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Urszula Rams art
L’artiste polonaise Urszula Rams a peint sur cette veste un portrait personnel de Kriss de Valnor, qu’elle a eu la chance de pouvoir faire dédicacer par Grzegorz Rosinski et Roman Surzhenko lors du dernier festival BD de Varsovie.
Source : Urszula Rams art sur FB
dans la série mère ?
personnage récurrent ?
Avis sur le tome 8Avant de revenir ici, j’ai lu deux fois « Les deux bâtards ». Une première fois pour le plaisir de la découverte qui n’a hélas pas été intense. Une seconde fois pour comprendre ce que j’aimais ou pas dans cette histoire. Pour commencer, je dirai que les dessins de Roman Surzhenko sont toujours aussi soignés, mais qu’ils mériteraient plus de place. Il y a tout simplement trop de cases par planche, ce qui ne nous fait guère profiter des détails du dessin. Des scènes de combat qui prennent place dans une petite case ne font guère d’effet. Puis les scènes de combat – et les morts – sont tellement nombreux au fil des pages qu’il perdent tout leur sens.
Mais là, j’en arrive au scénario de Yann qui est à nouveau le point faible de ce tome 8 de la Jeunesse. Plutôt que des manques dans l’histoire, ce sont les excès qui pèsent le plus : trop de dialogues contenant trop d’explications, trop de vocabulaire nordique ou arabe qui demande même des traductions en bas de page, trop d’étalage des connaissances historiques du scénariste. Pour Yann, Thorgal est une BD historique sur la culture viking, mais ce n’est pas du tout ça !
D’autres excès, ce sont les évasions à répétition de Thorgal, je n’arrive même plus à les dénombrer en si peu de temps. Et avec ces multiples personnages secondaires, on se retrouve plutôt dans le roman-feuilleton qui s’étale d’album en album. Pour relancer la tension, le scénariste alterne les intrigues parallèles, dans le genre soap opera qui ne colle pas à l’univers de Thorgal. Parce que c’est bien là le problème, ce scénario sans fin de la Jeunesse exploite la franchise Thorgal sans trop se soucier du sens donné à tout ça. Bientôt, on va en arriver à faire vivre bien plus d’aventures extraordinaires à Thorgal durant sans jeunesse, que tout ce qu’il a vécu depuis qu’il est adulte. Là pour moi, il est plus que temps de conclure cette Jeunesse, et proposer à Roman Surzhenko d’autres scénarios de qualité qui mettront mieux son talent en valeur.
Sortie du tome 8Le Lombard partage encore un extrait de l’album « Les deux bâtards » sorti aujourd’hui. Je l’ai acheté en fin de journée, mais pas encore ouvert. Je reviens dès la fin de la lecture !
Sortie du tome 5Pour sa sortie aujourd’hui, petit aperçu du dernier tome de l’intégrale partagé par Le Lombard.
Source : FB de Thorgal
Planche 20Yves Schlirf nous partage deux nouvelles planches du tome 27, avec le retour de Jones aux commandes !
Source : Twitter d’Yves Schlirf
Le Lombard diffuse sur les réseaux sociaux quelques cases du nouvel album pour nous mettre en appétit demain !
Thorgal et les femmes, une histoire compliquée…
Entretien pour AuracanEntretien fort intéressant avec Fred Vignaux sur Auracan. On y parle de sa manière d’interagir avec son scénariste, son coloriste, avec Grzegorz Rosinski… On retrouve également en fin d’article quelques infos sur l’évolution future des personnages et le tome 38 de Thorgal.
« Selon vous, pour L’ermite de Skellingar, Yann vous a-t-il proposé un album de scénariste avec beaucoup de cases ou un album laissant la part belle au dessin ?
Fred Vignaux : En fait, c’est un petit peu les deux. La première partie est un peu plus dense, et la seconde partie, au moment où Thorgal commence à aborder les rivages de Skellingar, avec beaucoup plus des paysages, est plus lente, plus contemplative. Le début est un petit peu plus verbeux parce qu’il faut présenter l’histoire. Dans cet album, parce que c’était une première collaboration, Yann a testé mes goûts. Il a développé une trame principale et à un certain moment, il m’a proposé des scènes alternatives… que j’ai choisies. Il a alors remodelé le scénario en fonction de mes choix. Du coup, sur Thorgal, il a fait mouche tout de suite. C’est une façon intelligente et délicate de cerner ses collaborateurs et leurs aspirations.
Comment se déroule votre collaboration ?
Pas beaucoup d’allers et retours, mais un gros aller au restaurant ! On parle de ce que l’on veut raconter, de nos différentes envies et ensuite Yann rédige un gros chemin de fer. A partir de là, on voit si cela correspond vraiment à ce que l’on veut raconter. Les remarques entraînent de légères adaptations, et une fois tout cela défini, Yann entreprend toute la partie technique du synopsis et du découpage en cases, pages, dialogues…
Quel est le rôle de l’éditeur à ce stade ?
Il intervient à deux moments : au niveau du chemin de fer pour voir s’il y a une cohérence, c’est du Thorgal et c’est une chose qui est attendue par les lecteurs. Il y a donc un véritable enjeu et c’est normal que l’éditeur ait son mot à dire. Et après, une fois que l’on a fait le storyboard. À partir de ce moment-là, je le diffuse à tout le monde : à Grzegorz, Piotr et à l’éditeur. Et là, si quelqu’un a quelque chose à dire, on rectifie, on réajuste. Après, j’entame vraiment la partie dessin…
Et pour le dessin ?
J’ai d’abord réalisé une vingtaine de planches. Je suis allé chez Grzegorz Rosinski, en Suisse. Il m’a fait part de ses remarques, il a redessiné certaines choses. J’ai ensuite modifié en fonction de la manière dont j’ai interprété ses remarques. Je suis retourné chez lui en juin pour la deuxième partie et on a mis le point final à l’album, tout en discutant, en corrigeant…
Ressentiez-vous de l’appréhension en vous rendant chez Rosinski ?
Il y avait un peu d’appréhension sur les premières pages, pour savoir si j’étais bien dans le ton. Je sortais de Kriss de Valnor et il fallait que je réajuste un petit peu le trait, mais pas tant que ça. Pour les premières planches, il y a eu un petit flottement mais ça été très passager.
Quand je travaillais sur le Thorgal, mais que j’étais encore en dédicaces sur Kriss de Valnor, les gens me demandaient immanquablement : « Alors, qu’est-ce que ça fait de reprendre un Thorgal, vous n’avez pas d’appréhension ? ». Je leur répondais que quand je suis chez moi, tout va très bien mais c’est quand je les rencontrais que je me demandais si je ne devais pas ressentir une petite d’appréhension. Ceci dit, psychologiquement, il existe une certaine légitimité dans cette reprise. Mon dessin, comme celui de Grzegorz, est tributaire de mes états d’âme, de mon humeur. Il n’est pas figé et peut donc fluctuer en fonction de ce qui se passe, même en cours de journée. Le style de Grzegorz a beaucoup évolué au cours du temps.
Avez-vous délaissé le numérique au profit des crayons et des encrages pour cet album ?
Au final, pas vraiment ! Je m’étais dit que j’allais essayer de revenir au traditionnel, j’ai commencé les premières planches en traditionnel mais après, j’ai été rattrapé par le temps et je me suis dit, si on veut faire un bel album, je ne change pas tout de suite mes habitudes.
Ce sont des bd qui sont très riches graphiquement et au final, avec une année pour sortir un album, l’outil numérique facilite grandement les choses. De plus, n’oublions pas que j’assure les couvertures de « La sagesse des mythes » chez Glénat, sans parler de quelques petits trucs en parallèle. Mes journées sont bien remplies !
Vous n’avez pas assuré les couleurs de cet album. Un avantage ou une frustration ?
Lorsque je pense un dessin, je le pense en couleurs et du coup, je pose mes noirs en fonction de cela. D’ailleurs, une fois que j’ai terminé mes planches, je fais un petit document que j’appelle la bible graphique, que je donne à Gaétan, le coloriste. Après, il en fait ce qu’il veut, compte tenu de sa propre sensibilité, il voit si ça lui sert ou pas. En contrepartie, sur les couvertures de La sagesse des mythes je peux m’exprimer sur de la peinture, de la couleur, etc. Mais Gaëtan a signé un superbe boulot. Ses couleurs ont une vibration très particulière. Son travail est très personnel mais s’inscrit dans la lignée de ce qui a été fait par le passé. L’outil numérique permet une plus grande variété au niveau des teintes, même si on reste dans l’ambiance des débuts, et c’est ce qui permet de faire l’analogie avec les dernières couleurs de Grzegorz, sur les précédents albums.
Pouvez-vous caractériser le lectorat de Thorgal rencontré en dédicaces ?
Les dédicaces ne sont pas, pour moi, le reflet des lecteurs. Le public est plus large, il va de l’ado qui emprunte l’album dans la bibliothèque de ses parents, et qui, comme ça lui plait, lit toute la série. Après, ça va jusqu’au fan de la première heure, avec sa petite madeleine de Proust.
Le public est assez large avec une particularité, il est assez féminin… J’ai beaucoup de public féminin en dédicaces qui aime beaucoup Thorgal. Thorgal n’est pas une sombre brute. Il a des valeurs, il est droit, il prend soin de sa famille, de sa femme, de ses enfants… La série présente vraiment des valeurs familiales et je pense que le lectorat féminin y est assez sensible.
Vous travaillez sur le tome 38 de Thorgal avec Yann au scénario, pouvez-vous déjà nous en parler ?
Ce sera une aventure un peu particulière. On va essayer, en restant vraiment très modestes et respectueux, de se rapprocher d’une sorte d’Alinoë. On va essayer et on espère qu’on va réussir ce pari.
Dans une interview donnée à Planète BD en octobre dernier, vous précisiez que vous ne reviendriez pas sur le passé de Thorgal mais que vous iriez de l’avant, en prolongeant sa vie. Les personnages sont-ils donc susceptibles de vieillir ?
La question se posait pour Louve, on s’est longtemps demandé si on la faisait grandir ou pas. Et justement, le nouveau récit tourne autour d’elle. Je ne peux pas vous en dire plus. Thorgal a déjà bien vieilli. A la fin du précédent tome, il prend un petit coup de jeune en se rasant. Kriss de Valnor et Aaricia ont également vieilli mais ce sont des personnages féminins. Sur un personnage masculin, c’est plus facile graphiquement, on rajoute une barbe, on peut le faire vieillir progressivement… La question du vieillissement de Louve se pose encore aujourd’hui, on va la garder un petit peu comme ça et on verra après… »
Propos recueillis par B. Launois le 01-02-2020
Source : Auracan
Chronique sur Planète BDPremier avis à propos du tome 8 sur Planète BD. Pas de spoiler en vue…
« La jeunesse de Thorgal, série cross-over et parallèle à celle de Thorgal, se poursuit avec toujours Yann et Roman Surzhenko aux manettes. On suit toujours les aventures mouvementées du jeune Thorgal parti à la recherche de sa douce Aaricia aux prises avec le roi viking Harald-à-La-Dent-Bleue. Toujours prisonniers de ce roi viking très cruel, Thorgal et son petit groupe d’amis vont devoir s’échapper de leurs prisons s’ils veulent sauver Aaricia et les autres femmes du joug du roi.
Evidemment, Yann ajoute quelques complots et duperies pour pimenter un scénario déjà riche en actions. Entre évasions ratées, combats sanguinolents et ruses diplomatiques, Thorgal va devoir faire preuve d’un courage à toute épreuve pour se sortir d’affaire, mais aussi compter sur ses amis. Bien sûr, ce récit de Yann n’apporte rien de nouveau à la grande épopée de Thorgal, si ce n’est que sa jeunesse semble presque plus épique que sa vie d’adulte.
Au dessin, Surzhenko reste fidèle au graphisme établi depuis ses débuts. Son trait réaliste fluide et efficace colle au récit très rythmé de Yann. Il semble que cette série parallèle perdure encore quelques albums, tandis que les autres séries cross-over se sont raccordées à la série principale et donc terminées définitivement. On note la splendide couverture, encore une fois réalisée par Grzegorz Rosinski. »
F. Rabe
Source : Planète BD
Voici un nouveau personnage mystère à découvrir… à vos questions
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 3 mois par Tjahzi.
Annulations festivals BDRoman Surzhenko s’excuse sur sa page Instagram de ne pas pouvoir participer aux festivals européens des prochaines semaines et prochains mois, car il sera mis automatiquement en quarantaine à son retour… de toute façon, tout est annulé dans les pays francophones… merci quand même Roman pour ta disponibilité, ce sera pour de prochaines occasions.
Thorgal-BD a écrit
J’en profite pour rappeler que Roman vient tout exprès de Russie à chaque fois, pour chaque festival. Autant dire qu’à chaque rencontre, il mérite fort un énorme remerciement de notre part à tous, parce que ça représente un sacré dévouement, et pas mal de sacrifices familiaux, comme vous pouvez l’imaginer.Oui, je trouve ça extraordinaire, je pense qu’il est le seul dessinateur à autant se déplacer pour ses fans !
André ChéretAndré Chéret a aussi dessiné la série « Domino« , avec Jean Van Hamme comme scénariste, ainsi que d’autres séries moins connues.
Le site Ligne Claire nous parle en particulier de Rahan :
« Pour tous les lecteurs de Pif Gadget dans les années soixante-dix, le décès d’André Chéret que l’on vient d’apprendre est aussi celui de son héros Rahan, homme de la préhistoire au coutelas d’ivoire. Chéret avait 82 ans et était le dessinateur de cette série mythique qu’il avait su maintenir sur le devant de la scène et dont le scénario était signé par Roger Lecureux décédé en 1999.
Rahan était un peu l’inventeur de tous les progrès du futur. La roue, la boussole, l’écluse, le feu, et on en passe, surnommé le Fils des âges farouches, ses aventures ont paru pour la première fois en février 1969 dans le numéro un de Pif Gadget. Il faisait très régulièrement la Une du magazine et son coutelas, avec lequel il choisissait sa destination à la fin de chaque épisode en le faisant tourner, a même été un des plus convoités gadgets de Pif.
Rahan était aussi une sorte de MacGyver avant l’heure. Astucieux, intelligent, beau gosse, honnête, un brin écolo à une époque où personne ne savait ce que c’était, il allait avoir des fiancées, mais c’était un nomade qui ne se fixait pas, apportait aux tribus croisées une certaine modernité et poursuivait sa route. Il fera de la TV dans un dessin animé en série à partir de 1987. On aimait Rahan parce qu’il était libre, courageux, ne se prenait pas la tête et savait faire régner la justice autour de lui. »
Source : Ligne Claire
Entretien dans Trends TendancesEntretien croisé dans le magazine économique belge Trends Tendances, avec de nombreux points communs entre Jean Van Hamme et Giles Daoust.
Dans le dernier Trends Tendances, nouvelle « rencontre inattendue » entre le scénariste Jean Van Hamme (Largo Winch, XIII, Thorgal…
qui signera le prochain Blake & Mortimer et Giles Daoust, CEO de Daoust HR et patron de la société de production de films Title Media.
Source : F. Brebant sur Trends Tendances
intégrale volume 3 (PL)PolishComicArt publie le visuel de la couverture du tome 3 dans sa version polonaise.
Source : https://www.facebook.com/Polishcomicartpl-341345759560848/
jeu en vente sur eBayUn jeu de tarot Thorgal est actuellement en vente ICI sur eBay au prix de 10 €.
LolthBravo JoelJean
C’est bien Lolth, « la reine des Alfes noirs » !
Yrettarg ?
mais de peu…
Merci pour cette belle interview
Cette dernière partie est à nouveau fort intéressante, on aborde véritablement la technique narrative propre à la BD.
Mais au fait, tu ne nous as pas raconté comment tu avais rencontré Fred pour mener à bien cet entretien
Brünhild?
Freyja?
sur Asgard ?
c’est une déesse ?
Roman invité d'honneur de Chambéry (F)2020 sera une année faste pour Roman Surzhenko : on apprend qu’il sera une quatrième fois l’invité d’honneur d’un festival cette année
Cela se passera du 25 au 27 septembre au Festival BD de Chambéry en Savoie. Une exposition consacrée à Thorgal se tiendra également durant un mois à l’Espace Malraux.
Source: Unidivers
le personnage vit sur Mitgard ?
et dont chaque case prendrait une page de l’intégrale !
animal?
série dérivée?
uniquement?
Black Squaw de Yann et HenrietPublication cette semaine dans le magazine SPIROU des premières planches de Black Squaw par Yann et Henriet.
Chronique de cette nouvelle série ICI sur le site Ligne Claire.
Black Squaw de Yann et Henriet décolle dans Spirou
« Une arrivée dans le journal de Spirou du 4 mars 2020, celle de la nouvelle série aéronautique du duo de Dent d’Ours, Yann et Henriet. Autant dire qu’on attendait cette Black Squaw, histoire qui se passe dans les années vingt à trente aux USA en pleine prohibition.
Black Squaw, c’est une pilote noire inspirée de Bessie Coleman comme Yann nous l’avait confié dans sa dernière interview. Coleman a été la première femme noire à être brevetée pilote, et en France en plus chez Caudron. Mais Black Squaw c’est avant tout une belle histoire d’aventure maîtrisée par Yann, sous le crayon toujours aussi talentueux, réaliste et soigné de Henriet.
On va retrouver un certain Al Capone dans ce premier tome et avoir une hypothèse en direct sur la tragique disparition de l’Oiseau Blanc, l’avion de Nungesser et Coli en 1927 qui tentait la première traversée de l’Atlantique. C’est Lindbergh qui finalement remportera ce défi. On verra aussi comment le Ku Klux Klan terrorisait les populations noires dans le sud des USA. Sans oublier que Black Squaw va voler sur un Curtiss Jenny JN-4, avion US de la première guerre mondiale, un zinc de formation et pas de combat. Une série qui va faire des heureux, on peut s’en douter dès les premières pages publiées dans Spirou qui axe aussi sa thématique de ce numéro sur l’aviation avec ses rubriques et séries habituelles. »
Sauvage tome 5 – Black CalaveraSortie chez Casterman du 5ème tome de Sauvage par Yann et Félix Meynet.
Les premières pages sont à découvrir ICI.
« Après tant d’épreuves et de drames, quel avenir est encore possible pour Félix Sauvage ?
Depuis la fin de la guerre civile, les troupes françaises au Mexique s’interrogent sur les intentions de leurs voisins américains. Afin d’éviter tout incident diplomatique et d’obtenir des renseignements de première main, Félix Sauvage et son camarade Hugon sont envoyés comme espions à Brownsville.
Après une bagarre qui tourne mal, ce dernier est capturé par les troupes américaines et condamné à mort. Alors qu’il tente de le sauver, Félix croise la route d’Esmeralda, qui a rejoint une troupe de saltimbanques et effectue des danses sensuelles laissant entrevoir un étrange tatouage sur son épaule : une calavera noire. Les routes de Félix et Esmeralda vont-elles se rejoindre ou se séparer pour de bon ? Quel avenir est encore possible pour Félix Sauvage dans un contexte militaire où il se sent trahi ? »Chronique de l’album sur Ligne Claire« Et un dernier pour la route. L’épopée française au Mexique aura une fin tragique avec la mort, on le sait, de Maximilien fusillé, soutenu par Napoléon III et son armée. Dans Sauvage T5, Yann et Félix Meynet proposent un nouveau destin à leur héros, Félix Sauvage, capitaine de Spahis, est toujours en première ligne et maintenant face aux soldats US qui aimeraient bien que les Français rembarquent. Une fresque historique d’une rare précision à tout niveau, bouillonnante, soutenue par le dessin toujours aussi évocateur, réaliste, bien à lui de Meynet. Félix Sauvage risque fort de devenir un héros de western. Ce qu’on appréciera sûrement. » […]Pour la suite de l’article, c’est ICI sur Ligne Claire.
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 3 mois par Tjahzi.
humain ?
toujours en vie ?
Oui, cet étrange binôme a l’air de fonctionner, ne nous en plaignons pas.
Revoir cette planche qui inaugure l’album ne me procure pas que de la joie. Il était prévu que les lecteurs de la série mère ne seraient pas obligés de lire les séries parallèles pour comprendre le récit, mais là avec l’origine de la guenon dans la série « Louve », c’est raté. Cette histoire-là aurait dû être bouclée depuis longtemps !
masculin ?
viking ?
Nouveau personnage mystère à découvrir
Vente sur 2DGMise en vente sur 2DGalleries de la planche 4 de l’histoire « Le métal qui n’existait pas » réalisée en 1983.
- planche à l’encre de chine
- format 47 x 36 cm
- prix : 18 500 €
Elle me plait bien cette planche-là, devinez pourquoi…
Cliquer pour afficherInfos : 2dCHRIS sur 2DGalleries
Jumeau archersPour faire plaisir à Nils, je vais reprendre le mot jumeau, puisqu’il s’agit bien d’un des frères archers… sans nom!
Bravo
Pennybridge a écrit
Ce n’est pas au moment où il a surpris Thorgal et annonce la sentence de « seulement » lui briser les poignets?C’est juste à la page précédente, quand il complote avec son frère, après la première journée de tournoi.
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 3 mois par Tjahzi.
Le 13 mars, on aura donc la sortie de ce dernier tome de l’intégrale, en plus du tome 8 de la Jeunesse. Ah, Thorgal, j’en aurai dépensé des petits sous pour toi !!
Torgal en turcDans les années ’80, Thorgal a été publié en turc dans l’équivalent du Journal de Tintin : Tercüman Çocuk.
Voici quelques couvertures de la revue de l’époque partagées par le site FB Tercüman Çocuk Okuyucuları.
Ah oui, Thorgal s’écrit TORGAL en turc.
guerrier ?
jeune ou vieux ? d’âge moyen
statuette de KrissSalut Nico, on peut déjà voir la figurine au début de ce sujet-ci.
Thorgal-BD a écrit
Je rebondis sur ce vieux sujet avec les photos de de la future statuette de Kriss.
Pour rappel, elle mesure 53 cm et coûte 589 euros…Et on retrouve une photo de la statue avec Fred Vignaux dans ce sujet-là :
http://www.thorgal.com/sujet/entretien-avec-fred-vignaux/page/3/#post-202617
il a rencontré Thorgal ?
ami ou ennemi ? ennemi
Posté 19 février 2020 à 23 h 30 en réponse à : Masterclass et entretiens avec Fred Vignaux Lien | CiterTu es sûre que tes petits élèves ont entre 3 et 5 ans
d’origine viking ?
dans la série principale ?
Je préfère la première carte avec un fond nuageux, plus léger que le fond boisé. Mais j’ai encore une question : pourquoi la carte est-elle horizontale alors que les autres sont verticales ?
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