sans doute dans le tome 4 du cycle. Quoique, celui-ci est intitulé « Lady O’Mara » , du nom de la mère de Sioban, laissant présager de nouveaux détours dans l’histoire.

    Jean Dufaux a été à nouveau bien inspiré pour cet album, et je trouve que le dessin de Paul Teng s’améliore dans sa fluidité et sa lisibilité. Je suis impatient de découvrir le tome suivant des Sudenne qui est déjà annoncé pour l’année prochaine !

    • Ce sujet a été modifié le il y a 1 an et 6 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Thorgal Saga – Wendigo – Duval & Rouge Lien | Citer

    Merci pour le partage Patrice. Même si elle reste plus classique, cette couverture est aussi très réussie. Corentin Rouge est vraiment doué. Je suis impatient de découvrir ses planches de Thorgal !

    Stéph, on veut aussi voir des détails de cette toile     

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Exposition-vente d'originaux de Fred Vignaux

    Une exposition-vente d’œuvres originales de Fred Vignaux et de Philippe Xavier se tiendra à Courtrai en Flandre (B) du 8 décembre au 30 janvier prochains. L’organisateur Stripweb nous en explique le principe :

    Pour la première fois, ces auteurs offrent la possibilité d’acheter des œuvres d’art originales.
    Exposition unique de tirages numériques exclusifs des séries Thorgal, Tango, Bernard Prince, Le Serpent et le Coyote, La Sagesse des Mythes, des auteurs Fred Vignaux et Philippe Xavier.

    Ces tirages d’art sont proposés à la vente une seule fois et sont accompagnés d’un certificat d’authenticité.
    Un seul exemplaire de chaque exemplaire sera à vendre, vous posséderez donc un exemplaire unique.
    Fred Vignaux disposera également de trois couvertures originales peintes, de la série La Sagesse des Mythes, sur toile, qui seront exceptionnellement disponibles à la vente.

    Les auteurs seront également présents vendredi soir pour dédicacer leur récent album.
    Vous ne pouvez vous inscrire que par email à info@stripweb.be. attention places limitées !!
    Le lieu de l’événement est Stripweb Pottelberg Courtrai.
    Heure de début : 18h30.
    Il y a 20 places disponibles pour recevoir une dédicace dans l’album.

    S’il y a trop d’inscriptions, nous tirerons au sort les heureux élus et les avertirons par email.
    Le catalogue sera également mis en ligne à partir de novembre.
    La priorité pour une dédicace est donnée aux personnes qui achètent des œuvres d’art originales auprès des auteurs.

    Source : Stripweb

    en réponse à : Astérix – Nouveaux albums Lien | Citer
    L'iris blanc

    Ça faisait des années que je n’avais pas lu un album d’Astérix aussi plaisant !    Est-ce dû à l’humour fin de Fabcaro, le nouveau scénariste, ou au dessin de Conrad de plus en plus proche du style d’Uderzo ? L’histoire se tient de bout en bout, et les dialogues sont dignes du maître Goscinny. Voilà vraiment un album d’Astérix à recommander !   

    en réponse à : Miséricorde – par Jean Van Hamme et un collectif de dessinateurs Lien | Citer

    Salut Victorwave   

    Parmi les différentes nouvelles annoncées dans cet album, « L’Ange de miséricorde » a une place particulière car il est en grande partie autobiographique pour Jean Van Hamme. Et pourtant, ce n’est pas un type de dessin qu’on trouve habituellement chez les dessinateurs qui travaillent avec lui. C’est peut-être ce qui donne un charme supplémentaire à ce récit, c’est en tout cas une histoire que j’ai bien aimée en la découvrant dans le hors-série « Le Monde » et qu’on peut dès à présent lire en entier sur le site de Dupuis en suivant ce lien :

    https://www.dupuis.com/misericorde/bd/misericorde-misericorde/122572#lecteurbd

    Pour les autres histoires, c’est difficile de se prononcer, car aucune case dessinée n’a encore été divulguée… Je sens que l’histoire intitulée « Un scénariste qui n’aurait pu imaginer l’histoire d’amour dingue qui lui tombe dessus. » sera aussi autobiographique, et comme tout ce qui touche à Jean Van Hamme m’intrigue, je l’attend particulièrement dans cet album. Allez, plus qu’une semaine à patienter !   

    en réponse à : Jeux – Thorgal / le jeu de cartes polonais Lien | Citer

    L’objectif de financement du jeu est déjà atteint et dépassé, tout va très vite pour ce projet !   

    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer
    Sortie de l'album "La Folie Seamus"

    Bonjour Jacmel, le responsable de la page FB de la Complainte n’est pas l’auteur Jean Dufaux, mais un passionné également membre de notre forum, Lokocha.   

    Voici la fin de la discussion qui te manquait :

     

    L’éditeur Dargaud a fait le point sur les cycles actuels selon la chronologie des faits :

    Sources : FB de la Complainte et de Dargaud

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