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un dieu ?
Yasmina ?
Ah oui, tes bustes de Thorgal et Aaricia sont bien mis en valeur devant les albums.
Si tu veux Itikar, tu peux reposter cette photo et celle de l’affiche murale dans un sujet que Ludvig avait ouvert pour partager les photos de nos collections Thorgal :
http://www.thorgal.com/sujet/photos-de-votre-collection-thorgal
Les Sans-Visages sur Ligne ClaireLigne Claire consacre un article à l’album du mois qui vient de paraître au Lombard : Les Sans-Visages.
Une vallée perdue au bout du monde où se sont réfugiés des bienheureux, une passe inconnue qu’un hasard de circonstance permet de découvrir, une troupe de spadassins qui pourraient bien troubler paix et sérénité à coups d’épée, Kas et Pierre Dubois ont repris un thème déjà traitée sous plusieurs formes que ce soit en littérature, BD ou cinéma. Après tout pourquoi pas. Car c’est dans le talent des auteurs, le rendu de leur vision romanesque et graphique que réside l’intérêt que l’on va porter aux Sans-Visages, nouveau héros d’un duo qui, au lieu de choisir le XVIIe siècle, aurait pu tout autant signer un western.
La Guerre de Trente ans a ravagé le Saint-Empire Romain Germanique. Les mercenaires pillent, tuent et parmi eux les Sans-Visages. Des pros, solides, efficaces mais qui commencent à être fatigués. Leur chef à tête de loup fédère ses hommes en armure, tous au passé guerrier mais mystérieux. Une belle galerie. Pris au piège par des ennemis nombreux, les Sans-Visages fuient. Le loup trouve une faille dans la montagne et découvre une vallée verdoyante où la population est en fête, un jardin d’Éden oublié. Tout est douceur et amour. Le Loup se présente à celui qui semble être le patriarche. Plusieurs de ses mercenaires qui l’ont suivi le rejoignent peu à peu. Le Loup va dévoiler son visage et demande de pouvoir rester provisoirement dans la vallée.
Et c’est bien sûr dès ce moment que tout va s’emballer, mais ça c’est dans l’album. Des trognes, des états d’âme, la guerre hors la loi qui récidive en ce lieu de paix, tout va pouvoir arriver. Amour en prime, mais qui sont vraiment ces gens perdus du bout du monde ? Autant de questions que Pierre Dubois pose et auxquelles il répond. Kas a dessiné un album digne des peintres flamands, de leurs chevaliers en armure dont la force et opposée à la beauté des paysages, à la nature. Le drame est là, sanglant, avec des fées bien sûr. Dubois les a en lui. Une belle fresque épique assez classique mais forte. Le loup va-t-il se remettre à hurler avec les siens ? Un beau cahier graphique en conclusion.
Source : Ligne Claire
Est-ce un humain ? plus maintenant…
Est-ce qu’il y a une question interdite ? Non, je recommence avec une série de personnages sans restriction dans les questions.
Une série dédiée à l’humour dans Thorgal
Rien ne te fait peur
J’attends la suite avec impatience !
Nouveau personnage mystère à retrouver !
Publication du tome 2 de l'intégrale en PologneL’intégrale Thorgal en grand format couleur en est déjà à son second tome en Pologne.
Source: Polish Comic Art
Pin's UndertakerUn pin’s collector accompagne la sortie du tome 5 d’Undertaker le mois prochain !
Source: Twitter d’Yves Schlirf
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 8 mois par Tjahzi.
TT La Voie du Sabre Intégrale N&BLe troisième tome de La Voie du Sabre n’est pas encore arrivé, que déjà l’Intégrale des 3 tomes en N&B est annoncée pour cet automne !
TT La Voie du Sabre édition intégrale N&B
De Mathieu Mariolle (scénario) et Federico Ferniani (dessin)
avec en invités : Valentin Sécher, Richard Guérineau, Mikaël Bourgoin et Yann TisseronFormat 25×34 cm
Intégralité des 3 tomes en N&B
Couverture inédite
Cahier Graphique et scénaristique en N&B
Cahier Graphique en couleurAccompagné de 2 XL (+ 2 XL supplémentaires pour les précommandes)
Version classique : 175 euros + port
Version Collector (avec original de Ferniani sur feuille) : 275 euros + portSortie : 3ème trimestre 2019
Source: Les Sculpteurs de Bulles
Gandalf-le-fouExcellent Penny !
Il s’agit bien de Gandalf-le-fou dans l’album « La magicienne trahie ».
Posté 13 septembre 2019 à 22 h 52 en réponse à : Largo Winch – 22 – Les voiles écarlates Lien | CiterImpression du tome 22Eric Giacometti, le scénariste de Largo Winch, nous partage les images de l’imprimerie Pollina où est lancée l’impression du tome 22 « Les Voiles écarlates ».
Largo Winch. Visite de l’imprimerie Pollina pour le calage, puis l’impression du prochain album : « Les voiles écarlates ». Avec le dessinateur Philippe Francq qui règle les derniers détails, planche par planche, avant de lancer les rotatives. Impressionnant… C’est ici en France, dans une petite ville de Vendée, Luçon, que sont imprimés, entre autres, les plus gros tirages de la BD : Astérix, XIII, Corto Maltese… Pollina est l’un des plus gros imprimeurs européens, une vraie succès story à la Largo. Il faudra dix camions, modèle 26 tonnes, pour acheminer tous les albums…
Source : FB d’Eric Giacometti
Traduction de Thorgal dans 20 languesMediatoon Foreign Rights gère les droits de publication de Thorgal à l’international. On compte actuellement des traductions de Thorgal dans 20 langues différentes !
Source : http://www.mediatoon-foreignrights.com/fr/serie/thorgal/
Jorund le Taureau ?
Lien vers les 6 premières planches de l'albumC’est vrai que le lien est discret, alors je le remets ici.
Tjahzi a écrit
Les 6 premières planches de « L’Ermite de Skellingar » sont visibles sur le site d’Izneo.
Viking ?
Agressif envers Thorgal ?
Reportage sur Branchés CultureLe galeriste Denis Javaux et l’artiste Graza répondent aux questions de Branchés Culture.
L’interview complète est à voir ICI.
La grâce de Graza, loin de Thorgal mais au chevet du théâtre et du fantastique, pour ouvrir Aarnor, la galerie de Denis Javaux
Bonjour Denis, vous n’êtes pas venu à la BD par hasard, c’est une passion depuis longtemps pour vous !
Denis : Oui, une grande passion, depuis mes 13-14 ans. Je pense que le tout premier album que j’ai vraiment lu était Les Prisonniers du Bouddha, une aventure de Spirou et Fantasio par Franquin. De fil en aiguille, j’ai lu tous les Spirou puis les autres oeuvres de Franquin – j’ai découvert l’irrésistible Gaston Lagaffe, et je suis parti dans d’autres univers. J’étais lancé.
J’ai eu la chance de rencontrer des grands auteurs comme Franquin, Lambil mais aussi Derib qui est devenu un grand ami et fut le témoin de mon mariage. J’ai été pris dans l’engrenage et me suis passionné plus que pour la BD, pour le dessin. Et, fatalement, la BD étant un art, je suis également allé voir ce qui se faisait dans les autres : la peinture, le théâtre…
Je ne me définis pas comme collectionneur. Pour moi, ce sont des gens qui veulent tout, absolument tout avoir. Je suis plutôt un amateur. Je fonctionne au coup de coeur.
Mais il n’est pas question que de BD.
Denis : Non, les galeristes axent souvent sur le travail en BD mais il y a aussi tout le travail d’illustrateur dont je ne voulais pas me priver, que je voulais mettre en valeur. Vous savez, ces livres pour enfants sur lesquels on retombe et dont on se souvient à quel point ils nous ont transporté.
Combien d’exposition comptez-vous présenter ?
Denis : J’espère en avoir huit par an, trois semaines pour chaque. C’est une galerie d’illustration visant à mettre en valeur le travail des illustrateurs. La preuve avec Graza, la première artiste que nous accueillons. Elle est connue pour son travail de coloriste sur la série Thorgal, jusqu’à ce que Rosinski ne revienne aux couleurs directes mais elle a aussi d’autres facettes méconnues voire inconnues du public. Au niveau des arts du spectacle et de la télé puisqu’elle a travaillé sur des décors de théâtre. En plus, il y a des tableaux à l’huile qu’elle présente pour la toute première fois.
Quel a été son parcours ?
Denis : Elle a suivi un double-cursus aux Beaux-Arts de Cracovie, en tant qu’architecte d’intérieur puis d’illustratrice.
Que percevez-vous dans ses tableaux ?
Denis : J’ai trouvé un terme, peut-être un peu ronflant, mais qui représente vraiment ce que je ressens : c’est du mélancolico-fantastique. Ce sont des créatures pas tout à fait humaines dans différentes attitudes. Et, ils ont dans les yeux, une lueur. Ils semblent perdus. Ils se cherchent.
Cela fait une dizaine d’années que Graza s’y est mise. Les titres qui les introduisent n’étaient pas vraiment prévus. C’est au moment de l’accrochage que nous nous sommes dit qu’il était peut-être mieux de leur en donner un.
Puis, il y a ce travail pour le théâtre.
Denis : C’est une chance car, souvent, les dessins des décors, des costumes restent propriété du théâtre. Plusieurs pièces présentes, ici, sont d’ailleurs signées par le metteur en scène, pour marquer son accord. À l’Opéra de Paris, à un moment donné, le visiteur passe devant une grande collection vitrée : une partie des dessins et recherches pour les décors, costumes…
Si les têtes des personnages sont esquissées, parce qu’ils importent peu, on peut voir la précision de Graza. Elle va même jusqu’à chercher des morceaux de tissus qu’elle colle sur son dessin pour marquer la direction dans laquelle il faut aller.
Graza : À l’époque, dans les années 80-90, la Pologne était très friande de théâtre. C’était l’âge d’or. J’ai travaillé dans des cadres différents, pour des pièces dramatiques mais aussi pour la télévision. Qui, en plus, retransmettait certaines pièces. J’ai travaillé pour les théâtres de Cracovie, de Varsovie…
Même si on connaît très peu ce travail, qui reste, comme le soulignait Denis, dans les théâtres et n’en sort pas, en général. Pourtant, c’est vraiment sur votre dessin que s’appuie le décor ou les costumes. Mais avec des directives ? Comment cela se passe-t-il ? Quel est la part de créativité ?
Graza : C’est du boulot. Le dessin dont avoir une finition identique à ce qui va être réalisé. Et dans la conception, très peu de changement. Mais, dans cette exposition, il y a d’ailleurs certains dessins qui sont entourés de photos.
Pour faire l’avant/après.
Graza : Mais, c’est un véritable travail de création, de scénographie. En « couple » avec le metteur en scène. Il faut avoir la même sensibilité. Moi, je propose une conception. Si ça fonctionne, alors on fonce !
Pourquoi Graza pour ouvrir le bal ?
Denis : On m’a demandé pourquoi je ne commençais pas par exposer des grands noms. J’espère, c’est sûr, mais je me suis donné comme mission de faire découvrir. Puis, en y réfléchissant, il y a une logique. Graza et son mari, Kas, sont les premiers à qui j’ai parlé de mon envie d’ouvrir une galerie. Aussi, Thorgal m’a énormément marqué. Ma fille s’appelle Aaricia. Et quand on sait que Graza a fait les couleurs de plusieurs oeuvres de Rosinski, ça coulait de source.
Elle n’a jamais vraiment exposé en public. Ça lui a fait quoi de se le voir proposer ?
Denis : Elle a sauté de joie m’a dit sa fille. « Tu as fait une femme heureuse ». C’est une situation bizarre, qu’elle a. Elle est toujours dans l’ombre, du théâtre, de Kas. Son travail, on le connaît peu, c’était l’occasion. Kas est aussi présent dans l’expo par un petit clin d’oeil. Il a souvent réalisé les affiches des spectacles pour lesquels Graza travaillait. Comme la version polonaise d’Un Tramway nommé désir.
Graza, quel est votre sentiment à l’aube de votre première exposition ?
Graza : De l’impatience mais aussi un peu d’inquiétude. Ici, je suis plutôt connue comme coloriste de BD réaliste. Mais, en Pologne, c’est pour ce travail que vous découvrirez ici, en tant que scénographe, que les gens me connaissent. Puis, Spy, c’est peut-être mieux pour montrer mes oeuvres. C’est plus intimiste. Aussi, je n’ai jamais montré mes tableaux, ça fait plaisir qu’on s’y intéresse.
Cela fait dix ans, peut-être un peu plus, que vous vous y êtes mise. Pourquoi ?
Graza : Je dessinais et peignais toujours sur demande. Un jour, je me suis dit que si j’avais du temps libre, je m’y mettrais. Mais je ne considère pas vraiment cela comme de la peinture. Je ne suis pas peintre. Je considère que je réalise des illustrations/des dessins en peinture. D’ailleurs, je commence toujours par dessiner. La peinture vient après. C’est aussi pour ça que j’utilise l’huile. Elle fait tout changer, tout le temps. C’est une technique !
C’est une manière de parcourir des expressions, des sentiments : joie, tristesse, étonnement. Le tout dans différentes poses. Je pense que ce que je fais garde quelque chose d’énigmatique.
Il y a pas mal de rouge. Comme dans votre dernier album avec Pierre Dubois et Kas, d’ailleurs.
Graza : C’est une couleur que j’adore, éminemment symbolique : pour le sang, l’amour. C’est très fort. Pour le reste, je ne veux pas tout dire sur ce que je mets dans mes oeuvres. C’est bien que le spectateur puisse imaginer autre chose. C’est comme la poésie, chacun l’interprète de manières différentes. C’est ce qui en fait l’importance.
Source: Branchés Culture
Evolution des couverturesLes tomes d’Arlequin que j’ai acquis récemment sont des rééditions avec une nouvelle couverture. C’est intéressant de comparer l’évolution très marquée des couvertures des albums. Elle correspond au style de 3 décennies différentes. La première édition au Lombard date des années ’80, la seconde chez P&T Production des années ’90 et la dernière chez Joker Editions (ex P&T) des années 2000.
1/ Les éléphants se plument à l’aube
2/ L’as, le roi, la dame et le valet
3/ La baleine qui chantait faux
Source images : BDGest
Photos du tome 1 de l'intégraleAh c’est sympa, cette sortie en français.
J’avais suivi l’impression de ce tirage de luxe en Pologne, mais je ne pensais pas qu’il serait traduit. La version polonaise en est à son second tome. C’est Piotr Rosinski qui porte ce projet avec la galerie Polish Comic Art.
Bon, j’imagine que le chef attend que je m’occupe des photos…
Un humain ? 100 %
Il n’y a pas encore de sujet du forum consacré à Arlequin, mais ce serait bien que tu en crées un.
Je viens justement d’acheter les tomes 2 & 3 en super promo cet été, mais je n’ai pas encore pris le temps de les lire.
Stéph y a quand même consacré un paragraphe dans la biographie de Jean Van Hamme :
Présentoir tome 26Merci pour le retour sur le XIII History.
Au vu de la planche N&B ci-dessus, le tome 26 ne sera certainement pas la fin d’un cycle… Voici son présentoir pour sa sortie le 8 novembre.
Source: Twitter d’Yves Schlirf
Posté 10 septembre 2019 à 23 h 19 en réponse à : Largo Winch – Introduction à la finance Lien | CiterOn découvre dans les mains du dessinateur Philippe Francq la taille de l’album un peu plus réduite qu’une BD classique : 25 x 18 cm pour 104 pages, le tout vendu au prix de 25 €.
Sources : Editions Dupuis & Instagram de Philippe Francq
Mais voyons, il ne fait que défendre sa famille… et son meilleur ami…
Js a écrit
« Je trouve ton père… fort séduisant. »
Et maintenant c’est une guenon qui aime Thorgal!!!Attention, Aaricia va nous refaire une dépression !
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 8 mois par Tjahzi.
C’est un personnage de La Jeunesse ?
mais pas que…
Planche 43 du tome 26Encrage de l’avant-dernière planche du prochain XIII « 2132 mètres » . Commentaires de l’éditeur :
Plus qu’une planche et le tome 26 de XIII est terminé… Allez Iouri !!!
Source : Twitter d’Yves Schlirf
Isis, tu voulais parler de ce message-là de Stéph… oui, il a bien fait de nous prévenir pour le début particulier de la BD.
Thorgal-BD a écrit
Juste quelques mots pour vous dire que j’ai lu l’album il y a quelques jours (en version numérique ! Première fois de ma vie que je lis une BD sur ordinateur ! J’ai dû me faire violence, et faire ensuite une cure de papier). Je peux dire que, fort malheureusement, la page que je vous ai proposée n’était sûrement pas la meilleure pour détendre l’atmosphère. Le langage employé dans cette planche ne se retrouve pratiquement nulle part ailleurs dans l’album. La première page de l’album est aussi bien compliquée. Voilà, c’est dit. Disons que, il y a 2-3 pages au début de l’album qui sont de cet acabit, c’est peut-être mieux que je vous le dise. La suite par contre est bien différente et mérite votre attention. Je vous invite donc à vous préparer à ces premières pages compliquées, puis à donner sa chance au reste de l’album, comme je l’ai fait.J’apprécie que l’histoire démarre vite, on aurait même pu se passer des deux premières planches sans problème, car elles alourdissent vraiment le récit. Les dialogues sont irréguliers, et pas trop adaptés à la série. Mais les dessins superbes nous font presqu’oublier les défauts du scénario !
PS : Pour ceux qui veulent voir la BD de plus près, il faut bizarrement cliquer sur la loupe négative. On peut même voir les images en très gros plan, ce qui est très plaisant.
Les 6 premières planches de l'albumLes 6 premières planches de « L’Ermite de Skellingar » sont visibles sur le site d’Izneo
Nouveau cycle de personnages mystèresC’est reparti pour un nouveau personnage mystère à découvrir
Les 48 précédents sont présentés ci-dessus, issus de la série mère ou des Mondes de Thorgal. Je réponds à toutes les questions, sauf » Qui c’est ? «
Et chaque jour, le portrait du personnage se dépixélise…
Présentation de l'expo dans le journal L'AvenirL’exposition consacrée à Graza qui s’ouvre ce week-end en Belgique ne présente délibérément que le travail d’illustration de l’artiste. On n’y rencontrera donc pas de planches de Thorgal dont Graza a été la coloriste durant de nombreuses années. Thorgal a pourtant marqué le galeriste Denis Javaux, puisqu’il a prénommé sa fille Aaricia !
Au royaume d’Aarnor, l’illustration règne et Graza ouvre le bal
« Alors qu’il faut souvent prendre la route de Bruxelles pour trouver des galeries BD, Aarnor met en campagne l’illustration. Dans toute sa diversité. Dans ce bâtiment du n° 1 de la rue de Sauvenière, parmi les plus beaux du village de Spy, Denis Javaux ne cache pas son excitation. Épris depuis longtemps de BD et d’arts graphiques, il est aussi devenu ce vendredi galeriste d’AarNor. « C’est une histoire de famille. Aar – pour Aaricia, ma fille, -Nor pour Norge, mon fils. »
Deux noms issus de BD (Thorgal et Alvin Norge) qui confèrent charme et identité à ces lieux réinvestis. « Ici, je suis à 500 m de chez moi. Quand j’ai vu que cette ancienne épicerie était en vente, c’était l’occasion ou jamais de réaliser mon rêve. » Rénové de fond en comble, le lieu est resté dans son jus. Avec même un grand jardin (pour de futures expos de sculptures, pourquoi pas) et un studio de 60 m2 (espace pour travailler compris) pour permettre aux auteurs exposés d’y loger et même d’y passer quelques jours.
Un coin de paradis pour faire voyager l’art de l’illustration, qui se suffit à elle-même. Avec des auteurs de BD mais pas de page. Une volonté.
La première à s’afficher, c’est Graza. Artiste polonaise arrivée à Bruxelles il y a 25 ans, on ne doit plus la présenter aux bédéphiles : outre les couleurs des albums de son mari, Kas (le dernier, Les sans-visages, sort le 13 septembre), elle a aussi signé les couleurs de Thorgal de 1992 à 2003. Il n’y en a aucune trace, ici, … de quoi donner l’occasion de découvrir deux facettes inédites de cette superstar de la couleur.
Dans cette galerie spacieuse, le spectateur pourra ainsi découvrir le travail de la créatrice pour des pièces de théâtre et opéras polonais entre conceptualisation de décors et de costumes. De Shakespeare à Ali Baba, le tout emmené par un Tramway nommé Désir. Mais aussi, tout un petit monde de peinture sur huile, tirant vers le rouge, représentant des créatures fantastiques formidables et touchantes. »
Source : Journal L’Avenir
Tu parles des bustes Attakus ?
http://www.thorgal.com/article/statuettes-et-bustes-thorgal-aegirsson
Posté 8 septembre 2019 à 16 h 34 en réponse à : Largo Winch – 22 – Les voiles écarlates Lien | CiterPause sculptureVu sur le compte Instagram de Philippe Francq :
Petite pause sculpture sur ce buste de Largo Winch, avant d’attaquer la suite de l’encrage du prochain album, « Les Voiles Écarlates ».
Aaricia sur EbayBeau portrait d’Aaricia datant de 1984 en vente actuellement sur eBay. C’était l’époque « poupée barbie » !
Posté 6 septembre 2019 à 22 h 41 en réponse à : Largo Winch – Introduction à la finance Lien | CiterInterview sur TTCOn retrouve déjà l’émission ICI sur Youtube.
Festival BD d'AixJe suis allé visiter le lien FB proposé par Quentin. On y découvre l’agréable Lac du Bourget sur lequel se dérouleront les dédicaces de Jean Van Hamme le 23 novembre, ainsi que les cadeaux XIII Mystery dont pourront bénéficier les visiteurs grâce à Dargaud.
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 8 mois par Tjahzi.
Comme j’avais déjà quelques personnages prêts à démarrer, je vais d’abord relancer le jeu du personnage mystère.
Bravo à l’horrible Irminsul (c’est Stéph qui l’a dit !
) ! Et merci au Lombard de laisser Stéph dépenser ses sous sans compter, j’adorerais gagner Les Sans-Visages !
Pas de convention Thorgal en 2019L’info que j’avais postée ci-dessus n’était pas fiable… On retrouve la géolocalisation à Lyon pour tous les évènements de l’agenda du Lombard, même le prochain festival BD de Bruxelles ! Par contre, le 13 octobre reste une date à retenir car Fred Vignaux y dédicace au festival BD Buc (pas à Lyon, mais en Île-de-France !).
Infos : Agenda du Lombard
Merci pour l’annonce de l’émission Nicolaas.
Une autre émission vient également d’aborder le sujet sur Radio Classique avec l’interview de l’auteur Olivier Bossard.
Olivier Bossard est Professeur de Finance et Directeur Exécutif du MSc Finance à HEC Paris.
Depuis 2011, son programme est classé #1 mondial pour la neuvième année consécutive au classement annuel des Masters Finance par le Financial Times.
En Juin 2019, il reçoit le prix du Meilleur Professeur d’HEC Paris.
Il enseigne également la Finance à l’Université de Tsinghua (Pékin) et à l’Université de Hitotsubashi (Tokyo).
Ingénieur diplômé de l’Ecole Centrale Paris, avec une spécialisation en Mathématiques Appliquées, il a passé trois ans au Japon à l’Université Nationale de Yokohama pour se spécialiser en Cryptographie, Réseaux de Neurones Deep Learning et Intelligence Artificielle.Au cours d’une carrière de près de vingt-cinq ans dans les Marchés Financiers et les Produits Dérivés, Olivier Bossard a développé et dirigé des activités de Trading, Structuration et Ingénierie Financière au service de quatre banques d’investissement, essentiellement à Londres mais aussi à Paris, Francfort et Hong Kong.
Passionné par l’enseignement, Olivier Bossard collabore à HEC depuis 1999, en parallèle à sa carrière dans l’industrie bancaire. Depuis 2016, il assume la Direction Exécutive du MSc Finance d’HEC, et consacre son temps à partager son expérience avec la nouvelle génération.
Ses sujets d’étude en cours sont : la Finance 2.0, la FinTech, la Cryptographie et la technologie Blockchain, les applications du Big Data et de l’Intelligence Artificielle en Finance.Sur le site de l’éditeur Dupuis, on découvre une nouvelle couverture pour cet album !
A quoi faut-il penser le premier septembre ? Mais non, pas à la rentrée scolaire, mais plutôt au concours Thorgal ! Et c’est la première fois que j’ai le choix entre toutes les pierres noires et blanches !
Alors je me dis : jour de chance, j’essaie La table de Tjahzi que j’avais délaissée depuis fort longtemps… Et je gagne la partie en 4 coups !
C’est un grand jour, j’ai toutes mes chances pour remporter l’album du mois qui est…
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