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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Tjahzi

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40 sujets de 721 à 760 (sur un total de 4,504)
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    Messages
  • en réponse à : Jeux – Le jeu de plateau Thorgal Lien | Citer
    Mise à jour 6

    C’est là qu’on voit apparaitre les principaux personnages redessinés pour le jeu.   

    https://gamefound.com/projects/portalgames/thorgal-the-board-game/updates/6

     

    Comment les Personnages deviennent des Guerriers ?

    Voyons comment les personnages acquièrent de l’expérience et comment équilibrer le développement personnel et la progression de l’histoire en un temps limité.
     
    Death May Die a les meilleures règles de développement de personnage jamais vues. Eric Lang est un génie. Rob Daviau est un génie. Et puisque nous avons déjà établi cela, parlons des règles de développement des personnages dans Thorgal !
     
    Dès le début, nous voulions, comme dans Death May Die, que les joueurs aient la possibilité de faire évoluer leur personnage pendant le jeu. Et tout comme dans Death May Die, nous n’avions pas une campagne entière pour cela, nous n’avions pas la possibilité de développement entre les jeux car Thorgal a, comme Robinson Crusoé, des scénarios individuels. L’ensemble du processus de développement du personnage devait être clôturé en un seul match.
     
    Nous avons ajouté des lieux et des héros dans chaque scénario permettant aux joueurs de s’entraîner et de se développer. Ils pourraient aller à des endroits spécifiques et améliorer leur caractère. Ils pourraient consacrer une de leurs précieuses actions à des actions de développement.
     
    Je dis actions précieuses parce que c’est comme ça à Thorgal. Les scénarios sont courts et serrés, chaque action vaut son pesant d’or et il n’y a pas de temps pour des quêtes secondaires aléatoires. Si vous vous entraînez à l’équitation, vous n’aurez peut-être pas assez de temps pour rassembler des alliés dans un village voisin. Si vous vous entraînez au tir à l’arc, vous n’arriverez peut-être pas à la tour du forgeron lointaine sur la carte. Si vous voulez gagner une chose, vous risquez d’en perdre une autre.
     
    Nous voulions que la décision concernant le développement du personnage soit un choix important pour les joueurs. Dans Thorgal, il n’y a pas de situation où pendant les 30 premiers % du jeu, tous les joueurs développent leur personnage comme Pikachu, puis, chargés d’améliorations, ils vont rencontrer le boss. Le déroulement du jeu est différent, il y a beaucoup de choses à régler ici, le nombre de lieux à visiter est énorme et il ne reste plus beaucoup de temps pour la formation des personnages.
     
    Et pourtant, c’est tellement important. Choisir le bon moment pour faire une pause dans l’intrigue principale et gagner quelques XP est la clé.
    Dans Thorgal, les joueurs peuvent également acquérir des Points d’Expérience (XP) et faire évoluer leurs personnages lors des combats (voir mise à jour #4). Lorsqu’un joueur combat un adversaire, il peut essayer d’organiser ses tuiles d’attaque de manière à couvrir le symbole XP et obtenir un développement gratuit. Pendant le combat, ils apprennent quelque chose de nouveau et se développent immédiatement. Souvent, cela se fait au prix de blessures. Souvent, pour acquérir de l’XP, le joueur doit choisir de disposer ses tuiles d’attaque de manière à ce qu’en recouvrant l’icône XP, elles s’exposent également à une attaque de l’adversaire. Quel choix allez-vous faire ? Allez-vous vous sacrifier pour gagner quelques points d’expérience ?
     
    Les joueurs recherchent ces courts instants à un rythme plus lent, des moments où un autre joueur doit déverrouiller l’emplacement, convaincre un allié de coopérer, et nous avons ce court instant pour faire une pause, récupérer de l’XP, puis revenir rapidement à l’histoire principale. Les joueurs savent à quel point il est important de se développer et à quel point il est important d’avoir de meilleures options de combat et d’exploration, mais en même temps, ils savent qu’ils doivent le faire en parallèle avec la mission, en parallèle avec l’intrigue de l’aventure. S’ils passent plusieurs tours uniquement sur le développement, le scénario se terminera avant même d’avoir commencé.
     
    Comment dépensent-ils l’XP ? Les joueurs les dépensent sur deux voies de développement : les voies Guerrier et Vagabond. Le chemin du guerrier est lié au combat et permet aux joueurs d’améliorer les dés qu’ils utilisent au combat. Chaque personnage a un cercle spécial avec les dés à sa disposition, et en acquérant de l’XP, il peut accéder à de meilleurs dés, qui offrent des formes plus grandes et plus de choix lors d’attaques spécifiques.
     
    Le chemin Wanderer, d’autre part, déverrouille une plus grande sélection de formes nécessaires pour explorer de nouvelles zones et permet aux joueurs d’acquérir des capacités ou des objets supplémentaires qui facilitent l’exploration et la survie. Il permet également d’accéder à des compétences spéciales liées à la collecte de ressources, telles que plus de bois ou des ressources uniques telles que des rumeurs et des mythes, en passant à proximité des colonies et des lieux de collecte.
    Dans Thorgal : le jeu de société, le développement du personnage est un choix passionnant et significatif pour les joueurs. Il est intégré au gameplay. Les joueurs doivent peser l’importance d’investir dans le combat ou l’exploration, en fonction de ce qui est important pour eux et des besoins du scénario. Les joueurs doivent également considérer les compromis de dépenser leurs précieuses actions sur le développement du personnage plutôt que sur d’autres objectifs tels que rassembler des alliés ou acquérir de l’équipement. Cela crée une expérience de jeu amusante et dynamique où les joueurs doivent penser stratégiquement et prendre des décisions qui auront un impact sur le résultat du jeu.
    en réponse à : Jeux – Le jeu de plateau Thorgal Lien | Citer
    Mise à jour 5

    https://gamefound.com/projects/portalgames/thorgal-the-board-game/updates/5

    Combinez vos actions

    Voyons comment une ligne d’action personnalisée fonctionne dans Thorgal.
    « Est-ce que chaque jeu de société doit être innovant ? Chaque concepteur doit-il essayer d’inclure dans son jeu quelque chose que le monde des jeux de société ne connaît pas encore ? Les joueurs attendent-ils de l’innovation lorsqu’ils achètent un jeu ?
     
    Je crois que non.
     
    Stephen King prêche depuis des années qu’écrire des livres est un travail comme un autre. Il se dit artisan. Je crois moi-même qu’il n’y a que quelques génies, et des créateurs exceptionnels, comme Garfield, Wursch ou Cathala. Le reste d’entre nous doit faire tout son possible pour être le meilleur dans son métier. Être comme Stephen King. C’est tout ce que c’est.
     
    Lorsque nous avons commencé à travailler sur Thorgal : le jeu de société, nous n’avions aucune ambition de révolutionner l’industrie du jeu de société. Nous n’avons pas cherché l’innovation. Nous n’avons pas pris les éléments classiques de la mécanique et avons essayé de les casser, en cherchant une nouvelle approche et en essayant d’impressionner les critiques à tout prix.
     
    Au contraire, nous créons un bon jeu d’aventure classique. Jouons à autant de jeux de ce genre que possible, voyons les points forts et les points faibles du genre. Essayons de ne pas perdre les premiers et d’éviter les seconds. Nous sommes Stephen King. Nous faisons un bon jeu de société. C’est tout ce que c’est.
     
    Et puis quelque chose d’inattendu s’est produit.
     
    Je ne sais pas si Janek était conscient de ce qu’il créait depuis le début. S’il savait dès le premier croquis, lors du premier essai, que cette mécanique d’action était quelque chose d’absolument unique. Qu’il ait posé ces cartes sur la table et qu’elles viennent de sortir ou que ce soit le résultat de quelques nuits blanches de contemplation.
     
    Qu’il suffise de dire que lorsqu’ils m’ont invité au test suivant et m’ont dit qu’ils avaient légèrement modifié le système d’action, leurs yeux brillaient comme un enfant qui aurait trouvé des bonbons sous le canapé. Ils savaient qu’ils avaient un vrai trésor entre les mains.
     
    Ils ne l’ont pas cherché, mais il est tombé entre leurs mains.
     
    ***
     
    À première vue, le système d’action de Thorgal est basé sur des mécanismes de placement de travailleurs bien connus et populaires. Les joueurs disposent de quatre pions action. A son tour, il place un des pions sur l’action choisie et agit.
     
    Les actions sont généralement imprimées sur le plateau dans les jeux avec des mécanismes de placement des ouvriers. À Thorgal, on les met sur des cartes. Le jeu comprend un jeu de cartes avec toutes les actions possibles, et chaque scénario indique aux joueurs quelles cartes utiliser dans le jeu particulier. Cela permet des actions standard telles que le déplacement, le commerce ou le combat et des actions spécifiques et dédiées telles que la navigation, la négociation ou l’escalade.
     
    Les cartes d’action sont placées à côté du plateau dans une rangée. Les actions décrites sur les cartes ont des valeurs différentes, en fonction des actions précédentes des joueurs. La plupart des actions ont une force de 1 plus 1 pour chaque pion sur les cartes action à gauche.
     
    Regardez cet exemple :
    Si je place mon pion sur l’action bleue Mouvement, je ne déplacerai que deux régions. Il n’y a pas de pions à sa gauche, nous ne résolvons donc que la valeur de base. 
     
    Si je place mon pion sur l’action grise Collecte de ressources, je récolterai 1 ressource et une supplémentaire pour chaque pion à gauche, soit un total de 3 ressources.
     
    Le placement des travailleurs comme vous ne l’avez jamais vu auparavant. Il s’agit d’un placement de travailleurs dans lequel les joueurs parlent constamment, décidant des actions qu’ils veulent entreprendre car l’ordre des actions prises et l’endroit où nous plaçons nos pions importent beaucoup. Ce mécanisme engage les joueurs et leur apprend à planifier. Ceux qui réfléchissent à deux fois et planifient leurs actions tireront beaucoup plus de chaque action.
     
    Dans l’un des articles précédents, j’ai écrit que Thorgal : le jeu de société est un hybride intéressant, dégoulinant de thème et d’histoire, mais aussi un défi intéressant et original pour les joueurs qui aiment les jeux en euros.
     
    J’espère que vous aimez ce mécanisme simple et astucieux, la règle qui encourage les joueurs à discuter et à planifier ensemble. Et si vous le faites, laissez-moi vous montrer une autre tournure ici.
     
    Dans l’un des articles précédents, j’ai mentionné que les joueurs auraient la possibilité d’améliorer les actions. Ce faisant, il prend une nouvelle carte Action de la pioche et la remplace par celle déjà en jeu. Quel est le but de ceci ?
     
    Chaque carte action a son numéro. Il détermine la place dans la ligne de cartes. Imaginez une situation où la carte d’action Combat a 2. Elle est la deuxième en partant de la gauche et, par conséquent, très faible. Il y a rarement des pions à sa gauche. Du coup, elle est remplacée par la carte action Combat numéro 12, qui atterrit au bout de la ligne, à droite.
     
    Voyez-vous comment cela change le jeu? Comment soudainement ce combat devient plus puissant? Et voyez-vous que cela entraîne d’autres conséquences? Nous avons renforcé Fight mais affaibli une autre action, n’est-ce pas ? Est-ce que ça vaut le coup? Quand cela doit-il être fait?
     
    Conversations, débats, tactiques de jeu.
    en réponse à : Jeux – Le jeu de plateau Thorgal Lien | Citer
    Mise à jour 4

    On en est déjà à la sixième mise à jour du jeu !    Je vous reposte les mises à jour précédentes avec traduction automatique du site Gamefound.

    https://gamefound.com/projects/portalgames/thorgal-the-board-game/updates/4

    Les règles de combat 
    Je ne suis pas un grand fan de la série Witcher sur Netflix, mais la scène de combat du premier épisode de la première saison, le célèbre groupe de Geralt vs Renfri, est l’un des meilleurs combats de l’histoire du cinéma.
     
    Dans l’équipe de développement de Thorgal, il n’y avait aucun différend à ce sujet. Nous sommes tous unis pour ne pas être fans de combats qui durent de longues minutes, à la fois dans les jeux RPG classiques et même dans les meilleurs jeux de société, tels que Sleeping Gods ou Descent, où les règles du combat s’éternisent et transforment toute l’expérience en torture.
     
    Un tour, un rouleau. Se battre, ce n’est pas abattre un arbre, ce n’est pas tailler à la hache un tronc épais et lui retirer des points de vie coup par coup. C’est un saut, une frappe, parfois une parade, parfois une retraite, mais ensuite une nouvelle frappe.
     
    En solo, les joueurs peuvent profiter de systèmes compliqués et s’amuser dans des combats tactiques qui durent de nombreux rounds, mais ici, quand trois ou quatre joueurs sont assis à table, personne ne veut vous voir combattre une meute de loups pendant 10 minutes.
     
    Sur la première note, la première hypothèse sur le combat était : Un jet.
     
    Pourquoi dés, pourquoi lancer ? Le combat ne pourrait-il pas être basé sur des cartes comme dans Gloomhaven ou Kemet ? Ne pourrions-nous pas proposer quelque chose d’original ? Utiliser le mécanisme de construction de sacs pour apprendre de nouveaux coups et piocher un jeton d’attaque spécifique pendant le combat ? Ne pourrions-nous pas concevoir un tableau de duel avec un simple mécanisme de placement d’ouvriers représentant des types d’attaques spécifiques ? Les joueurs placeraient leurs pions d’action sur des types d’attaques spécifiques et réaliseraient les effets de ces espaces…
     
    C’était possible. Bien sûr, ça l’était. Les règles de combat uniques dans les jeux sont à peine touchées. C’est un gisement qui cache des dizaines d’idées encore à concrétiser et à considérer par les créateurs.
     
    Alors pourquoi simplement lancer les dés ?
     
    Parce que nous aimons les jeux RPG. Parce que nous avons grandi sur D&D ou Warhammer. Car il n’y a rien de plus classique que de lancer des dés pour une attaque.
    Dans Thorgal, chaque adversaire est représenté par une carte. La carte a une disposition des espaces dessus. Les espaces ont des points qui doivent être touchés pour les vaincre. Il y a aussi des spots à éviter. Et certains spots qui nous offriront des bonus supplémentaires tels que des points d’expérience.
     
    A quoi ressemble le combat ?
     
    Vous piochez une carte adverse. Vous construisez une réserve de dés. Cela dépend du type de héros que vous jouez, de la façon dont vous les avez développés pendant le jeu (détails dans les futures mises à jour), de l’arme et de l’équipement spécial dont vous disposez (détails dans les futures mises à jour) et de tous les autres bonus supplémentaires.
     
    Vous prenez cette réserve de dés et lancez. Chaque dé indiquera quel jeton vous pouvez piocher. Vous posez les jetons sur la carte de l’adversaire.
     
    Disposez-les pour couvrir les champs qui vous permettront de les vaincre.
    Disposez-les en faisant attention de ne pas recouvrir les champs indiquant que vous êtes blessé.
    Disposez-les pour gagner des points d’expérience.
     
    Un rouleau. Plusieurs jetons. Plus d’une douzaine de solutions tactiques. Attaquerez-vous pour les vaincre, même si vous serez blessé ? Attaquerez-vous avec précision, sachant que vous ne pouvez pas organiser les jetons pour gagner de l’expérience ?
     
    Un rouleau. Beaucoup de tactiques.
    en réponse à : Thorgal Saga – One-shots Lien | Citer
    Nouveau logo Thorgal Saga

    C’est Tony Derbomez qui a créé le nouveau logo de Thorgal Saga. Graphiste et illustrateur, il a collaboré avec Le Lombard pour adapter le logo d’origine, avec un très chouette résultat !  Bon, heureusement qu’il n’a pas choisi la version V1…

    Source : FB de Tony Derbomez

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer
    Bande-annonce "Adieu Aaricia"

    Source vidéo : FB du Lombard

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer
    Nouveau logo Thorgal Saga

    C’est Tony Derbomez qui a créé le nouveau logo de Thorgal Saga. Graphiste et illustrateur, il a collaboré avec Le Lombard pour adapter le logo d’origine, avec un très chouette résultat !  Bon, heureusement qu’il n’a pas choisi la version V1…

    Source : FB de Tony Derbomez

    en réponse à : XIII – XIII Trilogy par Yann et Taduc Lien | Citer
    Jones par TaDuc

    Allez, pour vous donner envie, quelques illustrations de TaDuc.   

    Source : FB de TaDuc

    en réponse à : Site – Statistiques Lien | Citer

    95.000 visiteurs sur Thorgal.com cette année, et bien sûr le retour de Supercarotte en janvier !   

    en réponse à : Concours – Les pierres d'Odin Lien | Citer

    Waouh ! Tout s’enchaine par ici  Voilà déjà le nouvel album à gagner, et même des idées pour remporter le prochain tome de Thorgal Saga !    

    Mais avant ça, Marion doit nous faire une méga photo avec tous ses cadeaux dans les bras ! Vous imaginez ? Un jeu de société, un livre-jeu, un album du Lombard, et surtout 2 albums de Thorgal dédicacés par Fred Vignaux    Du jamais-vu sur Thorgal.com !  

    en réponse à : XIII – XIII Trilogy par Yann et Taduc Lien | Citer
    Entretien avec TaDuc dans ActuaBD

    En juillet 2021, Olivier Ta (dit TaDuc) avait accordé un long entretien à ActuaBD pour parler de sa carrière de dessinateur BD. Je vous propose l’extrait qui parle de ses débuts avec ce XIII Trilogy et de sa technique mixte papier/numérique, mais je vous encourage, si vous aimez ce dessinateur, à en lire plus ICI.

     

    Vous travaillez actuellement sur une mini-série sur le Major Jones ? Ce n’est plus dans le cadre de « XIII Mystery » ?

    Je commence à peine, je n’ai fait que huit pages. Ces quelques pages ont été vues par le scénariste et par l’éditeur et elles ont beaucoup plu. C’était déjà très encourageant. Ils y croient beaucoup et c’est vrai que le Major Jones est un personnage très intéressant à dessiner. En plus elle a une vingtaine d’années, elle est donc jeune et très jolie. Je vais essayer de coller au mieux à la manière dont William Vance la représentait même si malheureusement, je ne suis pas Vance ! Je ne vais pas faire du calque bien entendu mais je vais tenter quand même de me rapprocher le plus possible de ce qu’il faisait et d’en faire un personnage très séduisant. Je n’ai pas eu de directives sur ce point-là mais j’imagine qu’ils veulent que je reste dans cet esprit-là. Quand la série XIII Mystery a été lancée, Ralph Meyer, pour le premier tome, ne dessinait pas comme Vance. Et ceux qui ont suivi ont eux aussi dessiné à leur manière, forcément. J’ai donc la liberté de dessiner comme je l’entends, mais bien entendu, j’essaierai de coller au mieux, à ce que j’estime moi être l’univers de XIII et du Major Jones.

    Donc pour l’instant je prends du plaisir sur cette série que je démarre. Animer une très jolie fille, c’est ce qui me plaît sur ce projet. Ça va être un régal. J’aime beaucoup dessiner les personnages féminins. Et peut-être que je me ferai aider d’un second dessinateur pour alors dessiner les engins, les avions, les voitures… C’est possible, j’y réfléchis car ce n’est pas la partie que je vais préférer le plus. Moi je suis plus un dessinateur de chevaux que de véhicules. Je peux le faire mais… je n’y prends pas trop de plaisir. Or, il existe des dessinateurs qui sont spécialisés dans ça et j’avoue que quand j’étais enfant, je n’en ai pas dessiné beaucoup des engins militaires…

    Concernant la série elle-même, elle devrait compter trois albums, c’est pour ça que j’en parle comme d’une mini-série. Elle est scénarisée par Yann, c’est d’ailleurs en grande partie déjà écrit, ce ne sera donc pas un travail avec Le Tendre cette fois. Je sais que les lecteurs ont l’habitude de voir nos deux noms associés ensemble (je ne sais pas si Serge connaît bien l’univers de XIII d’ailleurs). J’ai lu l’histoire entière de Yann, ça fera une bonne aventure. Elle me convient bien en tous cas. Je ne saurais dire quand ça sortira car je sais que Dargaud veut retenir la parution du premier de manière à ce que la sortie du second soit assez rapprochée. Ça pourrait être fin 2022 ou courant 2023 mais je ne suis sûr de rien en fait…

    Quelle question auriez-vous aimé que l’on vous pose ?

    Hummm… peut-être une question sur ma façon de travailler aujourd’hui.

    Pendant des années, je travaillais de manière très classique. Je faisais des crayonnés sur papier et j’encrais par-dessus. Il me reste encore quelques scans de ces crayonnés mais d’une manière générale, quand j’encre, forcément il disparaît ensuite avec le gommage. Ça fait partie de la construction d’une planche : un crayonné reste une étape transitoire. Or, depuis quelques années, je travaille de façon mixte. En numérique, pour la mise en place des pages et pour le crayonné. Ensuite j’imprime ce crayonné (il sort gris sur le papier) et j’encre par-dessus avec les outils tout à fait traditionnels. Je pourrais faire mes crayonnés sur papier et les scanner pour les imprimer mais l’avantage de faire les crayonnés en numérique, c’est que cela me permet de déplacer un personnage ou de le réduire si ça ne convient pas. Je peux retoucher comme je veux avec le numérique. Et je suis maintenant assez à l’aise avec le stylet. En plus, l’avantage c’est que je ne laboure plus le papier de mes pages. Le crayon a tendance à appuyer et finit par faire des rainures. Aujourd’hui, quand j’attaque l’encrage, la feuille est vierge de toute trace. C’est très agréable avec l’outil informatique. Ce n’est pas impossible qu’à terme je fasse aussi mes encrages en numérique. Ou que j’alterne les techniques de temps en temps.

    Contrairement à ce qu’on croit, faire des crayonnés numériquement, ça permet d’aller au fond des choses et même de zoomer pour ajuster son dessin au millimètre près. C’est d’un confort inégalé. Et quand l’encrage de ma page est fini, je n’ai pas à gommer non plus. Avant quand on gommait une planche finie, ça enlevait aussi un peu d’encre qui devenait alors plus grise que noire. Il faut savoir que le trait fait à la plume sur papier résiste mieux au gommage. Par contre, quand c’est fait au pinceau, c’est un trait léger et donc tu finis parfois par devoir réencrer par-dessus ton trait qui a été gommé. C’est pénible…

    Dans « Le Réveil du tigre », tous les crayonnés ont donc été fait numériquement et tout l’encrage a été fait à la main, avec les outils classiques : plumes et pinceaux. Mais rassurez-vous : si demain, on entre dans une ère où l’électricité n’existe plus, je me remettrai sans problème à faire à nouveau mes crayonnés sur papier !

    J-S Chabannes

    Sources : ActuaBD & FB de TaDuc

    en réponse à : Largo Winch – 23 & suivants – Giacometti et Francq Lien | Citer
    Le centile d'or

    Avare de messages sur les réseaux sociaux, Philippe Francq nous revient en souhaitant une bonne année 2023 et en donnant quelques nouvelles du tome 24 de Largo Winch.

    Source : Insta de Philippe Francq

    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer
    Complainte des landes perdues – Cycle 3 – Tome 3 N&B

    Régina Obscura, le troisième tome du Cycle des sorcières dessiné par Béatrice Tillier, est sorti en noir & blanc le mois dernier. 

    Sceneario chronique ce nouvel album :

    Alors que le quatrième cycle est déjà en cours, avec deux tomes parus, le cycle des Sorcières se faisait un peu attendre avec la sortie de ce troisième tome.  Avant la sortie du tome dans sa version classique et en couleurs, Dargaud en propose une édition limitée à 3000 exemplaires, en noir et blanc.
    Et ma foi, cette édition limitée vaut le coup d’oeil, juste pour admirer le travail de Béatrice Tiller avec un noir et blanc assez remarquable.

    Ainsi, vous allez vous rendre compte de la justesse de son coup de crayon, de ces petits détails qui ressortent,  de comment elle arrive à bien faire sortir les émotions de ses personnages.
    De plus, il y a une belle mise en lumière et en obscurité qui sied à merveille à ce récit.

    L’histoire de Dufaux avance bien.
    Quelques révélations se font ici concernant certains personnages dont Tête Noire.
    L’intrigue captive du début à la fin. Dufaux est un excellent conteur.
    Et même si vous avez lu le tome 2 il y a quelques temps, ne vous en faites pas, l’intrigue vous revient vite.
    C’est là qu’apparait le talent de narrateur du scénariste.

    Cette édition limitée noir et blanc est fort belle. Elle donne un avant goût de ce que sera ce troisième tome du troisième cycle de Complainte des Landes perdues.

    Sources : Dargaud & Sceneario

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit

    Oh les amis je suis trop content, Fred vient chez moi !

    Je crois que c’est la première fois que Facebook me sert à quelque chose, j’ai reçu une alerte du journal La Montagne.

    Je vous livre l’info :

    Fred Vignaux, le dessinateur des deux derniers albums parus de Thorgal, sera l’invité vedette de Festi’BD, samedi 18 et dimanche 19 mars, à l’espace Villars, à Moulins.
    Après un vingtième anniversaire enfin fêté en mars 2022, avec deux ans d’annulations, en raison du Covid, Viltaïs prépare la vingt-et-unième édition de son festival de bande dessinée, ouvert à tous les genres.
    Dont la BD historique. Thorgal est une série de bande dessinée belge d’heroic fantasy et de science-fiction, sur fond de mythologie scandinave, créée en 1977 par Jean Van Hamme au scénario et Grzegorz Rosiski au dessin, lancée dans Le Journal de Tintin, puis éditée en album par les Éditions du Lombard.
    Cette série, qui a été reprise en main par le scénariste Yann et Fred Vignaux ces dernières années, compte aujourd’hui 40 albums, dont le dernier, Tupilaks, a été édité en novembre 2022. « Il n’était jamais venu. On mise sur cette série archi connue, ancienne, mais toujours d’actualité, pour séduire le public le plus large possible », commente Medina Barbagiovanni, cheville ouvrière du festival chez Viltaïs. « C’est l’auteur Benjamin Bénéteau, invité l’an dernier et copain de Fred Vignaux, qui nous a mis en contact avec lui ».
    35 auteurs invités

    Le festival proposera à nouveau des rencontres avec 35 auteurs et dessinateurs de bandes dessinées : certains, déjà venus, et des nouveaux. « Nous ne sommes fermés à aucun genre. Il nous manque encore des auteurs d’illustration jeunesse ».
    Comme chaque année, plusieurs expositions seront organisées, dont une au Musée de l’illustration jeunesse. Un nouveau spectacle jeunesse, gratuit, devrait être proposé.

    Ah ah Fred va traverser la France, passer par Vierzon et découvrir la vraie vie, le vrai monde : le Bourbonnais.
    Le pâté aux patates, le Chambérat, la débredinoire de Saint-Menoux…

     

    Mais qu’est-ce que Fred va faire dans un endroit pareil    Vous imaginez, manger du pâté aux patates   

    en réponse à : Thorgal – 41 – Mille yeux Lien | Citer

    Très peu d’infos sur cet album actuellement, sauf qu’il sera en un tome – j’allais écrire autoconclusif, mais avec Yann, il n’y a plus d’album autoconclusif, chaque album lance l’album suivant.

    Pour le tome 41, je verrais bien Jolan dans le rôle principal, avec l’initiation de Boréale aux coutumes des Vikings. Imaginez la pauvre, qui débarque du monde des Atlantes, et qui est obligée de vivre chez ces barbares !

    en réponse à : Jeux – Escape Game Thorgal Lien | Citer
    Boulevard BD

    Après la présentation du tome 40 de Thorgal, Boulevard BD nous fait découvrir l’Escape Game Thorgal en vidéo !   

    en réponse à : Concours – Les pierres d'Odin Lien | Citer

    Merci les gars, j’espère que vous aurez aussi la chance de gagner, il reste encore les derniers gros lots du mois   

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer

    J’ai réduit le format des deux planches pour les comparer plus facilement côte à côte…

    • Ce sujet a été modifié le il y a 2 ans et 5 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer
    Travail numérique sur les planches

    Robin nous partage une planche qu’il a d’abord dessinée au trait, puis scannée pour la retravailler de manière numérique. Les ombrages sont bien plus marqués sur la nouvelle planche. Je trouve cela surprenant, car outre le fait de perdre des détails qui ont pourtant demandé pas mal de travail, ces détails auraient pu être conservés tout en étant assombris lors de la mise en couleur, ce qui aurait quand même apporté du contraste dans les différentes cases.

     

     

    Avant :

    Après :

    Source : FB de Robin

    en réponse à : Concours – Les pierres d'Odin Lien | Citer

    Oh, je suis tellement heureux de gagner ton jeu Stéph    Je vais le mettre dans une vitrine blindée dès que je le reçois dans mon lointain pays !

    Oui, enfin ça c’est la théorie… quand tout le monde le verra à la maison, ils vont le faire suer dans d’innombrables parties en équipe !   

    Comme tu le sais, j’avais un peu décroché du forum ces derniers temps pour raisons familiales, donc je ne m’étais pas encore plongé dans ton jeu et sa conception, je vais vraiment le découvrir là d’un coup, ça va être magique  Mille fois merci !  

    en réponse à : Joyeuses fêtes Lien | Citer

    Meilleurs vœux à tous pour cette nouvelle année !   

    Thorgal-BD a écrit
    On reste sur quelque chose d’assez sage cette année, même si chacun peut en extraire les messages subliminaux qu’il voudra.

    Stéph, j’espère que tes épreuves post-covid ne seront bientôt plus qu’un lointain souvenir, et que l’année 2022 restera gravée comme  le lancement de ta carrière d’auteur internationalement connu !   

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer

    Rhooo… il me faut vraiment des lunettes !    J‘ai lu :

    Thorgal-BD a écrit
    C’est presque un homme, il faut avoir 50 ans pour dessiner du Thorgal !

    Bravo pour ton demi siècle Fred, même si c’est peu de choses chez les nains !   

    Et profite bien de cette pause détente bien méritée   

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer
    Casemate 164

    Le nouveau magazine Casemate est paru avec 10 pages consacrées à l’album Adieu Aaricia.

    Source : Casemate

    en réponse à : Roman Surzhenko Lien | Citer
    La jeunesse de Durango dans la presse

    Je vous partage deux articles qui ont accompagné la sortie du premier tome de la Jeunesse de Durango. Le second tome (sur les trois prévus) paraitra déjà au printemps. Roman est aussi doué chez les cowboys que chez les Vikings !   

    Durango la jeunesse, des débuts meurtriers

    « Durango est un des héros qui a su s’imposer avec Yves Swolfs dans le panorama restreint des bons héros de western en BD. Très proche de Siergo Leone et du western spaghetti, Durango a tenu la distance depuis sa création en 1981. C’est sa jeunesse que Yves Swolfs livre en trois albums mais en laissant le dessin à Roman Surzhenko dessinateur des Mondes de Thorgal. Ses débuts dans la vie pour le jeune futur Durango sont dans un univers beaucoup plus classique, dans la tradition presque des westerns des années 50 à 60. Bien ficelé cependant avec la part de mystère nécessaire sur les origines du jeune homme fine gâchette au demeurant évidemment.

    Près d’une mare le jeune John Lane assiste au meurtre de trois cow-boys par un tueur masqué. Devenu un témoin gênant il fuit et revient récupérer les corps qui pourraient bien lui servir dans l’avenir comme introduction pour les remettre au shérif du coin. Ce sont des hommes de Old Bull Warren riche éleveur déjà victime de vol de bétails. On cherche à créer d’après le shérif un conflit entre éleveurs mais pourquoi. Warren vient récupérer les corps et en profite pour engager Lane qui ne refuse pas. Autres éleveurs qui dérangent, les éleveurs de moutons, les Wesburry métissés. Des hommes du capitaine troisième éleveur du coin à qui on vole des bêtes se font à leur tour trucider mais par les fils Wesburry. Warren a des soucis financiers et c’est sa fille qui tient les finances du ranch. Elle ne demande qu’une chose, aller en ville vivre autrement. Lane fait ses preuves de fin tireur et a un faible pour la fille cadette de Warren.

    Un tueur anonyme, des patrons de ranchs prêts à s’entretuer, des manipulations tordues, et Durango junior qui se retrouve dans un gigantesque règlement de comptes. On n’en dit pas plus car il y a un invité assez évident dans cette danse macabre à coups de Colt. Des ambiances riches en mouvement pour un découpage très serré et un dessin réaliste dans le style du genre. On est à la fois séduit mais pas étonné par l’histoire. Durango se crée un profil, celui qu’on lui connaitra adulte. Mais pour l’heure que cherche Durango ? »

    Source : Ligne Claire

    « La Jeunesse de Durango » consacre le héros d’Yves Swolfs

    Souvent cité comme l’une des références en matière de western réaliste, « Durango » marche désormais sur les pas de « Blueberry » en détenant lui-aussi une série consacrée à sa « jeunesse ». Un premier tome plus qu’abouti, où l’œuvre de Swolfs trouve un beau prolongement sous les traits de Roman Surzhenko. […]

    Yves Swolfs débute d’ailleurs ce premier tome de La Jeunesse de Durango d’une manière très habile. En 1882, son héros est encore bien jeune, mais a déjà la bougeotte. Et s’il manifeste une réelle aptitude au pistolet, il répugne totalement à tirer sur quelqu’un d’autre. Mais le voilà témoin d’une salle histoire, et il échappe lui-même de justesse à un tueur professionnel.

    En plus de cette thématique porteuse, Swolfs qui signe donc le scénario de ce spin-off, s’est adjoint de la collaboration de Roman Surzhenko pour réaliser le dessin de cette série. Si le dessinateur russe ne s’était pas encore essayé au western, il avait déjà pu prouver avec les dix-huit tomes qu’il a réalisé au sein des Mondes de Thorgal, sa capacité à s’impliquer positivement dans l’univers graphique d’un autre auteur, notamment dans La Jeunesse de Thorgal. […]

    Non seulement Roman Surzhenko se révèle parfaitement à la hauteur du défi, mais il impressionne également en parvenant à restituer une partie du style de Swolfs, notamment dans les visages et plus spécifiquement pour les personnages féminins. Les grands décors participent pleinement à cette réussite, restituant le western malgré quelques clichés, même si le chaud Texas de cette aventure contraste avec les paysages enneigés des premiers Durango.

    Le dessin de Surzhenko s’adapte surtout parfaitement au récit de Swolfs. En scénariste éprouvé, le créateur de la série mêle une parfaite utilisation des codes à une intéressante mise en situation où ces trois ranchs sont aux prises avec une guerre de territoire sans que l’on sache qui ne cesse de jeter de l’huile sur le feu. Une fois de plus, les morts pleuvent autour de Durango, sauf que cette fois, le héros se pose non seulement beaucoup de questions, mais ressent aussi des scrupules. […]

    Ce premier récit attend donc une suite rapide pour bien profiter des développements de la situation. On peut d’ailleurs se réjouir car le tome 2 est déjà annoncé pour le printemps prochain, de ce qui est déjà annoncé comme une trilogie. De quoi consolider la légende de Durango après ce premier tome plein de promesses !

    Source : ActuaBD

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer

    Sur le forum consacré à Alix et autres BD, Eléanore commente les premières pages d’Adieu Aaricia. Elle les a découvertes dans l’Immanquable qui prépublie l’album.

    Le journal spécialisé L’Immanquable prépublie « Adieu Aaricia ». Ne reculant devant aucun sacrilège ni aucun folie, j’ai lu la première livraison. Le nombre de pages ainsi révélées permet de découvrir la suite des planches mises en ligne par les éditions du Lombard.

    Eh bien, la splendide promesse est jusqu’ici tenue : un vrai ton, de la tension, des personnages hauts en couleur, de belles nouveautés dont une géante noire, un Thorgal fragile et résilient, un mariage harmonieux entre la mythologie, la science-fiction et la culture viking, un respect total de l’œuvre comme si Van Hamme et  Rosiński étaient retournés en 1985, etc.

    Les splendides dessins alternent les paysages nordiques et les intérieurs. SANS NUL DOUTE, une des meilleures reprises que j’ai jamais lues. Cela en devient même angoissant. Robin Recht a-t-il pu tenir ce prodigieux niveau durant 116 pages ?

    Eléanore

    Source : Forum Alix

    • Ce sujet a été modifié le il y a 2 ans et 5 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer

    Robin Recht a reçu par courrier l’ensemble des planches imprimées. Sur FB, il annonce que l’album Adieu Aaricia sortira en avant-première au festival d’Angoulême (26 janvier 2023).

    Source : FB de Robin Recht

    en réponse à : Rosinski dans la presse Lien | Citer
    Rosinski dans Playboy

    Grzegorz Rosinski nous avait bien caché qu’il avait posé pour Playboy !   

    On le retrouve dans un reportage du magazine polonais en 2008. Dommage qu’on n’ait pas la traduction !

    Source : Allegro

    en réponse à : Jeux – Thorgal Qâ – Le jeu de société Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Je fais de la 3D quand je réalise des petits objets pour la maison, ou pour créer des décors pour jeux de figurines

    Ne pas confondre les deux, j’ai cru que que c’était ta déco pour la maison !   

    Je n’ai encore jamais vu d’endroit public où on proposait de l’impression en 3D, mais je n’ai jamais cherché non plus… donc on travaille avec des fichiers STL… c’est volumineux comme fichier ?

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer
    Projets de couverture pour le Casemate 164

    Le magazine BD Casemate partage 5 couvertures possibles du prochain numéro qui paraitra fin décembre. Son dossier central sera consacré à « Adieu Aaricia« .

    Source : Casemate

    en réponse à : Autocollants, timbres et autres Lien | Citer
    Timbre polonais 2022

    Le 31 décembre 2022, la Poste polonaise émettra un nouveau timbre Thorgal. L’ensemble comprendra un timbre en bloc, une enveloppe FDC et un timbre à date.

    Nom : Thorgal

    Designer : Agnieszka Sancewicz

    Nombre de timbres : 1 en bloc

    Valeur : 8 zlotys

    Tirage : 100 000 pcs

    Technique d’impression : offset

    Impression : PWPW SA

    Format du timbre : 31,25 x 43 mm

    Format du bloc : 54 x 86 mm

    Papier : fluo

    Date de circulation : 31 décembre 2022

    Sources : News Notafilia  & Filatelistyka Poczta 

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    La Sagesse des mythes 2022

    Fred Vignaux continue à illustrer les couvertures des albums de la série « La Sagesse des mythes » qui paraissent régulièrement chez Glénat. Comme le dit Hirondl plus haut, certains tomes sont aussi proposés en coffrets par thème. Vous pouvez les découvrir sur le site de Glénat. Voici les albums publiés en 2022 :

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source images : La Sagesse des mythes

    • Ce sujet a été modifié le il y a 2 ans et 5 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Concours – Les pierres d'Odin Lien | Citer

    Salut Refyia, les gros lots du Cercle de Pierres se jouent par tirage au sort entre tous les participants aux différents concours de l’année. Tu n’as plus rien à faire, à part croiser les doigts !   

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer
    Album broché destiné aux libraires

    Un exemplaire de l’album broché distribué aux libraires et journalistes est en vente sur eBay à 82 € ! A ce prix-là, je patienterai sans souci 2 mois pour avoir mon album définitif.   

    en réponse à : Jeux – Thorgal Qâ – Le jeu de société Lien | Citer

      C’est un travail de fou, cette pyramide d’Ogotaï en 3D     C’est un logiciel de conception 3D que tu as l’habitude d’utiliser ?  Et quand tu dis que le but est ensuite de le télécharger chez soi, comment ça va donner du 3D à l’impression ? J’avoue que je suis un peu perdu, même si je trouve le résultat déjà très réussi !

    en réponse à : Thorgal – 40 – Tupilaks Lien | Citer
    Avis sur Boulevard BD

    Sympa, la boite cadeau qui emballe l’édition spéciale de Tupilaks chez Cultura. Au moins, ton album n’arrive pas détruit comme quand tu commandes chez Amazon.   

    Tupilaks est présenté sur la chaine de Boulevard BD, intégrant un avis sur l’album et même une annonce pour le jeu de société Qâ, grâce au feuillet publicitaire habilement glissé dans le tome 40 !   

    en réponse à : Gaston Lagaffe Lien | Citer

    La seconde publication est en fait une réédition attendue depuis… 1986 !  « Et Franquin créa la gaffe » est un livre d’entretiens réalisés par Numa Sadoul au domicile de Franquin. Celui-ci s’y livre comme jamais, feuilletant avec l’interviewer toutes ses bandes dessinées en les commentant. C’est la publication la plus complète sur l’œuvre de Franquin, un incontournable pour les fans ! Je l’ai lue pendant des années avec plaisir, d’ailleurs ça fait longtemps, je vais m’y replonger pendant mes congés.   

    https://www.glenat.com/hors-collection-glenat-bd/et-franquin-crea-la-gaffe-9782344053379

    Voici une réédition aussi inattendue que nécessaire, car l’ouvrage est mythique, connu de tous les amateurs mais introuvable depuis plus de trente ans ! On ne présente plus Franquin, auteur incontournable de la bande dessinée franco-belge célèbre pour ses séries mythiques telles que Spirou et Fantasio, Gaston, Modeste et Pompon ou Idées noires.

    Créateur de génie à qui l’on doit l’extraordinaire Marsupilami, il se laisse exceptionnellement aller à une suite d’entretiens intimes et intimistes durant l’année 1985. Les propos recueillis par Numa Sadoul durant ces quelques journées de discussions à bâtons rompus offrent à l’arrivée une meilleure compréhension de l’ensemble de son travail.

    Chacune de ses œuvres est décryptée et commentée sur plus de 400 pages agrémentées de nombreuses illustrations. On y parle aussi de liberté de penser, de tolérance et de non-conformisme… Bien sûr, il n’a pas été facile de convaincre cet homme discret et humble, au rire tonitruant, de se prêter à l’exercice de la confidence mais le résultat est à la hauteur du monument. Ce livre est un précieux témoignage, érudit, passionné et drôle, pour quiconque s’intéresse à Franquin.

    Et voilà la couverture de la première édition que j’avais achetée chez Distri BD Schlirf :

     

    Vous trouverez ici sur ActuaBD un podcast où Numa Sadoul explique comment il a rédigé ce livre d’entretien avec Franquin. Il a dû faire beaucoup de concessions à Isabelle Franquin pour cette réédition, malheureusement… Vous avez ici sur Youtube une vidéo comparative entre les deux éditions.

    Toujours en podcast ici sur la RTBF, vous trouverez des extraits sonores des entretiens avec Franquin, rassemblés par Fred Jannin (c’est lui qui a remis en couleurs les différents tomes de Gaston). Rien que pour les éclats de rire de Franquin, cela vaut la peine d’y passer !   

    • Ce sujet a été modifié le il y a 2 ans et 5 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Gaston Lagaffe Lien | Citer
    2 publications consacrées à Franquin

    Pas du Gaston, mais du 100% Franquin pour ces 2 publications parues en cette fin 2022. Attention, c’est plutôt destiné aux fans inconditionnels de Franquin (dont je suis).   

    D’abord un petit album surprenant « Bon pour… » qui reprend des dessins de Franquin, réalisés principalement pour son épouse, quand il était en retard pour lui acheter un cadeau. Ça donne des bons pour un manteau, un sac, une radio, un bouquet de fleurs, … On y voit souvent sa fille Isabelle (c’est elle qui publie le livre), mais aussi Franquin et son épouse Liliane représentés au fil du temps sous forme de croquis typiques du style de Franquin, signés Ramonet, le surnom qu’il utilisait en famille.

    https://www.maisoncfc.be/fr/products/1248-bon-pour-dessins-de-famille-franquin

    Cet ouvrage offre l’opportunité de découvrir pour la première fois les dessins de Franquin réalisés à l’attention de ses proches.
    Quand on est un dessinateur de renom pris par la création et le rythme des publications qui se suivent, le temps manque pour courir les magasins à la recherche d’hypothétiques cadeaux et présents pour ses proches. Franquin avait trouvé la solution. À la fois aisée, pratique et ô combien personnelle, la trace sur le papier de «vœux» et autres « bons pour » est devenue pratique courante dans la famille Franquin. Bouquets croqués, présents dessinés étaient offerts dans l’attente que les cadeaux se matérialisent plus tard…
    Les dessins que l’on retrouve n’ont jamais eu pour vocation d’être publiés un jour. Conçus et imaginés pour les anniversaires ou les fêtes comme la Saint Valentin, ils ont cette saveur des dessins rares que l’on découvre avec curiosité. C’est un privilège que de pouvoir admirer ces dessins inédits couvrant une période allant des années 1950 aux années 1990. On appréciera le travail du dessinateur multipliant les techniques, passant du pinceau à la plume, du Rotring au crayon ou encore utilisant un simple stylo. On sera aussi frappés par l’usage de la couleur et l’évolution du style de Franquin liée aux époques qu’il traverse.
    Modestement inaugurés par deux premiers « bons pour » destinés à ses beaux-parents, Franquin prendra vite goût à l’exercice en sophistiquant ses petits dessins devenant des petits bijoux de graphisme et d’inventivité. Ils vont aussi exprimer la profonde affection et la bienveillante générosité de l’auteur pour ses proches.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 2 ans et 5 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Joyeuses fêtes Lien | Citer

    J’ai aussi été très gâté en BD cette année, mais je reconnais que j’avais écrit ma petite liste au Père Noël   

    Ce sont les derniers tomes de séries que j’apprécie particulièrement :

    • L’album 7 des Vieux Fourneaux par Lupano et Cauuet
    • L’album 3 du Château des Animaux par Dorison et Delep
    • L’album 9 des Passagers du Vent par Bourgeon
    • L’album Bellem par Servais (dessinateur de mon coin)
    • L’album Bon pour… de Franquin (je vais en parler dans le sujet consacré à Gaston)

    en réponse à : Joyeuses fêtes Lien | Citer

    Joyeux Noël à tous, profitez bien de ces moments privilégiés en famille !   

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer
    Les 12 premières planches en ligne

    Le Lombard a mis en ligne les 12 premières planches de l’album ICI. Robin Recht a partagé deux de ses pages favorites de cette séquence.   

    Source : FB de Robin Recht et site du Lombard

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer

    La couverture définitive de la version augmentée est aussi visible sur le site du Lombard :

    https://www.lelombard.com/bd/thorgal-saga

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