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Planche 1 du tome 27
Première planche du tome 27 intitulé « Mémoire rechargée », sous forme d’un résumé des épisodes précédents.
Source: Yves Schlirf sur Twitter
Allié?
Vivant sur Mitgard?
Jeune?
homme ou femme ? plutôt homme…
intervient dans plusieurs albums ?
De la série-mère uniquement?
Ce rouge, on dirait l’ignoble Loki…
Entretien sur TV5 MondeSympathique entretien avec les deux auteurs du dernier Largo Winch dans l’émission L’Invité sur TV5 Monde.
Waouh !
Quelle chance Lokocha
Raconte-nous un peu plus sur ces belles rencontres…
personnage toujours en vie ?
de la série mère ?
Personnage principal ou secondaire ? principal
LouveDans le prolongement du message précédent, voici la statue de Louve en pièces détachées, toujours partagée par le brésilien Bento Ribeiro. De quoi découvrir de plus près le travail de conception en imagerie 3D.
Source: Bento Ribeiro
Et voici le nouveau personnage mystère. A vos questions !
Grande sérigraphie N&BMagnifique sérigraphie en très grand format signée par Rosinski en vente ICI sur Collector BD :
Cette sérigraphie est tirée d’après Le Royaume sous le sable, vingt-sixième album de la série Thorgal.
Dans cet album, Thorgal et sa famille sont retenus prisonniers par d’étrange personnes vivant dans des souterrains, sous le désert. Ces personnes s’intéressent aux pouvoirs de Thorgal et de Jolan et fouillent la mémoire de la famille afin d’en découvrir plus sur ce qui est arrivé à l’expédition Xargos et sur l’histoire de Thorgal.Cette illustration représente tous les souvenirs de Thorgal et de sa famille alors qu’ils sont extraits. On peut donc y voir les étranges machines dans lesquelles ils sont et qui scrutent leur mémoire, ainsi que des flashs d’événements marquants : Batailles, romances, rencontres, etc.
On retrouve aussi de nombreux personnages comme par exemple : Aaricia, Kriss de Valnor, Louve, Jolan, Gandalf, La gardienne des clés, Skadia, Jorund, La Faucheuse, Darek et bien d’autres encore !Format : 100 x 70 cm
Passage : 1 passage noir
Papier : Fedrigoni Old Mill Bianco 300gr
Prix : 99 €
Tirage limité à 50 exemplaires numérotés et signés par RosinskiSources : Site Collector BD & FB Collector BD
AkzelA nouveau un coup réussi pour Bugs
C’était bien Akzel dans « Le maître de justice » .
Mais bon, si tu nous postes une photo de ton super gros lot, alors tu reviens jouer quand tu veux !
Barbu?
Hogrid?
Roi Gustavsson?
pauvre ou riche ? pauvre
il voyage en mer ? rarement
Une huître-cendrier ?
C’est pas bidon comme déco !
Merci pour les photos ! Vu la juxtaposition d’images, je n’imaginais pas que Piotr était le concepteur de ce dossier. Mais je crois déchiffrer son nom à la fin… De nos jours, il fait des mises en page bien plus épurées.
Dis, au dos du catalogue, tu n’étais pas obligé de scribouiller les dimensions pour moi !
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 5 mois par Tjahzi.
ami ou ennemi de Kriss ? l’un puis l’autre
toujours en vie ?
Storyboard du tome 6Undertaker, j’ai signé au moins pour les 10 premiers tomes avec Xavier Dorison et Ralph Meyer !
C’est clair que Jonas Crow est plus bavard que Thorgal (il doit tenir de son scénariste…
). Mais c’est une des caractéristiques principales du personnage, ce franc-parler et cette ironie permanente. Et j’adore ses répliques !
Ralph Meyer s’est déjà remis au travail pour préparer le tome 6. Vous en connaissez beaucoup, des dessinateurs qui vont jusqu’à encrer leur storyboard ?
Source : FB de Ralph Meyer
Chronique sur BD GestAutre chronique un peu moins élogieuse sur BD Gest : » Thorgal, la BD-doudou »
« Thorgal pensait en avoir fini avec les crimes commis lorsqu’il était le redoutable Shaïgan-Sans-Merci et écumait les mers aux côtés de Kriss de Valnor. Rongé de remords face à l’une de ses anciennes victimes, il lui promet de venir en aide aux adeptes persécutés d’un culte étrange.
Ce tome 37 attise la curiosité à plus d’un titre. Cet album marque les débuts de la nouvelle équipe d’auteurs après la retraite de son dessinateur historique, Rosinski, même si ce dernier signe encore sa couverture. Cela dit, Yann était déjà aux commandes des spin offs consacrés à Louve et à La jeunesse de Thorgal. Il a aussi joué les pompiers de service pour coscénariser l’album précédent, qui concluait l’arc « Aniel » . Quant à Vignaux, il s’est fait la main sur les deux derniers épisodes de la série consacrée à Kriss de Valnor.
Ce nouvel album pose aussi les bases d’un nouveau départ pour la série, qui s’était enlisée dans un projet alambiqué et poussif qui a usé 2 scénaristes (Sente, qui avait initié l’aventure, puis Dorison, censé reprendre le flambeau avant d’être brutalement débarqué). Rares sont ceux qui ont été satisfaits de cet accident éditorial qui a duré une vingtaine d’albums.
« L’ermite de Skellingar » tente donc un nécessaire retour aux sources. Il propose un récit unitaire, qui se concentre sur le seul Thorgal et qui reprend de nombreux marqueurs de l’univers mis en place par Van Hamme et Rosinski. Il n’est pas question de réinvention ou d’innovation. Le héros se retrouve confronté à une situation qui semble limpide, mais se révèle de moins en moins claire au fur et à mesure de ses découvertes. Il fait preuve de ténacité, d’humanité, de courage et d’astuce pour finalement triompher sans fanfaronner. La recette est éprouvée et appliquée méthodiquement.
Le but de l’éditeur est visiblement de rassurer le lecteur après les errances des derniers tomes. Graphiquement, Fred Vignaux assure l’essentiel en restant fidèle au style de Rosinski. De plus, son travail ne souffre pas du manque criant de mouvement qui plombe les derniers albums de Roman Surzhenko sur les séries parallèles. L’intrigue imaginée par Yann ressemble parfois à un collage des tomes précédents. Toutes les situations ont un air de déjà vu et il semble évident qu’aucun nouveau personnage apparaissant ici n’est censé intervenir par la suite. Tout n’est que prétexte à proposer un Thorgal comme au bon vieux temps. Cela implique un Jolan et une Aaricia réduits à leur plus simple expression, simples silhouettes fades qui ne servent qu’à ancrer leur père et mari dans une vie rangée. Seule Louve tire son épingle du jeu. Il ne serait d’ailleurs pas surprenant que les prochaines aventures ne rebondissent sur certains éléments issus du spin off qui lui est consacré. Yann avait laissé suffisamment de pistes à exploiter, comme s’il sentait une ouverture.
Il est difficile de nier que le contrat est globalement rempli. Ce nouvel épisode ne démérite pas. Il vaut largement mieux que « Arachnéa » ou « Le mal bleu » pour ne citer que ceux-là. Il redresse également bien la barre après un tome 36 particulièrement mal né et pénible. Mais il confirme aussi qu’il ne faut s’attendre à aucune évolution. Quel est l’intérêt de continuer une série si c’est pour faire globalement la même chose ? C’est la question qui revient pour la majorité des reprises. Pour qui préfère le confort d’une BD-doudou, « L’ermite de Skellingar » fera l’affaire. »
T. Cauvin
Source: BD Gest
Chronique sur Zoo le MagChronique du tome 37 de Thorgal sur le site Zoo le Mag.
« Si Thorgal devait couler des jours paisibles entouré de sa chère épouse Aaricia, son fils Jolan et sa fille Louve, voilà qui sonnerait le glas de la série ! Mais à peine remis de ses aventures au Moyen-Orient, voilà qu’une jeune femme tente de le poignarder pour se venger de ses crimes passés. Yann et Vignaux, tous deux adoubés par Grzegorz Rosinski pour reprendre le flambeau de sa prestigieuse série, se révèlent tous deux épatants pour ce premier tour de piste.
Le défi était de taille : créer la suite des aventures de Thorgal après « l’ère Yves Sente » qui avait lui-même succédé à Jean Van Hamme. Le scénariste créateur de la série estimait alors n’avoir plus rien à raconter sur son personnage devenu emblématique d’un genre oscillant entre science-fiction et folklore viking. Mais après un début prometteur, l’ambitieux projet de reprise de Sente a viré assez rapidement au cafouillage et ni Xavier Dorison qui lui succéda le temps d’un épisode, ni Yann qui devait obligatoirement conclure le cycle précédent avec une marge de création plus qu’étriquée n’ont pu éviter le semi-naufrage de la série. Il faut dire que le changement de registre graphique de Rosinski avec l’usage d’une couleur directe devenue écrasante n’a pas contribué non plus à renouer avec l’image laissée par « l’ère Van Hamme ».
Ce très inspiré one-shot imaginé par Yann remet les choses en place et renoue avec l’épisode où Thorgal, tombé sous le charme et l’influence maléfique de Kriss de Valnor, était devenu cet horrible tueur nommé Shaïgan-sans-merci. Fred Vignaux qui avait déjà achevé la série parallèle consacrée à Kriss de Valnor renoue, lui aussi, avec le trait de Rosinski de jadis avec une belle aisance dans son dessin. Sa palette de couleurs et sa mise en scène s’avèrent épatantes dans les nombreuses scènes d’action muettes. Voilà un nouveau départ qui s’annonce prometteur. »
S. Buch
Source : Zoo le Mag
Posté 7 janvier 2020 à 21 h 01 en réponse à : L’œuvre de Rosinski : pour une poétique du mouvement Lien | CiterOui, c’est clairement ce qui manque à cet article : une illustration des propos, surtout quand on parle du travail d’un illustrateur.
J’espère juste que les étudiant de l’université de Gdansk ont eu plus de chance que nous en profitant d’une projection illustrée de cette présentation…
Par manque de comparaisons picturales, les questions restent posées quand à la double influence créative dans son oeuvre. Par contre, je partage vraiment cette impression de mouvement qui émane des planches de BD de Rosinski. Il y insuffle un fameux dynamisme qu’il prolonge par son choix de confier la suite des aventures de Thorgal à Fred Vignaux.
Mais bizarrement, j’ai ressenti l’inverse quand il a voulu s’affranchir du format limité d’une planche classique de BD pour passer à la peinture directe en grand format. Son mouvement personnel s’est libéré par la peinture, mais pour moi, le résultat s’est figé justement à cause de cette technique. C’est en tout cas mon impression…
Homme ou femme? homme
Origine viking? probablement
Jeune? dans la force de l’âge
Guerrier?
Série Kriss?
Interview pour "Entrez sans frapper"Rencontre avec Xavier Dorison pour l’émission radio « Entrez sans frapper » de la RTBF belge, où il parle avec passion de son métier de scénariste. Durée : 8 minutes.
https://www.rtbf.be/auvio/detail_le-feuilleton-les-9-xavier-dorison?id=2581668&t=199
C’est vrai que la pratique s’est généralisée dans la bande dessinée : attendre que le tome 2 soit bien avancé avant de publier le tome 1, dans le but de faire paraître les deux premiers tomes à quelques mois d’intervalle. Mais j’espérais que pour une série déjà lancée, ce ne serait pas le cas. Dommage, il faudra encore patienter pour entamer ce nouveau cycle de la Complainte…
Eh
Un grand bravo à Tyseria, le plus wikipédien de nos thorgaliens !
Stéph, ça devrait mener où, ce hall de la gloire annoncé en page d’accueil ?
série « Louve » ?
être humain ?
Le site Génération BD fait le point sur le futur cycle de la Complainte dessiné par Paul Teng et mis en couleur par Bérengère Marquebreucq. Chronologiquement, l’histoire reprendra avec Sioban après le cycle dessiné par Grzegorz Rosinski. Le tome 1 dont on a déjà découvert pas mal d’images devrait sortir fin de cette année. Son titre : « Lord Heron« .
Source: Génération BD
Top 100 des lecteurs BDGest pour 2019BDGest publie le top 100 des albums préférés de ses lecteurs pour 2019 :
https://www.bdgest.com/top/annuel?annee=2019
1. Les Indes Fourbes (252 votes) par Alain Ayroles et Juanjo Guarnido chez Delcourt
2. Jusqu’au dernier (220 votes) par Jérôme Félix et Paul Gastine chez Bamboo
3. Katanga (206 votes) par Fabien Nury et Sylvain Vallée chez Dargaud
4. Le Château des Animaux (204 votes) par Xavier Dorison et Félix Delep chez Casterman
5. Undertaker (194 votes) par Xavier Dorison et Ralph Meyer chez Dargaud
Thorgal arrive à la 34ème place (80 votes) pour « L’Ermite de Skellingar » et à la 73ème place (51 votes) pour « La Dent bleue ».
Posté 4 janvier 2020 à 21 h 58 en réponse à : L’œuvre de Rosinski : pour une poétique du mouvement Lien | CiterPosté 4 janvier 2020 à 21 h 48 en réponse à : L’œuvre de Rosinski : pour une poétique du mouvement Lien | CiterUne poétique du mouvementJ’ai d’abord voulu mettre en évidence le dernier paragraphe de l’article, pour aller directement au cœur de la réflexion des deux chercheuses. Ça reste évidemment fort intéressant de lire l’article dans son entièreté, et de découvrir ce qui a amené Grzegorz Rosinski à cette poétique du mouvement. J’ai donc ajouté l’article complet à la suite.
Mais ce n’est pas parce qu’on lit un article académique qu’il faut se priver d’illustrations !
Alors je me suis permis d’entrecouper le texte de quelques images extraites de la Monographie consacrée à Rosinski. Et puis un petit défi pour les curieux : essayez de retrouver les infos de l’article qui ont été tirées du célèbre site Thorgal.com !
» Le parcours géographique suivi par Rosiński, qui l’a mené de Pologne en Belgique et enfin en Suisse, est atypique, façonné qu’il a été par les aléas socio‐politiques d’une Europe centrale en pleine mutation. Attiré par une tradition bédéique occidentale renommée en même temps que profondément marqué par ses racines artistiques polonaises, Rosiński s’est construit une identité graphique personnelle forte, au carrefour de cette double influence culturelle. Quel que soit le moment de son parcours professionnel, il tire le meilleur parti de son art, allant chercher son inspiration dans la tradition culturelle qui lui convient alors le mieux, et qui, paradoxalement peut‐être, s’avère être aussi celle qui lui manque à ce moment‐là. Ainsi, sans trop nous avancer cependant, posons-nous l’hypothèse que son œuvre n’aurait pu exister sous cette forme si elle n’avait pas fonctionné à l’image d’un aimant, dont les deux pôles s’attirent inexorablement. Pour le dire plus clairement, nous sommes persuadées que c’est dans la recherche d’un paradis nécessairement perdu – ou non encore trouvé – que l’œuvre de Rosiński a pu s’élaborer.
Après ses études à Varsovie, il a délibérément choisi de travailler avec la Belgique, au prix de sacrifices familiaux (alors qu’il entame sa collaboration avec les éditeurs belges, il est en effet privé des siens, restés en Pologne, pendant une assez longue période), personnels (il doit quitter sa patrie pour assouvir ses rêves professionnels), stylistiques (il cherche initialement à intégrer le trait des écoles belges pour être engagé) et thématiques (il accepte les commandes faites par les éditeurs pour être publié). En outre, alors qu’il vit en Belgique, puis en Suisse, on ne peut s’empêcher de noter les différentes touches polonaises qui affleurent dans son œuvre, comme s’il avait peur de perdre son identité. Ainsi, dans de nombreux tomes de Thorgal, il affirme par exemple son romantisme slave par le biais de dessins de paysages qui rappellent ceux de son enfance, et tente d’instaurer de la proximité avec la nature. Dès qu’il le peut, il s’éloigne de la zone de confort que lui procure le succès de Thorgal en demandant de nouveaux récits à ses scénaristes, qui lui permettent de renouer avec les thèmes qu’il affectionnait à ses débuts artistiques en Pologne (pirates, western, ésotérisme). Mais c’est évidemment La vengeance du comte Skarbek, cette bande dessinée dont l’histoire se déroule en partie dans la Pologne du XIXe siècle, qui traduit le mieux la quête identitaire complexe de Rosiński qui, sur ce plan, semble finalement si proche de Thorgal.
Cette même « envie de Pologne », comme on pourrait la qualifier, s’exprime sur le plan graphique également. Une fois le succès assuré, Rosiński revient à la peinture, qu’il a apprise à Varsovie, et impose à ses éditeurs des planches démesurées, dont chaque vignette peinte sur chevalet doit être scannée et mise en page pour la publication, ce qui ne s’inscrit évidemment pas dans la logique commerciale des éditeurs pour lesquels il travaille. Il en va enfin de même sur le plan privé : au risque de compliquer l’intégration de ses enfants, Rosiński interdit à ces derniers de parler une autre langue que le polonais en famille et garde vivaces le folklore et les traditions polonaises au sein de son foyer, notamment en ayant à cœur de fêter tous les moments clés de l’histoire de la Pologne.
Cette double identité de Rosiński, qui semble exercer un mouvement de balancier et qui modèle son œuvre en profondeur en lui conférant une dynamique particulière, agit semblablement sur son style. En effet, loin de se complaire dans un trait traditionnel éprouvé et maîtrisé, il remet sans cesse en question son art, expérimentant de nouvelles pratiques. Pour ce faire, il se détourne notamment de l’illustration bédéique habituelle telle qu’elle se pratique en Europe de l’Ouest pour retrouver certaines techniques apprises lors de sa formation à Varsovie, comme la peinture par exemple. C’est ainsi qu’à partir du vingt‐neuvième tome de Thorgal, il applique la technique dite de la « couleur directe », c’est‐à‐dire qu’il peint chacune de ses vignettes comme un tableau sur chevalet de sorte qu’il peut libérer sa gestuelle, lesquelles cases subissent par la suite un traitement numérique pour être insérées sur chaque planche. Et même lorsqu’il propose une illustration de facture classique (crayonné au bleu, encrage et tracé des contours au noir), il se distingue de la grande majorité de ses contemporains en commençant par esquisser l’ensemble du scénario, ce qui lui permet d’avoir une vision globale du découpage narratif et d’asseoir ensuite une façon de travailler très rapide, instinctive, presque impressionniste. Certains critiques n’ont d’ailleurs pas manqué de souligner que Rosiński dessine mal le statique, tandis que son art éclot avec toute sa puissance créative dans des scènes d’action. Cette critique, aussi fondée soit‐elle, pointe en fait plutôt une qualité de l’illustrateur : parce qu’il a bénéficié d’une formation multiple et variée, qu’il a touché à l’art de l’illustration sous toutes ses formes, Rosiński ne s’enferme jamais dans une technique, mais, au contraire, se remet en question de manière permanente et cherche à éprouver au maximum sa liberté artistique, quitte à parfois se heurter à un mur23 ou à se confronter au refus de certains éditeurs qui ne tolèrent pas ses expérimentations trop coûteuses à mettre en œuvre au moment de la publication.
En cherchant à trouver sa place entre deux traditions culturelles et artistiques, Rosiński a adopté une posture mouvante, évoluant au gré de ses déménagements, de ses rencontres, de son succès. De proche en proche, ce principe est devenu inévitablement constitutif de son art, ce qui explique sans aucun doute pourquoi il réussit à situer ses bandes dessinées en marge des formes bédéiques conventionnelles, renouvelant ainsi le neuvième art en explorant de nouvelles techniques. Dès lors, on peut dire qu’il pratique une poétique du mouvement vitale et décomplexée, caractéristique d’une littérature populaire véritablement transnationale. «
Source : http://www.ejournals.eu/CahiersERTA/2017/Numero-12/art/10613
série principale ?
apparition unique ou répétée ? répétée
Dans ces statistiques, certains chiffres sont à la hausse, d’autres à la baisse, fort probablement pour les raisons suivantes :
Thorgal-BD a écrit
Grzegorz Rosinski n’est plus là, « Aniel » a été assez dévastateur…Et l’ancêtre est toujours là, bon pied bon oeil !
Thorgal-BD a écrit
Et je suis toujours là, depuis bientôt 21 ans ! Depuis le départ de Rosinski, je crois pouvoir dire que je suis le plus ancien membre de l’équipe Thorgal.Mais voilà la meilleure nouvelle de ce début d’année !
Thorgal-BD a écrit
Bref, c’est redevenu cool pour moi, et donc je m’inscris à nouveau dans le projet.Roman invité d'honneur des festivalsSur sa page Instagram, Roman Surzhenko nous annonce qu’il sera cette année l’invité d’honneur de 2 festivals BD pour lesquels il a réalisé le dessin des affiches :
- Du 21 au 22 mars à Aubenas en France : https://www.facebook.com/aubenasBD
- Du 16 au 17 mai à Eghezée en Belgique : https://www.facebook.com/FestivalBdHanret
Un autre personnage mystère à retrouver. N’hésitez pas à poser vos questions !
J’ai déjà acheté pas mal de BD d’occasion dans différents lieux.
- Dans des foires et salons de la BD auprès de marchands professionnels. La qualité y est toujours, le prix attractif beaucoup moins, et les BD anciennes pas très nombreuses.
- Dans des bouquineries. Là, si on prend le temps de chercher, on peut découvrir des pépites anciennes pour pas trop cher.
- Au Village du Livre. Un village pas trop loin de chez moi (mais j’en connais d’autres), rempli de bouquins d’occasion, souvent anciens. Mais quel fouillis !
- Dans des brocantes, marchés aux puces et vide-greniers. J’ai laissé tomber, trop hasardeux avant de dénicher ce que je recherche.
- Sur les sites qui vendent des BD en neuf et occasion. J’ai testé eBay, Amazon, Momox, Fnac et d’autres encore. Il faut souvent demander infos et photos complémentaires au vendeur pour s’assurer de la qualité du livre.
- Sites de petites annonces en seconde main. Qualité très variable, parfois de bonnes surprises.
- Mon site préféré quand je sais précisément ce que je cherche : https://www.bedetheque.com/ventes. Actuellement 118 564 BD à vendre ! Vendues par des passionnés de BD, à des prix variables, avec une charte précise de qualité (https://www.bedetheque.com/ventes/etats). Il faut par contre demander des photos aux vendeurs, dont certains ne sont d’ailleurs pas demandeurs de vendre par correspondance. Mais c’est là que je trouve le plus souvent les BD qui m’ont passionné dans ma jeunesse.
Bé-KiTu prends les deux comme Argun Pied-d’arbre ?
Bravo Bugs, c’était bien Bé-ki dans « Les yeux de Tanatloc ».
Vœux de RomanThorgal-BD a écrit
En ce qui concerne Thorgal, la période qui s’ouvre est un mélange d’incertitude, de nouveauté, de possibles, de perspectives potentiellement excitantes. Je l’exprime à ma façon dans ce petit pastiche. Bonne année à tous !10 ans déjà ? On a toujours quelque chose à fêter avec Thorgal !
Kartlis a écrit
Bonne année 2020 à tous et toutes !!Oh Kartlis, ça faisait longtemps !
Bonne année à toi aussi et reviens-nous vite !
Avec mes meilleurs vœux à tous les thorgaliennes et thorgaliens
Thorgal-BD a écrit
Bien vu, chapeau, pas facile à dénicher !Et tu as vu, cette fois je n’ai même pas écrasé mes BD pour les scanner
Bravo à toi Fievel/Julien !
Si le tome 1 te plaît, j’ai vu qu’un deuxième album de Jakob Kayne est déjà prévu pour le mois de février.
Source: Le Lombard
VœuxBéatrice Tillier partage ses vœux pour la nouvelle année avec un superbe dessin.
Source : http://beatricetillier.blogspot.com
Bon réveillon à tous, et à l’année prochaine !
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