Abonnement newsletter

X
X

S'enregistrer sur ce site

Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

Top

Tjahzi

Toutes mes réponses sur les forums

40 sujets de 3,441 à 3,480 (sur un total de 4,560)
  • Auteur
    Messages
  • en réponse à : Concours Thorgal – 40ème anniversaire Lien | Citer
    Sites de concours

    Oh c’est marrant ça, les sites de concours annoncent que le concours vient de se terminer 2 jours plus tôt que prévu. Tu as réussi à les bloquer ? 

    en réponse à : Rosinski – Expositions et rencontres Lien | Citer
    Dessin en direct de Rosinski

    Cet après-midi, les visiteurs de la fête de la BD à Bruxelles ont pu assister en direct au dessin grand format d’Aaricia, Thorgal et Kriss de Valnor. Voici un extrait en vidéo de ce « Live painting » par Grzegorz Rosinski. 

    Sources : Facebook et Twitter du Lombard

    en réponse à : Thorgal – 36 – Aniel Lien | Citer

    J’en étais sûr ! Même sous le regard réprobateur de Grzegorz, tu n’as pas hésité ! 

    Oui, on dirait que les voyageurs passent par le royaume de Zhar, sans doute avant de rejoindre l’île « Notre Terre » où vivaient Darek et Lehla.

    en réponse à : Concours Thorgal – 40ème anniversaire Lien | Citer

    Tyseria a écrit
    Qui ont joué plusieurs fois ? Comme ceux qui ont modifié leur participation <img src=" />

    Ben non, quand tu modifies, ton choix ne compte qu’une fois, ce sera celui de ta dernière modification. 

    Thorgal-BD a écrit
    Et à part ça, je viens de jeter un œil au classement actuel, aucun des quatre albums en tête ne fait partie de mon top 4… Vous avez des goûts tout pourris, les gens. Ou alors c’est moi.

    Ah mince, j’espère que ces centaines de joueurs ont bien compris qu’on choisissait les affiches de Thorgal à imprimer. Tu imagines s’ils tapent tous au hasard ! 

    en réponse à : Thorgal – 36 – Aniel Lien | Citer
    Autre extrait du storyboard

    Lors de l’exposition Thorgal à la fête de la BD à Bruxelles, Gauthier Van Meerbeeck, le directeur éditorial du Lombard, est heureux de découvrir avec Grzegorz Rosinski de nouvelles pages du storyboard du tome 36.

    La photo de Piotr Rosinski est visible ici sur sa page Facebook. Je suis sûr que Stéph va en faire quelque chose de mieux ! 

    en réponse à : Rosinski – Expositions et rencontres Lien | Citer

    Encore quelques photos de la préparation de l’exposition au Bozar par Piotr Rosinski :

    Camille Monnart, assistante éditoriale, et Diane Rayer, attachée de presse au Lombard

    Piotr et Diane

    Gauthier Van Meerbeeck, Grzegorz Rosinski et Frédéric Niffle

    Ambiance détendue

    Comment est-ce possible que Gauthier ne se rende pas compte que Frédéric le vole ! 

    Voilà pourquoi ! Gauthier était subjugué par de nouvelles pages du storyboard du futur album de Thorgal !

    Source photos : FB de Piotr Rosinski

    en réponse à : Thorgal – 36 – Aniel Lien | Citer

    J’imagine fin 2018, après la sortie du tome 8 de Kriss… je suis impatient de redécouvrir le dessin au trait de Rosinski ! 

    en réponse à : Rosinski – Expositions et rencontres Lien | Citer
    Exposition planches originales Thorgal

    Et pour compléter ce programme, Grzegorz participera aux séances de dédicace le dimanche de 10h30 à 13h (sur réservation). J’aurais aimé jouer au Tintin reporter à Bruxelles, mais je ne serai malheureusement pas disponible ce week-end.  J’espère que l’équipe du Lombard sera sur tous les fronts pour nous ramener des images de cet évènement Thorgal.

    Voici déjà des photos de l’exposition des planches originales de Thorgal, en présence de Grzegorz Rosinski et Gauthier Van Meerbeeck, le directeur éditorial du Lombard.

    Sources photos : Twitter & Facebook du Lombard

    en réponse à : Thorgal – 36 – Aniel Lien | Citer
    Le retour du dessin au trait dans le prochain album de Thorgal

    Le mois dernier, Grzegorz Rosinski a dit
    Si j’avais conservé toujours la même technique, j’aurais eu l’impression de me copier moi-même. Je suis étranger à toute logique. Si une technique me plaît ou si je réussis à bien dessiner avec, ce n’est pour autant que je vais la conserver. D’ailleurs j’ai fait beaucoup trop de peinture ces derniers temps et je vais abandonner. Je suis peut-être allé trop loin. Je vais me libérer et je vais revenir au trait sur les prochains albums.

    (voir l’interview de Grzegorz par F. Forget pour France Info ICI)

    Vous avez lu comme moi la toute dernière phrase de l’interview ?! 

    en réponse à : Concours Thorgal – 40ème anniversaire Lien | Citer
    Modifier le choix

    Pour gagner des bouquins ?   Tu as vraiment survolé l’explication  Si tu étais connecté quand tu as voté, tu peux retourner sur le concours et modifier ton choix. J’ai testé, ça marche. 

    en réponse à : Rosinski dans la presse Lien | Citer
    Interview en juillet sur France Info

    Voilà une interview de Grzegorz que j’avais loupée pendant mes vacances début juillet. Elle concernait la vente de ses œuvres chez Christie’s en juin. Comme d’habitude, Grzegorz répond sans détours aux questions du journaliste. Ses réponses sont intéressantes, mais c’est surtout sa dernière phrase qui m’a donné envie de vous copier cet entretien. Je vais d’ailleurs reprendre cette dernière intervention dans le sujet consacré au prochain album de Thorgal. 

    Ps : Stéph, tu as vu ? Encore ton tee-shirt, cette fois en noir ! 

    Trente deux de vos planches ou illustrations mises sur le marché d’un coup, sur une seule vente, c’est la première fois que ça vous arrive ?

    Grzegorz Rosinski : C’est la première fois que je vends directement mon travail. J’ai enfermé Daniel Maghen trois jours dans ma cave et il a choisi. Moi, je n’ai jamais travaillé pour les galeries. Ma femme n’a pas le même regard sur ma production. Elle a commencé à garder tous mes croquis, mes dessins. Elle a eu raison je crois.

    Raison de quoi ? De garder pour vendre ou de ne pas jeter votre travail ?

    Tout ça n’a jamais été destiné à être vendu. Ce n’était qu’une étape intermédiaire avant l’impression. Il m’est arrivé de faire cadeau d’une planche, d’être reconnaissant en offrant un dessin. Mais mon but n’est pas de vendre des originaux, mon but reste de faire des livres.

    Vendre des originaux est aussi maintenant une source de revenus pour les auteurs, non ?

    Vous savez, je vis convenablement de mes droits d’auteur issus de mes livres. Je préfère être lu par un million de gens qui me payent chacun un euro que de recevoir un million de la vente de mes planches. Le dessin est une passion pour moi. Quand j’ai commencé, j’aurais payé pour faire de la BD. Je n’ai jamais été intéressé par être riche. Jean Van Hamme m’a dit au début que nous serions avec Thorgal riche ou célèbre. On a partagé cette phrase. Il a choisi d’être riche et pour moi c’est la célébrité.

    D’accord, vendre ne vous enthousiasme pas mais il y a quand même ce plaisir d’être exposé avant, d’être vu ?

    Oui, ça me plaît de faire plaisir aux gens et particulièrement à ceux qui ne sont pas du milieu de l’art. Je communique avec le public par l’image, c’est merveilleux. Le langage visuel me passionne depuis ma jeunesse, il me sert à échanger. Une fois, une vieille dame qui avait mon âge est venue me trouver pour me dire qu’elle avait tous mes albums, qu’elle me suivait depuis le début. Ça m’a ému. Transformer un peu la vie des gens, y mettre un peu de couleurs, je trouve ça formidable.

    Et il y a les collectionneurs…

    Ce sont des gens passionnés. Moi aussi un moment, j’ai collectionné les plumes pour l’écriture, la calligraphie. Je comprends ce phénomène même si maintenant je ne collectionne plus rien, j’ai arrêté. Et puis qu’est ce qui est plus rare qu’un objet fait à la main comme un tableau ou un dessin ?

    Cette vente met aussi en lumière toute la variété de vos techniques, pastels, encre de Chine, crayon gras, huile sur toile, aquarelle. Vous avez même utilisé du Coca-Cola ?

    Oui c’est vrai pour La Vengeance du Comte Skarbek. C’est une façon d’explorer pour moi et je n’aime pas me répéter. Si j’avais conservé toujours la même technique, j’aurais eu l’impression de me copier moi-même. Je suis étranger à toute logique. Si une technique me plaît ou si je réussis à bien dessiner avec, ce n’est pour autant que je vais la conserver. D’ailleurs j’ai fait beaucoup trop de peinture ces derniers temps et je vais abandonner. Je suis peut-être allé trop loin. Je vais me libérer et je vais revenir au trait sur les prochains albums.

    F. Forget sur France Info

    en réponse à : Concours Thorgal – 40ème anniversaire Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    L’image marrante n’est pas de moi, mais d’un camarade du Lombard ! La tronche de Kriss, le Golum du Yucatan.

    C’est vrai  Alors c’est pire, ton humour a contaminé l’équipe du Lombard 

    en réponse à : Kriss de Valnor – 7 – La montagne du temps Lien | Citer
    Lancement de Kriss 7

    A la présentation des sorties de fin d’année par Gauthier Van Meerbeeck, on découvre en grand le tome 7 de Kriss de Valnor aux côtés de Tango, une nouvelle série du Lombard.

    Source photo : Instagram du Lombard

    en réponse à : Du côté des éditeurs Lien | Citer
    Gauthier Van Meerbeeck

    Rien à la télé ce soir ? Alors calez-vous bien à l’aise ici devant votre écran pour découvrir Gauthier Van Meerbeeck, le directeur éditorial du Lombard. Son interview dans l’émission L’œil carnivore dure 45 minutes minimum, elle date du 17 juin dernier, et surtout elle est diffusée sur Radio Panik, une radio associative bruxelloise. Ce qui fait que c’est assez amateur pour l’aspect technique, que le visuel n’est pas la priorité, mais ça reste intéressant car Gauthier y partage assez spontanément son point de vue sur son métier. Peut-être que la consommation de Jupiler joue aussi dans l’ambiance détendue de l’émission.   A voir en suivant ce lien, surtout entre 9’45 et 51’25 pour écouter l’interview principale : http://www.oeilcarnivore.com/?p=5060

    en réponse à : Concours Thorgal – 40ème anniversaire Lien | Citer
    Le concours sur Facebook

    Eh, tu nous avais caché la superbe image que tu as choisie pour attirer les participants sur la page Facebook de Thorgal ! 

    Très chouette concours, avec un impact direct sur l’impression des futures affiches Thorgal. Pour ma part, j’ai choisi les couvertures suivantes :

    – tome 7, L’enfant des étoiles. J’ai déjà cette affiche encadrée sur un mur de la maison depuis plus de 20 ans. Je ne m’en lasse pas.

    – tome 9, Les archers. La première rencontre avec Kriss de Valnor, une rencontre décisive.

    – tome 12, La cité du dieu perdu. Mon moment le plus émouvant des aventures de Thorgal.

    – tome 16, Louve. Aaricia pleine de sensualité sur cette couverture, dans un album particulièrement intense.

     

    Tiens Stéph, j’ai trouvé une trace du dernier concours dans l’interface de vote. Il est indiqué « Moment Thorgal » au-dessus des numéros des albums choisis, sauf quand je supprime et revalide mes choix, comme je l’ai fait pour les albums 7 et 9.

    en réponse à : Largo Winch – 21 – L'étoile du matin Lien | Citer
    La planche 47 qui restera inédite

    Le Figaro dévoile une planche inédite de Largo Winch. Elle porte le numéro 47, et se situe entre les albums Vingt secondes et L’Etoile du matin. Voici ce qu’en dit Philippe Francq sur le site du Figaro.

    Une planche inédite que l’on ne retrouvera dans aucun album de la série

    Aussi étonnant que cela puisse paraître, cette planche numérotée «planche 47», on ne la retrouvera dans aucun album de la série officielle. Ces neuf cases inédites, qui racontent une nouvelle histoire, peuvent être lues indépendamment des deux albums.

    «C’est un cadeau pour Le Figaro, lance Philippe Francq avec un sourire entendu. En réalité, cette planche me démangeait depuis longtemps. En dessinant l’album Vingt secondes, j’ai fini l’album avec un petit goût d’inachevé. À la fin de l’aventure, Largo Winch se fâche très fort contre son ami Simon Ovronaz. Quant au personnage de Domenica, qui est également important dans toute la série, finalement, elle s’envole de Londres sans dire adieu à Largo. Cette page a été pour moi, l’occasion de rattraper les choses.»

    Non seulement, le lecteur va comprendre qu’entre Largo et Simon, la brouille n’est que temporaire, mais il a également la joie de voir débarquer par surprise Domenica qui a rebroussé chemin pour dire au revoir à Largo. Cette page 47 ne laisse donc aucun contentieux entre Largo et les personnages récurrents de la série.

    «L’autre élément important de cette planche inédite, poursuit Philippe Francq, c’était pour moi l’envie de mettre en route immédiatement l’enquête concernant la nouvelle aventure de Largo. C’est ainsi que l’on fait connaissance avec un enquêteur privé, ex-agent de renseignement dans un bar d’hôtel. Pour l’anecdote, raconte Francq, ce bar d’hôtel existe vraiment. Il s’agit du Cristal Bar de l’hôtel Sofitel, situé avenue de la Toison d’or à Bruxelles. L’endroit est charmant, chaleureux et cosy, au premier étage, et tout à fait discret.»

    Surtout, cette planche possède un avantage, dont Philippe Francq est assez fier: «Dans l’album Vingt secondes, Largo Winch n’a pas vraiment l’occasion de se réjouir. Avec cet épilogue, j’avais enfin l’occasion de lui tirer un sourire!»

    • Ce sujet a été modifié le il y a 8 ans et 2 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Galerie des visiteurs Lien | Citer
    Gâteau d'anniversaire

    J’ai découvert ce gâteau Thorgal chez Vanessa, cake designer. Ce gâteau est également un hommage à la Complainte des Landes perdues. Je suppose que les vignettes de BD sont comestibles. Par contre, Thorgal tire une drôle de tête… il n’a peut-être pas envie de se faire manger ? 

    en réponse à : Slive la mystérieuse Lien | Citer
    Le retour de Slive

    Slive la mystérieuse, la prisonnière de la tour basse, la magicienne trahie, la reine des mers gelées. Ce personnage garde une grande part de mystère, qui sera en partie dévoilé lors de la sortie de l’album « Slive » en octobre prochain.

    Mais que savons-nous déjà d’elle ?

    Slive se fait appeler la reine des mers gelées. En effet, elle vient d’une île du grand nord où s’est échoué le vaisseau des Atlantes. Elle pense être une des dernières représentantes de cette civilisation, car une mystérieuse maladie a décimé toute la colonie.

    Il est difficile de connaître son âge réel. Elle dit que cela fait 120 ans que le vaisseau s’est échoué sur terre, mais alors Xargos aurait vécu plus de 2 siècles ! Plusieurs générations se sont succédé pour réparer le vaisseau endommagé, mais sans succès.

    Afin de perpétuer sa race, Slive est partie à la recherche de Thorgal pour l’unir à sa fille. Comment a-t-elle appris l’existence de Thorgal ? Mystère… Malheureusement pour elle, Slive a été capturée par Gandalf-le-fou.

    Il a fait enfermer Slive dans la tour basse, où elle est restée prisonnière pendant 9 ans. Durant tout ce temps, il l’a harcelée pour qu’ils se marient, mais elle a toujours refusé. Elle a survécu grâce à l’aide de son loup Sharn qui lui a apporté à manger en cachette.

    Par ce mariage, Gandalf voulait mettre la main sur les richesses de l’île des mers gelées. Tout ce qu’il en savait, c’est que le drakkar de glace emportait régulièrement des esclaves pour y exploiter des mines souterraines.

    La dixième année de sa détention, Slive a réussi à s’évader de la tour basse. C’est à ce moment-là qu’elle a perdu son œil. Elle a par la suite libéré Thorgal en le détachant de l’anneau des sacrifiés, à condition qu’il se mette à son service durant un an.

    Par vengeance, Slive a demandé à Thorgal de tuer Gandalf, mais il a refusé. Elle est alors repartie sur son île avec son drakkar de glace, exactement 10 ans après sa capture. Mais elle n’a pas oublié pour autant son projet.

    Le jour où Thorgal devait se marier avec Aaricia, celle-ci est enlevée et emmenée vers l’île des mers gelées. Slive voulait ainsi forcer Thorgal à la rejoindre. La descendance tant espérée n’existera pourtant pas, car la fille de Slive est tuée par le frère d’Aaricia.

    Après avoir tout expliqué à Thorgal, Slive s’est alors retirée dans son vaisseau avant qu’il ne disparaisse sous la glace…

     

    La fiche de présentation de Slive figure dans l’encyclopédie des personnages :

    http://www.thorgal.com/personnages/slive-la-magicienne/

     

    en réponse à : La licence Thorgal avec Mediatoon Licensing Lien | Citer

    Par quel objet raisonnable est-ce qu’on pourrait bien commencer dans une maison d’édition… des crayons et des gommes Thorgal ? 

    en réponse à : Thorgal – Intégrale N&B Niffle Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Et le dessin s’est retrouvé amputé d’une bonne partie de ses détails, d’où des images à l’aspect parfois griffé, voire flouté (je vous laisse regarder dans vos Alinoë à la maison).

    Je viens de regarder mon album dans ce sens-là, je ne vois rien… ça doit être plus clair en le comparant avec la version N&B à côté.

    en réponse à : Thorgal a (40 ans) 45 ans ! Lien | Citer

    Et voilà Stéph en pleine contemplation devant son artbook fraîchement livré par le facteur 

    en réponse à : Thorgal a (40 ans) 45 ans ! Lien | Citer
    Ragnar

    En souvenir du premier nom choisi pour Thorgal, sa page Facebook publie cette vignette. 

    Et voici l’explication du changement de nom initial :

    Le nom Ragnar avait déjà été utilisé pour une BD publiée entre 1955 et 1969 par le scénariste Jean Ollivier et le dessinateur Eduardo Teixeira Coelho.

    en réponse à : Thorgal a (40 ans) 45 ans ! Lien | Citer
    Logo polonais des 40 ans de Thorgal

    Le site polonais Thorgalverse présente le logo promotionnel pour les 40 ans de Thorgal. Il a été réalisé par Piotr Rosinski à la demande d’Egmont Polska, l’éditeur de Thorgal en Pologne.

    Ça ferait aussi un chouette tee-shirt, ce logo ! 

    en réponse à : Kriss de Valnor – 7 – La montagne du temps Lien | Citer
    Hubert Reeves

    « La montagne du temps » a inspiré Hubert Reeves. Dans son livre “ Patience dans l’azur ” , l’astrophysicien a écrit :

    « Ici nous sommes comme au sommet de la montagne du temps. Dans notre vision du monde, le point le plus avancé dans le temps est celui où nous sommes. Tout autour, notre regard plonge dans le passé. »

    Regarder loin, c’est regarder tôt

    “ Nous savons aujourd’hui que, comme le son, la lumière se propage à une vitesse bien déterminée. En 1675, étudiant le mouvement des satellites de Jupiter, l’astronome danois Römer a mis en évidence certains comportements bizarres. Ces comportements s’expliquent si on admet que la lumière met quelques dizaines de minutes à nous arriver de Jupiter. Cela équivaut à une vitesse d’environ trois cent mille kilomètres par seconde, un million de fois plus vite que le son dans l’air. Il faut bien reconnaître que, par rapport aux dimensions dont nous parlons maintenant, cette vitesse est plutôt faible. A l’échelle astronomique, la lumière progresse à pas de tortue. Les nouvelles qu’elle nous apporte ne sont plus fraîches du tout !

    Pour nous c’est plutôt un avantage. Nous avons trouvé la machine à remonter le temps ! En regardant “loin”, nous regardons “tôt”. La nébuleuse d’Orion nous apparaît telle qu’elle était à la fin de l’Empire romain, et la galaxie d’Andromède telle qu’elle était au moment de l’apparition des premiers hommes, il y a deux millions d’années. A l’inverse, d’hypothétiques habitants d’Andromède, munis de puissants télescopes, pourraient voir aujourd’hui l’éveil de l’humanité sur notre planète…

    Les objets les plus lointains visibles au télescope sont les quasars. Ce sont en fait des galaxies, mais des galaxies assez spéciales. Leur noyau émet une fantastique quantité d’énergie. Autant que dix mille fois notre Galaxie tout entière. Ce noyau apparaît, de loin comme une source ponctuelle, comme une étoile. D’où le nom de “ quasi-star ” ou “ quasar ”. Certains quasars sont situés à douze milliards d’années lumière. La lumière qui nous en arrive a voyagé pendant douze milliards d’années. C’est-à-dire quatre-vingts pourcents de l’âge de l’univers… C’est la jeunesse du monde que leur lumière nous donne à voir au terme de cet incroyable voyage.

    Dans ces conditions, il est naturellement impossible d’avoir un portrait “ instantané ” de l’Univers. Un “ instantané ”, dans le langage photographique, c’est une vue qui fige un paysage en un instant précis de sa durée. Ici nous sommes comme au sommet de la montagne du temps. Dans notre vision du monde, le point le plus avancé dans le temps est celui où nous sommes. Tout autour, notre regard plonge dans le passé. ”

    (Source)

    en réponse à : La licence Thorgal avec Mediatoon Licensing Lien | Citer

    Hé Steph ! J’ai trouvé une autre version de ton célèbre tee-shirt sur le site de Derib

    en réponse à : Kriss de Valnor – 7 – La montagne du temps Lien | Citer

    La montagne du temps a dû permettre à Kriss de voyager dans le temps, sans doute pour rejoindre plus vite Aniel, mais elle n’avait probablement pas prévu de tomber sur elle-même au bout du périple. Comme toi, je pense que les deux Kriss se battent parce qu’elles pensent chacune avoir raison quant à l’attitude à avoir pour la suite des évènements.

    en réponse à : Roman Surzhenko Lien | Citer
    Temploux

    J’ai eu la chance de revoir Roman cet après-midi à Temploux !  Avant qu’il ne reprenne ses dédicaces, nous avons échangé quelques mots. Nous avons reparlé de l’interview que j’avais réalisée avec lui au mois de mai (voir ses réponses ICI), puis de cette méga brocante (1000 exposants) dans laquelle s’était logé le festival BD. Roman était surpris qu’on puisse vendre une telle variété d’objets. Par la suite, j’ai retrouvé le coin qui lui faisait penser à des décors pour films d’horreur ! 

    Roman a enchaîné des dédicaces dans plusieurs librairies samedi, avant une journée marathon à Temploux (Namur) aujourd’hui. Voici quelques photos que j’ai prises pour vous cet après-midi. 

    en réponse à : Autocollants, timbres et autres Lien | Citer
    Les Timbrés de la Nation 1995

    Une curiosité éditée en 1995 pour la sortie de « La marque des bannis » : un ex-libris reprenant sur un timbre la couverture de l’album 20 de Thorgal. On apprend sur Bédéthèque que ce document est collé dans l’édition originale de janvier 1995, numérotée et signée à 200 exemplaires par Rosinski. Intitulée « Les Timbrés de la Nation » , cette collection constituée de nombreuses BD en était à son 5ème tome. Depuis, la librairie parisienne Nation propose toujours ses albums timbrés sur son site BD Net.

    en réponse à : Autocollants, timbres et autres Lien | Citer
    Timbres 2007

    La Poste belge a édité en 2007 un carnet de 5 timbres à l’effigie de Thorgal. A la différence des timbres de 2015, Bpost a choisi de les illustrer avec les couvertures des albums de Thorgal.

    en réponse à : Kriss de Valnor – 7 – La montagne du temps Lien | Citer

    Kartlis a écrit
    Moi, cette couv me fait penser au croquis d’une couverture qu’on aurait pu avoir pour un autre album de Kriss « Digne d’une reine » avec le combat Hildebrun-Kriss mais désolée je retrouve plus l’image

    Tu parles de ce projet-ci ? Le croquis de Giulio était en vente sur la Galerie  du 9ème art.

    Kartlis a écrit
    Un truc avec le temps et des Kriss de différentes époques qui se rencontrent.

    Ah oui tiens, comme Jolan dans « La couronne d’Ogotaï » ! 

    en réponse à : Kriss de Valnor – 7 – La montagne du temps Lien | Citer

    Abeloth a écrit
    J’espère qu’il saura un minimum adapter son dessin à la série parce que là je suis pas comme un fou…

    Oui, c’est surprenant la diversité de styles de dessins de Vignaux ! Mais il m’a plutôt rassuré dans cette interview pour Glénat reprise dans le sujet du forum consacré à Frédéric Vignaux :

    Vous avez également travaillé sur d’autres projets de type « fantastique ». Adaptez-vous votre style de dessin selon le type d’histoire qui est racontée et son degré de véracité ?

    Frédéric Vignaux : J’essaie dans la mesure du possible d’adapter mon style au sujet de la BD. Avec l’expérience, mon dessin tend vers plus de réalisme tout en gardant ce côté dynamique qui m’est cher… ce projet tombait donc à point nommé !

    en réponse à : Hommage aux victimes des attentats Lien | Citer
    Barcelone

    Vous avez peut-être un ami, une connaissance à Barcelone… je pense à toutes ces victimes, à la joie de vivre des Barcelonais… et puis une pensée particulière pour Isis qui a choisi l’Espagne comme nouvelle patrie…

    en réponse à : Roman Surzhenko Lien | Citer
    Festival BD de Temploux (B)

    Ce dimanche 20 août, Roman Surzhenko sera présent au festival BD de Temploux, à Namur en Belgique. Il dédicacera ses albums de 10 à 12h, et de 14 à 17h. C’est sa première participation à ce festival qui se déroule au cœur d’une grande brocante qui fête ses 40 ans. L’année dernière, elle a attiré 150.000 visiteurs durant le week-end ! Plus d’infos sur http://www.temploux.be/festivalbd/

    en réponse à : Kriss de Valnor – 7 – La montagne du temps Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Une scène que je vous invite à commenter ! Et si vous voulez la voir en encore plus grand, cliquez ICI.

    Le lien pour voir la couverture en grand ne marche pas.  non EDIT du webmestre : Réparé.

    Mais je la vois déjà très bien comme ça, et j’adore le style ! Un décor à peine suggéré, ce qui laisse toute la place à l’héroïne en pleine tourmente. Il est assez rare de choisir un moment aussi critique de l’histoire pour illustrer une couverture de Thorgal ou de ses Mondes. En-dehors de la planche proposée juste au-dessus par Stéph, elle me fait aussi penser à celle-ci pour le combat rapproché :

    Mais le premier album auquel j’ai pensé en voyant ces deux Kriss, c’est bien sûr à « La gardienne des clés » où Volsung de Nichor a pris les traits et le corps de Thorgal.

    Par contre, je ne comprends pas comment Kriss se retrouve au fond de l’eau alors qu’elle gravit la montagne du temps… cette couverture amène bien plus de questions qu’elle n’apporte de réponses !

    Dis Stéph, comment tu as fait pour passer avant Amazon pour cette couverture ? Enfin une avant-première pour Thorgal.com 

    en réponse à : Thorgal – Intégrale N&B Niffle Lien | Citer

    Frédéric Niffle a prévu de publier l’intégralité de la période Van Hamme en 5 tomes. 

    Thorgal-BD a écrit
    La bonne nouvelle, la bonne surprise, est ce superbe ex-libris d’Alinoë ! Il a servi de couverture à la revue Tintin en mars 1984 (voir ici, merci au super site LeJournalDeTintin.free.fr).

    Ce site sur les couvertures des revues Tintin, c’est une vraie merveille   Ça fait des années que j’y passe pour une histoire ou l’autre, le gars y fait un travail formidable !

    en réponse à : La licence Thorgal avec Mediatoon Licensing Lien | Citer

    Ah oui, stylé comme logo  Et en traficotant les couleurs, tu te retrouves avec deux tee-shirts différents ! 

    en réponse à : Rosinski dans la presse Lien | Citer
    La forêt de Bialowieza dans le journal Le Soir (B)

    On retrouve dans le journal belge Le Soir un dessin de Grzegorz Rosinski qui cherche à défendre la forêt la plus ancienne d’Europe. Bon, là sur le coup, je trouve le visage de Thorgal pas trop réussi, mais ce n’est pas l’essentiel du message. 

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer

    Tjahzi a écrit
    J’attends de me faire ma propre opinion quand j’aurai lu Vercingétorix.

    Hé bien, je l’ai lu, et j’ai bien aimé !   Au départ, la BD historique, c’est pas trop mon truc, et j’avais peur de me perdre dans les nombreux détails historiques qui allaient ralentir le rythme de la BD. Mais pas du tout ! Même si l’histoire se construit sur le flashback de Vercingétorix qui raconte sa vie à Jules César, le rythme est enlevé, et le dessin accrocheur. Comme je le disais plus haut, je trouve que le style de Fred Vignaux rappelle ici celui de Giulio De Vita. Un dessin nerveux, des cadrages qui plongent au cœur de l’action, des décors fouillés sans être envahissants, des sentiments qui se lisent clairement sur les visages. Tiens, à ce propos, il y a juste un passage ou l’autre où les visages justement, m’ont fait penser au style manga, là j’aime moins, tout comme parfois les traits pour donner une impression de vitesse (désolé, je n’aime en général pas les mangas ). Alors voilà, je recommande cette BD, tout particulièrement pour découvrir le style de dessin qu’on pourrait retrouver dans la Kriss de Vignaux.

     

    Vous savez que je suis toujours à l’affût d’une info intéressante, alors voilà que j’ai déniché cette vidéo où Frédéric Vignaux enseigne l’art de la BD a des élèves de 10 ans. Une chouette occasion de découvrir le dessinateur et surtout de l’entendre ! 

    Commentaire de la vidéo :

    Vidéo réalisée pour la communauté d’agglomération Versailles Grand Parc. Deux cents élèves de CM1 – CM2 ont participé à un atelier bande-dessinée pendant l’année scolaire 2012 – 2013, accompagnés par deux professionnels: Erroc ( « Les Profs » ) et Fred Vignaux ( « Arthur et la vengeance de Maltazard » ).

    en réponse à : La licence Thorgal avec Mediatoon Licensing Lien | Citer

    Ouais, en fait tu n’oses pas dire qu’ils t’ont offert la taille S, et que tu n’arrives même pas à y passer ta grosse tête ! 

    en réponse à : Yann Lien | Citer
    Dents d'ours #5 – Eva

    Je viens de lire le 5ème tome de Dent d’ours qui est sorti au mois de mai. Les première pages sont à lire ici sur le site de Dupuis. J’aime bien cette série, en particulier le dessin agréable d’Henriet, mais je trouve que ce tome « Eva » est moins dynamique. Constitué de nombreux flashbacks sur la relation entre les 3 héros de départ, cet album ne nous éclaire pas vraiment sur les motivations d’Hanna. On a l’impression d’en arriver au même point qu’à la fin du tome précédent. Le sixième et dernier album nous dévoilera comment le bombardement de New-York pourra être évité : un changement d’attitude d’Hanna, ou sa mort inéluctable ? L’histoire risque d’être intense.

    Résumé de l’histoire :

    Début mai 1945. Côte est du Canada. Sous le couvert d’une station météo officielle, l’équipage du sous-marin allemand U-867 installe une balise prénommée « Eva ».
    Lorsque le sous-marin est repéré par un Catalina, l’officier SS qui commande l’expédition ordonne de tester les « nebelwerfer » : les lance-roquettes ne laissent aucune chance à l’hydravion des malheureux garde-côtes canadiens.

    Cette mystérieuse balise à laquelle l’officier SS semble attacher autant d’importance doit en fait permettre de guider le « Silbervogel », l’aile volante qui doit larguer une bombe atomique sur New York. Sans ce radioguidage, il ne restera plus que l’option « pilotage humain » pour guider l’oiseau d’argent nazi…

    Et le seul équipage qui semble capable d’accomplir cette mission suicide se trouve à des milliers de kilomètres de là, au château Fürstenstein, en Basse-Silésie : la flugkapitän Hanna Reitsch, une nazie exaltée, et son copilote, l’oberleutnant Werner Zweiköpfiger, espion US infiltré dans l’aviation allemande et ami d’enfance d’Hanna.
    Et malgré la chute imminente du IIIe Reich, Hanna n’a pas renoncé à mener à bien l’ultime mission du Führer.

    http://www.dupuis.com/dent-d-ours/bd/dent-d-ours-tome-5-eva/70714

40 sujets de 3,441 à 3,480 (sur un total de 4,560)
Plan du site
Mentions légales
© Éditions Le Lombard 2025