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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Tjahzi

Toutes mes réponses sur les forums

40 sujets de 881 à 920 (sur un total de 4,504)
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    Messages
  • en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer

    Le ciel s’éclaircit devant Robin Recht…   

    Source: FB de Robin

    en réponse à : Van Hamme – La fortune des Winczlav Lien | Citer

    Ah oui, il fallait être rapide sur ce jeu !    Alors, pour malgré tout voir quelques extraits du second tome qui vient de paraitre, voici la vidéo de présentation des Editions Dupuis.

    en réponse à : Jeux – Escape Game Thorgal Lien | Citer
    Entretien – 1

    Bonjour Stéphane, tu es l’auteur de l’Escape Game Thorgal qui va paraître très prochainement. Qu’est-ce qui t’a donné envie d’écrire ce livre ?

    L’idée remonte à loin, bien loin dans le temps… Je m’occupe du site Internet officiel consacré à Thorgal depuis des années. Ce site est un peu l’aventure d’une vie, pour son contenu mais aussi pour sa communauté de lecteurs et pour toutes les rencontres et expériences qu’il m’a permis de vivre.

    À un moment, lorsque les auteurs originels de la série ont confié leur univers à d’autres auteurs, j’ai vu de nouveaux projets se bâtir autour des personnages de la série, de nouvelles idées, de nouvelles méthodes. J’ai commencé à avoir envie d’écrire et de créer autour des héros qui m’ont accompagné depuis mon enfance et tout au long de ma vie d’adulte. Ils comptent beaucoup pour moi.

    Mes premiers projets datent de 2013 ! Mais je les avais gardés pour moi, c’était juste pour le plaisir de voyager avec Thorgal et Aaricia. En toute intimité.

    Comment est née l’idée de réaliser un livre-jeu ?

    Je navigue dans l’univers du jeu et de la bande dessinée depuis une vingtaine d’années. En observateur attentif plutôt qu’en tant qu’acteur. Écrire pour Thorgal, c’est un rêve qui me paraissait inaccessible. Du côté de la BD en tout cas. En 2018, j’ai eu envie de parler de mes idées et de mes projets auprès des personnes que je connaissais au Lombard. Au départ, il y avait plusieurs scénarios que j’avais écrits pour Thorgal, et un jeu de société. J’ai pu présenter un premier prototype de ce jeu à Grzegorz et Piotr Rosinski, j’en étais très fier ! J’ai aussi pu discuter avec l’éditeur autour des scénarios de BD sur lesquels j’ai travaillé.

    Le projet de départ a donc bien évolué ?

    Oui, notamment parce que je devais réussir à convaincre ! Alors, au fil des mois, je suis revenu avec un projet de « livre dont vous êtes le héros », puis un livre d’énigmes, un jeu de cartes. Une gamme complète. J’avais envie d’ouvrir la série à un autre public, notamment les joueurs et les joueuses, et de me glisser dans le trou de souris que ça ouvrait dans la muraille. Et puis, inventer des mécaniques de jeu, c’est passionnant, surtout quand elles sont basées sur un univers graphique et des histoires aussi riches. Le livre-jeu est un concept que j’adore. Il m’a semblé possible d’écrire pour Thorgal, sans que ce soit de la BD, mais il fallait trouver des idées susceptibles d’intéresser l’éditeur.

    Pourquoi t’es-tu tourné vers Mango pour éditer le livre ?

    Mes propositions ont été présentées à Mediatoon, la société qui gère les licences de séries BD comme Valérian, Spirou et beaucoup d’autres. Ils ont pensé à l’éditeur Mango qui a une gamme de livres-jeux et qui fait partie du même groupe d’édition que Le Lombard. On m’a proposé de rencontrer une éditrice de Mango pour discuter d’un projet d’escape game. Un livre-jeu dans l’univers de Thorgal ! J’étais ravi.

    On connait les escape games classiques dans lesquels il faut s’échapper d’une pièce en moins d’une heure. Le concept est-il le même dans un livre d’escape game ?

    Je l’avoue, je ne connaissais pas bien la gamme Mango. Élise, mon éditrice au début du projet, m’a fait découvrir les albums qu’ils ont publiés. J’en ai lu plusieurs pour m’imprégner de l’ambiance et des mécaniques de ces livres.

    Il s’agit bien d’un jeu d’évasion, comme dans une « vraie » salle, mais jouable généralement en solo. On progresse dans le livre et dans l’histoire en résolvant des énigmes, en fouillant, en utilisant parfois du matériel inclus dans l’album ou une application en ligne. Le joueur a une heure pour atteindre la sortie. Des indices sont proposés pour débloquer les situations difficiles et les solutions sont aussi disponibles à la fin du livre, pour permettre d’aller au bout de l’aventure. Comme dans une salle.

    C’est un peu comme si on passait de salle en salle en tournant les pages du livre ?

    Tout dépend de l’histoire qui est racontée mais globalement on peut dire que c’est ça. Les salles sont remplacées par des pages ou des doubles pages, le joueur change de lieu en tournant les pages de l’album. Mais dans ces livres, changer de salle, ça peut signifier changer de planète, changer d’époque… Tout est possible.

    On tombe également sur des énigmes à résoudre ?

    Oui. Ce sont souvent des énigmes visuelles. On va observer la page, décoder un message, résoudre des énigmes logiques, suivre un labyrinthe, etc. Le texte et les illustrations sont complémentaires. Tout peut être utile dans une page !

    Ce genre de livre est-il destiné à jouer l’escape game en live ?

    L’expérience reste virtuelle, le livre ne fonctionne pas vraiment comme une salle. On a une heure pour remplir une mission. Ces histoires pourraient sûrement être adaptées pour être vécues en réel, mais cet album est plutôt conçu pour être joué dans un canapé, un train… n’importe où. On a seulement besoin d’un crayon pour prendre des notes.

    Cela me fait penser à un livre dont vous êtes le héros. Est-ce qu’on s’en rapproche ?

    Oui, un peu, parce que le résultat de chaque énigme est généralement un nombre qui permet de se rendre à la page où se trouve la suite de l’histoire. On navigue d’un bout à l’autre du livre, les pages ne sont pas lues dans l’ordre.

    La grande différence avec le livre dont vous êtes le héros, c’est qu’ici le hasard est absent. Il n’y a pas de dés à lancer. L’histoire est aussi plus linéaire. A la fin, le joueur sera passé par toutes les pages du livre et aura résolu toutes les énigmes afin d’atteindre son but. Dans un escape book, le joueur ne peut pas éviter le danger ; chaque énigme est un défi à relever, on ne peut pas la contourner !

    Faut-il s’y connaitre en escape game pour y jouer, ou cela reste accessible aux débutants ? Quel serait l’âge minimal des joueurs ?

    Pour moi, le défi était aussi de rendre ces histoires accessibles à tous. J’espère y avoir réussi, les retours des joueurs seront importants pour pouvoir en juger.

    La difficulté me semble assez corsée, mais les indices aident à progresser. Et faire appel aux solutions, ce n’est pas tricher. On ne laisse pas les gens enfermés dans les salles d’escape game ! L’âge idéal correspond à celui des lecteurs de la série, disons ado-adulte.

    Les escape games classiques se pratiquent d’habitude en équipe. Est-ce aussi le cas pour un livre d’escape game ?

    Il est possible de jouer seul ou à plusieurs, en lisant à voix haute. J’imagine que ce sera plutôt une activité solo, la plupart du temps. Mais il est tout à fait possible de tenter de résoudre les énigmes à plusieurs. C’est d’ailleurs ce qui a été fait pendant les tests.

    Il y a trois aventures différentes dans ce livre. J’ai souhaité qu’elles aient chacune leurs particularités, on ne les joue pas de la même façon. La troisième aventure, « Le vaisseau perdu », doit obligatoirement se jouer à deux. L’un des joueurs incarne Thorgal et l’autre Jolan. Si on tente de jouer cette aventure en solo, je pense qu’on perd une grande partie de ce qui la rend originale et amusante.

    Que trouve-t-on de particulier dans le livre ? Y a-t-il par exemple des éléments annexés ?

    Eh bien, justement, il y a des fiches détachables qui sont utilisées pour l’aventure en duo. L’un des joueurs a le livre en main, l’autre reçoit des fiches qu’il peut consulter au fur et à mesure de sa progression.

    J’ai aussi souhaité intégrer en fin d’album une section découverte destinée aux lecteurs qui ne connaissent pas Thorgal. J’ai vraiment envie que cet album, puis d’autres créations, aident la série à se faire connaître auprès d’un public qui ne lit pas forcément la BD. C’est l’un des aspects que j’ai mis en avant à chaque fois que j’ai présenté des projets au Lombard. Et je précise que ça a été mon choix, je l’assume complètement, personne ne me l’a imposé.

    On a donc une présentation des personnages principaux avec de belles illustrations de Grzegorz. Il y a aussi deux pages qui font la promotion des albums de la série, et même un beau paragraphe qui invite à visiter Thorgal.com. C’était important pour moi et je remercie Mango d’avoir joué le jeu.

    Y-a-t-il la possibilité de jouer plusieurs fois l’Escape Game avec des variantes ?

    L’un des atouts de ce livre, c’est qu’il y a trois histoires, et qu’on va donc pouvoir passer trois soirées à explorer le monde de Thorgal. Mais bon, il reste assez rare de rejouer à un même escape game plusieurs fois. Je me suis posé la question au début du projet et j’ai essayé d’en tenir compte. La deuxième histoire, qui s’appelle « La colère du devin », a trois fins différentes. Tout dépend du parcours accompli. Les joueurs sont invités à retenter leur chance, s’ils n’ont pas réussi à découvrir tous les secrets de la montagne.

    Thorgal est connu dans de nombreux pays. Le livre sera-t-il traduit dans plusieurs langues ?

    Le contrat que j’ai signé prévoit cette éventualité ! Si ça se produit, j’en serai ravi. Honoré, même. J’adorerais découvrir cet album en polonais, par exemple, la langue maternelle des Rosinski. Avis aux éditeurs de l’est…

    • Ce sujet a été modifié le il y a 3 ans et 1 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Jeux – Escape Game Thorgal Lien | Citer

    Comme promis, voici le début de l’interview de l’auteur de l’Escape Game, Stéphane Hardy, bien connu des Thorgaliens du site dont il est le webmestre sous le pseudo Thorgal-BD.

    L’entretien sera présenté en plusieurs parties. Vous remarquerez que je tutoie l’auteur. Après toutes ces années passées ensemble sur le forum, je suis heureux de pouvoir accompagner mon ami Stéph dans la présentation de son Escape Game Thorgal.   

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer

    Merci JJ pour l’image ! Et une nouvelle couverture de Rosinski, une de plus !   

    J’aime bien aussi l’attitude de Sydönia, une vraie sale gamine   

    Et pour une fois, le récit a l’air de correspondre au titre et à la couverture, c’est rare dans la Jeunesse

    • Ce sujet a été modifié le il y a 3 ans et 1 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Van Hamme – La fortune des Winczlav Lien | Citer
    Concours

    BDGest et les Editions Dupuis proposent de gagner 10 exemplaires du tome 2 de « La Fortune des Winczlav ».

    Pour participer, c’est ici : https://www.bdgest.com/concours-820-BD-la-fortune-des-winczlav.html

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Fred Vignaux président

    Aujourd’hui, c’est l’investiture du président Emmanuel Macron. Mais il n’y a pas que lui !

    Fred Vignaux est aussi investi comme président du Festival BD de Sérignan.   

    Source : FB du Festival BD de Sérignan

    en réponse à : Jeux – Escape Game Thorgal Lien | Citer
    Questions pour l'interview

    Félicitations à tous pour vos questions sur l’Escape Game Thorgal qui sort ce mois-ci. Plein de choses ont déjà été dites, alors je vais essayer de ne pas répéter les mêmes questions. Mais si vous en avez d’autres, n’hésitez pas, il y a encore un peu de place !   

    De mon côté, j’aimerais que l’interview débute par une présentation de l’auteur et sa relation à Thorgal : qui est-il, comment est-il tombé dans la marmite Thorgal quand il était petit, quelle relation entretient-il avec Thorgal depuis tout ce temps, quelle place le site Thorgal.com a-t-il pris dans sa vie ?

    Quant à l’Escape Game lui-même, j’aimerais savoir ce qui a mené à sa création, par où l’auteur a cheminé pour en arriver à cette idée d’Espace Game, si le résultat final le satisfait.

    Puis aussi d’autres questions sur la place des différents intervenants dans le projet, quel contrôle l’auteur a-t-il gardé sur le projet, qu’a-t-il dû abandonner car non réalisable, quelle expérience positive en retire-t-il, quels sont ses autres projets Thorgal en cours ?

    J’avais plein d’autres questions en tête, mais je crois qu’elles ont déjà largement été abordées par les membres du forum avant moi. Je laisse Stéph se débrouiller avec tout ça !   

    en réponse à : Jeux – Escape Game Thorgal Lien | Citer
    Vos questions à l'auteur

    Waouh ! Ça démarre fort !   

    Continuez à poser vos questions à l’auteur bien connu du jeu, je lui transmettrai le tout vendredi soir.   

    Ses réponses nous parviendront dans les semaines suivantes   

    en réponse à : Jeux – Escape Game Thorgal Lien | Citer
    Vos questions à l'auteur de l'Escape Game

    Salut à tous !   

    L’Escape Game de Thorgal sort dans un mois ! Je vous propose de réaliser une interview de l’auteur, le très secret Stéphane alias Thorgal-BD.

    Je lui enverrai par écrit une compilation de nos questions dont les réponses paraitront ensuite sur le site de Thorgal. J’ai déjà plein d’idées en tête, mais j’ai aussi envie d’y retrouver les vôtres. Toutes vos questions à l’auteur sont les bienvenues, à propos du livre, de sa rédaction, du choix de l’escape game, mais aussi pour apprendre à mieux connaître l’auteur.   

    Alors c’est parti, j’attends vos questions à la suite de mon post     

    en réponse à : Thorgal – 1 – La magicienne trahie – Nouvelles couleurs ! Lien | Citer

    Je n’ai pas encore eu l’occasion d’avoir en main ces premiers tomes remis en couleurs. Et vous ?   

    en réponse à : Site – Un nouveau site Thorgal.com ? Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    La dernière Bricole du jour de l’année, je ne sais pas si elle restera, je veux bien quelques avis. J’ai « fixé » en fond de page la déco Thorgal du moment (couverture de Thorgal 39 en ce moment) et quand on scrolle vers le bas de la page, l’image devient de plus en plus transparente, jusqu’à disparaître. Je ne sais pas si c’est esthétique, à voir, j’attends vos avis et aussi je vais voir si je m’habitue.

    On s’habitue vite à tes bricoles du jour, ce qui est bon signe !    En y regardant de plus près, Thorgal disparait quand même assez rapidement, en 2 clics de défilement sur la barre. Mais ce qui me gêne plus, c’est le dessin grisé qui apparait ensuite en arrière-plan, pratiquement illisible. Et pourtant, je crois y reconnaitre la Gardienne des clés…

    Qunqun64 a écrit
    Merci pour ton dernier message grand maître du site (je sais pas comment t’appeler)…

    Faut pas abuser de ce genre de formule, ça risque de lui monter à la tête !   

    en réponse à : Van Hamme – La fortune des Winczlav Lien | Citer
    Sortie du tome 2

    Le tome 2 de « La fortune des Winczlav » sort dans deux semaines. On peut découvrir les premières planches de l’album sur le site des éditions Dupuis ICI.

    Thorgal-BD a écrit
    La couverture est dynamique et bien réalisée. J’aurais préféré y voir les deux personnages, Tom et Lisa, mais ces deux jolis avions seront inratables en librairie. Vivement !

    Tom et Lisa ? Il suffit de demander !   

    Sources : Dupuis & FB Largo Winch

    en réponse à : Concours – Les pierres d'Odin Lien | Citer

    Les 3 tomes recolorisés de Thorgal à gagner ce mois-ci, je sentais venir le gros lot à des lieues à la ronde depuis des semaines !   

    en réponse à : Jeux – Escape Game Thorgal Lien | Citer

    Le prix est fixé à 19,95 €, et j’espère aussi que ça fera un carton !   

    Je pars 10 jours en vacances, mais à mon retour, je vais lancer une interview collective de l’auteur de l’Escape Game. Stéph ne pourra plus rien nous cacher à nous Thorgaliens !   

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer

    Fred annonce sur son compte Instagram que l’exposition de ses travaux à Sérignan débutera le 18 avril. Il nous offre en prime cette très belle illustration.   

    Source : Insta de Fred Vignaux

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Exposition à Sérignan

    Une exposition consacrée à Fred Vignaux vient de s’ouvrir à Sérignan dans l’Hérault. Elle présente ses couvertures de La sagesse des mythes et son travail sur Thorgal. Fred sera également l’invité d’honneur du festival BD des 4 et 5 juin 2022.

    Source : FB de la Médiathèque de Sérignan

    en réponse à : Thorgal – 1 – La magicienne trahie – Nouvelles couleurs ! Lien | Citer
    En librairie dès le 15 avril à 5€

    La promo des albums recolorisés par Gaétan Georges est lancée sur le FB de Thorgal   

    Source : FB de Thorgal

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer

    Ca m’a donné l’idée d’en faire un petit montage…   

    en réponse à : 48H BD Lien | Citer
    48H BD 2022

    La BD est en fête ce week-end avec le retour des 48H BD. Vous trouverez le programme complet ICI.

    Source : 48H BD

    en réponse à : Thorgal – 3 – Les trois vieillards du Pays d'Aran Lien | Citer
    Parution de la nouvelle version dans 2 semaines

    Gaétan Georges nous partage des images du tome 3 qu’il a remis en couleurs de bien belle façon !   

    Source : Insta de Gaétan Georges

    en réponse à : Gaston Lagaffe Lien | Citer

    Lors des 60 ans de Gaston, la planche hommage réalisée par Delaf a attiré le regard de Dupuis qui lui a proposé de reprendre le personnage de Gaston. Delaf s’y est préparé durant 5 ans en secret. Dupuis a informé il y a seulement 4 mois la fille d’André Franquin de cette reprise, et elle s’y est opposée en suivant l’avis de son père décédé en 1997.

    Dupuis n’a pas tenu compte de son avis car l’éditeur est propriétaire des droits d’auteur. Il a annoncé en grande pompe à Angoulême la relance de Gaston qui sera prépublié dès la semaine prochaine dans le magazine Spirou. Isabelle Franquin, garante du droit moral de son père, s’est tournée vers la justice pour s’opposer à cette publication. On y verra l’affrontement entre droit d’auteur et droit moral…

    Delaf s’est exprimé dans le nouveau numéro de Spirou sur sa manière de s’approprier le personnage de Gaston, ce qui fait à nouveau beaucoup jaser sur les forums consacrés à Franquin. Je vous laisse vous faire votre propre opinion.

    Marc Delafontaine, de son vrai nom, est aussi présenté ici sur Ligne Claire.

    en réponse à : Gaston Lagaffe Lien | Citer
    Lagaffe est déjà suspendu !

    Eh oui, cela n’aura pas trainé, la parution des gags de Gaston est déjà suspendue !    Le prochain numéro du magazine Spirou est pourtant prêt, avec la première planche de Gaston dessinée par Delaf. J’en profite pour vous la partager, elle risque de disparaitre !   

    L’article du journal Le Monde nous donne plus de détails sur cette affaire : 

    BD : le retour de Gaston Lagaffe déjà devant la justice

    Une procédure pour « plagiat » a été introduite en référé par la fille d’André Franquin, l’unique ayant droit du créateur du célèbre personnage.

    Isabelle Franquin, la fille d’André Franquin (mort en 1997), a décidé de saisir la justice belge afin de s’opposer à la publication, en octobre, d’un nouvel album de Gaston Lagaffe, Le Retour de Lagaffe, sous le crayon d’un autre dessinateur, le Canadien Delaf.

    L’unique ayant droit du créateur de Gaston, et détentrice du « droit moral » associé à son œuvre, estime « illégale » cette renaissance, annoncée le 17 mars par la maison d’édition Dupuis à l’occasion du dernier festival de la bande dessinée d’Angoulême.

    D’abord, parce que son père a toujours exprimé le souhait que Gaston ne lui survive pas, à l’instar de Tintin avec Hergé. Ensuite, parce qu’elle considère que les planches réalisées par Delaf relèvent du « plagiat ». Introduite en référé le 25 mars, la procédure doit être plaidée en mai. Entre-temps, le magazine Spirou a décidé de suspendre la prépublication des premiers gags de ce nouveau Gaston.

    L’affaire fait grand bruit dans le monde de la BD franco-belge et rappelle la complexité des questions liées au droit moral après la mort de créateurs de personnages aussi emblématiques que le héros aux espadrilles. Au tournant des années 1990, André Franquin avait cédé l’ensemble des droits patrimoniaux de son œuvre à la société Marsu Productions, dirigée par l’homme d’affaires Jean-François Moyersoen, qui les a ensuite revendus à son tour à Dupuis en 2013. Le dessinateur n’était à l’évidence guère favorable à ce que Gaston puisse être repris par un autre que lui.

    « Après ma mort, tout le monde oubliera ces séries. J’espère que l’on ne verra jamais un Tintin sans Hergé, mais je voudrais beaucoup, si demain je me fais écraser par un autobus, que l’on ne reprenne pas Gaston. Seulement, les dernières volontés, tout ça, c’est très gentil, mais une fois qu’un gars est mort, c’est fini, on s’en fout », déclarait-il notamment à un fanzine belge en 1986.

    Des propos qu’il a tenus à plusieurs reprises, avant de les « nuancer oralement », explique-t-on chez Dupuis, qui espère relancer le personnage avec cette opération censée compenser une perte de vitesse commerciale. La maison d’édition table sur une vente de l’ordre de 1,2 million d’exemplaires pour ce premier volume.

    Dans le passé, Isabelle Franquin avait déjà affronté Marsu Productions autour d’un héros nommé Gastoon, présenté comme le neveu de Gaston. Le litige s’était conclu par un règlement à l’amiable, sans passer par les tribunaux. En 2017, la fille du dessinateur n’avait pu empêcher l’adaptation cinématographique de Gaston en prises de vues réelles par Pierre-François Martin-Laval (dit Pef), qu’elle avait alors qualifiée de « désastre ».

    Frédéric Potet, Journal Le Monde

    Source texte : Le Monde & source images : Génération BD

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer
    Prépublication dans L'Immanquable

    La première partie de « Sydönia » vient d’être prépubliée dans le mensuel L’Immanquable.

    Source: L’Immanquable

    en réponse à : Louve – 2 – La main coupée du dieu Tyr Lien | Citer
    Iruene

    Thorgal-BD a écrit
    Et là, brrr, ça fout la pétoche…

    En découvrant la couverture d’ « Iruene« , nouvelle BD créée par Griffo et Rodolphe, j’ai tout de suite pensé au loup Fenrir dans les aventures de Louve.    Bon, le loup géant n’a pas le même origine pour autant, on est dans une toute autre histoire.

    Alex, jeune publicitaire parisien, est réveillé toutes les nuits par de terribles cauchemars. Transporté à La Palma, dans les îles Canaries, il devient Bencomo, jeune guerrier du peuple Guanche à l’époque du déferlement des conquistador espagnols. Son peuple compte sur lui, mais pourra-t-il changer le passé ? Alex est un habitué des soirées branchées et bien dans son époque. Pourtant, depuis des mois, sa vie se dérègle. Quand il s’endort, il fait d’épouvantables cauchemars dans lesquels il est poursuivi par un démon, au milieu d’un paysage de mer et de montagne. De plus en plus isolé, incapable de travailler ou de penser à autre chose qu’à ces visions angoissantes, il est au bord de la folie et aucun médecin ne semble en mesure de l’aider. En analysant ses rêves, il parvient à situer le lieu géographique de ses cauchemars : il s’agit de La Palma, une île volcanique des Canaries.

    J’ai découvert par la même occasion que Daniel Maghen était éditeur de bandes dessinées, en plus de sa maison de vente d’originaux de BD : https://www.danielmaghen-editions.com/collection/bande-dessinee

    en réponse à : Autres BD sur les Vikings Lien | Citer
    Vikings dans la brume

    Parution chez Dargaud d’une nouvelle série humoristique : Vikings dans la brume.

    Elle me fait penser à Hägar Dünor !   

    « Vikings Dans La brume » raconte les aventures burlesques de Vikings partis en mer pour accomplir une forme de routine : raids, pillages, meurtres et ripailles !

    « Vikings Dans La brume » raconte aussi et surtout, l’histoire d’un monde qui bascule. Nos Vikings sont confrontés à l’évolution rapide du monde chrétien, qui se structure, se répand, et complique considérablement le bon déroulement des pillages. À la tête de sa bande de redoutables guerriers, le chef Reidolf est bien obligé de constater que ce mode de vie basé sur la prédation vit ses derniers instants… Mais comment changer quand on a toujours vécu ainsi ? Comment sortir de la brume… ?

    Source : Dargaud

    en réponse à : Gaston Lagaffe Lien | Citer
    Retour de Gaston dans le journal de Spirou

    Je suis vraiment de l’avis d’Isis. Gaston n’est pas un super héros à l’américaine, ou un personnage de manga qui pourrait être conçu et dessiné par des milliers d’auteurs. Comme on le voit bien avec Thorgal, il y a le travail créatif du scénariste, et celui du dessinateur, et la reprise en est compliquée. Franquin était scénariste et dessinateur, ce qui est encore plus difficile pour un repreneur, surtout au vu de son talent incroyable. 

    J’achète très rarement les reprises des héros de BD (Astérix, Lucky Luke, les Schtroumpfs, Spirou…, même si souvent je les feuillette par curiosité. Je ferai la même chose pour Gaston, sauf si le coup de foudre arrive. Le journal de Spirou annonce le retour de Gaston dès la semaine prochaine. Cette vignette dessinée par Delaf est quand même très franquinienne !   

     

    J’ai bien aimé la série Les Nombrils dessinée par Delaf. Dans ce dessin hommage pour les 60 ans de Gaston, il avait fusionné les personnages des deux séries de manière brillante !   

    en réponse à : Van Hamme – Dans la presse et les médias Lien | Citer
    JVH dans le Casemate 151 de novembre 2021

    Jean Van Hamme a accordé un entretien à Casemate lors de la sortie du Dernier Espadon de Blake et Mortimer. Vous pouvez le retrouver ICI dans sa version intégrale.

    Dans Casemate 151, Jean Van Hamme raconte les dessous du Dernier Espadon, sa quatrième contribution à l’univers de Blake et Mortimer. Lui restait à préciser quelques détails sur la suite du Rayon U annoncée, un petit accroc à la chronologie à justifier, une anecdote sur sa vie de vendeur de produit antirouille pourri. Et un commentaire désabusé sur l’avalanche de bios et récits vécus qui envahissent la BD. Ce qui chagrine fort le père de XIII, Thorgal, et autre Largo Winch, grand prêtre d’un imaginaire à la portion de plus en plus congrue dans la bande dessinée franco-belge.

    Le Dernier Espadon est parsemé de clins d’œil, de décors bien connus…

    Jean Van Hamme : J’ai relu Le Secret de l’Espadon pour avoir bien en tête les décors caractéristiques que je voulais voir reproduits dans mon histoire. Et lu évidemment les deux tomes de La Vallée des Immortels, le diptyque imaginé par Yves Sente, puisque j’allais travailler pour la première fois avec les deux dessinateurs néerlandais qui se partagent les planches. Quand je change de dessinateur, je lis toujours un ou deux de ses albums précédents pour m’imprégner de la manière dont il organise ses dessins, de sa façon de découper les planches.

    Le lecteur sait tout de suite qui est Olrik. N’est-ce pas se priver d’une surprise ?

    Oui, mais je joue avec le lecteur, lorsque le colonel est démasqué, je commente d’un « à la grande surprise du lecteur »…

    C’est un jeu entre lui et vous, comme vous l’avez souvent dit pour XIII ?

    Pas au départ de l’histoire de mon amnésique. Mais ça l’était très vite devenu. Le jeu consistait à faire croire que la vérité est là, puis à démontrer d’une manière que j’espère imparable qu’elle est ailleurs. Lorsqu’au cinéma, vous vous apercevez que ce que vous imaginez est faux, que le scénariste vous a eu, cela doit vous faire plaisir, non ? Moi, à chaque fois, je dis chapeau. Côté surprise, je suis assez content de la manière dont Mortimer, Olrik et Nasir s’évadent. Trouver du nouveau dans ce domaine – loin du gag du gars qui dit avoir mal au ventre et assomme le geôlier inquiet qui entre – est ce qu’il y a de pire pour un scénariste.

    Pourquoi montrer un Blake sombre, très sombre ?

    Logique. Un gosse l’accuse d’être responsable de la mort de son père. Et c’est vrai. Je voulais faire un peu réfléchir aux héros à la James Bond. Diriger un service de renseignement ou de contre-espionnage veut dire envoyer forcément des agents à la mort et en provoquer d’autres. Je tenais à montrer cela, et un Blake qui en est pleinement conscient. Lui et Mortimer ont toujours le même âge et n’ont jamais changé de métier. Mais on peut creuser ces personnages. On n’a jamais beaucoup parlé de Blake. C’est pour cette raison, pour le mettre en lumière, que j’ai écrit L’Affaire Francis Blake, mon premier titre dans la série, où j’ai vraiment exploité son métier.

    N’y a-t-il pas une certaine incohérence au niveau des dates ?

    Oui, j’en suis parfaitement conscient, Yves Sente m’en a fait la remarque. Sa Vallée des Immortels se déroule entre septembre 1949 et mars 1950. Et je situe Le Dernier Espadon en janvier 1948.

    Ce qui ne colle pas puisque l’histoire se déroule après, votre Nasir évoquant d’ailleurs leurs « mésaventures chinoises » !

    Exact. Mais qui sait aujourd’hui que Le Secret de l’Espadon se déroule entre 1946 et 1949 ? Tout le monde s’en fiche ! Jacobs n’a jamais précisé aucune date, pas plus dans l’Espadon que dans Le Secret de la Grande Pyramide. J’avais besoin de situer mon histoire en janvier 1948, à cause de l’indépendance du Pakistan. Et c’est, me semble-t-il, la seule date précisée dans l’ensemble des albums. Yves Sente inclut parfois des personnages réels, comme les Beatles, sans les nommer, dans La Machination Voronov. J’évite soigneusement.

    Et vous aimez les fausses pistes, ainsi quand un nazi évoque le 23 mars…

    … il s’agit effectivement d’une date importante dans la carrière d’Hitler, mais cela je ne l’ai appris qu’après ! Le choix de cette date répond à une tout autre motivation. C’est une coïncidence et non pas une fausse piste.

    Au club de Blake, les deux amis carburent au saint-émilion 1937. Minimum 1000 euros sur le Net. Connaissant votre souci d’exactitude, l’avez-vous goûté ?

    Non, n’étant pas du tout connaisseur en vins, j’ai choisi un nom que tout le monde connaît et indiqué une année au hasard. Mais, c’est vrai, j’aurais pu poser la question à un œnologue parisien qui fait partie de notre famille.

    Dans Casemate 151, vous évoquez une reprise du Rayon U, première histoire de Jacobs. Va-t-on enfin savoir en quoi il consiste exactement ?

    Je n’ai pas écrit une reprise, mais une suite. Désolé, je n’ai aucune explication sur ce qu’est le rayon U. J’imagine très bien Jacobs, en 1943, pressé de pondre cette histoire, sans trop se soucier de cohérence ou de quoi que ce soit d’autre. On voit juste, sur la première planche, le professeur Marduk brandir devant Sylvia, sa collaboratrice, une sorte de double ampoule rayonnant d’une lumière jaune. Plus kitsch tu meurs. C’est vraiment très drôle. L’album fera 43 planches, comme l’album de Jacobs. Je me suis beaucoup, beaucoup, beaucoup amusé à l’écrire, je crois que le dessinateur s’amuse aussi, tout le monde s’amuse. C’est l’essentiel. L’association Les Amis de Jacobs a reproduit mon synopsis dans leur magazine. Je trouve très attachant leur mélange de naïveté et d’amour pour Jacobs. Leur association, à Angoulême, parvient tous les trois mois à remplir un magazine. C’est émouvant. Jacobs n’a jamais connu autant d’honneurs, d’hommages de son vivant.

    Finalement, avez-vous connu des échecs professionnels ?

    Je garde un souvenir mitigé d’une boîte américaine pour laquelle j’ai travaillé trois ans avant de rentrer chez Philips, à la fin des années 60. Je devais vendre un produit antirouille destiné aux coques de navires. Malheureusement, il était d’une nullité totale. Je me souviens d’un banc d’essai. On mettait un bâtiment à sec et chaque produit en concurrence était étalé sur toute une bande de la coque. Remise à l’eau et verdict six mois plus tard. Et là, le seul endroit incrusté de coquillages était celui recouvert de mon produit. Quand j’en ai eu assez de me faire engueuler, envie d’être plus heureux au boulot, j’ai démissionné et suis entré chez Philips en répondant à une petite annonce.

    Sans la BD, vous auriez pu finir PDG de Philips !

    Grâce à ce groupe, j’ai voyagé pendant cinq ans sur tous les continents, ce qui me plaisait bien. Mais, quand on m’a nommé directeur des appareils ménagers à Bruxelles, je me suis demandé où j’allais. Devenir président-directeur général de Philips Belgique. Et alors ? Je ferais partie du Rotary et autres machins, et à 65 ans on me dirait merci. Non. J’avais vraiment envie de raconter des histoires. Fils unique, orphelin de mère, mon père m’avait installé dans une école à six kilomètres de chez nous. Donc, n’ayant pas de copains près de chez moi, je lisais des romans genre Fenimore Cooper. Et je rêvais, moi aussi, de raconter des histoires. Un beau jour, j’ai commencé. Par des nouvelles. Et cela à la grande surprise de mes deux secrétaires !

    J’ai d’abord essayé le roman, en sortant onze pour un total de 80 000 exemplaires. Certains à 900 ex. seulement. Difficile d’en vivre. Et puis, un jour, Grzegorz Rosinski m’a amené à la bande dessinée. Et nous avons lancé Thorgal. Dans la vie, des occasions se présentent toujours. Le tout est de saisir celles qui doivent être saisies et de ne pas aller dans une mauvaise direction. Nos vies sont faites ainsi, parfois on choisit bien, parfois on choisit mal.

    Aucun éditeur ne vous a-t-il proposé d’adapter en BD votre pièce de théâtre jamais montée ?

    Non. Et c’est logique. Trop années 50, pas assez incisive. On s’y renvoie la balle d’une manière terriblement classique. Tout le monde est coupable potentiel, comme dans un Agatha Christie. Je comprends très bien qu’on n’ait pas envie de monter ce genre de pièces vieillottes. Même si, à la limite, ça pourrait être sympathique à regarder.

    Quelle leçon tirez-vous de Kivu, dessiné par Christophe Simon (dossier dans Casemate 117) ?

    40 000 exemplaires vendus. Ça a marché gentiment, je ne m’attendais pas à un miracle. Le public belge était davantage concerné que le français, à qui le Kivu, cette ancienne province de la République démocratique du Congo, ex-Congo belge, ne dit pas grand-chose. Mais nous avons eu de la chance : en 2018, peu après la sortie de l’album au Lombard, le médecin-chef de l’hôpital de Kivu qui accueille les femmes violées, Denis Mukwege, a reçu le prix Nobel de la paix. Résultat, je n’ai eu jamais autant de presse sur un de mes albums !

    Que pensez-vous du troisième Largo Winch sans vous qui sort début novembre ?

    Yves Sente m’envoie les synopsis de XIII. Philippe Francq, non. Je serais ravi de lire le bouquin. Et j’espère être agréablement surpris. J’aime autant que Largo marche. Non pas parce que je touche un pourcentage dessus, je peux vivre sans. Simplement, je trouverais dommage qu’un personnage que j’ai créé dégringole.

    Vous qui en avez tant vendu, lisez-vous de la BD ?

    Mon épouse me dit parfois que si je sortais aujourd’hui des personnages à la XIII, peut-être ne marcheraient-ils pas du tout. Elle a probablement raison. Prenez les derniers numéros de Casemate, une grande partie des albums traités sont des biographies ou des histoires vécues. Où est l’imagination dans tout cela ? Non, je ne lis plus de BD depuis des années. En revanche, j’ai une énorme bibliothèque et l’envie de me replonger dans des tas de bouquins.

    Propos recueillis par Jean-Pierre FUÉRI et Frédéric VIDAL

    Supplément de Casemate n°151 – novembre 2021.

    Source : Casemate

    en réponse à : Thorgal a (40 ans) 45 ans ! Lien | Citer

    Il est chouette ce nouveau bandeau en page d’accueil !    Bon annif Thorgal   

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Dessins originaux de Thorgal à la Galerie Daniel Maghen (suite)

    Comme dit dans le message précédent, la Galerie Daniel Maghen vend actuellement 75 planches et dessins originaux de Thorgal réalisés par Grzegorz Rosinski. Voici à présent certaines illustrations qu’on peut y retrouver.

    Illustration – 12 000 €

    Illustration – 10 000 €

    Illustration – 10 000 €

    Illustration – 8000 €

    Peinture originale réalisée à l’occasion d’une campagne pour Amnesty International en 2004 – 8000 €

    Illustration originale parue dans le journal Tintin – 23 000 €

    Planche originale inédite réalisée pour un jeu vidéo – 14 000 €

    Planche originale inédite réalisée pour un jeu vidéo – 14 000 €

    Source : Galerie Daniel Maghen

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Planches originales de Thorgal à la Galerie Daniel Maghen

    La Galerie Daniel Maghen vend actuellement 75 planches et dessins originaux de Thorgal réalisés par Grzegorz Rosinski. Impossible de tout présenter ci-dessous, mais vous pouvez les retrouver ICI.

    Planche de l’album La Magicienne trahie – 22 000 €

    Planche de l’album La Magicienne trahie – 15 000 €

    Planche de l’album Les trois Vieillards du pays d’Aran – 20 000 €

    Planche de l’album La chute de Brek Zarith – 20 000 €

    Planche de l’album La chute de Brek Zarith – 25 000 €

    Planche de l’album Entre terre et lumière – 17 000 €

    Planche de l’album L’Epée-Soleil – 16 000 €

    Planche de l’album Le Mal bleu – 12 000 €

    Planche de l’album Le sacrifice – 20 000 €

    Planche de l’album Le Bateau-sabre – 19 000 €

    Source : Galerie Daniel Maghen

    en réponse à : Gaston Lagaffe Lien | Citer
    Le retour de Gaston dans la presse

    J’ai lu par ci par là ce qui se dit sur le retour de Gaston. Voici quelques extraits choisis :

    Sur le site officiel de Gaston Lagaffe :

    Dès le mercredi 6 avril, vous pourrez lire un gag chaque semaine dans le journal Spirou, là où Gaston fit ses premiers pas (bleus) il y a très exactement soixante-cinq ans.

    Parce que trente ans ont passé depuis la parution du dernier gag (c’était en 1992), il nous a semblé que le monde avait grand besoin de Gaston.

    Gaston Lagaffe rend le monde meilleur, parce que plus drôle qu’il ne l’est réellement ! Ce héros sans emploi est porteur de valeurs positives : humanisme, écologie, inventivité, créativité et, bien qu’on le traite de paresseux, fainéant et bon-à-rien, il démontre à l’envi sa capacité d’invention et son énergie dans la fantaisie et la poésie.

    Mais pour que Gaston puisse encore une fois brûler les planches de la bande dessinée, il nous fallait trouver un auteur capable de faire œuvre de création, en toute humilité, et dans la continuité de la série d’albums signés Franquin. Nous avons confié à Marc Delafontaine (Delaf), le co-créateur de la série à succès Les Nombrils, la mission de créer ces nouveaux gags et un nouvel album de Gaston. Par son amour de la série, son talent de gagman et son perfectionnisme respectueux du maître Franquin, le choix de Delaf était une évidence.

    Marc s’est plongé avec passion dans le travail du créateur de Gaston, étudiant toutes les périodes, scrutant les coups de pinceau, les traits d’encre de Chine, s’imprégnant de sa philosophie de travail en lisant toutes les interviews que Franquin avait pu donner dans sa riche carrière.

    Le nouvel album, intitulé « Le Retour de Lagaffe », paraîtra le 19 octobre 2022.

     

    Sur ActuaBD :

    Après l’arrivée du label manga Vega chez Dupuis, puis l’annonce de la reprise de Spirou et Fantasio par Olivier Schwartz, Sophie Guerrive & Benjamin Abitan, Stéphane Beaujean marque donc le coup deux ans après son arrivée à la direction éditoriale de Dupuis. Et pour cet ancien directeur artistique du FIBD, quoi de plus normal de faire cette annonce à Angoulême.

    Gaston Lagaffe est l’un des personnages iconiques de la bande dessinée franco-belge. Créé par Franquin en 1957, le héros-sans-emploi colle tellement à son créateur, tant au niveau du style graphique que de l’atmosphère et la personnalité, que reprendre cet univers s’avère un véritable défi. On se rappelle la création en 2011 du petit neveu de Gaston, Gastoon, qui n’avait pas du tout convaincu les lecteurs.

    Reste que Marc Delaf, qui signe donc cette reprise, n’est pas le premier venu ! Avec Maryse Dubuc, ils ont réalisé la série des Nombrils depuis 2005, qui s’est très rapidement imposée comme l’une des nouvelles valeurs fortes de Dupuis.

    De plus, Marc Delaf s’était déjà immiscé dans l’univers de Gaston. En 2010, Frédéric Niffle, alors rédacteur en chef du Journal Spirou, lui avait demandé de dessiner la couverture d’un numéro consacré au héros de Franquin. En 2017, il a réalisé un gag de Gaston que vous pouvez retrouver ci-dessous, et qui a été intégré dans l’album « La galerie des gaffes – 60 auteurs rendent hommage à Gaston Lagaffe », album qui profitait d’une couverture signée… Marc Delaf !

    Tous ces signes légitiment le choix de confier cette reprise de Gaston à l’auteur canadien. Mais tous les feux ne sont pas au vert, Isabelle Franquin, fille et ayant-droit de l’auteur, n’approuverait pas cette initiative éditoriale. Les lecteurs seront-ils de son avis ? Verdict en octobre 2022, à la sortie de l’album.

     

    Dans Le Figaro

    La reprise de la série de cet antihéros emblématique a été confiée au Canadien Delaf et paraîtra le 19 octobre aux éditions Dupuis.

    Le personnage de Gaston Lagaffe va faire son retour après 30 ans d’absence et la disparition de son créateur Franquin, ont annoncé les éditions Dupuis. L’éditeur belge de bande dessinée, qui fête ses 100 ans, a confié la série au Canadien Delaf (Marc Delafontaine de son vrai nom).

    Le Retour de Lagaffe, album au format classique de 48 pages, doit paraître le 19 octobre, avec un tirage à la hauteur de la notoriété de cet antihéros, doux idéaliste, paresseux et inventif: 1,2 million d’exemplaires. «C’est une prise de risque. Quitte à relancer la série, nous nous sommes dit qu’il ne servait à rien de le faire petit bras. Parce que c’est l’un des personnages les plus emblématiques de la BD franco-belge», a expliqué à l’AFP le directeur éditorial de Dupuis, Stéphane Beaujean. «Peu s’attendaient à ce qu’il revienne. Mais, pour lui, c’était le moment: si nous ne l’avions pas fait, il n’avait plus beaucoup d’années de notoriété devant lui, parce que la plupart des héros de BD qui ne trouvent pas de suite disparaissent tout simplement», a-t-il ajouté.

    Des personnages de légende comme Astérix, Lucky Luke ou encore plus récemment Corto Maltese, relancé par les éditions Casterman en 2021, ont vécu une renaissance après la mort de leur créateur. Dans le cas de Gaston Lagaffe, le choix de Delaf s’est imposé après la parution en 2017 d’un hommage à André Franquin, La Galerie des gaffes, où la planche dessinée par le Québécois avait frappé les lecteurs par le mimétisme avec l’œuvre du dessinateur belge (1924-1997). «Cet hommage de Delaf imitait à la perfection Franquin, tout le monde l’a dit. C’est donc le retour de Gaston dans son caractère canonique, au plus près de la version originale», a souligné Stéphane Beaujean.

    en réponse à : Gaston Lagaffe Lien | Citer

    Pour moi, Gaston c’est comme Tintin, une bande dessinée iconique à laquelle on ne touche pas ! Ces deux héros sont inscrits dans une tranche du XXème siècle qui a duré plusieurs décennies, ce sont des témoignages historiques de leur époque. Tous deux ont été scénarisés et dessinés par des auteurs exceptionnels qui ont engendré une génération d’auteurs à leur suite.

    Je comprends la volonté des éditions Dupuis de ne pas laisser sombrer doucement dans l’oubli Gaston et sa génération de lecteurs. Mais comment relancer une BD tellement ancrée dans son temps ? Ce que fait Delaf dans cette première planche est particulièrement respectueux de l’auteur. Tout comme pour la couverture de l’album, il a situé Gaston dans sa meilleure période, les années ’70.

    Mais déjà, je vois malgré moi ces petits défauts qui font de son travail une copie différente de l’original. Le dessin de la couverture est trop propre, il manque de nervosité, de profondeur, de gribouillis comme dit Hirondl. Même les couleurs sont trop nettes. En parlant de couleurs, celles des murs de la rédaction sont d’un bleu qui ne correspond pas. Ou alors ce sont celles de la version recolorisée de Gaston par Fred Jannin que je n’ai jamais achetée.

    Quand au gag, il fait évidemment penser aux rails accrochés aux plafonds des couloirs de toute la rédaction pour se déplacer plus rapidement sur des sièges suspendus. Le téléphone est bien d’époque, mais ce qui est surprenant, c’est la référence à l’iPhone. Est-ce que l’auteur va jongler dans ses dialogues avec le passé et le présent pour en tirer régulièrement des gags ? Y verra-t-on aussi un jeu de mots sur le Covid 19 ?   

    La dynamique du retour en arrière du téléphone est très réussie. Il y a juste la copine de Lebrac qui ressemble plutôt à Karine dans Les Nombrils, physiquement mais aussi dans la manière de fuir le désastre à toutes jambes. Et je trouve l’attitude de Prunelle inhabituelle dans la dernière case au vu du massacre. Il n’a cette attitude stoïque que quand c’est Gaston qui finit mal à la fin d’un gag. Mais bon, c’était le seul moyen de placer le jeu de mots final.

    Vais-je acheter ce nouvel album ? Je n’ai jamais acheté les reprises d’une série – à part Thorgal – car je trouve toujours la copie moins bonne que l’original – même dans Thorgal. Alors est-ce que je vais quand même le faire pour Gaston, l’idole de ma jeunesse ? Il me reste pile 7 mois pour me décider.   

    en réponse à : Tony Stark – Scénario Van Hamme inédit ! Lien | Citer
    Tony Stark sur BD Zoom

    Gilles Ratier, le rédacteur en chef de BD Zoom (c’est lui qui a publié pendant 16 ans le rapport annuel sur la BD pour l’ACBD dont il était le secrétaire général), est l’auteur du dossier biographique qui accompagnera la publication de l’intégrale Tony Stark. Il a publié un article présentant cette édition spéciale ici sur BD Zoom.

    Une intégrale « Tony Stark » chez BD Must !

    Non, non, on ne vous parle pas de la véritable identité du super-héros Iron Man, mais d’une excellente série écologique avant l’heure, franco-belge (même si elle a été créée, à l’origine pour un magazine allemand), dessinée par Édouard Aidans — qui fut l’un des piliers du journal Tintin — et dont la plupart des épisodes (dont deux sont quasiment entièrement inédits en français) ont été écrits anonymement par un Jean Van Hamme qui n’était pas encore le célèbre scénariste que l’on connaît aujourd’hui : alléchant, n’est-ce pas ?

    À quelques jours de la clôture de la campagne de financement sur Ulule des deux tomes de l’intégrale « Tony Stark » (dont les couvertures sont provisoires ; voir https://fr.ulule.com/collection-tony-stark), les éditions BD Must viennent d’annoncer que, dans le cadre de la bonne dynamique de ce projet prévu éditorialement pour septembre 2022, elles offriront à tous les souscripteurs un dossier biographique sur la série, si les 300 % sont atteints.

    Cet opus broché illustré de 16 pages — qui sera réalisé par un chroniqueur bien connu de nos fidèles internautes — aura un tirage limité à 300 exemplaires numérotés. Alors ? Vous hésitez encore ?

    Rappelons que « Tony Stark » est une bande dessinée d’aventure à rebondissements qui se déroule la plupart du temps dans de grands espaces où la nature est toujours vierge, car la série aborde le thème de l’écologie et de la sauvegarde des animaux.

    L’intrépide héros est un écrivain qui parcourt la planète, afin de conserver leur authenticité aux régions sauvages, luttant contre ceux qui cherchent, par pur profit, à souiller l’environnement et détruire les espèces en voie de disparition.

    Dessiné par Édouard Aidans, notamment créateur des séries à succès « Les Franval » et « Tounga » dans Tintin, le premier épisode (« Une valise en enfer ») est proposé à partir de 1975 dans Zack — un magazine BD allemand publié par les éditions Koralle de Hambourg —, sur scénario non signé d’un certain Jean-Charles Francotte.

    Deux ans plus tard, souhaitant se consacrer à l’illustration de « Tony Stark » (secondé par quelques-unes des talentueuses petites mains de son studio, notamment Claude Laverdure), le dessinateur propose à un jeune scénariste prometteur du nom de Jean Van Hamme de prendre la suite de l’écriture, mais en le payant au black, Aidans s’attribuant textes et dessins de la série.

    Précisons que Van Hamme semblait alors prédestiné à jouer les bouche-trous à Tintin sur « Corentin », « Magellan », « Michael Logan » ou « Domino » et venait juste d’avoir un début de reconnaissance avec le one-shot « Histoire sans héros » : il n’avait donc pas encore publié « Thorgal ».

    C’est ainsi que, sans que son patronyme soit mentionné, le futur créateur de « XIII » et de « Largo Winch » en BD, s’attelle au deuxième épisode (« Le Prisonnier du ciel »), en 1977.

    Suivront ensuite six autres aventures de Tony Stark, toujours proposées dans Zack ou dans le petit format Zack Parade (copie conforme de Tintin sélection), dont deux sont quasiment totalement inédites pour les lecteurs francophones : « Le Tribunal des loups » et « Les Diamants de monsieur D. » qui, lui, n’est pas écrit par Van Hamme, mais par un autre auteur inconnu qui se serait appelé Tilmanne.

    En France et en Belgique, il faudra attendre 1979 pour découvrir « Tony Stark » dans l’hebdomadaire Super As ou Super J (son équivalent vendu par courtage) : trois albums seront édités par Fleurus/EDI-3 en 1979 et 1980 — dont un sera réédité chez Artège en 2015 —, trois autres par Hachette en 1981 et 1982.

    Ils sont, pour la plupart, épuisés depuis longtemps : une raison de plus pour se ruer sur cette véritable intégrale, en deux volumes, non ?

    Gilles Ratier

    Source : BD Zoom

    • Ce sujet a été modifié le il y a 3 ans et 3 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Tony Stark – Scénario Van Hamme inédit ! Lien | Citer

    Edouard Aidans était un auteur bien présent dans le journal Tintin de mon enfance. Outre Tounga et Les Franval, j’ai apprécié à l’époque une série qu’il a dessinée sur un scénario de Greg, trop brève à mon gout : Les Panthères. Je possède toujours le tome 1 à couverture souple de cette série. Aidans savait dessiner les jolies filles, j’en garde de très beaux souvenirs.    J’ai d’ailleurs repensé aux Panthères quand la série des Drôles de Dames est arrivée par la suite en télé. 

    • Ce sujet a été modifié le il y a 3 ans et 3 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    FIBD Angoulême du 17 au 20 mars

    Fred Vignaux sera présent à Angoulême durant les 4 jours du festival !   

    Voici ses horaires de dédicaces sur le stand du Lombard :

    • jeudi 17 mars de 17h à 19h
    • vendredi 18 mars de 17h à 19h
    • samedi 19 mars de 18h à 20h
    • dimanche 20 mars de 14h à 16h

    Le programme complet du Lombard est en ligne : 

    https://www.lelombard.com/uploads/files/Dedicaces-Lombard-Angouleme-2022.pdf

    en réponse à : Largo Winch – Esquisses et croquis Lien | Citer
    Rencontre avec Philippe Francq

    Philippe Francq présente dans cette vidéo l’exposition des 30 ans de Largo. On y découvre une partie des crayonnés qu’on retrouve dans l’album « Esquisses et croquis ».

    en réponse à : Largo Winch – Esquisses et croquis Lien | Citer
    Exposition chez Huberty & Breyne

    Il est toujours possible de visiter de manière virtuelle l’exposition qui s’est tenue dans la galerie d’Huberty & Breyne en suivant ce lien : https://hubertybreyne.com/fr/expositions/presentation/458/largo-winch-30-ans-deja

    Voici quelques-uns des crayonnés réalisés à la mine de plomb par Philippe Francq.

    en réponse à : Van Hamme – La fortune des Winczlav Lien | Citer
    Tome 2 – Tom & Lisa 1910

    ActuaBD annonce la sortie du tome 2 de « La fortune des Winczlav » pour le 6 mai prochain. 

    La Fortune des Winczlav, c’est la trilogie, à travers trois générations, qui révèle comment s’est bâtie la fortune dont Largo Winch est devenu l’héritier. Récit épique où on suit les ancêtres de Nerio Winch, le père adoptif de Largo Winch, qui lui a légué un immense empire financier. Et quelques ennuis.

    Ce prequel aux aventures du milliardaire Largo Winch, a signé le retour à la barre du scénariste Jean Van Hamme de sa série culte, qu’il avait abandonnée pour diverses raisons. Mais l’esprit du grand large, celui de l’aventure, le chatouillait.

    Alors aussitôt, il imagine une grande saga familiale posée sur trois générations pour autant de tomes, qui se penche sur les attaches familiales et les origines de la fortune de la famille Winch.

    Comme tout va vite, voilà déjà le second volet qui, comme le premier, va explorer quelques périodes parmi les plus troublées de l’Histoire moderne.

    Un album titré La Fortune des Winczlav-Tom et Lisa 1910, à paraître le 6 mai 2022, chez Dupuis. On s’en réjouit d’avance.

    Dessiné, toujours, par Philippe Berthet, assisté pour les décors et la recherche d’une documentation que l’on devine conséquente, par Dominique David. Par ailleurs excellente coloriste, souvent pour Berthet, mais qui cette fois laisse cette importante mission qui doit asseoir ambiance, dynamique et lisibilité à Meephe Versaevel.

    En voici le résumé : « Oklahoma, 1910. La vie de Thomas Winczlav, fils de Milan, prend un tournant radical lorsqu’il se découvre héritier des richissimes Whiskies O’Casey, qu’il va devoir partager avec sa sœur jumelle, Lisa…

    Alors que la Première Guerre mondiale éclate, Thomas, parfois crédule et souvent volage, va tenter de faire fructifier son affaire, adoptant le nom de « Winch ». Pendant ce temps, Lisa, femme libre passionnée d’aviation, va se tailler sa place dans un ciel de guerre dominé par un certain Baron rouge…

    À travers les destins croisés d’une sœur et d’un frère que tout oppose, La Fortune des Winczlav s’impose comme une saga familiale à la puissance totale, explorant une des périodes les plus troublées de l’Histoire moderne et composant des portraits d’hommes et de femmes aussi marquants qu’un certain Largo… Bon sang ne saurait mentir !« 

    Source : ActuaBD

    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer
    Regina Obscura

    Illustration de Béatrice pour la couverture de Regina Obscura, le 3ème tome du cycle des Sorcières.

    Source : Twitter d’Yves Schlirf

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