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Masterclass sur Adobe : partie 2/2
Tjahzi a écrit
Ceux qui en auront l’occasion ce mardi 12 novembre à midi pourront interagir en direct avec Fred Vignaux ! Il participera à une séance de Masterclass sur la chaîne Adobe France sur Youtube. Vous pouvez poser vos questions ou donner votre avis pendant l’émission grâce au chat. L’intérêt principal sera d’assister au travail de Fred en direct. Pour ceux qui ne peuvent pas être présent, l’émission est bien sûr enregistrée : https://www.youtube.com/watch?v=RzfI83xkdBs&feature=youtu.beThorgal-BD a répondu
Roh zut, j’ai zappé l’info, alors que c’était à l’évidence l’un des événements de ce mois de novembre…
Désolé, je regarde et je vous prépare la promo.
Alors voilà une nouvelle occasion de faire la promo des ces Masterclass de Fred Vignaux avec Adobe France. Fred vient en effet de participer ce midi à une deuxième séance sur Youtube.
Le temps passe toujours trop vite. Le mois dernier nous avons reçu Fred Vignaux pour une session bande dessinée. Durant celle-ci, nous sommes revenus sur sa carrière, ses différentes bandes dessinées, historiques, au dessin, à la couleur mais aussi sur les couvertures. On y a évidemment abordé Thorgal (il en a dessiné le tome 37 et s’attelle bientôt au 3
, mais, si on a bien axé la session sur les différentes étapes depuis la conception des planches, nous avons décidé d’enchaîner cette fois-ci avec l’encrage et la couleur.
Source : Adobe France sur Youtube
toujours en vie ?
Apparaît dans un cycle?
En voilà une bonne nouvelle
Après l’intégrale du cycle dessiné par Grzegorz Rosinski, c’est Philippe Delaby qui va avoir droit à un tirage de luxe du cycle des Chevaliers du Pardon.
Intégrale de Long John SilverUne nouvelle intégrale en 2 tomes de Long John Silver est sortie aux éditions Dargaud.
Réalisé par Xavier Dorison et Mathieu Lauffray, « Long John Silver » est inspiré du fameux et redoutable pirate créé par Stevenson dans « L’Île au trésor ». En quatre albums, la série s’est installée comme un grand classique qui illustre à merveille la grande aventure. Ces deux intégrales sont complétées d’une interview des auteurs et enrichies de couvertures inédites.
Source : Dargaud
Un Viking découvre l'AmériqueSur sa célèbre chaîne Youtube NOTA BENE, Benjamin Brillaud partage avec humour des tranches d’histoire. Il a aussi publié avec Mathieu Mariolle une version BD de Nota Bene. On le retrouve dans une nouvelle émission consacrée à Leif Erikson, premier Viking à explorer l’Amérique.
Un Viking aurait-il découvert l’Amérique avant Christophe Colomb ? 500 ans avant le célèbre explorateur, Leif, fils d’Erik le Rouge, part d’Islande pour explorer de nouvelles terres. Un voyage incroyable pour celui que l’on surnomme “Leif la Chance”, qui le mènera à la rencontre de paysages et de populations que les européens n’avaient jamais vu avant lui…
Auparavant, une autre émission de Nota Bene abordait l’arrivée des Vikings au Canada avec Erik le Rouge, le père de Leif Erikson.
Des premières expéditions vikings à l’exploration du territoire par Jacques Cartier et au début de colonisation par Samuel de Champlain, découvrez l’histoire incroyable de la création du Canada (côté français).
guerrière ?
amoureuse de Thorgal ?
La pierre de RökC’est à nouveau depuis Idavoll, l’excellent site consacré aux Vikings, que je vous partage cette nouvelle étude de la pierre de Rök, la plus longue inscription runique connue.
Suède – La pierre de Rök, érigée à l’Âge Viking par crainte d’une catastrophe climatique, selon une nouvelle étude
Depuis plus de cent ans, les chercheurs tentent de déchiffrer le sens de ses inscriptions et de le relier à des actes héroïques. Mais selon une récente étude, la pierrre de Rök, l’une des pierres runiques les plus célèbres du monde, aurait été érigée par les Vikings afin de conjurer une nouvelle crise climatique après la survenue de famines et de phénomènes météorologiques désastreux en Scandinavie.
Datée à la fin du IXème siècle, la pierre de Rök dressée près du lac Vattern, dans la province d’Östergötland, le centre-sud de la Suède, porte l’inscription runique la plus longue du monde avec plus de 700 runes parfaitement lisibles couvrant ses cinq côtés. Une approche collaborative entre quatre chercheurs de plusieurs disciplines montre à présent comment le monument peut être compris dans le contexte socioculturel et religieux du début de l’Âge Viking en Scandinavie.
« La clé pour déchiffrer l’inscription était l’approche interdisciplinaire. Sans ces collaborations entre la Philologie, l’Archéologie, l’Histoire des religions et la Runologie, il n’aurait pas été possible de résoudre les énigmes de la pierre runique de Rök », a expliqué Per Holmberg, professeur agrégé de langues scandinaves à l’Université de Göteborg, qui a dirigé l’étude.
Une grande anxiété traduite en runes
Les linguistes ont établi que la pierrre de Rök a été érigée en mémoire d’un fils défunt, mais la signification exacte de l’ensemble du texte continuait à leur échapper, car des parties sont manquantes là où la pierre a été endommagée et différentes formes d’écriture le composent. Depuis lors, le monument restait l’objet de spéculations en tous genres, voire contradictoires.
Mais une récente étude, publiée le 7 Janvier 2020 dans la revue scientifique annuelle Futhark: International Journal of Runic Studies, menée par des chercheurs de trois universités suédoises – Per Holmberg de Göteborg, Olof Sundqvist de Stockholm, Bo Gräslund et Henrik Williams d’Uppsala- affirme qu’il n’en est rien et présente une tout autre interprétation. « L’inscription traite d’une anxiété déclenchée par la mort d’un fils et de la peur d’une nouvelle crise climatique semblable à la catastrophe survenue après l’an 536 de notre ère » avancent les auteurs.
De la mémoire du Grand Hiver
La crise survenue au VIème siècle a selon toute vraisemblance été causée par une série d’éruptions volcaniques qui influèrent sur le climat de manière dramatique avec des températures moyennes plus basses et plusieurs années sans été. S’ensuivirent des récoltes ruinées, la famine, la peste et donc des extinctions de masse.
La population de la péninsule scandinave aurait diminué d’au moins 50%, selon l’estimation de Bo Gräslund, professeur d’Archéologie à l’Université d’Uppsala. Cela se vérifie par une diminution drastique du nombre de sites, en Suède comme en Norvège, où les archéologues parviennent à trouver quelque chose d’intéressant, soit une baisse de 70% à 90% des découvertes archéologiques sur cette période.
Les chercheurs soulignent que la mémoire de ces événements a sans doute fait l’objet d’une transmission. Elle pourrait peut même avoir influencé la mythologie nordique où il est question du Fimbulvetr, nom donné au Grand Hiver censé durer trois ans et annonciateur des Ragnarök, la fin du monde dans les croyances de l’Âge Viking.
Neuf énigmes sur le soleil et Odin
Alors que des parties du texte en runes portaient à croire qu’il était question de la description d’anciens combats héroïques, antérieurs de plus d’un siècle à la date d’édification du monument, les chercheurs suédois pensent qu’il pourrait s’agir d’un tout autre type de bataille mis en exergue : « Le conflit entre la lumière et les ténèbres, la chaleur et le froid, la vie et la mort ».
Au regard de la précédente catastrophe climatique, Bo Gräslund, souligne plusieurs raisons pour lesquelles les gens – dont l’auteur du texte de la pierre de Rök, Varinn – pouvaient craindre que cela se reproduise: « Avant que la pierre runique de Rök ne soit érigée, un certain nombre d’événements se sont produits qui ont dû sembler extrêmement inquiétants: une puissante tempête solaire a embrasé le ciel de spectaculaires teintes rouges, les récoltes ont souffert d’un été extrêmement froid, et plus tard une éclipse solaire s’est produite juste après le lever du soleil. Un seul de ces événements aurait suffi à faire craindre un autre ‘Fimbulvetr’. »
La longue inscription runique se composerait, selon les chercheurs, de neuf énigmes. La réponse à cinq de ces énigmes est « le soleil ». L’une d’entre elles par exemple est une énigme demandant qui était mort mais qui vit à nouveau désormais. Les quatre autres énigmes concernent Odin et ses guerriers. « La puissante élite viking se considérait comme garante de bonnes récoltes. Elle présidait au culte permettant de maintenir le fragile équilibre entre la lumière et l’obscurité. Et enfin, lors des Ragnarökr, elle devait prendre les armes aux côtés d’Odin afin de remporter la bataille finale pour la lumière », explique Olof Sundqvist, professeur d’Histoire des religions à l’université de Stockholm.
Cette nouvelle lecture de la pierre de Rök a permis d’établir des parallèles évidents entre plusieurs passages de l’inscription runique et d’autres textes en vieux norrois que personne n’a notés auparavant. « Pour moi, c’était presque comme découvrir une nouvelle source littéraire de l’Âge Viking. La réponse de la Suède à l’Edda poétique islandais ! », a confié Henrik Williams, professeur de langues scandinaves spécialisé en Runologie à l’Université d’Uppsala.
Thorgal dans La Galère noireEpic_Statues est fan des super-héros, mais aussi des personnages de Grzegorz Rosinski, polonais comme lui. En fait, Woj se constitue une incroyable collection de statues de héros de BD à vitesse grand V ! Cette fois, c’est au tour de Thorgal d’apparaître en plein combat avec la panthère Kheela. La reproduction de la scène de « La Galère noire » est impressionnante !
Source : Epic_Statues sur Instagram
Avis sur BD GestVoici un avis particulièrement bien argumenté sur les séries de la Complainte, de la part d’un nouveau lecteur qui en a hérité de son père. L’histoire finit bien.
» Mon père souhaitant se débarrasser de certaines séries de sa collection, il m’a donné les deux premières saisons de la « Complainte des landes perdues » il y a quelques semaines. J’avais déjà entendu parler de cette série, jugée par certains comme un « classique » de la fantasy en BD. Je n’avais pas vraiment d’attentes ciblées, sinon d’avoir face à moi une série ayant très bien fonctionné, donc je supposais un scénario et un dessin tous deux de grande qualité. Je ne savais pas du tout dans quel type d’environnement fantasy l’histoire se déroulait, donc pas d’a priori de ce côté-là.
J’ai profité de quelques soirées de repos cette semaine pour me plonger dedans… et découvrir cet univers.
J’ai donc entamé la série par le cycle 1, sans savoir qu’il était le plus tardif d’un point de vue chronologique (ce que je n’ai compris que plus tard). J’ai plutôt bien aimé le tome 1, le dessin de Rosinski étant fidèle à celui des meilleurs Thorgal et la mise en route assez brumeuse, sans être incompréhensible justement : un côté mystique qui m’a plutôt plus. Puis j’ai lu le tome 2, et j’ai été un peu déçu. J’ai trouvé le scénario convenu. J’ai donc décidé d’arrêter ma lecture pour la soirée.
Le lendemain soir, j’ai décidé de poursuivre le cycle 1, en m’attaquant aux tomes 3 et 4. J’ai finalement compris que le Cycle 1 était composé de deux « mini-cycles » (les tomes 1 et 2 formant le cycle 1 initialement construit, les tomes 3 et 4 étant ajoutés pour « compléter » par la suite). Et là j’ai vraiment été déçu. Le tome 3 est assez sympathique, mais demeure un peu simple et surtout trop rapide, et le tome 4 est, à mon sens, vraiment faible au niveau du scénario : c’est une fin expédiée, peu crédible et digne d’un manichéisme archaïque.
Comment Sioban peut devenir différente aussi rapidement, comment le personnage de Kyle peut-il être aussi vite réduit à de la figuration ? Et puis la magie noire et le Ouki, c’est vraiment du sucre sur du sucre : on force les traits du côté « sombre », et on contrebalance avec un humour bien lourd proche de celui de « fol de dol » dans la quête.
J’étais déçu, je comptais m’arrêter là, considérant que ce n’était pas une série pour moi (ce qui m’était arrivé il y a 2 ans avec la Légende des contrées oubliées, que je n’ai pas eu de plaisir à lire) … j’ai donc fait un tour sur Bdgest pour voir les avis sur le cycle 2. Et cela m’a convaincu, surtout que j’apprécie Murena et le dessin de Delaby.
Je me lance donc dans le cycle 2 en début de matinée… et j’y reste scotché jusqu’à 12h, enchaînant les 4 tomes en suivant. J’ai trouvé le dessin de meilleure qualité, l’histoire mieux construite et l’ambiance plus conforme à mes attentes.
Le charisme de Sill Valt, les interrogations du jeune Seamus ou encore la question de la sorcière-fée Sanctus : ce sont des points forts de ce cycle, dont le scénario me paraît plus solide, mieux élaboré. La quête des chevaliers du Pardon, les liens entre ombre (Cryptos) et lumière (Sill Valt), avec le cas Seamus au milieu de tout cela. Surtout, si le cycle 1 m’a paru brumeux et pas toujours clair, les informations du cycle 2, non content de se suffire à elles-mêmes, apportent des réponses au cycle 1, notamment sur la position des chevaliers du pardon et le passé de Seamus, aboutissant à la guerre et aux mages noirs, dont la place est prégnante dans la vie de Sioban.
Ragaillardi par ce plaisir de lecture, je décidai de m’intéresser au cycle 3 en retournant sur Bdgest… et là aussi les avis semblaient très positifs sur ce nouveau passage dans le passé de L’Eruin Dulea. Je me suis donc rendu hier après-midi chez mon libraire afin d’acquérir les deux tomes actuellement sortis… et de nouveau le plaisir de lecture s’est accru. A mes yeux, le cycle 3 est encore mieux écrit que le cycle 2, lui-même étant mieux construit que le cycle 1.
L’incursion dans l’histoire des sorcières, avec la vie de Sanctus tant qu’elle n’était pas une fée, l’origine des Fitchell, les soubresauts originels du monde en dehors de l’Eruin Dulea … et l’histoire future de l’île qui est esquissée dans ce nouveau cycle des sorcières : que du bonheur. J’imagine de surcroît, avec le titre du tome 3 du cycle 3 « Regina Obscura », que l’on risque de revoir la mater obscura du cycle 2 dans l’avenir ? Enfin plutôt dans le passé du coup !
On sent que Mr Dufaux maîtrise davantage son histoire, que la brume laisse place à la clarté. Quant aux dessins, ils demeurent excellents (c’est la chance de cette série à mon sens : trois cycles, trois dessinateurs, trois talents). Ce qui vient me confirmer qu’il faut parfois laisser le temps agir, laisser aux scénaristes la latitude nécessaire pour construire un univers cohérent… Tolkien n’a pas bâti sa mythologie en 3 ans, Georges Lucas non plus. Cette série, débutée il y a 26 ans, monte en puissance, et c’est un cas que j’ai rarement vu, surtout lorsque la structure narrative va à rebours totalement, en remontant le temps non pas le temps d’un prequel mais bien de plusieurs.
En tout cas je suis un nouvel adepte de l’univers, et ce n’était pas gagné il y a encore quelques jours, surtout à la lecture du tome 1 (j’étais même à deux doigts de revendre l’ensemble).
A suivre, avec plaisir désormais ! «
Dunyre
Source : Forum sur BD Gest
humain ?
masculin / féminin ? féminin
série dérivée?
jeune?
La Mort VivanteRien n’a filtré de ce côté-là… Alberto Varanda vient de se consacrer à un one-shot, La Mort Vivante, paru chez Glénat.
La science peut-elle vaincre la mort ? Et si oui, à quel prix ?
Joachim, un jeune scientifique menant des recherches prohibées, est enlevé par une puissante et mystérieuse femme recluse sur l’ancienne Terre : Martha. Pour se remettre du drame qui la hante depuis des mois, celle-ci lui ordonne l’impossible : ressusciter sa fille, Lise, ayant fait une chute mortelle lors de fouilles archéologiques. Joachim, qui voit là une opportunité de continuer ses travaux en toute liberté, accepte ce rôle de père créateur. Après avoir récupéré le matériel nécessaire grâce à la fortune de Martha, il se lance alors dans cette expérience qui pourrait bien s’avérer irréversible. Car on ne redonne pas impunément vie à la Mort…
Avec ce récit complet de 72 pages, Alberto Varanda signe pour son retour probablement son plus grand chef-d’œuvre graphique. Sur un scénario et un story-board d’Olivier Vatine, il livre un travail d’une ampleur aussi épique qu’extrêmement minutieuse, qui évoque autant les gravures de Gustave Doré que Jules Verne, Lovecraft et Schuiten réunis !
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 3 mois par Tjahzi.
Moi non plus, pas fan du tout d’intégrer Skald et sa mère dans l’arbre généalogique de Thorgal
Stéph, vu que ce concours est reparti pour un tour, tu saurais nous aménager une fenêtre d’accès pour suivre l’évolution des pierres déjà choisies ? ou simplement nous laisser encore les voir après avoir choisi…
Voici le nouveau personnage mystère à découvrir
Finalistes Grand Prix 2020Thorgal-BD a écrit il y a un an
L’avantage c’est qu’on connaît déjà deux des trois finalistes de la prochaine édition ! Je trouve ça raide pour eux, d’ailleurs (surtout le français qui voit tous les ans son nom s’afficher dans la colonne perdant) (l’américain ne doit même pas être au courant).Incroyable Steph, tu as pris la relève de Paul le poulpe !
Festival d’Angoulême : Emmanuel Guibert, Catherine Meurisse et Chris Ware en lice pour le Grand Prix 2020
Source : 20minutes.fr
JadawinWaouh
Réponse très rapide, bravo Penny !
Il s’agit bien de Jadawin dans « Les trois vieillards du pays d’Aran ».
Planche 1 du tome 27Première planche du tome 27 intitulé « Mémoire rechargée », sous forme d’un résumé des épisodes précédents.
Source: Yves Schlirf sur Twitter
Allié?
Vivant sur Mitgard?
Jeune?
homme ou femme ? plutôt homme…
intervient dans plusieurs albums ?
De la série-mère uniquement?
Ce rouge, on dirait l’ignoble Loki…
Entretien sur TV5 MondeSympathique entretien avec les deux auteurs du dernier Largo Winch dans l’émission L’Invité sur TV5 Monde.
Waouh !
Quelle chance Lokocha
Raconte-nous un peu plus sur ces belles rencontres…
personnage toujours en vie ?
de la série mère ?
Personnage principal ou secondaire ? principal
LouveDans le prolongement du message précédent, voici la statue de Louve en pièces détachées, toujours partagée par le brésilien Bento Ribeiro. De quoi découvrir de plus près le travail de conception en imagerie 3D.
Source: Bento Ribeiro
Et voici le nouveau personnage mystère. A vos questions !
Grande sérigraphie N&BMagnifique sérigraphie en très grand format signée par Rosinski en vente ICI sur Collector BD :
Cette sérigraphie est tirée d’après Le Royaume sous le sable, vingt-sixième album de la série Thorgal.
Dans cet album, Thorgal et sa famille sont retenus prisonniers par d’étrange personnes vivant dans des souterrains, sous le désert. Ces personnes s’intéressent aux pouvoirs de Thorgal et de Jolan et fouillent la mémoire de la famille afin d’en découvrir plus sur ce qui est arrivé à l’expédition Xargos et sur l’histoire de Thorgal.Cette illustration représente tous les souvenirs de Thorgal et de sa famille alors qu’ils sont extraits. On peut donc y voir les étranges machines dans lesquelles ils sont et qui scrutent leur mémoire, ainsi que des flashs d’événements marquants : Batailles, romances, rencontres, etc.
On retrouve aussi de nombreux personnages comme par exemple : Aaricia, Kriss de Valnor, Louve, Jolan, Gandalf, La gardienne des clés, Skadia, Jorund, La Faucheuse, Darek et bien d’autres encore !Format : 100 x 70 cm
Passage : 1 passage noir
Papier : Fedrigoni Old Mill Bianco 300gr
Prix : 99 €
Tirage limité à 50 exemplaires numérotés et signés par RosinskiSources : Site Collector BD & FB Collector BD
AkzelA nouveau un coup réussi pour Bugs
C’était bien Akzel dans « Le maître de justice » .
Mais bon, si tu nous postes une photo de ton super gros lot, alors tu reviens jouer quand tu veux !
Barbu?
Hogrid?
Roi Gustavsson?
pauvre ou riche ? pauvre
il voyage en mer ? rarement
Une huître-cendrier ?
C’est pas bidon comme déco !
Merci pour les photos ! Vu la juxtaposition d’images, je n’imaginais pas que Piotr était le concepteur de ce dossier. Mais je crois déchiffrer son nom à la fin… De nos jours, il fait des mises en page bien plus épurées.
Dis, au dos du catalogue, tu n’étais pas obligé de scribouiller les dimensions pour moi !
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 3 mois par Tjahzi.
ami ou ennemi de Kriss ? l’un puis l’autre
toujours en vie ?
Storyboard du tome 6Undertaker, j’ai signé au moins pour les 10 premiers tomes avec Xavier Dorison et Ralph Meyer !
C’est clair que Jonas Crow est plus bavard que Thorgal (il doit tenir de son scénariste…
). Mais c’est une des caractéristiques principales du personnage, ce franc-parler et cette ironie permanente. Et j’adore ses répliques !
Ralph Meyer s’est déjà remis au travail pour préparer le tome 6. Vous en connaissez beaucoup, des dessinateurs qui vont jusqu’à encrer leur storyboard ?
Source : FB de Ralph Meyer
Chronique sur BD GestAutre chronique un peu moins élogieuse sur BD Gest : » Thorgal, la BD-doudou »
« Thorgal pensait en avoir fini avec les crimes commis lorsqu’il était le redoutable Shaïgan-Sans-Merci et écumait les mers aux côtés de Kriss de Valnor. Rongé de remords face à l’une de ses anciennes victimes, il lui promet de venir en aide aux adeptes persécutés d’un culte étrange.
Ce tome 37 attise la curiosité à plus d’un titre. Cet album marque les débuts de la nouvelle équipe d’auteurs après la retraite de son dessinateur historique, Rosinski, même si ce dernier signe encore sa couverture. Cela dit, Yann était déjà aux commandes des spin offs consacrés à Louve et à La jeunesse de Thorgal. Il a aussi joué les pompiers de service pour coscénariser l’album précédent, qui concluait l’arc « Aniel » . Quant à Vignaux, il s’est fait la main sur les deux derniers épisodes de la série consacrée à Kriss de Valnor.
Ce nouvel album pose aussi les bases d’un nouveau départ pour la série, qui s’était enlisée dans un projet alambiqué et poussif qui a usé 2 scénaristes (Sente, qui avait initié l’aventure, puis Dorison, censé reprendre le flambeau avant d’être brutalement débarqué). Rares sont ceux qui ont été satisfaits de cet accident éditorial qui a duré une vingtaine d’albums.
« L’ermite de Skellingar » tente donc un nécessaire retour aux sources. Il propose un récit unitaire, qui se concentre sur le seul Thorgal et qui reprend de nombreux marqueurs de l’univers mis en place par Van Hamme et Rosinski. Il n’est pas question de réinvention ou d’innovation. Le héros se retrouve confronté à une situation qui semble limpide, mais se révèle de moins en moins claire au fur et à mesure de ses découvertes. Il fait preuve de ténacité, d’humanité, de courage et d’astuce pour finalement triompher sans fanfaronner. La recette est éprouvée et appliquée méthodiquement.
Le but de l’éditeur est visiblement de rassurer le lecteur après les errances des derniers tomes. Graphiquement, Fred Vignaux assure l’essentiel en restant fidèle au style de Rosinski. De plus, son travail ne souffre pas du manque criant de mouvement qui plombe les derniers albums de Roman Surzhenko sur les séries parallèles. L’intrigue imaginée par Yann ressemble parfois à un collage des tomes précédents. Toutes les situations ont un air de déjà vu et il semble évident qu’aucun nouveau personnage apparaissant ici n’est censé intervenir par la suite. Tout n’est que prétexte à proposer un Thorgal comme au bon vieux temps. Cela implique un Jolan et une Aaricia réduits à leur plus simple expression, simples silhouettes fades qui ne servent qu’à ancrer leur père et mari dans une vie rangée. Seule Louve tire son épingle du jeu. Il ne serait d’ailleurs pas surprenant que les prochaines aventures ne rebondissent sur certains éléments issus du spin off qui lui est consacré. Yann avait laissé suffisamment de pistes à exploiter, comme s’il sentait une ouverture.
Il est difficile de nier que le contrat est globalement rempli. Ce nouvel épisode ne démérite pas. Il vaut largement mieux que « Arachnéa » ou « Le mal bleu » pour ne citer que ceux-là. Il redresse également bien la barre après un tome 36 particulièrement mal né et pénible. Mais il confirme aussi qu’il ne faut s’attendre à aucune évolution. Quel est l’intérêt de continuer une série si c’est pour faire globalement la même chose ? C’est la question qui revient pour la majorité des reprises. Pour qui préfère le confort d’une BD-doudou, « L’ermite de Skellingar » fera l’affaire. »
T. Cauvin
Source: BD Gest
Chronique sur Zoo le MagChronique du tome 37 de Thorgal sur le site Zoo le Mag.
« Si Thorgal devait couler des jours paisibles entouré de sa chère épouse Aaricia, son fils Jolan et sa fille Louve, voilà qui sonnerait le glas de la série ! Mais à peine remis de ses aventures au Moyen-Orient, voilà qu’une jeune femme tente de le poignarder pour se venger de ses crimes passés. Yann et Vignaux, tous deux adoubés par Grzegorz Rosinski pour reprendre le flambeau de sa prestigieuse série, se révèlent tous deux épatants pour ce premier tour de piste.
Le défi était de taille : créer la suite des aventures de Thorgal après « l’ère Yves Sente » qui avait lui-même succédé à Jean Van Hamme. Le scénariste créateur de la série estimait alors n’avoir plus rien à raconter sur son personnage devenu emblématique d’un genre oscillant entre science-fiction et folklore viking. Mais après un début prometteur, l’ambitieux projet de reprise de Sente a viré assez rapidement au cafouillage et ni Xavier Dorison qui lui succéda le temps d’un épisode, ni Yann qui devait obligatoirement conclure le cycle précédent avec une marge de création plus qu’étriquée n’ont pu éviter le semi-naufrage de la série. Il faut dire que le changement de registre graphique de Rosinski avec l’usage d’une couleur directe devenue écrasante n’a pas contribué non plus à renouer avec l’image laissée par « l’ère Van Hamme ».
Ce très inspiré one-shot imaginé par Yann remet les choses en place et renoue avec l’épisode où Thorgal, tombé sous le charme et l’influence maléfique de Kriss de Valnor, était devenu cet horrible tueur nommé Shaïgan-sans-merci. Fred Vignaux qui avait déjà achevé la série parallèle consacrée à Kriss de Valnor renoue, lui aussi, avec le trait de Rosinski de jadis avec une belle aisance dans son dessin. Sa palette de couleurs et sa mise en scène s’avèrent épatantes dans les nombreuses scènes d’action muettes. Voilà un nouveau départ qui s’annonce prometteur. »
S. Buch
Source : Zoo le Mag
Posté 7 janvier 2020 à 21 h 01 en réponse à : L’œuvre de Rosinski : pour une poétique du mouvement Lien | CiterOui, c’est clairement ce qui manque à cet article : une illustration des propos, surtout quand on parle du travail d’un illustrateur.
J’espère juste que les étudiant de l’université de Gdansk ont eu plus de chance que nous en profitant d’une projection illustrée de cette présentation…
Par manque de comparaisons picturales, les questions restent posées quand à la double influence créative dans son oeuvre. Par contre, je partage vraiment cette impression de mouvement qui émane des planches de BD de Rosinski. Il y insuffle un fameux dynamisme qu’il prolonge par son choix de confier la suite des aventures de Thorgal à Fred Vignaux.
Mais bizarrement, j’ai ressenti l’inverse quand il a voulu s’affranchir du format limité d’une planche classique de BD pour passer à la peinture directe en grand format. Son mouvement personnel s’est libéré par la peinture, mais pour moi, le résultat s’est figé justement à cause de cette technique. C’est en tout cas mon impression…
Homme ou femme? homme
Origine viking? probablement
Jeune? dans la force de l’âge
Guerrier?
Série Kriss?
Interview pour "Entrez sans frapper"Rencontre avec Xavier Dorison pour l’émission radio « Entrez sans frapper » de la RTBF belge, où il parle avec passion de son métier de scénariste. Durée : 8 minutes.
https://www.rtbf.be/auvio/detail_le-feuilleton-les-9-xavier-dorison?id=2581668&t=199
C’est vrai que la pratique s’est généralisée dans la bande dessinée : attendre que le tome 2 soit bien avancé avant de publier le tome 1, dans le but de faire paraître les deux premiers tomes à quelques mois d’intervalle. Mais j’espérais que pour une série déjà lancée, ce ne serait pas le cas. Dommage, il faudra encore patienter pour entamer ce nouveau cycle de la Complainte…
Eh
Un grand bravo à Tyseria, le plus wikipédien de nos thorgaliens !
Stéph, ça devrait mener où, ce hall de la gloire annoncé en page d’accueil ?
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