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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Tjahzi

Toutes mes réponses sur les forums

40 sujets de 801 à 840 (sur un total de 4,482)
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    Messages
  • en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Gruissan 29 & 30 octobre 2022

    C’est encore un peu loin, mais j’avais envie de déjà vous partager cette date de rencontre avec Fred Vignaux, surtout parce que l’article paru sur le site Tourisme Occitanie est surprenant, je vous laisse le découvrir…

    Gruissan se dessine en conte féérique le temps d’un week-end. Ouvrez le livre, il vous immergera au cœur du monde de la BD. Tournez la page, une trentaine de dessinateurs et de scénaristes vous transmettent leur passion. Continuez votre lecture, un coin jeunesse s’offre aux enfants, place à l’imagination, aux ateliers créatifs, dessins et jeux. Le chapitre qui suit vous propose : projections de films, dédicaces, expos et stand de bouquinistes. En guise de dénouement, rencontrez les plus grands auteurs tels que Frédéric VIGNAUX créateur de Thorgal, Virginie AUGUSTIN créatrice de 40 éléphants, Jean ROBA dessinateur de Boule et Bill et bien d’autres… Jean Louis TRIPP, Audois et co-créateur de Magasin Général avec Régis LOISEL, sera accompagné de son nouveau roman graphique.

    Vous avez trouvé ?   

    Source : Tourisme Occitanie

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer

    J’ai comparé la quatrième de couverture des deux derniers tomes de la Jeunesse, c’est bien plus agréable sans la mention des différents auteurs. On a aussi retiré le slogan sous le titre de la série, et l’album « Aux Origines des Mondes ». On touche à la fin d’une époque…

    Le site BDzoom nous apprend que le tirage de ce tome 10 est de 50 000 exemplaires.

    en réponse à : Thorgal – 40 – Tupilaks Lien | Citer
    Tome 40 : TUPILAKS

    On peut enfin mettre un titre sur ce tome 40 qui sort le 10 novembre 2022 : TUPILAKS.

    Elle est bien loin l’époque où on jouait à chercher le titre du nouvel album… avec celui-ci, on aurait peut-être pu faire un pendu ?   

    Mais qu’est-ce qu’un tupilak, me direz-vous ? J’ai consulté mon ami Wikipédia que je vais citer sans honte.

    Un tupilak est, dans la mythologie inuite, un être maléfique créé par l’homme.

    Le tupilak peut prendre des aspects très variés car il est créé à partir de morceaux d’autres animaux : ainsi, il peut avoir par exemple une tête de phoque, un corps d’ours, des pattes de canard et de renard… De plus, certaines légendes lui attribuent la capacité de prendre l’aspect d’un phoque ou d’un morse pour passer inaperçu.

    Un tupilak est créé par un idisitsek, c’est-à-dire un magicien maléfique, dans le but de tuer une personne déterminée. L’idisitsek assemble des morceaux d’animaux, les ensorcelle et donne ses instructions. Le tupilak part à la recherche de sa victime. Il la tue en la dévorant. S’il ne réussit pas, il finit par renoncer et tue son créateur.

    On apprend sur les sites de vente en ligne que l’album comptera 48 pages et qu’il y aura aussi un tirage de luxe. Et pour terminer, le petit résumé qui fera plaisir à Stéph car il ne dévoile vraiment rien.   

    De retour dans le vaisseau de ses origines, Thorgal doit affronter Néokora, une intelligence artificielle déterminée à restaurer le règne atlante…

    Source : FNAC Thorgal Tome 40

    en réponse à : La coloriste Elvire De Cock Lien | Citer
    Premières découvertes

    Parcourant ma verte province (l’équivalent belge d’un département) ce dimanche matin, je passe par hasard devant un château célèbre pour avoir servi de cachette à des enfants juifs durant la guerre. Curieux, je m’arrête, pénètre dans la cour pour le voir de plus près, et je découvre à ce moment la bibliothèque locale nichée dans un coin.

    Toujours aussi curieux, j’y entre et je tombe aussitôt sur le livre consacré au récit des enfants juifs. Ne voulant pas en rester là, ce bouquin sous le bras, je me dirige vers le rayon des BD pour adultes. Et là, curieusement, mon regard est tout de suite attiré par un nom bizarre, « Tir Nan Og« . Mais oui, c’est le premier album dessiné par Elvire De Cock !

    Ma chance ne s’arrête pas là, car le second tome de la série est aussi bien présent, et surtout un peu plus loin, bien mise en évidence, la couverture de « Ladies with guns » est impossible à rater ! Comblé, j’emprunte le tout, en recevant en plus la confirmation que je peux rendre les livres dans ma bibliothèque la plus proche, ça aussi c’est un super service de mise en réseau !

    Je vais commencer par la lecture de « Tir Nan Og » paru en 2006, puis j’enchainerai avec « Ladies with guns » sorti au début de cette année. Je reviendrai alors vous donner mon avis sur ces différents albums de notre nouvelle coloriste.   

    en réponse à : La coloriste Elvire De Cock Lien | Citer
    Séries récentes

    Voici les albums BD sur lesquels Elvire a travaillé dernièrement :

    Les Frères Rubinstein chez Delcourt avec Luc Brunschwig au scénario et Etienne Le Roux ainsi que Loïc Chevallier au dessin

     

    Ladies with guns chez Dargaud avec Olivier Bocquet au scénario et Anlor au dessin

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Comme souvent dans cette série, je peine un peu avec les personnages, qui ne s’installent pas trop. Par exemple, je viens juste de lire l’album, et je ne me souviens toujours pas du nom du nouveau pote de Thorgal… Attends voir… Bon j’ai vérifié, il s’appelle Seck.

    Ah mais ce n’est quand même pas si compliqué, Yann nous aide beaucoup pour la mémorisation de ses personnages : ici, il s’agit de Seck le Numide… facile, non ?    Comment ça, c’est de l’humour juste bon pour Astérix   

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Vente de planches originales chez Maghen

    13 nouvelles planches originales de Thorgal par Rosinski viennent d’être mises en vente directe chez Daniel Maghen pour un prix allant de 12 à 19 000 €. En voici une sélection subjective.   

    Source : Galerie Maghen

    en réponse à : XIII – Le jeu vidéo Lien | Citer
    Mise à jour du jeu sorti en 2020

    Je ne vous en ai pas parlé depuis sa sortie en novembre 2020, mais cette seconde version du jeu XIII a été un véritable échec à cause d’un nombre incroyable de bugs. Heureusement, Microids proposera une mise à jour majeure du jeu en septembre prochain :

    XIII est le remake de l’emblématique FPS en cel-shaded de 2003. Après sa sortie sur PS4, Xbox One et PC en novembre 2020, le jeu sortira sur Nintendo Switch le 13 septembre 2022.
    Le même jour, le mode multijoueur en ligne sera ajouté et le jeu recevra une mise à jour majeure gratuite (déjà incluse dans la version Switch) pour les versions PS4, Xbox One et PC qui améliorera la qualité globale du jeu pour répondre aux attentes des joueurs.

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer
    Avis sur l'album dans l'Althing

    Voilà l’avis sur l’album que j’ai laissé dans l’Althing. Comme expliqué à ma première lecture du tome, plusieurs éléments m’ont particulièrement dérangé pour prendre du plaisir à lire cette histoire. Dommage car elle avait un certain potentiel…

    « Les dessins finement détaillés de Roman Surzhenko sont cette fois agrémentés par les belles couleurs d’Elvire De Cock. Je regrette cependant qu’il n’y ait aucune mise en scène grandiose. L’effet aurait été impressionnant si on avait laissé plus de place pour dessiner l’arrivée du drakkar devant la capitale des Danes, ou la prise d’assaut de la ville.
    Mais ce qui m’a particulièrement dérangé dans cet album, ce sont les morts qu’on compte à la pelle, avec des têtes tranchées et des corps transpercés à n’en plus finir. Malgré cela, l’histoire manque d’intensité, les dialogues incessants laissant peu de place à l’émotion. Et le rythme de lecture est bien freiné quand le vocabulaire technique demande des renvois d’explication en bas de page.
    Dommage, car le thème de cet album aurait pu donner des scènes bien plus intenses. »

    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer
    Souvenirs de Haarlem par Piotr Rosinski

    Voici encore quelques belles photos de Haarlem prises par Piotr Rosinski. Ce n’est qu’une petite partie des 70 photos qu’il vient de partager sur sa page FB 

    Source : FB de Piotr Rosinski

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Ça correspond au moment où on a beaucoup entendu que la série Thorgal devait devenir plus « adulte ». A l’époque je ne comprenais pas trop. Je me suis dit, pourquoi pas, dans le sens où j’imaginais des intrigues plus difficiles, des personnages plus rudes (comme Shardar ou Ogotaï).

    C’est une évolution qui m’aurait plu…

    Je vous partage encore 2 images de « Sydönia » présentées par Le Lombard. Après, je m’arrête, sinon on aura bientôt diffusé la moitié de l’album… Ces 2 personnages sont importants, le premier qu’on va quitter après tant de tomes, et le second qu’on va certainement retrouver au prochain album.

    Source images : FB du Lombard

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer

    -SPOILER-

    Lecture également terminée de ce nouveau tome, au scénario un peu plus développé que d’habitude grâce à ses 54 planches… mais un tiers de l’album n’est rempli que de combats sanglants, un second tiers de complots en tous genres, tandis qu’un dernier tiers contient enfin quelques réflexions intéressantes. Cela reste vraiment insuffisant pour me passionner pour cette Jeunesse de Thorgal, qui devient d’ailleurs de moins en moins une série pour la jeunesse.

    Les intrigues de palais et autres trahisons ne sont pas trop ma tasse de thé, mais ce qui me plait le moins sont ces morts qu’on compte à la pelle, avec des têtes tranchées et des corps transpercés à n’en plus finir. L’album refermé, j’ai repensé au « Feu écarlate », le tome 35 de la série principale, dont on se plaignait à l’époque du taux trop élevé d’hémoglobine versée. Je l’ai refeuilleté pour comparer, et franchement, l’album « Sydönia » contient bien plus de morts violentes, jusqu’à la répulsion.

    C’est dommage, parce que je sentais poindre quelques réflexions moins moralisatrices, et des coups fourrés pas mal vus dans le déroulement de l’histoire. Reste encore ce besoin permanent du scénariste de nous enseigner son quota de vocabulaire technique avec renvoi en bas de page pour la traduction, ou ces phrases contenant bien trop de noms propres de lieux et personnages pour rendre la lecture agréable.

    Mon espoir d’une conclusion qui arriverait enfin au tome 11 ne vient pas trop de cette histoire-ci, mais plutôt du dessinateur qui a sous-entendu qu’il lui restait un tome de la Jeunesse à dessiner. Mais avec Yann, rien n’est moins sûr, car il n’en finit pas de semer de nouvelles pistes pour la suite, notamment avec cet élixir d’éternelle jeunesse pour Sydönia. J’aimerais un dernier tome qui termine en beauté la Jeunesse de Thorgal, avec une magnifique transition vers le tome 1 de la série principale. Mais j’ai toujours en tête le formidable gâchis de l’album « Aniel », ce qui ne me rassure absolument pas pour la suite.

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer

    Je l’ai trouvé ! Il me reste à me replonger dans cette histoire commencée il y a déjà quelques tomes. Mais je peux déjà vous dire qu’à la fin de la dernière planche, il est écrit « Fin de l’épisode »

    en réponse à : Thorgal Saga – Adieu Aaricia / Robin Recht – 2023 Lien | Citer
    Ça commence à sentir le foin…

    Robin est toujours en vie !    Il nous annonce sur sa page FB qu’il lui reste une quinzaine de planches à réaliser sur un total de 106, et aussi pas mal de boulot pour Gaétan Georges.    En discutant sur FB avec les lecteurs, Robin divulgue également qu’un tirage noir et blanc de l’album est en réflexion…

    Source : FB de Robin Recht

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer
    Sortie du tome X : Sydönia

    Sortie ce 24 juin de « Sydönia », le tome 10 de la Jeunesse…

    ça vaut bien un hurlement de l’ours blanc aux dents bleues   

    Source image : FB du Lombard

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Les dessins de cet album m’ont beaucoup plu, il y a notamment de très beaux portraits. Les couleurs sont chouettes aussi mais elles ont perdu un peu de la douceur que j’avais appréciée dans la version numérique, les contrastes sont davantage forcés, les teintes pètent davantage. Mais franchement, visuellement c’est un bien bel album.

    Je viens de visualiser les dernières vignettes partagées par Le Lombard, les couleurs changent des tomes précédents, elles sont même parfois surprenantes. Je suis aussi impatient de voir ce que ça donne en album. Par contre, certaines images présentées sont vraiment violentes, j’en ai même laissé tomber que je n’appréciais pas.

    Source : FB du Lombard

    en réponse à : Van Hamme – La fortune des Winczlav Lien | Citer

    J’ai enfin lu le second tome de « La fortune des Wincslav ». On retrouve clairement la patte de Jean Van Hamme dans ce récit, avec ses surprises et trahisons au travers d’une saga familiale, devenue un genre à part entière dans sa bibliographie.

    Au fil des générations de la famille Wincslav, même s’il y a des liens entre les tomes, le basculement d’une décennie à l’autre se fait parfois simplement en tournant la page de l’album, sans même un commentaire comme « 10 ans plus tard… », ce qui peut être perturbant. Mais le plus gênant est le manque d’intensité et d’émotion : on ne ressent pas grand chose durant la lecture, même lors de la disparition d’un personnage principal de l’histoire.

    Il faut dire que le dessin de Philippe Berthet est trop propre pour nous faire vibrer, les visages des protagonistes restant souvent froids, ce qui n’éveille guère d’empathie pour leur destin. Je ne suis pas sûr que le dessin de Philippe Berthet (que j’ai pourtant apprécié dans le XII Mystery consacré à Irina) soit celui qui convienne le mieux à ce genre de récit. Côté dialogues, on retrouve le cynisme particulier de Jean Van Hamme, avec des tournures de phrases manquant parfois de naturel.

    Ce n’est donc pas un coup de foudre pour cette série, même si je lirai le dernier tome avec intérêt pour découvrir quel lien Jean Van Hamme fera avec le premier tome de la série principale de Largo Winch. En attendant, j’ai découvert que c’était via les animaux familiers que le lien a été créé avec le monde de Thorgal.   

    en réponse à : Thorgal – 1 – La magicienne trahie – Nouvelles couleurs ! Lien | Citer
    L'étagère imaginaire

    Voici un avis sur la nouvelle colorisation de Thorgal paru sur le blog « L’étagère imaginaire« . Article rédigé par Blondin, bibliothécaire dévoreur de BD et des imaginaires graphiques 

    « Salut la compagnie !

    On va débuter cette nouvelle semaine par une actu éditoriale qui m’intéresse particulièrement puisque Thorgal reste une de mes séries préférées et parce que je suis toujours de près les démarches des éditeurs visant à réactiver des fonds de catalogue. Déformation professionnelle de bibliothécaire sans doute, c’est le même esprit qui anime ce blog lorsqu’on s’efforce de tisser des liens entre des séries, des auteurs et des genres ou pour rappeler à vos bons souvenirs des pépites qui méritent toujours l’intérêt des années après leur sortie.

    L’info n’a pas vraiment fait les gros titres malgré le statut de série majeure dans les ventes de BD franco-belge depuis de longues décennies. Lorsque le Lombard a annoncé la recolorisation des premiers volumes de la saga du Ulysse scandinave, beaucoup de spécialistes, fins connaisseurs ou patrimonialistes (les gardiens du temple) ont crié au loup, à l’opération commerciale cupide qui dénature affreusement l’œuvre du maître Rosinski. Il est vrai que certaines expériences passées assez peu justifiées ont laissé des traces. Quand Casterman a colorisé le Grand pouvoir du Chninkel, œuvre majeur de la collection (A suivre) il n’y avait pas d’autre intérêt que de ressortir un fond de catalogue un peu oublié en croyant que les jeunes lecteurs allaient plus facilement plonger avec de belles couleurs. Pour rappel l’album était paru volontairement en n&b et on a pu comparer cela à la colorisation des Tontons flingueurs, autre œuvre choisie en monochrome par ses auteurs. La légitimité avait été garantie en clamant le soutien de Rosinski mais le découpage en trois volumes reliés ne pouvait que pointer l’aspect commercial.

    Pour Thorgal ce n’est pas tout à fait la même chose puisqu’il faut reconnaitre que les tout premiers volumes de la série étaient dotés de colorisations typiques de l’époque (et de la technologie d’impression d’alors), souvent criardes et parfois baveuses. Ainsi le comparatif des premières pages de l’Ile des mers gelées donne plutôt envie de relire la nouvelle version qui modernise beaucoup les planches. Je ne fais pas partie des puristes qui crient au loup et à la trahison de « l’esprit » quand le résultat est amélioré. Ainsi les deux premiers tomes peuvent profiter de cette colo il est vrai très réussie (Gaétan Georges officie déjà depuis plusieurs années sur les séries Thorgal) mais dès Les trois vieillards du pays d’Aran (le tome trois) on touche les limites de l’exercice puisque hormis un assombrissement manifeste des ambiances (voulue pour manifester les cieux gris de Scandinavie ?) on ne voit pas bien ce qu’apportent les nouvelles teintes. Grzegorz Rosinski n’était pas un grand coloriste avant de se mettre en couleurs directes mais s’est amélioré tout le long et on n’imagine pas l’éditeur aller même jusqu’à reprendre le magnifique travail sur le cycle du Pays Qâ.

    En discutant avec un libraire, il me faisait remarquer un effet pervers de cette opération, qui donnait le sentiment de lire un album paru en 2020, en perdant un côté désuet d’origine. Si je ne regretterai jamais les jaunes fluo d’époque, je reconnais que cela procure une certaine uniformisation pas anodine, le coloriste allant bien plus loin qu’un simple changement de teintes en rajoutant ombres et effets de lumière. Je remarque souvent que des dessinateurs moyens peuvent se trouver très agréables à l’œil après le passage d’un grand coloriste. Pourquoi pas mais cela interroge sur la création de l’auteur.

    Pour conclure je ne peux qu’inviter ceux qui ne connaissent pas encore cette magistrale série à profiter de l’expérience (à 5 euros l’album, on ne peut pas dire que ce soit ruineux) sur les nouvelles couleurs avant de basculer, si cela vous plait, sur les albums classiques dès le cycle des Ombres. »

    Blondin

    Source : L’étagère imaginaire

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Vente à la galerie Daniel Maghen

    Mise en vente de ces esquisses originales (42 x 30 cm) de Kriss et Thorgal à la Galerie Daniel Maghen

    Source : Galerie Daniel Maghen

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Vente aux enchères chez Artcurial

    Mise en vente le 21 juin de cette planche originale de l’ « Ile des Mers gelées » chez Artcurial.

    « Encre de Chine, crayon de papier, grattage et gouache correctrice sur papier pour la planche 9 de cet album publié en 1980 aux éditions du Lombard. Prépublié en 1978 dans le Journal Tintin n°16. Petites salissures marginales. Traces d’adhésif ancienne marge inférieure. Petit manque marge droite. Traces d’adhésif ancien formant des lignes verticales traversant la 1ère case et les marges. 47 × 36 cm « 

    Source : Artcurial

    en réponse à : FAQ – Forum et site Thorgal.com Lien | Citer

    Sirene a écrit

    Bonjour, quelle est l’opinion des membres écrivant des commentaires dans une autre langue (évidemment l’anglais pour ma part) ?
    Autorisé? Indésirable? Pas pratique? Pas du tout un problème ?

    Grâce aux services de traduction automatique, je suis capable de lire et de comprendre presque tous les commentaires et de participer à cet excellent forum Thorgal. Mais j’ai hésité à ajouter des commentaires car le peu de français que j’ai appris une fois ne me permet pas de discuter de choses comme l’ère viking, la qualité du papier ou les navires de mer…

    Bienvenue Sirene    

    Tu peux bien sûr écrire en anglais autant que tu veux dans le forum. Il n’y a pas d’espace réservé à l’anglais, donc tu peux t’exprimer partout. Avec les traducteurs automatiques, on se comprend facilement. Quoique, avec les interventions en polonais, une langue très imagée, le traducteur nous apporte parfois des surprises.   

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer
    Article sur Sydönia dans ActuaBD

    Premier retour (sans spoiler) dans la presse numérique sur le tome 10 de la Jeunesse : chez ActuaBD, l’album Sydönia est apprécié, et en particulier son scénariste Yann dont « les dialogues sont tout en verve ». Je me réjouis de lire cet excellent « successeur du Midas belge du scénario » 

     

    « On polémique souvent à propos la continuation des grandes séries, de cette facilité des éditeurs avides de « faire de l’argent » et c’est quelquefois fondé. Mais c’est faire bon marché des sentiments des fans qui veulent que leur série se prolonge et qui, fidèles et constants, plébiscitent sur la durée ces rendez-vous avec leur série préférée. Thorgal est sans conteste une série qui figure parmi celles qui se transmettent le plus harmonieusement aux nouvelles générations, même les auteurs doivent sauter haut pour être à la hauteur des créateurs d’origine, Jean Van Hamme et Grzegorz Rosinski. C’est le cas pourtant pour le tandem Yann-Surzhenko qui nous livrent avec « Sydönia » un album réussi qui vivifie le mythe de l’Enfant des étoiles.

    Cela tient surtout grâce au scénario de Yann, qui met en scène une séparation -momentanée- du jeune Thorgal à peine sorti de l’adolescence mais déjà un redoutable guerrier et un fin tacticien, avec la belle Aaricia. Il est entraîné par Sveynn à la barbe fourchue -son ambitieux frère de sang- dans une conquête du pouvoir qui ne l’enthousiasme pas. Son cœur est auprès d’Aaricia et il aspire à la retrouver. Mais les dieux, le destin et la magie s’en mêlent, en particulier quand ils prennent la forme d’une flygia, un esprit attaché à la lignée de Dent Bleue assassiné par Sveynn, et quand la jeune Sydönia, une enfant précoce dans le registre du cynisme et de la cruauté, convoite également le trône, on comprend que l’on tient là un écheveau d’aventures qui n’est pas prêt à se dénouer de sitôt !

    Les séquences s’enchaînent sans dépareiller, les inventions font rebondir l’intrigue à chaque page et les dialogues sont tout en verve. Yann est incontestablement le meilleur successeur de Jean Van Hamme : on a l’impression que la flygia du « Midas belge du scénario » lui tient la plume…

    Quant à Roman Surzhenko, il tient solidement la barre du dessin. Il n’a pas la virtuosité d’un Rosinski, certes, mais il « fait le job » avec une belle efficacité produisant quelquefois de belles images. Tout au plus peut-on lui reprocher une approche trop fonctionnelle des décors et des matières qui mériteraient quelquefois une once d’intention artistique. La remarque vaut aussi pour la coloriste Elvire De Cock qui gagnerait à éclaircir sa palette et à soigner les « belles images ».

    Il n’en reste pas moins que la Jeunesse de Thorgal est une des séries du moment les plus réussies qui donnent envie à relire l’ensemble de la collection, et ce n’est pas un mince compliment. »

    D. Pasamonik

    Source : ActuaBD

    en réponse à : Mathieu Mariolle Lien | Citer
    Arjuna

    Arjuna,  premier album paru en 2022 pour Mathieu Mariolle, nous plonge dans les légendes de l’Inde du XIXème siècle. Laurence Baldetti a dessiné les 96 pages de ce one-shot paru chez Glénat en ce mois de juin. On peut en découvrir les 10 premières planches sur le site de l’éditeur Glénat.

    « La prophétie doit s’accomplir.

    Inde, XIXe. Tandis que l’occupant anglais cherche à tout prix à séculariser ce pays aux multiples croyances et divinités, la population locale craint l’arrivée d’un enfant qui pourrait bien être la réincarnation du puissant démon Ravana. Dans ce contexte, l’autochtone Arjuna, une belle jeune femme qui met ses pouvoirs singuliers à disposition du plus offrant, se voit chargée de ramener la fille délurée d’un colonel britannique au Royaume-Uni. Mais leur périple maritime va conduire les deux femmes dans l’antre des pirates indépendantistes menés par le commandant Kanhoji. Une révélation inattendue va alors sceller leur destin. Se pourrait-il que cette jeune anglaise porte en son sein l’enfant tant redouté ? Bientôt, Arjuna, Kanhoji et un prêtre excommunié vont former un groupe uni autour d’une même cause : protéger la mère et donner une chance à cet enfant de vivre. Commence alors une longue route semée d’embûches à travers l’Inde coloniale… Mathieu Mariolle au scénario (Nautilus, La Voie du Sabre, Far Cry… ) et Laurence Baldetti au dessin (La Quête d’Ewilan… ) revisitent le folklore et le bestiaire fantastique indiens au fil d’une fresque envoûtante aux décors flamboyants, riche en aventures spectaculaires, combats titanesques et suspense débridé ! »

    Source : Editions Glénat

     

    Pennybridge a écrit
    Il y a Far cry – Les larmes d’Esperanza qui sort, de Mathieu Mariolle.  Quelqu’un en a parlé?

    Non, tu étais le premier à l’annoncer, Penny. Et je n’ai pas encore eu l’occasion de le feuilleter…

    en réponse à : Dédicaces Lien | Citer
    Mise aux enchères le 19 juin de cette dédicace de 1984

    Belle dédicace de Grzegorz Rosinski en 1984 sur la page de garde de « La Magicienne trahie ». En vente chez BD Enchères le 19-06-2022 via l’Hôtel Drouot.

    Source : Hôtel Drouot

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer
    Sortie dans 2 semaines

    Sur sa page FB, Le Lombard partage quelques belles vignettes de l’album « Sydönia ».

    Plus que 2 semaines avant de le découvrir   

    Source : FB du Lombard

    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer
    Dessins de Sioban à 4 mains

    Avec Paul Teng, Grzegorz Rosinski présente le dessin finalisé à son fils et à sa petite-fille.   

    Les deux dessins réalisés conjointement par Paul et Grzegorz à Haarlem seront bientôt vendus aux enchères pour soutenir les victimes de la guerre en Ukraine.

    Le journal Haarlems Weekblad nous apporte des informations sur cette vente aux enchères exceptionnelle.

    (Traduction automatique du texte en néerlandais)

    Des œuvres d’art uniques créées au festival Stripdagen sont mises aux enchères pour l’Ukraine.

    Les deux maîtres de la série fantastique « La Complainte des Landes perdues », Grzegorz Rosinski et Paul Teng, ont créé deux œuvres d’art grandeur nature en direct pendant les Stripdagen à Haarlem. Les œuvres seront bientôt en vente sur le site d’enchères Catawiki et pourront être vues dans le Naaiatelier Haarlem, un nouvel espace d’exposition à Spaarnwouderstraat 124.

    Le produit des deux dessins uniques est destiné à l’aide médicale aux victimes de la guerre en Ukraine, le pays voisin de la famille Rosinski. Gregorz Rosinski, le premier dessinateur de la bande susmentionnée et de celle de ‘Thorgal’, est originaire de Pologne, où il existe une grande solidarité avec le pays voisin ravagé par la guerre. La campagne de bienfaisance est donc une initiative de la famille Rosinski. 

    La Fondation polonaise Folkowisko fournit une aide humanitaire à l’Ukraine. La fondation fait don de livres en ukrainien aux écoles polonaises où étudient les enfants des réfugiés ukrainiens. Son objectif est l’aide au développement humanitaire, culturel et éducatif, et la lutte contre l’exclusion sociale dans les zones de conflit à travers le monde. Après tout, la fonction du soutien est double : non seulement offrir une évasion aux horreurs de la réalité, mais aussi essayer de les rendre plus supportables. Ce projet permettra d’atteindre les deux.

    La première œuvre réalisée le lundi de Pentecôte est celle de Sioban, la courageuse fille du roi, dessinée à leur manière par les deux artistes. Côte à côte, sur le même papier, en même temps. Une expérience unique, selon le rotterdamois Paul Teng. « Un quatre-mains sur papier, en fait. »

    Le dessin du personnage Sioban de la série de bandes dessinées n’est pas la seule œuvre qui sera mise aux enchères. Les dessinateurs ont vite appris et ils se sont emparés de la deuxième feuille de papier pour représenter une scène de l’un des scénarios de « La Complainte des Landes perdues » qi montre les personnages Sioban et Seamus.

    Les œuvres d’art nouvellement créées peuvent être vues jusqu’à la fin de la vente aux enchères dans le tout nouvel espace d’exposition Naaiatelier Haarlem. L’exposition des originaux de « La Complainte des Landes perdues » par les cinq dessinateurs de la série peut être vue jusqu’au 19 juin dans le nouvel espace d’exposition de Haarlem. Le site Web du Stripdagen annoncera le début et la fin de la vente aux enchères. Consultez http://www.stripdagenhaarlem.nl

    Source : Haarlems Weekblad

    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer
    Exposition sur la Complainte en vidéo

    Visite virtuelle de l’exposition consacrée à la Complainte des Landes perdues au Naaiatelier à Haarlem.

    Source : FB Naaiatelier Haarlem

    • Ce sujet a été modifié le il y a 2 ans et 10 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Photos de Sérignan

    Retour en photos sur le festival BD de Sérignan où Fred Vignaux était l’invité d’honneur le week-end dernier.   

    Vernissage de l’exposition consacrée aux planches et couvertures de Fred

    Traditionnelle séance de dédicaces

    Elvire De Cock, la comparse de Fred Vignaux et de Roman Surzhenko

    Remise des prix par le président du festival

    Ça paie d’être président   

    De chouettes rencontres !

    Sources images : FB du festival BD de SérignanFB de la Ville de SérignanJournal Midi Libre

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Interview à Sérignan pour Ligne Claire

    Fred Vignaux a répondu aux questions de Jean-Laurent Truc pour Ligne Claire. Il nous en dit un peu plus sur son style de dessin, l’avancement du tome 40 de Thorgal et le projet du tome 41.

    Source : https://www.youtube.com/c/LigneclaireInfo

    • Ce sujet a été modifié le il y a 2 ans et 10 mois par Tjahzi.
    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer
    Stripdagen Haarlem

    Lokocha, sans me déplacer, je te rapporte plein d’images de Haarlem !   

    L’évènement a été bien suivi aux Pays-Bas, c’est un plaisir de partager les photos, vidéo et article de presse dont je mentionne les sources.   

    Voici d’abord un article du site Haarlem105.nl en traduction automatique.

    Artistes de bande dessinée travaillant ensemble lors d’une campagne de charité pour l’Ukraine : « Copie unique »

    Lors des Haarlem Comic Strip Days, deux maîtres de la bande dessinée fantastique ont dessiné un personnage de bandes dessinées « en direct ». La copie sera mise aux enchères en ligne cette semaine et les bénéfices iront à l’aide médicale aux victimes de la guerre en Ukraine.

    « Un quatre-mains sur papier », c’est ainsi que le célèbre dessinateur hollandais Paul Teng considère l’action qu’il a entreprise aujourd’hui avec le maître polonais de la bande dessinée Gregorz Rosiński. Le terme fait référence à une pièce pour piano jouée par deux pianistes. Le fait que deux dessinateurs dessinent sur une seule feuille de papier est unique, de sorte que la vente aux enchères devrait générer beaucoup d’argent.

    Le thème de l’édition anniversaire reportée du festival de la bande dessinée à Haarlem est la fantaisie. Ce genre de bande dessinée a émergé entre les deux guerres mondiales. Souvent, dans les histoires fantastiques, comme dans Les Chroniques de Narnia, la guerre est présente. Le fait qu’une guerre se déroule en Europe à proximité était une raison de plus pour organiser la campagne de bienfaisance.

    Le personnage de dessin animé que Rosiński et Teng ont dessiné aujourd’hui est Sioban. Les deux artistes participent à la série « La Complainte des Landes perdues », dans laquelle Sioban joue le rôle principal.

    Des planches de la série « La Complainte des Landes perdues » sont exposées dans l’espace d’exposition Sewing Atelier dans la Spaarnwouderstraat à Haarlem. Le dessin « en direct » du lundi après-midi a été filmé avec Paul Teng et Gregorz Rosiński aux crayons. La vidéo peut être visionnée via le site Web du Stripdagen Haarlem . Là, il sera annoncé quand et comment la vente aux enchères aura lieu.

    Avec une vidéo en complément, juste pour le plaisir des images animées pour ceux qui ne comprennent pas le néerlandais.   

    Source : Haarlem105

    Il y a aussi 3 extraits en vidéo de l’entretien avec les auteurs sur la page Facebook de l’organisateur du festival :

    https://www.facebook.com/StripdagenHRLM

    Et de nombreuses photos provenant de l’exposition organisée par Naaiatelier Haarlem, avec dessins en direct des auteurs.

    Sources images : Naaiatelier HaarlemNatasja van Loon

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Festival BD de Sérignan du 3 au 5 juin 2022

    Le festival BD de Sérignan, c’est ce week-end ! Un bel article de Ligne Claire présente Fred Vignaux, Thorgal et les Vikings, les invités d’honneur de cette année.

    « Les trois coups pour le Festival BD de Sérignan 2022, c’est aujourd’hui, le 3 juin puis suite le samedi 4 juin et fin le dimanche 5 au soir. Les Vikings vont être les rois de la fête 2022 car ils sont le thème de cette édition et reviennent en force sur le front de la BD certes avec Thorgal signé par Fred Vignaux qui signe l’affiche mais aussi par exemple avec la très bonne série Sigrig ou Jylland chez Anspach. A noter que les auteurs de Non-Retour, Olivier Mangin et Jean-Laurent Truc au scénario, bien que n’étant pas Vikings, seront présents en dédicace à Sérignan. Il y aura aussi le Prix de la ville.

    Comme le précise avec force le communiqué de Sérignan, les Vikings, terribles hommes roux du nord, ont toujours nourri les œuvres de fictions. On se rappelle du duo infernal de Kirk Douglas et Tony Curtis dans le film de Richard Fleisher tourné en 1958 qui a marqué des générations, plus récemment la série du même nom a connu un succès énorme au niveau international. Dans la bande dessinée, on a forcément en tête les gags de Goscinny, sous le crayon d’Uderzo dans Astérix chez les Normand et La Grande traversée, sans oublier outre-atlantique Hägar Dünor ou encore le Thor de Marvel et jusqu’au Pacifique avec le Vindland Saga de Makoto Yukimura.

    Ces envahisseurs sans peur qui ont nourri tant de terreur dans leurs nombreuses sagas, le 27è festival BD de Sérignan a décidé de s’embarquer avec le plus célèbre de ces représentants. C’est le dessinateur Fred Vignaux qui a réalisé l’illustration de l’affiche. A la proue d’un drakkar siège Thorgal. Pas n’importe lequel des Vikings, le plus célèbre du 9ème art créé en 1977 dans le journal Tintin, par Jean Van Hamme au scénario et Grzegorz Rosiński au dessin. Viking atypique, alors qu’il est un guerrier hors pair, il est doublé d’un humanisme qui lui fait fuir la violence des hommes. Fred Vignaux a repris le flambeau de cette série avec superbe, il prépare actuellement son 4ème opus qui sera le 40ème tome de la série.

    Une exposition Thorgal et la Mythologie lui est consacrée du 05 avril au 18 juin 2022 à la médiathèque S. Beckett, vernissage le 03 juin à 18h en ouverture du Festival. »

    Source : Ligne Claire

    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer
    Béatrice Tillier absente à Haarlem

    Lokocha a écrit
    je ne pourrai malheureusement pas y être , mais si un gentil forumer se rend à Haarlem, pourrait il faire plein de photos, pour les mettre ici même, et me permettre de les mettre sur page FB consacrée à la Complainte… 

    Désolé, c’est aussi trop loin pour moi… De son côté, Béatrice Tillier, touchée par le covid, ne pourra pas rejoindre les autres auteurs de la Complainte à Haarlem :

    Source : Blog de Béatrice

    en réponse à : La Complainte des Landes Perdues Lien | Citer
    Mise en couleur par Bérengère Marquebreucq

    Bérengère Marquebreucq, la coloriste de Paul Teng dans le cycle des Sudenne, nous partage quelques cases du prochain tome de la Complainte.

    Source : FB de Bérengère

    en réponse à : Jeux – Escape Game Thorgal Lien | Citer
    L'escape game en librairie

    Un peu honteux de la manière dont je me suis procuré mon escape game Thorgal (voir ICI), je me suis rendu dans les librairies autour de chez moi pour voir comment le livre y est distribué. Eh bien, grosse déception !  Des quatre librairies, une seule disposait de l’escape game. Et encore, il m’a fallu du temps pour le trouver !

    J’ai débuté par mon petit libraire traditionnel, le Point Virgule, auquel je ne donne plus des années au vu du peu de fréquentation de son commerce. Il présente le meilleur de la BD, mais il ne peut évidemment pas suivre avec toutes les nouveautés qui sortent chaque année. Comme il ne connait pas l’escape game Thorgal, on regarde ensemble sur internet, et il me dit qu’il peut le commander pour moi. Je lui dis que je veux juste le feuilleter, alors il me propose de le commander et si je le ne veux pas, il le gardera. Je refuse et un peu honteux, j’attrape le dernier Van Hamme que je lui achète illico.   

    Alors là, ce n’est pas du tout chez mon libraire, même si c’est bien l’album que je lui ai acheté. Sur mon chemin, je me suis arrêté chez Cora où le rayon BD est immense. Regardez la mise en place du dernier tome de la Fortune des Winczlav !   

    Malheureusement, l’escape game Thorgal y est inconnu, tout comme les autres escape game de chez Mango. Même topo chez Carrefour, où le rayon librairie y est plus restreint. Dans ces deux supermarchés, on me propose aussi de le commander, mais à ce rythme-là, j’en aurai bientôt une pile à dédicacer à la maison.   

    Je termine ma tournée par une librairie-papeterie Club où je fais parfois de belles découvertes côté bédés. Cette fois encore, je fais le tour complet des rayons, mais rien. Je m’adresse à nouveau au vendeur, qui trouve dans sa base de données que l’escape game est bien en magasin. Enfin une bonne nouvelle !

    On part ensemble à sa recherche, parce que le vendeur ne sait pas plus que moi où il est rangé. Au bout de quelques minutes, on en retrouve une pile au rayon livres de jeux. C’est logique, même si je trouve ça bien moins vendeur que de le présenter aux fans au milieu des bédés.

    Ne croyez pas que les livres étaient présentés comme ça, ils étaient sur une seule pile. Mais pour la photo, j’ai viré les autres livres de jeux du premier niveau, et j’y ai étalé tous les escape game Thorgal, ça donne mieux, non ? Et le pire, c’est que j’ai laissé cette belle présentation en repartant !   

    en réponse à : Van Hamme – La fortune des Winczlav Lien | Citer

    De passage dans le Cora de mon coin, regardez comment Jean Van Hamme y est reçu avec son dernier album !   

    en réponse à : Rani Lien | Citer
    Les Damnés de l'or brun

    En passant devant cette BD, j’ai été intrigué par la préface de Jean Van Hamme qui y est annoncée. Alcante et Francis Vallès sont les complices de Jean Van Hamme dans la série Rani. Cette nouvelle série, Les damnés de l’or brun, s’attaque au mythe du délicieux chocolat. Je vous partage la préface de Jean Van Hamme, vous reconnaitrez son style d’écriture.   

    Référence : Les Damnés de l’or brun, éditions Glénat

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Ventes aux enchères chez Daniel Maghen

    Vente aux enchères ce 20 juin chez Maghen de cette planche d’Au-delà des Ombres avec un encrage incroyable.   

    Au-delà des Ombres (T.5), Le Lombard 1983

    Planche originale n°30, prépubliée dans Le Journal de Tintin n° 368 du 28 septembre 1982.

    Encre de Chine sur papier

    36 × 47,1 cm

    Estimation : 25 000 – 30 000 EUR

    Source : Daniel Maghen Enchères

     

    L’année dernière, cette autre planche du même album a remporté un vif succès à la vente.

    Au-delà des Ombres (T.5), Le Lombard 1983

    Planche originale n° 32, prépubliée dans le Journal de Tintin n° 371 du 19 octobre 1982

    Signée. Encre de Chine sur papier

    36,2 × 46,8 cm

    Résultat : 41 600 EUR

    Source : Daniel Maghen Enchères

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Merci Tjahzi pour ce reportage très intéressant sur notre nouvelle coloriste ! Si tu es d’accord, je le présenterai en accueil du site, en juin.

    Bien sûr, je suis d’accord, et tu pourras le compléter quelque peu avec l’info que j’ai reçue entretemps du Lombard (oui, oui, je me fais passer pour toi au Lombard afin d’obtenir des infos, ça marche toujours bien !   )

    Le Lombard a écrit

    Roman Surzhenko souhaitait se concentrer sur le storyboard et le N&B, et a demandé lui-même à ce que l’on cherche un nouveau coloriste. Elvire De Cock étant une grande fan de Thorgal et travaillant dans le même atelier que Fred Vignaux, c’était la personne parfaite pour reprendre les couleurs de la Jeunesse de Thorgal !

    en réponse à : Jeux – Escape Game Thorgal Lien | Citer
    Retour sur la première aventure du livre

    Avez-vous reconnu le nouvel arrivant dans ma bibliothèque ? Oui, là, juste après le 29bis, accompagnant les albums de Jean Van Hamme et Grzegorz Rosinski. C’est bien lui, l’escape game Thorgal !   

    Bon d’accord, vous avez remarqué les coins de l’album déjà défoncés, mais ce n’est pas ma faute, enfin si, un peu… Impatient de découvrir le livre, comme je ne le trouvais pas les premiers jours en librairie, je l’ai commandé chez Amazon. Erreur de débutant, on ne m’y reprendra plus ! En le voyant arriver, impossible qu’une mince enveloppe cartonnée comme celle-là protège un livre rigide. Et même pas de renfort intérieur autour des coins de l’album ! Moi qui achète des BD d’occasion via internet à des particuliers, je peux dire qu’Amazon en apprendrait beaucoup d’eux sur la manière de protéger l’envoi d’un livre.

    Passons… de toute façon, un livre, ça doit vivre… (ça te rappelle une autre discussion, Stéph ?   )  Et venons-en à la qualité de l’album, digne des tirages de luxe de Thorgal, avec un pelliculage doux et des images brillantes en couverture. Les pages intérieures sont imprimées sur un papier résistant, avec un rendu mat, comme dans les premiers Thorgal, et un beau liseré imprimé rappelant le travail de Piotr Rosinski dans les éditions haut de gamme de la série. Mais que vois-je au dos de l’album ? Un site thorgal.fr qu’on m’aurait caché depuis tout ce temps ?   

    Avant de me lancer dans la première aventure, j’ai lu tout ce qu’il y avait autour. Enfin non, quand même pas les indices et solutions des épreuves, ce n’est pas mon genre. Mais plutôt l’introduction, le sommaire, la présentation des héros, tout ça est fort bien fait. Tiens, je me demande s’il n’y a pas une inversion entre les pages de bloc-notes et les dernières pages avec la table des matières qui sont devenues détachables. J’avais lu quelque part que les fiches de Jolan sont aussi imprimables, mais je ne sais plus où… parce que même si je veux que le livre soit utilisé, je n’ai pas envie de le découper ou le scribouiller dans tous les sens. C’est sûr qu’on a besoin de noter plein de choses pendant l’aventure, mais j’aurais eu encore plus besoin de papier calque. L’envie était très forte d’écrire directement dans les pages du livre, et pourtant je me suis retenu !   

    Alors venons-en à cette première aventure, la seule que j’ai vécue pour l’instant dans l’album. J’ai donc commencé par le labyrinthe d’Ogotaï, en incarnant Thorgal qui doit libérer sa belle en moins d’une heure. Eh bien, vous savez quoi ? Quand je suis arrivé au sommet de la pyramide, Aaricia s’était envolée avec Ogotaï depuis belle lurette ! Après une longue introspection, j’en ai déduit que ce n’était pas mon niveau de débutant en escape game qui était en cause, mais plutôt le perfide auteur qui m’avait bien eu ! Car oui, la première énigme est abordable, et là tous les espoirs sont permis pour la suite. Mais si je place cette première étape au niveau 2 de difficulté, c’est au niveau 10 que je place l’étape suivante ! Impossible de réussir l’épreuve, au point de laisser tomber en soirée et d’y revenir le lendemain. Tiens, en passant, regardez bien sur la photo au bas de l’album, le coin plié veut dire que vous devez tourner la page pour trouver la suite de l’énigme, un détail très important.

    Avant de revenir sur cette étape qui m’a fait douter de mes capacités à arriver au terme de l’aventure, je voudrais aborder les dessins d’Adrien Tardy. Bien aérés, ils allègent les pages, rendant la lecture fort agréable. Ils sont très différents, mais en même temps complémentaires de ceux de Grzegorz Rosinski qui sont reproduits ici dans une qualité optimale. Je reprocherais juste un manque de relief dans certaines scènes, relief que Grzegorz nous faisait si bien ressentir avec ses ombrages. Par exemple, dans cette scène qui m’a tant fait suer, je doutais de la réalité de certains canaux d’eau : étaient-ils réellement creusés, ou était-ce des trompe-l’œil ? Merci aussi pour les objets présents : j’ai essayé d’utiliser la fourche pour déplacer les dalles, renverser les stèles, enlever les pierres éparses, mais rien n’y a fait… Après cette seconde tentative infructueuse, j’ai dû me résoudre à me servir des indices qui me faisaient de l’œil dans la partie orangée de l’album.

    Les indices sont bien détaillés, je les ai lus chacun à leur tour jusqu’à comprendre ce qui me bloque : indice 1 ok, indice 2 ok, indice 3 ok, indice 4 ok. Mais alors, j’avais déjà compris tout ça ! Pourtant, je ne voyais toujours pas comment sortir de cette salle… Alors je me suis rabattu sur les indices de la salle voisine, tout en étant dépité d’en arriver là. Pourtant le premier indice me dit de revenir dans la salle précédente et d’explorer la pyramide. Mais je ne fais que ça, c’est à devenir fou ! Au comble du désespoir, j’ouvre la partie rouge du livre pour me résoudre à lire la solution de cette salle maudite !

    Et là, je comprends que je cherchais la page suivante du livre par tous les moyens, et que ce n’était pas ce qu’il fallait trouver. Au lieu d’additionner, soustraire, multiplier ou diviser les chiffres dans tous les sens, j’ai relu les mots importants de la déesse-sans-nom : « Il y a différents chemins, Thorgal… et tu dois les emprunter un à un. » Enfin, c’est clair ! Mais il aura fallu pour cela avoir recours aux pages d’indices et de solutions, quelle honte ! Quoique, ça m’aura permis de découvrir cette partie annexe de l’album, ma foi fort agréable à lire. J’ai encore eu besoin une seule fois des indices : afin de comprendre le jeu des papillons dans le séjour des ombres. Pour en revenir aux textes qui accompagnent les différentes énigmes, on sent que tous les mots sont bien pesés, j’imagine la difficulté de l’auteur de ne pas pouvoir en dire plus malgré l’envie…

    Le reste de mon parcours s’est passé sans encombre. Dans le séjour des morts et la cité des Xinjins, j’ai utilisé une pochette plastifiée transparente que j’ai posée sur le livre et sur laquelle j’écrivais, entourais, barrais des éléments au feutre indélébile. Le crayon et la feuille m’ont aussi été bien utiles pour traverser les différentes épreuves. Car oui, je suis arrivé au bout, même si entretemps, Ogotaï a eu tout le loisir de faire le tour de son royaume en compagnie de ma tendre Aaricia… Encore une remarque de conception qui ne m’a pas gêné pour mon parcours, mais qui me semble poser problème, sauf si je n’ai pas tout compris dans les couleurs des marges des pages. Déjà, faire la différence entre du bordeaux et du marron n’est pas simple dans le livre, mais je crois qu’il y a eu inversion pour certaines pages. Exemple en image :

    Le récit du labyrinthe d’Ogotaï a une bordure marron ; celui de la colère du devin suit une bordure bordeaux (qui s’approche très fort du marron foncé). Mais là, dans l’exemple que je présente, la page 13 est bordeaux, et les pages 23, 37 et 45 devraient être couleur marron. Y a-t-il des variantes claires et foncées du marron ? Après avoir résolu tes énigmes tordues, cher Stéphane, je me suis demandé si tu en avais encore placé une dans la couleur des marges ! Mais je ne t’en veux pas, et je me suis promis dans les prochains jours de me placer dans la peau de Kriss de Valnor pour le deuxième parcours ! L’envie de retourner vivre des aventures thorgaliennes est bien présente, je suis d’ailleurs très content que 3 parcours différents soient proposés dans le livre. Allez, encore une dernière image, juste pour le plaisir des yeux, avec une énorme référence à Thorgal.com, et ce magnifique portrait de Thorgal, justement en vente aux enchères ces jours-ci.   

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 10 – Sydönia Lien | Citer
    La coloriste Elvire De Cock

    Et place à la nouvelle coloriste, Elvire De Cock 

    Petite présentation : Elvire est une illustratrice et coloriste belge qui travaille à Montreuil dans le même atelier que Fred Vignaux. Et pourtant, c’est avec Roman Surzhenko qu’elle a collaboré pour rejoindre la famille des auteurs de Thorgal.

    Habituellement, Roman met lui-même en couleur ses dessins dans la Jeunesse de Thorgal. On pourra donc découvrir fin juin les changements apportés par la touche d’Elvire dans le 10ème tome de cette série, Sydönia.

    Si vous souhaitez découvrir ses talents d’illustratrice, Elvire est bien présente sur les réseaux sociaux :

    C’est là que j’ai pioché quelques vignettes de la Jeunesse de Thorgal qu’Elvire a partagées :

    Voici les albums BD sur lesquels Elvire a travaillé dernièrement :

    Les Frères Rubinstein chez Delcourt avec Luc Brunschwig au scénario et Etienne Le Roux ainsi que Loïc Chevallier au dessin

     

    Ladies with guns chez Dargaud avec Olivier Bocquet au scénario et Anlor au dessin

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