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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Tjahzi

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40 sujets de 881 à 920 (sur un total de 4,482)
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  • en réponse à : Gaston Lagaffe Lien | Citer
    Lagaffe est déjà suspendu !

    Eh oui, cela n’aura pas trainé, la parution des gags de Gaston est déjà suspendue !    Le prochain numéro du magazine Spirou est pourtant prêt, avec la première planche de Gaston dessinée par Delaf. J’en profite pour vous la partager, elle risque de disparaitre !   

    L’article du journal Le Monde nous donne plus de détails sur cette affaire : 

    BD : le retour de Gaston Lagaffe déjà devant la justice

    Une procédure pour « plagiat » a été introduite en référé par la fille d’André Franquin, l’unique ayant droit du créateur du célèbre personnage.

    Isabelle Franquin, la fille d’André Franquin (mort en 1997), a décidé de saisir la justice belge afin de s’opposer à la publication, en octobre, d’un nouvel album de Gaston Lagaffe, Le Retour de Lagaffe, sous le crayon d’un autre dessinateur, le Canadien Delaf.

    L’unique ayant droit du créateur de Gaston, et détentrice du « droit moral » associé à son œuvre, estime « illégale » cette renaissance, annoncée le 17 mars par la maison d’édition Dupuis à l’occasion du dernier festival de la bande dessinée d’Angoulême.

    D’abord, parce que son père a toujours exprimé le souhait que Gaston ne lui survive pas, à l’instar de Tintin avec Hergé. Ensuite, parce qu’elle considère que les planches réalisées par Delaf relèvent du « plagiat ». Introduite en référé le 25 mars, la procédure doit être plaidée en mai. Entre-temps, le magazine Spirou a décidé de suspendre la prépublication des premiers gags de ce nouveau Gaston.

    L’affaire fait grand bruit dans le monde de la BD franco-belge et rappelle la complexité des questions liées au droit moral après la mort de créateurs de personnages aussi emblématiques que le héros aux espadrilles. Au tournant des années 1990, André Franquin avait cédé l’ensemble des droits patrimoniaux de son œuvre à la société Marsu Productions, dirigée par l’homme d’affaires Jean-François Moyersoen, qui les a ensuite revendus à son tour à Dupuis en 2013. Le dessinateur n’était à l’évidence guère favorable à ce que Gaston puisse être repris par un autre que lui.

    « Après ma mort, tout le monde oubliera ces séries. J’espère que l’on ne verra jamais un Tintin sans Hergé, mais je voudrais beaucoup, si demain je me fais écraser par un autobus, que l’on ne reprenne pas Gaston. Seulement, les dernières volontés, tout ça, c’est très gentil, mais une fois qu’un gars est mort, c’est fini, on s’en fout », déclarait-il notamment à un fanzine belge en 1986.

    Des propos qu’il a tenus à plusieurs reprises, avant de les « nuancer oralement », explique-t-on chez Dupuis, qui espère relancer le personnage avec cette opération censée compenser une perte de vitesse commerciale. La maison d’édition table sur une vente de l’ordre de 1,2 million d’exemplaires pour ce premier volume.

    Dans le passé, Isabelle Franquin avait déjà affronté Marsu Productions autour d’un héros nommé Gastoon, présenté comme le neveu de Gaston. Le litige s’était conclu par un règlement à l’amiable, sans passer par les tribunaux. En 2017, la fille du dessinateur n’avait pu empêcher l’adaptation cinématographique de Gaston en prises de vues réelles par Pierre-François Martin-Laval (dit Pef), qu’elle avait alors qualifiée de « désastre ».

    Frédéric Potet, Journal Le Monde

    Source texte : Le Monde & source images : Génération BD

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer
    Prépublication dans L'Immanquable

    La première partie de « Sydönia » vient d’être prépubliée dans le mensuel L’Immanquable.

    Source: L’Immanquable

    en réponse à : Louve – 2 – La main coupée du dieu Tyr Lien | Citer
    Iruene

    Thorgal-BD a écrit
    Et là, brrr, ça fout la pétoche…

    En découvrant la couverture d’ « Iruene« , nouvelle BD créée par Griffo et Rodolphe, j’ai tout de suite pensé au loup Fenrir dans les aventures de Louve.    Bon, le loup géant n’a pas le même origine pour autant, on est dans une toute autre histoire.

    Alex, jeune publicitaire parisien, est réveillé toutes les nuits par de terribles cauchemars. Transporté à La Palma, dans les îles Canaries, il devient Bencomo, jeune guerrier du peuple Guanche à l’époque du déferlement des conquistador espagnols. Son peuple compte sur lui, mais pourra-t-il changer le passé ? Alex est un habitué des soirées branchées et bien dans son époque. Pourtant, depuis des mois, sa vie se dérègle. Quand il s’endort, il fait d’épouvantables cauchemars dans lesquels il est poursuivi par un démon, au milieu d’un paysage de mer et de montagne. De plus en plus isolé, incapable de travailler ou de penser à autre chose qu’à ces visions angoissantes, il est au bord de la folie et aucun médecin ne semble en mesure de l’aider. En analysant ses rêves, il parvient à situer le lieu géographique de ses cauchemars : il s’agit de La Palma, une île volcanique des Canaries.

    J’ai découvert par la même occasion que Daniel Maghen était éditeur de bandes dessinées, en plus de sa maison de vente d’originaux de BD : https://www.danielmaghen-editions.com/collection/bande-dessinee

    en réponse à : Autres BD sur les Vikings Lien | Citer
    Vikings dans la brume

    Parution chez Dargaud d’une nouvelle série humoristique : Vikings dans la brume.

    Elle me fait penser à Hägar Dünor !   

    « Vikings Dans La brume » raconte les aventures burlesques de Vikings partis en mer pour accomplir une forme de routine : raids, pillages, meurtres et ripailles !

    « Vikings Dans La brume » raconte aussi et surtout, l’histoire d’un monde qui bascule. Nos Vikings sont confrontés à l’évolution rapide du monde chrétien, qui se structure, se répand, et complique considérablement le bon déroulement des pillages. À la tête de sa bande de redoutables guerriers, le chef Reidolf est bien obligé de constater que ce mode de vie basé sur la prédation vit ses derniers instants… Mais comment changer quand on a toujours vécu ainsi ? Comment sortir de la brume… ?

    Source : Dargaud

    en réponse à : Gaston Lagaffe Lien | Citer
    Retour de Gaston dans le journal de Spirou

    Je suis vraiment de l’avis d’Isis. Gaston n’est pas un super héros à l’américaine, ou un personnage de manga qui pourrait être conçu et dessiné par des milliers d’auteurs. Comme on le voit bien avec Thorgal, il y a le travail créatif du scénariste, et celui du dessinateur, et la reprise en est compliquée. Franquin était scénariste et dessinateur, ce qui est encore plus difficile pour un repreneur, surtout au vu de son talent incroyable. 

    J’achète très rarement les reprises des héros de BD (Astérix, Lucky Luke, les Schtroumpfs, Spirou…, même si souvent je les feuillette par curiosité. Je ferai la même chose pour Gaston, sauf si le coup de foudre arrive. Le journal de Spirou annonce le retour de Gaston dès la semaine prochaine. Cette vignette dessinée par Delaf est quand même très franquinienne !   

     

    J’ai bien aimé la série Les Nombrils dessinée par Delaf. Dans ce dessin hommage pour les 60 ans de Gaston, il avait fusionné les personnages des deux séries de manière brillante !   

    en réponse à : Van Hamme – Dans la presse et les médias Lien | Citer
    JVH dans le Casemate 151 de novembre 2021

    Jean Van Hamme a accordé un entretien à Casemate lors de la sortie du Dernier Espadon de Blake et Mortimer. Vous pouvez le retrouver ICI dans sa version intégrale.

    Dans Casemate 151, Jean Van Hamme raconte les dessous du Dernier Espadon, sa quatrième contribution à l’univers de Blake et Mortimer. Lui restait à préciser quelques détails sur la suite du Rayon U annoncée, un petit accroc à la chronologie à justifier, une anecdote sur sa vie de vendeur de produit antirouille pourri. Et un commentaire désabusé sur l’avalanche de bios et récits vécus qui envahissent la BD. Ce qui chagrine fort le père de XIII, Thorgal, et autre Largo Winch, grand prêtre d’un imaginaire à la portion de plus en plus congrue dans la bande dessinée franco-belge.

    Le Dernier Espadon est parsemé de clins d’œil, de décors bien connus…

    Jean Van Hamme : J’ai relu Le Secret de l’Espadon pour avoir bien en tête les décors caractéristiques que je voulais voir reproduits dans mon histoire. Et lu évidemment les deux tomes de La Vallée des Immortels, le diptyque imaginé par Yves Sente, puisque j’allais travailler pour la première fois avec les deux dessinateurs néerlandais qui se partagent les planches. Quand je change de dessinateur, je lis toujours un ou deux de ses albums précédents pour m’imprégner de la manière dont il organise ses dessins, de sa façon de découper les planches.

    Le lecteur sait tout de suite qui est Olrik. N’est-ce pas se priver d’une surprise ?

    Oui, mais je joue avec le lecteur, lorsque le colonel est démasqué, je commente d’un « à la grande surprise du lecteur »…

    C’est un jeu entre lui et vous, comme vous l’avez souvent dit pour XIII ?

    Pas au départ de l’histoire de mon amnésique. Mais ça l’était très vite devenu. Le jeu consistait à faire croire que la vérité est là, puis à démontrer d’une manière que j’espère imparable qu’elle est ailleurs. Lorsqu’au cinéma, vous vous apercevez que ce que vous imaginez est faux, que le scénariste vous a eu, cela doit vous faire plaisir, non ? Moi, à chaque fois, je dis chapeau. Côté surprise, je suis assez content de la manière dont Mortimer, Olrik et Nasir s’évadent. Trouver du nouveau dans ce domaine – loin du gag du gars qui dit avoir mal au ventre et assomme le geôlier inquiet qui entre – est ce qu’il y a de pire pour un scénariste.

    Pourquoi montrer un Blake sombre, très sombre ?

    Logique. Un gosse l’accuse d’être responsable de la mort de son père. Et c’est vrai. Je voulais faire un peu réfléchir aux héros à la James Bond. Diriger un service de renseignement ou de contre-espionnage veut dire envoyer forcément des agents à la mort et en provoquer d’autres. Je tenais à montrer cela, et un Blake qui en est pleinement conscient. Lui et Mortimer ont toujours le même âge et n’ont jamais changé de métier. Mais on peut creuser ces personnages. On n’a jamais beaucoup parlé de Blake. C’est pour cette raison, pour le mettre en lumière, que j’ai écrit L’Affaire Francis Blake, mon premier titre dans la série, où j’ai vraiment exploité son métier.

    N’y a-t-il pas une certaine incohérence au niveau des dates ?

    Oui, j’en suis parfaitement conscient, Yves Sente m’en a fait la remarque. Sa Vallée des Immortels se déroule entre septembre 1949 et mars 1950. Et je situe Le Dernier Espadon en janvier 1948.

    Ce qui ne colle pas puisque l’histoire se déroule après, votre Nasir évoquant d’ailleurs leurs « mésaventures chinoises » !

    Exact. Mais qui sait aujourd’hui que Le Secret de l’Espadon se déroule entre 1946 et 1949 ? Tout le monde s’en fiche ! Jacobs n’a jamais précisé aucune date, pas plus dans l’Espadon que dans Le Secret de la Grande Pyramide. J’avais besoin de situer mon histoire en janvier 1948, à cause de l’indépendance du Pakistan. Et c’est, me semble-t-il, la seule date précisée dans l’ensemble des albums. Yves Sente inclut parfois des personnages réels, comme les Beatles, sans les nommer, dans La Machination Voronov. J’évite soigneusement.

    Et vous aimez les fausses pistes, ainsi quand un nazi évoque le 23 mars…

    … il s’agit effectivement d’une date importante dans la carrière d’Hitler, mais cela je ne l’ai appris qu’après ! Le choix de cette date répond à une tout autre motivation. C’est une coïncidence et non pas une fausse piste.

    Au club de Blake, les deux amis carburent au saint-émilion 1937. Minimum 1000 euros sur le Net. Connaissant votre souci d’exactitude, l’avez-vous goûté ?

    Non, n’étant pas du tout connaisseur en vins, j’ai choisi un nom que tout le monde connaît et indiqué une année au hasard. Mais, c’est vrai, j’aurais pu poser la question à un œnologue parisien qui fait partie de notre famille.

    Dans Casemate 151, vous évoquez une reprise du Rayon U, première histoire de Jacobs. Va-t-on enfin savoir en quoi il consiste exactement ?

    Je n’ai pas écrit une reprise, mais une suite. Désolé, je n’ai aucune explication sur ce qu’est le rayon U. J’imagine très bien Jacobs, en 1943, pressé de pondre cette histoire, sans trop se soucier de cohérence ou de quoi que ce soit d’autre. On voit juste, sur la première planche, le professeur Marduk brandir devant Sylvia, sa collaboratrice, une sorte de double ampoule rayonnant d’une lumière jaune. Plus kitsch tu meurs. C’est vraiment très drôle. L’album fera 43 planches, comme l’album de Jacobs. Je me suis beaucoup, beaucoup, beaucoup amusé à l’écrire, je crois que le dessinateur s’amuse aussi, tout le monde s’amuse. C’est l’essentiel. L’association Les Amis de Jacobs a reproduit mon synopsis dans leur magazine. Je trouve très attachant leur mélange de naïveté et d’amour pour Jacobs. Leur association, à Angoulême, parvient tous les trois mois à remplir un magazine. C’est émouvant. Jacobs n’a jamais connu autant d’honneurs, d’hommages de son vivant.

    Finalement, avez-vous connu des échecs professionnels ?

    Je garde un souvenir mitigé d’une boîte américaine pour laquelle j’ai travaillé trois ans avant de rentrer chez Philips, à la fin des années 60. Je devais vendre un produit antirouille destiné aux coques de navires. Malheureusement, il était d’une nullité totale. Je me souviens d’un banc d’essai. On mettait un bâtiment à sec et chaque produit en concurrence était étalé sur toute une bande de la coque. Remise à l’eau et verdict six mois plus tard. Et là, le seul endroit incrusté de coquillages était celui recouvert de mon produit. Quand j’en ai eu assez de me faire engueuler, envie d’être plus heureux au boulot, j’ai démissionné et suis entré chez Philips en répondant à une petite annonce.

    Sans la BD, vous auriez pu finir PDG de Philips !

    Grâce à ce groupe, j’ai voyagé pendant cinq ans sur tous les continents, ce qui me plaisait bien. Mais, quand on m’a nommé directeur des appareils ménagers à Bruxelles, je me suis demandé où j’allais. Devenir président-directeur général de Philips Belgique. Et alors ? Je ferais partie du Rotary et autres machins, et à 65 ans on me dirait merci. Non. J’avais vraiment envie de raconter des histoires. Fils unique, orphelin de mère, mon père m’avait installé dans une école à six kilomètres de chez nous. Donc, n’ayant pas de copains près de chez moi, je lisais des romans genre Fenimore Cooper. Et je rêvais, moi aussi, de raconter des histoires. Un beau jour, j’ai commencé. Par des nouvelles. Et cela à la grande surprise de mes deux secrétaires !

    J’ai d’abord essayé le roman, en sortant onze pour un total de 80 000 exemplaires. Certains à 900 ex. seulement. Difficile d’en vivre. Et puis, un jour, Grzegorz Rosinski m’a amené à la bande dessinée. Et nous avons lancé Thorgal. Dans la vie, des occasions se présentent toujours. Le tout est de saisir celles qui doivent être saisies et de ne pas aller dans une mauvaise direction. Nos vies sont faites ainsi, parfois on choisit bien, parfois on choisit mal.

    Aucun éditeur ne vous a-t-il proposé d’adapter en BD votre pièce de théâtre jamais montée ?

    Non. Et c’est logique. Trop années 50, pas assez incisive. On s’y renvoie la balle d’une manière terriblement classique. Tout le monde est coupable potentiel, comme dans un Agatha Christie. Je comprends très bien qu’on n’ait pas envie de monter ce genre de pièces vieillottes. Même si, à la limite, ça pourrait être sympathique à regarder.

    Quelle leçon tirez-vous de Kivu, dessiné par Christophe Simon (dossier dans Casemate 117) ?

    40 000 exemplaires vendus. Ça a marché gentiment, je ne m’attendais pas à un miracle. Le public belge était davantage concerné que le français, à qui le Kivu, cette ancienne province de la République démocratique du Congo, ex-Congo belge, ne dit pas grand-chose. Mais nous avons eu de la chance : en 2018, peu après la sortie de l’album au Lombard, le médecin-chef de l’hôpital de Kivu qui accueille les femmes violées, Denis Mukwege, a reçu le prix Nobel de la paix. Résultat, je n’ai eu jamais autant de presse sur un de mes albums !

    Que pensez-vous du troisième Largo Winch sans vous qui sort début novembre ?

    Yves Sente m’envoie les synopsis de XIII. Philippe Francq, non. Je serais ravi de lire le bouquin. Et j’espère être agréablement surpris. J’aime autant que Largo marche. Non pas parce que je touche un pourcentage dessus, je peux vivre sans. Simplement, je trouverais dommage qu’un personnage que j’ai créé dégringole.

    Vous qui en avez tant vendu, lisez-vous de la BD ?

    Mon épouse me dit parfois que si je sortais aujourd’hui des personnages à la XIII, peut-être ne marcheraient-ils pas du tout. Elle a probablement raison. Prenez les derniers numéros de Casemate, une grande partie des albums traités sont des biographies ou des histoires vécues. Où est l’imagination dans tout cela ? Non, je ne lis plus de BD depuis des années. En revanche, j’ai une énorme bibliothèque et l’envie de me replonger dans des tas de bouquins.

    Propos recueillis par Jean-Pierre FUÉRI et Frédéric VIDAL

    Supplément de Casemate n°151 – novembre 2021.

    Source : Casemate

    en réponse à : Thorgal a (40 ans) 45 ans ! Lien | Citer

    Il est chouette ce nouveau bandeau en page d’accueil !    Bon annif Thorgal   

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Dessins originaux de Thorgal à la Galerie Daniel Maghen (suite)

    Comme dit dans le message précédent, la Galerie Daniel Maghen vend actuellement 75 planches et dessins originaux de Thorgal réalisés par Grzegorz Rosinski. Voici à présent certaines illustrations qu’on peut y retrouver.

    Illustration – 12 000 €

    Illustration – 10 000 €

    Illustration – 10 000 €

    Illustration – 8000 €

    Peinture originale réalisée à l’occasion d’une campagne pour Amnesty International en 2004 – 8000 €

    Illustration originale parue dans le journal Tintin – 23 000 €

    Planche originale inédite réalisée pour un jeu vidéo – 14 000 €

    Planche originale inédite réalisée pour un jeu vidéo – 14 000 €

    Source : Galerie Daniel Maghen

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Planches originales de Thorgal à la Galerie Daniel Maghen

    La Galerie Daniel Maghen vend actuellement 75 planches et dessins originaux de Thorgal réalisés par Grzegorz Rosinski. Impossible de tout présenter ci-dessous, mais vous pouvez les retrouver ICI.

    Planche de l’album La Magicienne trahie – 22 000 €

    Planche de l’album La Magicienne trahie – 15 000 €

    Planche de l’album Les trois Vieillards du pays d’Aran – 20 000 €

    Planche de l’album La chute de Brek Zarith – 20 000 €

    Planche de l’album La chute de Brek Zarith – 25 000 €

    Planche de l’album Entre terre et lumière – 17 000 €

    Planche de l’album L’Epée-Soleil – 16 000 €

    Planche de l’album Le Mal bleu – 12 000 €

    Planche de l’album Le sacrifice – 20 000 €

    Planche de l’album Le Bateau-sabre – 19 000 €

    Source : Galerie Daniel Maghen

    en réponse à : Gaston Lagaffe Lien | Citer
    Le retour de Gaston dans la presse

    J’ai lu par ci par là ce qui se dit sur le retour de Gaston. Voici quelques extraits choisis :

    Sur le site officiel de Gaston Lagaffe :

    Dès le mercredi 6 avril, vous pourrez lire un gag chaque semaine dans le journal Spirou, là où Gaston fit ses premiers pas (bleus) il y a très exactement soixante-cinq ans.

    Parce que trente ans ont passé depuis la parution du dernier gag (c’était en 1992), il nous a semblé que le monde avait grand besoin de Gaston.

    Gaston Lagaffe rend le monde meilleur, parce que plus drôle qu’il ne l’est réellement ! Ce héros sans emploi est porteur de valeurs positives : humanisme, écologie, inventivité, créativité et, bien qu’on le traite de paresseux, fainéant et bon-à-rien, il démontre à l’envi sa capacité d’invention et son énergie dans la fantaisie et la poésie.

    Mais pour que Gaston puisse encore une fois brûler les planches de la bande dessinée, il nous fallait trouver un auteur capable de faire œuvre de création, en toute humilité, et dans la continuité de la série d’albums signés Franquin. Nous avons confié à Marc Delafontaine (Delaf), le co-créateur de la série à succès Les Nombrils, la mission de créer ces nouveaux gags et un nouvel album de Gaston. Par son amour de la série, son talent de gagman et son perfectionnisme respectueux du maître Franquin, le choix de Delaf était une évidence.

    Marc s’est plongé avec passion dans le travail du créateur de Gaston, étudiant toutes les périodes, scrutant les coups de pinceau, les traits d’encre de Chine, s’imprégnant de sa philosophie de travail en lisant toutes les interviews que Franquin avait pu donner dans sa riche carrière.

    Le nouvel album, intitulé « Le Retour de Lagaffe », paraîtra le 19 octobre 2022.

     

    Sur ActuaBD :

    Après l’arrivée du label manga Vega chez Dupuis, puis l’annonce de la reprise de Spirou et Fantasio par Olivier Schwartz, Sophie Guerrive & Benjamin Abitan, Stéphane Beaujean marque donc le coup deux ans après son arrivée à la direction éditoriale de Dupuis. Et pour cet ancien directeur artistique du FIBD, quoi de plus normal de faire cette annonce à Angoulême.

    Gaston Lagaffe est l’un des personnages iconiques de la bande dessinée franco-belge. Créé par Franquin en 1957, le héros-sans-emploi colle tellement à son créateur, tant au niveau du style graphique que de l’atmosphère et la personnalité, que reprendre cet univers s’avère un véritable défi. On se rappelle la création en 2011 du petit neveu de Gaston, Gastoon, qui n’avait pas du tout convaincu les lecteurs.

    Reste que Marc Delaf, qui signe donc cette reprise, n’est pas le premier venu ! Avec Maryse Dubuc, ils ont réalisé la série des Nombrils depuis 2005, qui s’est très rapidement imposée comme l’une des nouvelles valeurs fortes de Dupuis.

    De plus, Marc Delaf s’était déjà immiscé dans l’univers de Gaston. En 2010, Frédéric Niffle, alors rédacteur en chef du Journal Spirou, lui avait demandé de dessiner la couverture d’un numéro consacré au héros de Franquin. En 2017, il a réalisé un gag de Gaston que vous pouvez retrouver ci-dessous, et qui a été intégré dans l’album « La galerie des gaffes – 60 auteurs rendent hommage à Gaston Lagaffe », album qui profitait d’une couverture signée… Marc Delaf !

    Tous ces signes légitiment le choix de confier cette reprise de Gaston à l’auteur canadien. Mais tous les feux ne sont pas au vert, Isabelle Franquin, fille et ayant-droit de l’auteur, n’approuverait pas cette initiative éditoriale. Les lecteurs seront-ils de son avis ? Verdict en octobre 2022, à la sortie de l’album.

     

    Dans Le Figaro

    La reprise de la série de cet antihéros emblématique a été confiée au Canadien Delaf et paraîtra le 19 octobre aux éditions Dupuis.

    Le personnage de Gaston Lagaffe va faire son retour après 30 ans d’absence et la disparition de son créateur Franquin, ont annoncé les éditions Dupuis. L’éditeur belge de bande dessinée, qui fête ses 100 ans, a confié la série au Canadien Delaf (Marc Delafontaine de son vrai nom).

    Le Retour de Lagaffe, album au format classique de 48 pages, doit paraître le 19 octobre, avec un tirage à la hauteur de la notoriété de cet antihéros, doux idéaliste, paresseux et inventif: 1,2 million d’exemplaires. «C’est une prise de risque. Quitte à relancer la série, nous nous sommes dit qu’il ne servait à rien de le faire petit bras. Parce que c’est l’un des personnages les plus emblématiques de la BD franco-belge», a expliqué à l’AFP le directeur éditorial de Dupuis, Stéphane Beaujean. «Peu s’attendaient à ce qu’il revienne. Mais, pour lui, c’était le moment: si nous ne l’avions pas fait, il n’avait plus beaucoup d’années de notoriété devant lui, parce que la plupart des héros de BD qui ne trouvent pas de suite disparaissent tout simplement», a-t-il ajouté.

    Des personnages de légende comme Astérix, Lucky Luke ou encore plus récemment Corto Maltese, relancé par les éditions Casterman en 2021, ont vécu une renaissance après la mort de leur créateur. Dans le cas de Gaston Lagaffe, le choix de Delaf s’est imposé après la parution en 2017 d’un hommage à André Franquin, La Galerie des gaffes, où la planche dessinée par le Québécois avait frappé les lecteurs par le mimétisme avec l’œuvre du dessinateur belge (1924-1997). «Cet hommage de Delaf imitait à la perfection Franquin, tout le monde l’a dit. C’est donc le retour de Gaston dans son caractère canonique, au plus près de la version originale», a souligné Stéphane Beaujean.

    en réponse à : Gaston Lagaffe Lien | Citer

    Pour moi, Gaston c’est comme Tintin, une bande dessinée iconique à laquelle on ne touche pas ! Ces deux héros sont inscrits dans une tranche du XXème siècle qui a duré plusieurs décennies, ce sont des témoignages historiques de leur époque. Tous deux ont été scénarisés et dessinés par des auteurs exceptionnels qui ont engendré une génération d’auteurs à leur suite.

    Je comprends la volonté des éditions Dupuis de ne pas laisser sombrer doucement dans l’oubli Gaston et sa génération de lecteurs. Mais comment relancer une BD tellement ancrée dans son temps ? Ce que fait Delaf dans cette première planche est particulièrement respectueux de l’auteur. Tout comme pour la couverture de l’album, il a situé Gaston dans sa meilleure période, les années ’70.

    Mais déjà, je vois malgré moi ces petits défauts qui font de son travail une copie différente de l’original. Le dessin de la couverture est trop propre, il manque de nervosité, de profondeur, de gribouillis comme dit Hirondl. Même les couleurs sont trop nettes. En parlant de couleurs, celles des murs de la rédaction sont d’un bleu qui ne correspond pas. Ou alors ce sont celles de la version recolorisée de Gaston par Fred Jannin que je n’ai jamais achetée.

    Quand au gag, il fait évidemment penser aux rails accrochés aux plafonds des couloirs de toute la rédaction pour se déplacer plus rapidement sur des sièges suspendus. Le téléphone est bien d’époque, mais ce qui est surprenant, c’est la référence à l’iPhone. Est-ce que l’auteur va jongler dans ses dialogues avec le passé et le présent pour en tirer régulièrement des gags ? Y verra-t-on aussi un jeu de mots sur le Covid 19 ?   

    La dynamique du retour en arrière du téléphone est très réussie. Il y a juste la copine de Lebrac qui ressemble plutôt à Karine dans Les Nombrils, physiquement mais aussi dans la manière de fuir le désastre à toutes jambes. Et je trouve l’attitude de Prunelle inhabituelle dans la dernière case au vu du massacre. Il n’a cette attitude stoïque que quand c’est Gaston qui finit mal à la fin d’un gag. Mais bon, c’était le seul moyen de placer le jeu de mots final.

    Vais-je acheter ce nouvel album ? Je n’ai jamais acheté les reprises d’une série – à part Thorgal – car je trouve toujours la copie moins bonne que l’original – même dans Thorgal. Alors est-ce que je vais quand même le faire pour Gaston, l’idole de ma jeunesse ? Il me reste pile 7 mois pour me décider.   

    en réponse à : Tony Stark – Scénario Van Hamme inédit ! Lien | Citer
    Tony Stark sur BD Zoom

    Gilles Ratier, le rédacteur en chef de BD Zoom (c’est lui qui a publié pendant 16 ans le rapport annuel sur la BD pour l’ACBD dont il était le secrétaire général), est l’auteur du dossier biographique qui accompagnera la publication de l’intégrale Tony Stark. Il a publié un article présentant cette édition spéciale ici sur BD Zoom.

    Une intégrale « Tony Stark » chez BD Must !

    Non, non, on ne vous parle pas de la véritable identité du super-héros Iron Man, mais d’une excellente série écologique avant l’heure, franco-belge (même si elle a été créée, à l’origine pour un magazine allemand), dessinée par Édouard Aidans — qui fut l’un des piliers du journal Tintin — et dont la plupart des épisodes (dont deux sont quasiment entièrement inédits en français) ont été écrits anonymement par un Jean Van Hamme qui n’était pas encore le célèbre scénariste que l’on connaît aujourd’hui : alléchant, n’est-ce pas ?

    À quelques jours de la clôture de la campagne de financement sur Ulule des deux tomes de l’intégrale « Tony Stark » (dont les couvertures sont provisoires ; voir https://fr.ulule.com/collection-tony-stark), les éditions BD Must viennent d’annoncer que, dans le cadre de la bonne dynamique de ce projet prévu éditorialement pour septembre 2022, elles offriront à tous les souscripteurs un dossier biographique sur la série, si les 300 % sont atteints.

    Cet opus broché illustré de 16 pages — qui sera réalisé par un chroniqueur bien connu de nos fidèles internautes — aura un tirage limité à 300 exemplaires numérotés. Alors ? Vous hésitez encore ?

    Rappelons que « Tony Stark » est une bande dessinée d’aventure à rebondissements qui se déroule la plupart du temps dans de grands espaces où la nature est toujours vierge, car la série aborde le thème de l’écologie et de la sauvegarde des animaux.

    L’intrépide héros est un écrivain qui parcourt la planète, afin de conserver leur authenticité aux régions sauvages, luttant contre ceux qui cherchent, par pur profit, à souiller l’environnement et détruire les espèces en voie de disparition.

    Dessiné par Édouard Aidans, notamment créateur des séries à succès « Les Franval » et « Tounga » dans Tintin, le premier épisode (« Une valise en enfer ») est proposé à partir de 1975 dans Zack — un magazine BD allemand publié par les éditions Koralle de Hambourg —, sur scénario non signé d’un certain Jean-Charles Francotte.

    Deux ans plus tard, souhaitant se consacrer à l’illustration de « Tony Stark » (secondé par quelques-unes des talentueuses petites mains de son studio, notamment Claude Laverdure), le dessinateur propose à un jeune scénariste prometteur du nom de Jean Van Hamme de prendre la suite de l’écriture, mais en le payant au black, Aidans s’attribuant textes et dessins de la série.

    Précisons que Van Hamme semblait alors prédestiné à jouer les bouche-trous à Tintin sur « Corentin », « Magellan », « Michael Logan » ou « Domino » et venait juste d’avoir un début de reconnaissance avec le one-shot « Histoire sans héros » : il n’avait donc pas encore publié « Thorgal ».

    C’est ainsi que, sans que son patronyme soit mentionné, le futur créateur de « XIII » et de « Largo Winch » en BD, s’attelle au deuxième épisode (« Le Prisonnier du ciel »), en 1977.

    Suivront ensuite six autres aventures de Tony Stark, toujours proposées dans Zack ou dans le petit format Zack Parade (copie conforme de Tintin sélection), dont deux sont quasiment totalement inédites pour les lecteurs francophones : « Le Tribunal des loups » et « Les Diamants de monsieur D. » qui, lui, n’est pas écrit par Van Hamme, mais par un autre auteur inconnu qui se serait appelé Tilmanne.

    En France et en Belgique, il faudra attendre 1979 pour découvrir « Tony Stark » dans l’hebdomadaire Super As ou Super J (son équivalent vendu par courtage) : trois albums seront édités par Fleurus/EDI-3 en 1979 et 1980 — dont un sera réédité chez Artège en 2015 —, trois autres par Hachette en 1981 et 1982.

    Ils sont, pour la plupart, épuisés depuis longtemps : une raison de plus pour se ruer sur cette véritable intégrale, en deux volumes, non ?

    Gilles Ratier

    Source : BD Zoom

    • Ce sujet a été modifié le il y a 3 ans et 1 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Tony Stark – Scénario Van Hamme inédit ! Lien | Citer

    Edouard Aidans était un auteur bien présent dans le journal Tintin de mon enfance. Outre Tounga et Les Franval, j’ai apprécié à l’époque une série qu’il a dessinée sur un scénario de Greg, trop brève à mon gout : Les Panthères. Je possède toujours le tome 1 à couverture souple de cette série. Aidans savait dessiner les jolies filles, j’en garde de très beaux souvenirs.    J’ai d’ailleurs repensé aux Panthères quand la série des Drôles de Dames est arrivée par la suite en télé. 

    • Ce sujet a été modifié le il y a 3 ans et 1 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    FIBD Angoulême du 17 au 20 mars

    Fred Vignaux sera présent à Angoulême durant les 4 jours du festival !   

    Voici ses horaires de dédicaces sur le stand du Lombard :

    • jeudi 17 mars de 17h à 19h
    • vendredi 18 mars de 17h à 19h
    • samedi 19 mars de 18h à 20h
    • dimanche 20 mars de 14h à 16h

    Le programme complet du Lombard est en ligne : 

    https://www.lelombard.com/uploads/files/Dedicaces-Lombard-Angouleme-2022.pdf

    en réponse à : Largo Winch – Esquisses et croquis Lien | Citer
    Rencontre avec Philippe Francq

    Philippe Francq présente dans cette vidéo l’exposition des 30 ans de Largo. On y découvre une partie des crayonnés qu’on retrouve dans l’album « Esquisses et croquis ».

    en réponse à : Largo Winch – Esquisses et croquis Lien | Citer
    Exposition chez Huberty & Breyne

    Il est toujours possible de visiter de manière virtuelle l’exposition qui s’est tenue dans la galerie d’Huberty & Breyne en suivant ce lien : https://hubertybreyne.com/fr/expositions/presentation/458/largo-winch-30-ans-deja

    Voici quelques-uns des crayonnés réalisés à la mine de plomb par Philippe Francq.

    en réponse à : Van Hamme – La fortune des Winczlav Lien | Citer
    Tome 2 – Tom & Lisa 1910

    ActuaBD annonce la sortie du tome 2 de « La fortune des Winczlav » pour le 6 mai prochain. 

    La Fortune des Winczlav, c’est la trilogie, à travers trois générations, qui révèle comment s’est bâtie la fortune dont Largo Winch est devenu l’héritier. Récit épique où on suit les ancêtres de Nerio Winch, le père adoptif de Largo Winch, qui lui a légué un immense empire financier. Et quelques ennuis.

    Ce prequel aux aventures du milliardaire Largo Winch, a signé le retour à la barre du scénariste Jean Van Hamme de sa série culte, qu’il avait abandonnée pour diverses raisons. Mais l’esprit du grand large, celui de l’aventure, le chatouillait.

    Alors aussitôt, il imagine une grande saga familiale posée sur trois générations pour autant de tomes, qui se penche sur les attaches familiales et les origines de la fortune de la famille Winch.

    Comme tout va vite, voilà déjà le second volet qui, comme le premier, va explorer quelques périodes parmi les plus troublées de l’Histoire moderne.

    Un album titré La Fortune des Winczlav-Tom et Lisa 1910, à paraître le 6 mai 2022, chez Dupuis. On s’en réjouit d’avance.

    Dessiné, toujours, par Philippe Berthet, assisté pour les décors et la recherche d’une documentation que l’on devine conséquente, par Dominique David. Par ailleurs excellente coloriste, souvent pour Berthet, mais qui cette fois laisse cette importante mission qui doit asseoir ambiance, dynamique et lisibilité à Meephe Versaevel.

    En voici le résumé : « Oklahoma, 1910. La vie de Thomas Winczlav, fils de Milan, prend un tournant radical lorsqu’il se découvre héritier des richissimes Whiskies O’Casey, qu’il va devoir partager avec sa sœur jumelle, Lisa…

    Alors que la Première Guerre mondiale éclate, Thomas, parfois crédule et souvent volage, va tenter de faire fructifier son affaire, adoptant le nom de « Winch ». Pendant ce temps, Lisa, femme libre passionnée d’aviation, va se tailler sa place dans un ciel de guerre dominé par un certain Baron rouge…

    À travers les destins croisés d’une sœur et d’un frère que tout oppose, La Fortune des Winczlav s’impose comme une saga familiale à la puissance totale, explorant une des périodes les plus troublées de l’Histoire moderne et composant des portraits d’hommes et de femmes aussi marquants qu’un certain Largo… Bon sang ne saurait mentir !« 

    Source : ActuaBD

    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer
    Regina Obscura

    Illustration de Béatrice pour la couverture de Regina Obscura, le 3ème tome du cycle des Sorcières.

    Source : Twitter d’Yves Schlirf

    en réponse à : Héritier d'une collection hors du commun Lien | Citer
    L'héritage

    Au-delà de ces photos, il y a aussi plein de bandes dessinées en tous genres. Une sacrée collection ! Dommage qu’elle n’intéresse pas Jolan…

    Source FB : Jolan Spitfire

    en réponse à : Héritier d'une collection hors du commun Lien | Citer

    Ah, tu t’es inscrit ? Alors tu as participé à l’explosion du nombre de membres du groupe !   

    Avec cette semaine le record d’inscriptions depuis la création du groupe « Les Fans de Thorgal » en 2008.

    Il faut dire que la proposition de cet héritier a bien contribué à dynamiser ce groupe qui vivotait…

    Allez, je prends le temps de partager les photos de cette collection qui est effectivement splendide !   

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Festival "Des Planches et des Vaches" en avril 2022

    Après Angoulême en mars, on pourra retrouver Fred Vignaux au festival normand « Des Planches et des Vaches » d’Hérouville Saint-Clair du 2 au 3 avril 2022.

    Fred y sera présent avec une quarantaine d’autres dessinateurs.

    Source : Des Planches et des Vaches

    en réponse à : Sacs Thorgal Lien | Citer
    Thorgal & Bruce J. Hawker

    Vu sur le site LastDodo, cet ancien sac en plastique du Lombard des années ’80, avec Thorgal au recto et Bruce J. Hawker de William Vance au verso.

    Source images : LastDodo

    en réponse à : Thorgal – 3 – Les trois vieillards du Pays d'Aran Lien | Citer
    Réédition avec de nouvelles couleurs

    Jackdrden a écrit ici
    Il y a les 10 premières pages des 3 tomes recolorisés sur le site du Lombard dans les albums à paraitre. Je dois bien avouer que les tomes 1 et 2 me laissent indifférents, mais le tome 3, WAOUH! Je n’aimais pas les couleurs originales des « 3 vieillards du pays d’Aran ». De mon humble avis c’est juste magnifique, ça change tout, c’est un autre livre. Celui là (« Les 3 vieillards du pays d’Aran » ) je vais l’acheter, c’est sur et certain! Après je n’ai jamais vu la version noir et blanc, donc le « choc » sera peut être moindre pour ceux et celles qui connaissent la version noir et blanc.

    On peut découvrir les nouvelles mises en couleur ICI sur le site du Lombard.

    J’ai feuilleté mon album en le comparant avec la nouvelle version en ligne. De mon côté, je trouve moins de changements de couleurs que dans les 2 premiers tomes de la série. Ici, plutôt que de toucher aux couleurs vives, ce sont principalement la foule et le décor qui sont modifiés. Le plus flagrant est la dernière double page ci-dessous où les couleurs de la nuit passent du marron au bleu !

    Source images : Le Lombard

    en réponse à : Thorgal – 1 – La magicienne trahie – Nouvelles couleurs ! Lien | Citer

    Merci pour l’info Jackdrden !  C’est un plaisir de relire ces histoires avec de nouvelles couleurs.

    Pour les retrouver sur le site du Lombard, c’est ici : https://www.lelombard.com/bd/nouveautes

    en réponse à : Jeux – Le jeu de plateau Thorgal Lien | Citer
    Jeu d'aventure coopératif

    La société polonaise d’éditions de jeux de société Portal Games lancera en mai 2022 un appel à financement participatif sur le site Gamefound. Son but : sortir en 2023 le jeu de société coopératif  « Thorgal – The board game  » .

    Je vous copie les infos disponibles sur le site de l’éditeur polonais en « traduction google » :

    https://portalgames.pl/en/thorgal-the-board-game-a-new-cooperative-adventure-game/

     

    « Portal Games est heureux d’annoncer « Thorgal: The Board Game », un nouveau jeu d’aventure coopératif se déroulant dans l’ univers de Thorgal.

    « Thorgal: The Board Game » emmène les joueurs dans un monde fictif incorporant des éléments de la mythologie nordique, la légende de l’Atlantide, la science-fiction et l’horreur. Il raconte l’histoire héroïque d’un mystérieux guerrier doté de pouvoirs surnaturels venus du monde extérieur et qui, après avoir été élevé par les Vikings , s’efforce de trouver un endroit où sa famille puisse vivre en paix tout en repoussant les ennemis.

    « Thorgal: The Board Game » avec la couverture de Frédéric Vignaux, l’illustrateur de la série de bandes dessinées, arrive sur le site de financement participatif Gamefound en mai 2022 et sera commercialisé en 2023.

    « Thorgal: The Board Game » est un jeu d’aventure coopératif pour 1 à 4 joueurs âgés de 14 ans et plus conçu par Joanna Kijanka, Jan Maurycy et Rafał Szyma. Les joueurs incarnent Thorgal, sa femme Aaricia, leur fils Jolan et Kriss, une guerrière mortelle, et se lancent dans une série d’aventures.

    Le jeu se compose de 10 scénarios autonomes, chacun prenant environ 90 à 120 minutes de jeu. Les scénarios ne forment pas une campagne et n’ont aucune fonctionnalité héritée, ils peuvent donc être joués par différents groupes de jeu et sur une période prolongée. 

    « Thorgal: The Board Game » est livré avec un livre de cartes. Chaque scénario est joué sur une carte différente que les joueurs explorent tout en remplissant les objectifs du scénario et promet des aventures complètement différentes, des opportunités cachées et des personnages vivants. Les joueurs sont libres de choisir s’ils voyagent en un seul groupe ou se séparent pour couvrir plusieurs zones en même temps. Ils effectuent également des quêtes secondaires qui pourraient les aider à gagner un scénario.

    Une autre caractéristique importante du jeu est le livre d’histoires contenant des descriptions narratives des rencontres que les personnages font dans chaque scénario. Les aventures décrites dans le livre sont spécifiques à chaque scénario et personnage, mais beaucoup d’entre elles sont aléatoires dans un scénario, offrant une meilleure rejouabilité et permettant un jeu répété. La moralité des personnages et les décisions passées jouent toutes un rôle important dans la résolution des rencontres.

    « Thorgal: The Board Game », tout en ayant un fort élément narratif, offre un mécanisme de sélection d’action préféré des fans. Semblable à de grands jeux comme Puerto Rico ou Race for the Galaxy, à chaque tour, un joueur actif choisit une action à effectuer par l’ensemble du groupe, un joueur actif exécute sa version complète et tous les joueurs passifs exécutent sa version la plus faible, quel que soit leur emplacement sur la carte. Cela crée un espace de décision intéressant et rend chaque tour important pour tout le monde autour de la table.

    Un autre mécanisme important concerne le développement du personnage. Les capacités sont améliorées pendant le jeu et affectées négativement par les blessures subies au combat. Les personnages rassemblent des ressources et fabriquent des objets pour les aider à survivre dans le monde dangereux et à gagner des compagnons qu’ils rencontrent en chemin.

    Fondé en 1999 en tant qu’éditeur de RPG de table, Portal Games a commencé à produire des jeux de société de haute qualité en 2007 et est rapidement devenu l’un des principaux éditeurs de jeux de table au monde avec des titres primés comme Detective, Empires of the North, Imperial Settlers, Robinson Crusoe et Stronghold dans leur catalogue estimé. Au cours de la dernière décennie, notre équipe de conception de jeux dirigée par Ignacy Trzewiczek a remporté plus de 100 prix et nominations de l’industrie, notamment Kenner Spiel des Jahres, Golden Geek, International Gamers Award, The Dice Tower Award et plusieurs prix du jeu de l’année à travers le monde.« 

    Sources : Portal Games & Gamefound

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer
    Tome 10 – Sydönia

    Deux mois sans nouvelles du tome 10 de la Jeunesse  Il est temps de remédier à ça   

    Roman a bien avancé dans les dessins du nouvel album…   

     

    La publication du tome 10 est prévue en 56 pages pour le 24 juin sous le titre « Sydönia« . En voici le résumé :

    « Le roi Harald la Dent Bleue est peut-être mort, mais son esprit demeure… de la plus littérale des façons ! La Flygja, un esprit lié à sa lignée, a rejoint la princesse Sydönia. Chez cette âme bien née, la cruauté n’a point attendu le nombre des années. Et la jeune possédée a juré d’envoyer les meurtriers de son père le rejoindre au pays des ombres. Au premier rang desquels Thorgal, désormais lié par le serment du sang à cette guerre qu’il ne désire ni ne cautionne. Mais la rage enfantine de Sydönia ne fait aucune distinction…« 

    Source image : Insta de Roman Surzhenko & source texte : Amazon

    en réponse à : Concours – Les pierres d'Odin Lien | Citer

    Chouettes ex-libris et belle dédicace ! Thorgal y assiste à une pluie d’étoiles filantes ?   

    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer

    Ce sera un match nul cette année, avec le Thorgal 40 par Fred Vignaux et la Jeunesse 10 par Roman Surzhenko.   

    Béatrice Tillier prend son temps pour son cycle des Sorcières, mais son espace de travail est à l’image de son style… incroyable !  Elle travaille sur la couverture d’un tirage N&B de sa série. Merci pour les images Lokocha.   

    Source : FB de la Complainte des Landes Perdues

    en réponse à : Yann Lien | Citer
    Les séries de Yann

    N’étant plus très au courant des dernières publications de Yann, je suis allé voir sur BDTheque :

    Yann en est à sa 68ème série BD   C’est énorme ! 

    Je vous copie ses séries par date de parution, avec la série Thorgal qui se retrouve en fin de liste.

    Source : BDTheque

    en réponse à : Yann Lien | Citer
    Buck Danny

    Comment ça, hyper vieux, Buck Danny ??    La BD de mon enfance !!

    Après vérification, la série a quand même commencé 20 ans avant Blueberry, tu as raison, elle date un peu…

    Bon c’est vrai, c’est de la BD assez lourde, d’une autre époque, je ne pense pas que j’arriverais à en relire un album…

    Mais qu’est-ce qui a pris à Yann de se lancer dans la jeunesse de ce personnage ? 

    J’ai cherché à comprendre ses motivations et j’ai trouvé cet article que je vous copie ci-dessous.   

    Buck Danny, 73 ans, revient dans le Pacifique avec une déclinaison de la série culte qui se penche sur ses (très) jeunes années. Une entame séduisante signée Yann au scénario, et De Luca au dessin.

    Depuis plus de 70 ans, il sillonne les airs à bord d’engins volants plus ou moins sophistiqués, selon les périodes de l’Histoire et la nature des conflits armés qui l’ont vu servir, toujours loyalement, l’US Air Force.

    Mais après 40 premiers albums imaginés par ses créateurs, Victor Hubinon et Jean-Michel Charlier, Buck Danny s’était un peu égaré, ensuite, dans des guerres où la technologie avait peu à peu remplacé l’instinct – et le sien était fameux – et des albums certes maîtrisés sur le plan technique, mais souvent complexes et où manquait ce sel propre à la grande aventure qui avait fait sa marque de fabrique.

    Avec Buck Danny – Origines, une collection lancée fin janvier par Dupuis, l’ami Buck s’offre, sur un dessin parfaitement posé entre hommage et modernité de l’Italien Giuseppe De Luca, une cure de jouvence, et replonge dans ses jeunes années, notamment celles qui l’ont vu combattre l’armée japonaise lors de la Guerre du Pacifique, au début des années 40. Voire un peu plus tôt encore, alors qu’il n’était qu’un jeune gamin qui rêvait, déjà, d’engager le combat, tel l’as de la voltige qu’il allait devenir ensuite, et malgré un père revêche qui le destinait à une carrière d’ingénieur, et rien d’autre.

    « Comme quand je reprends Thorgal, ce qui m’intéresse, c’est la jeunesse du personnage. L’enfance, plus précisément, un âge où tout est encore possible, où l’existence n’est pas encore verrouillée par l’argent, les enfants ou les responsabilités « , explique Yann, à qui l’on doit le scénario de ce qui est annoncé comme un diptyque. Et qui a pris plaisir à, dit-il, «  boucher les trous » dans l’existence d’un héros cher à son cœur. Et pour cause.

    « Lisse, Buck Danny? Pas pour moi, sourit le sexagénaire (67 ans), assis dans le café bruxellois où il a ses habitudes. Et le tome 2 va expliquer pourquoi il est devenu aussi impassible, en apparence du moins. Non, pour moi, Buck Danny, c’est un personnage spécial, l’incarnation du boy-scout, un gars qui place la parole donnée, la patrie et le devoir au-dessus de tout. Et je sais de quoi je parle parce que j’ai eu… un père comme ça: l’honneur, c’était le plus important à ses yeux. Alors, oui, retrouver ces caractéristiques chez Buck Danny me le rend, forcément, plus sympathique puisqu’il me fait penser à mon père.« 

    Il n’est pas le seul à lui rappeler des souvenirs: Sonny Tucson, amuseur public de la série et grand ami de Buck Danny à qui un diptyque sera également consacré au sein de la même collection (voir ci-dessous), lui fait penser… à son propre frère, «  qui avait lui aussi beaucoup d’énergie, ce qui en faisait souvent un bouc émissaire parfait quand nous étions à l’école« .

    « Et puis, reprend Yann, Buck Danny était une des rares séries que mon père me donnait le droit de lire quand j’étais gamin. Parce qu’il trouvait ça bien documenté. Il y avait ça et Tintin parce qu’il était capitaine sur un navire marchand et était tombé, une fois, sur Coke en stock, qui l’avait bluffé par la précision avec laquelle Hergé avait su représenter ce monde qu’il connaissait si bien. »

    Bref, cette déclinaison, où l’on retrouve une sonorité proche de la série originelle, faite d’expressions d’un autre temps telles que « gosh« , « damn« , « gee » ou « bloody hell!« , est une affaire familiale. Et ça vaut aussi pour Buck Danny, dont on explore aussi, outre son père, les relations qu’il entretenait avec sa mère et son jeune frère, celui qu’il surnommait volontiers « Microbe »… et au sujet duquel on devrait en savoir davantage dans un deuxième volet déjà très attendu.

    Yann a par contre dû jouer du frein sur les expressions dévolues à l’ennemi japonais, au cœur de cette nouvelle aventure: «  J’ai pu placer un ‘‘brouteurs de riz’’, mais dû laisser tomber le célèbre ‘‘face de citron’’ de Jean-Michel Charlier. C’est typique de la série, certes, mais au XXIe siècle, ça ne passe plus, et c’est bien normal « .

    Alors que Buck Danny fait équipe, dans ce premier « jet », avec un certain… Flash Gordon, en fait un authentique as de l’air prénommé Donald mais surnommé ainsi en référence au super-héros américain, ses fidèles acolytes, Sonny Tucson et Jerry Tumber, auront également droit à un diptyque au sein de la collection Buck Danny – Origines, sur des scénarios respectifs de Frédéric Zumbiehl et, une fois encore, Yann.

    Le scénariste français, mais installé à Bruxelles, sera également aux manettes d’une autre déclinaison en deux volets consacré, lui, à Lady X, ennemie jurée de Buck Danny… et qui apparaît déjà, à la dérobée, dans deux cases du Pilote à l’aile brisée. On vous laisse chercher.

    Source : Journal L’Avenir

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Le dessinateur masqué

    Fred dédicaçait hier son nouvel album Neokóra à la librairie Ça va buller à Strasbourg.

    en réponse à : Thorgal – 1 – La magicienne trahie – Nouvelles couleurs ! Lien | Citer
    Avant – Après

    Deux autres planches remises en couleur par Gaétan Georges sont également partagées.

    Curieusement, je trouve que la nouvelle version donne un style de BD plus réaliste et plus adulte.

    Et j’adore le coucher de soleil sur la neige dans la seconde planche !   

    Source : Twitter de Paul Giner de Casemate

    en réponse à : Thorgal Saga – One-shots Lien | Citer
    Fabrizio Russo

    Sur le groupe FB de fans polonais Świat Thorgala – Thorgal’s World, on découvre la planche d’un projet avorté de one-shot Thorgal dessiné par l’italien Fabrizio Russo.

     

    en réponse à : Thorgal – 39 – Neokóra Lien | Citer
    Analyse de l'album sur UMAC

    Voilà une analyse fort détaillée, Penny !    Je t’ai lu l’album en main, ce qui m’a permis de m’y replonger pour la première fois depuis sa lecture. Comme toi, je trouve qu’il y a de bonnes choses, et d’autres beaucoup moins bonnes. Et je suis d’accord avec toutes tes remarques. 

    Je vous partage une analyse également bien argumentée publiée sur le site UMAC, Comics & Pop Culture. L’article complet est en plus agrémenté d’extraits de la BD, et d’une synthèse avec ses points positifs et négatifs.

    « Malgré le schéma habituel (comme le lui avait rappelé Kriss naguère, si Thorgal rechigne à partir à l’aventure, il ne tarde jamais à retrouver le goût du risque qui a fait de lui un pirate sans merci), l’impression d’ensemble est étrange : cela va vite, trop vite peut-être, au point qu’on se demande pourquoi essayer de caser autant d’éléments dans si peu de pages.

    Une fois sur place, nos héros vont suivre bon an mal an une structure narrative connue avec quelques ressorts usés, mais cela fonctionne à peu près, la magie de la découverte et l’élégance de la narration en moins. Certaines situations sont téléphonées, d’autres amenées sans subtilité, cela manque de liant et de justesse de ton, mais on suit ça sans déplaisir, sans passion non plus.

    Il faut dire que Thorgal, encombré par un Jolan surpuissant mais incapable d’user de ses pouvoirs quand il le faut (bien pratique), bridé psychologiquement par un nombre incalculable de mauvais choix effectués par le passé pour la sauvegarde de sa famille, n’est plus le héros qu’on adulait une fois privé de sa liberté de jugement et de mouvements.

    Depuis la Forteresse invisible et la parenthèse Shaïgan, on le sent engoncé dans ses responsabilités et ses principes moraux, constamment en porte-à-faux et chaque péripétie suivante n’a fait que confirmer que le capital sympathie qu’il générait allait en s’amenuisant.

    Sans doute aurait-il mieux valu qu’il tourne définitivement la page, d’autant qu’on avait lancé Jolan (le fils doté de pouvoirs télékinésiques hérités des ancêtres Atlantes), Louve (sa fille, capable de parler aux animaux) et même Kriss sur des aventures en solo qui auraient pu représenter l’avenir de la franchise.

    Mais non, il semblerait que la trame principale de la saga devienne le creuset de ces spin-off et que chaque récit converge vers elle, un peu comme dans le Marvel Cinematic Universe, où les films Avengers bénéficient des développements créés dans les autres.

    Peut-être aussi que ni Louve ni Jolan n’ont pu capitaliser sur leur aura héroïque, largement inférieure au Thorgal des Archers ou de toutes ses aventures au cœur du Deuxième Monde (on regrette la séduisante Gardienne des clefs). La saga semble se déliter irrésistiblement depuis la Couronne d’Ogotaï et Thorgal perd chaque fois un petit peu de son charisme, un petit peu de sa grandeur et de sa noblesse d’esprit, devenant un héros poussif qui passe son temps à maugréer sur son destin.

    Néanmoins, ses qualités physiques font de lui un aventurier redoutable qui, s’il refuse d’ôter la vie à la légère, n’en demeure pas moins un combattant farouche, un limier affûté et un archer incomparable. 

    Quant aux dessins, ils sont agréables, avec un encrage très similaire à ce qu’on connaissait, quoique moins porté sur les rouges sombres. Toutefois les visages apparaissent plus durs, plus fermés, moins esthétiquement expressifs que ceux de Rosinski : les gros plans laissent transparaître des profils plus massifs, des traits moins fins qu’auparavant (c’est particulièrement notable sur ceux de Jolan et Kriss).

    La gestion de l’action apparaît parfois plus brouillonne, mais on peut considérer que le flambeau est bien passé et on n’y perd pas vraiment au change, d’autant qu’on retrouve quelques pages presque muettes où les cases s’épanchent et les décors prennent le pas sur les dialogues.

    Un épisode qui s’achève sur un happening annonçant sans doute quelques profonds changements dans l’avenir qui mettront en péril le fragile équilibre que Thorgal tentait, envers et contre tous (hommes et dieux, surtout les dieux, ces sacripants tout-puissants), de préserver. »

    Source : UMAC, Comics & Pop Culture

    • Ce sujet a été modifié le il y a 3 ans et 2 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Eclairages – Carte du monde de Thorgal Lien | Citer

    On y distingue même la tignasse de BoJo !   

    en réponse à : Le coloriste Gaétan Georges Lien | Citer
    Rock & Stone – L'intégrale

    Publication cette semaine de l’intégrale de Rock & Stone. Les 2 tomes qui le composent ont été publiés en 2014 et 2016 chez Delcourt, avec Gaétan aux couleurs.   

    Sources : FB de Gaétan & Editions Delcourt

    en réponse à : Thorgal – 39 – Neokóra Lien | Citer

    Magnifique ! C’est du haut de gamme, surtout pour la couverture ! Une bien belle manière de découvrir le travail de Fred Vignaux en noir et blanc, et de s’approprier sa couverture alternative.

    en réponse à : Undertaker – Dorison et Meyer Lien | Citer

    Ralph Meyer entame le storyboard du tome 7 d’Undertaker… il ne fait jamais les choses à moitié !

    Avec toujours Dorison, Meyer et Delabie au générique.   

    Je ne vous avais pas encore partagé la couverture du tome 6, Salvaje, sorti en 2021.

    Un artbook Undertaker est aussi en préparation pour la fin de cette année.

    Il y a du pain sur la planche de la planche sur la table !   

    Sources images : Facebook de Ralph Meyer & Twitter d’Yves Schlirf

    en réponse à : Présentations Lien | Citer

    Salut Jérémie, bien content que tu aies retrouvé lé chemin de Midgard et de ce forum !    Bon retour parmi nous !

    en réponse à : Thorgal – 1 – La magicienne trahie – Nouvelles couleurs ! Lien | Citer

    Oh, cette couverture s’est bien allégée… Il était temps, au vu des 63 albums qui y figurent ! Le hors-série « Aux origines des Mondes » n’est plus repris, c’est normal, il n’est plus d’actualité.

    J’aime moins la police de texte utilisée pour les titres des albums. Et l’ombre de Kriss ne plane plus derrière la famille de Thorgal. Pourtant, elle est encore bien présente dans le dernier tome !

    L’arbre des Mondes ne figurait déjà plus dans « Neokóra », il y a été remplacé par un cahier graphique, auparavant spécificité des éditions spéciales pour la Fnac.

    Au final, bonne évolution qui permettra bientôt d’ajouter des albums de nouveaux auteurs dans la partie des Mondes de Thorgal. Tiens, je me demande comment ils vont intituler cette partie-là : One-shots ? Thorgal vu par… ? 

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