Abonnement newsletter

X
X

S'enregistrer sur ce site

Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

Top

Tjahzi

Toutes mes réponses sur les forums

40 sujets de 2,721 à 2,760 (sur un total de 4,482)
  • Auteur
    Messages
  • en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    Je suis allé revoir la page d’où est extraite la vignette (c’est bien dans la série mère). Le personnage est peut-être atteint de couperose. Mais à la page suivante de l’album, ce sera bien pire ! 

    en réponse à : Eclairages – Etude de la série Lien | Citer

    Ah, ça fait du bien de voir déjà 2 rubriques dans la section « Éclairages » ! 

    J’ai cliqué dans tous les sens, et ça fonctionne très bien ! Bon, pour moi la différence de couleur entre les cases en rose et en orange n’est pas très marquée, j’aurais préféré un peu plus orangé, mais c’est un détail.

    Indirectement, j’ai trouvé deux problèmes d’affichage parmi tous ces liens.


    Edition du webmestre : Doublement réparé.

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    Allez, on enchaîne directement avec un nouveau personnage mystère 

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer
    Muff

    Bien vu tous les deux !    Il s’agit effectivement de ce bon vieux Muff dans l’album « La cage ».

    en réponse à : THORGAL, une masculinité douce comme modèle pour la jeunesse Lien | Citer

    Je tiens quand même à rappeler que moi, je n’ai pas eu besoin de rappel pour répondre à Hirondl. 

    en réponse à : Van Hamme – Dans la presse et les médias Lien | Citer
    Spectacle Thorgal Arachnéa

    L’Enfant des Étoiles est une association belge qui monte depuis 20 ans des comédies musicales avec des jeunes, dans un but didactique et philanthropique. A la base, le nom de l’association ne vient pas de Thorgal, mais de l’histoire du Petit Prince de Saint-Exupéry qui a inspiré le premier spectacle en 1997.

    Mais cette fois, c’est bien Thorgal qui sera au cœur du nouveau spectacle monté par la troupe en 2018, avec bien sûr l’accord des auteurs et éditeur. Voici d’ailleurs une petite vidéo de soutien de Jean Van Hamme à la comédie musicale qui se prépare sur base de l’histoire d’ « Arachnéa » .

    Une autre vidéo présente la première réunion des participants au spectacle de Thorgal.

    On peut retrouver toutes les infos à propos de l’association L’Enfant des Étoiles sur leur site : http://www.lenfantdesetoiles.com

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    Oui, c’est bien dans la série mère qu’il apparaît. 

    en réponse à : Thorgal – 26 – Le royaume sous le sable Lien | Citer
    Chronique sur Sens Critique

    Thorgal-bd a écrit
    Je le dis d’emblée, je vous préviens, je n’hésiterai pas à dire tout le bien que je pense de cet album ! Ouaip.

    Hé, hé, j’ai trouvé de quoi titiller ta vision positive de l’album ! 

    Sur Sens Critique, le chroniqueur « L’homme grenouille » enchaîne la lecture et l’analyse des albums de Thorgal. Le voilà arrivé au tome 26, et il y trouve pas mal de choses à redire. Partagez-vous son avis ?

     

    Non… Définitivement non. Depuis le Tome 18, il y a quelque chose qui, me concernant, s’est cassé dans cette saga « Thorgal ». Ça ne marche pas.

    Ou plutôt ça ne marche plus… Je me suis demandé un moment si le problème venait du fait que je lisais ces albums de manière trop rapprochée. J’ai donc laissé un peu le temps couler entre ma lecture du tome précédent (« Le mal bleu ») et celui-ci, histoire de voir si, avec davantage de fraîcheur, la sensation d’usure se dissipait. Eh bien pas du tout… Non, pour moi le problème est clairement inhérent à la manière dont sont pensés ces derniers albums et, en cela, je pense que ce « Royaume sous le sable » en est un très bon exemple.

    Parce que oui, là pour le coup, on n’a pas affaire à une histoire autonome déconnectée du grand fil conducteur de la saga comme ce fut le cas avec les albums précédents. Là, avec ce « Royaume sous le sable » on est en plein dans l’intrigue de « Thorgal enfant des étoiles. » Et pourtant je vous l’avoue, j’ai traversé cet album sans le moindre sursaut d’émotion. Alors certes, ça reste visuellement très respectable. Certes il y a toujours ce petit savoir-faire narratif qui permet à l’album de tenir sur lui-même, avec ses habituelles petites astuces pour donner un peu d’épaisseur à des situations ou des personnages qui ne sont là que le temps d’une quarantaine de pages.

    Seulement voilà, il manque clairement à cet épisode ce qui fait la sève d’un bon « Thorgal ». Pire, au-delà de ce qui manque, il y a tout un ensemble de problèmes qui viennent polluer cet album. Premier de ces problèmes : celui lié à la découverte des lieux et de l’intrigue. Pourquoi quand on me montre – excusez du peu –…une vieille cité de l’Atlantide… pourquoi ça ne me fait ni chaud ni froid ? Pourtant, dans les albums précédents, l’île des mers gelées, la cité de Brek Zarith, la cité d’Ogotaï, c’étaient des lieux qui savaient imprégner leur atmosphère dans mon esprit. Pourquoi cette nouvelle découverte ne me fait rien ? Eh bien pour moi ça me parait évident. La découverte d’un lieu, ça ne se fait pas n’importe comment. La découverte d’un lieu, ça se raconte. Ça s’annonce. Ça se construit… Or, ce boulot-là, dans ce « Royaume sous le sable », il n’est clairement pas fait.

    On nous fait débouler Thorgal et sa famille là, en mode random, et puis – ah bah tiens ! – il y a des gens qui – comme par hasard ! – sont liés au destin de Thorgal et qui vont s’en prendre à notre Viking adoré ! Ni-une-ni-deux on se retrouve déjà sous terre sans préambule aucun. « Voilà. Tu voulais de l’Atlantide, eh bah la voilà… Mange. » Et à ce moment là on se retrouve avec une ribambelle d’explications. Pas le temps de cheminer ou de questionner. Il faut aller vite. On n’a qu’une quarantaine de pages donc il faut boucler rapidement.

    Il semble loin le temps où – comme pour le Pays Qâ – on te passait quatre à cinq tomes pour t’exposer et te faire explorer un univers ! Parce que là, avec ce « Royaume sous le sable », on sent clairement qu’on veut faire ça vite et mal. Alors on pose les personnages vite fait. On leur fait accomplir un arc narratif rapide histoire que ça ne fasse pas trop cheap. Et puis une fois ce minimum syndical fait, on se retrouve déjà en mode « emballé c’est pesé… »

    Alors certes, comme je le disais en début de critique, ces petits arcs sont quand même maîtrisés et heureusement qu’ils le sont pour éviter l’hécatombe. Mais cette recette est tellement usuelle dans cette saga que ça en devient usant. C’est bête, mais je ne ressens aucune force de conviction de la part de Van Hamme dans la manière de ficeler son intrigue et son univers. Moi, quand je lis cet album, je vois vraiment un côté « de toute façon on marche en terrain conquis donc donnons sa came au lecteur et tout le monde sera content. »

    Et pour le coup ça se ressent tout particulièrement dans certains détails de l’intrigue qui, à mon sens, sont totalement traités par-dessus la jambe. L’arrivée mystère de Thorgal dans ce coin paumé du monde par exemple. On ose quand même nous dire « A croire que c’est le destin qui nous l’amène ici. » Bah oui quoi… Le bon vieux « Ta gueule, c’est magique. » Pourquoi s’en priver ?… Même chose quand Thorgal décide finalement de rentrer à la maison. Là encore, ça le prend comme ça comme une envie de pisser. Comme la fois où il décide d’abandonner sa famille pendant plusieurs albums parce que ça arrangeait l’intrigue ! En gros, là aussi, c’est un peu « Ta gueule, c’est Thorgal. » Et quand l’intrigue est enfin lancée, on sent qu’il ne faut surtout pas qu’un élément de scénario ne puisse être utilisé autrement que comme voulu par l’auteur !

    Ainsi on rappelle que Jolan a des pouvoirs, mais on se garde bien de faire en sorte qu’il les utilise aux moments où ça pourrait être utile. Et que des dires des Atlantes ? V’là t’y pas qu’on nous dit qu’ils disposent de machines qui lisent les souvenirs de chacun… OK, c’est bien arrangeant pour l’intrigue. Mais bon, elles sont quand même sacrément balèzes leurs machines parce qu’elles arrivent même à voir ce dont personne ne peut se souvenir ! Comme cette scène où on revoit d’un point de vue extérieur Thorgal qui est redécouvert par son père adoptif Leif Haraldson ! Pour le coup : chapeau ! Thorgal était bébé au moment des faits, mais il a encore le souvenir d’avoir vu cette scène à vingt mètres de lui-même et le tout en légère contre-plongée ! Il a même les souvenirs du vaisseau de ses parents ! Celui dans lequel il n’a jamais foutu les pieds de sa vie ! (…du moins quand celui-ci était encore en état de voler.) Ralalah ! C’est comme si j’entendais le « Ta gueule, c’est Atlante ! » pensé très fort par Van Hamme quand il a écrit ce passage…

    Alors OK, ce sont des détails. Mais pour moi c’est le genre de détails qui disent tout. C’est le genre de détails qui nous montrent que l’auteur de ce tome préfère la facilité au respect de sa propre diégèse. Et au final, toute cette histoire est bouclée en un épisode alors qu’il y avait clairement moyen de développer tout un cycle de plusieurs tomes à partir de cette intrigue-là. Ainsi on aurait pu prendre le temps de faire monter la sauce ; de susciter le mystère sur ce fameux royaume sous le sable…

    Et puis – merde ! – on aurait aussi pu explorer plus à fond cette piste lancée d’Atlantes qui se décident à exploiter les Vikings pour reconquérir le monde ! Bah oui ! Je ne sais pas vous mais je trouvais ça vachement intéressant comme piste ! Pourquoi y couper court comme ça à la toute fin ? Si le but de Van Hamme c’est de faire durer sa saga le plus longtemps possible pour l’exploiter au maximum, alors il pourrait au moins pu essayer d’être fidèle à l’esprit de sa propre saga ! Faire un cycle « Les Atlantes essayent de refaire le coup d’Ogotaï mais avec les Vikings » ça aurait pu être vachement chouette ! Non seulement ça aurait pu développer ce qui a été posé lors du cycle de l’île des mer gelées, mais cela aurait pu aussi le connecter au cycle du Pays Qâ, tout ça pour faire une espèce de grosse synthèse finale par laquelle la saga aurait d’ailleurs pu se conclure… Eh bah au final, même pas ! Au lieu de ça on va se taper encore une plâtrée d’aventures basiques, resucées des précédentes, jusqu’à ce que Papy Van Hamme fasse pareil que pour « XIII » : c’est-à-dire qu’une fois qu’il se sera rendu compte qu’il n’a plus d’idées et qu’il a totalement rincé sa saga au point de la rendre imbuvable, il va la conclure par un petit épisode moisi sans saveur aucune. Ah mais que c’est triste cet état d’esprit !

    Voilà bien ce qui me fait aimer et détester Van Hamme en même temps. Ce gars est à la fois l’auteur des sagas de bandes dessinées que je préfère tout en étant celui qui est responsable de leur total dévoiement. Eh bah pour le coup ce « Royaume sous le sable » est une parfaite illustration de ce sentiment que j’ai là. Il reprend tout ce que j’aime pour en faire tout ce que je déteste. Autant dire qu’après tout ça, je vais m’avancer vers les derniers albums de « Thorgal » la peur au ventre…

     

    Ah là, je vous avais prévenus, il avait des choses à redire sur l’album, ce chroniqueur ! 

    en réponse à : THORGAL, une masculinité douce comme modèle pour la jeunesse Lien | Citer

    Je viens de le lire, merci pour l’article Hirondl ! 

    Les auteurs ont vraiment bien compris les fondements de Thorgal, qui apportent toute sa richesse au personnage, et qui nous donnent envie de nous identifier à lui. Ce serait effectivement très intéressant que les nouveaux scénaristes de Thorgal et ses Mondes s’approprient le contenu de cet article. 

    Je reprends un extrait de la conclusion, pour donner envie à chacun de se plonger dans cette analyse très intéressante.

    Thorgal est un personnage ambivalent : d’un côté, héros quasiment mythique
    qui traverse les époques et les lieux ; de l’autre, homme simple à qui la
    liberté et sa famille suffisent. La maîtrise de son corps comme de ses émotions,
    contraire à une virilité agressive héritée de son environnement viking,
    s’ajoute à une puissance tranquille, invisible, innée. Il tient alors tête aux
    dieux grâce à sa droiture morale et à son humilité. Il reste tout au long de la
    saga fidèle à un idéal, pour lequel il se bat sans concessions.

    en réponse à : Eclairages – Etude de la série Lien | Citer

    Bon, s’il n’y a que moi qui vibre au contact des auteurs, tant pis pour vous ! 

    Alors c’est tip top ! Emballé et vendu 

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Essai quatrième de couverture

    Cette fois il ne s’agit pas d’une vente, puisque ce magnifique dessin a déjà été acheté en 1987 par Xupak. Mais c’est seulement maintenant qu’il a décidé de nous le partager ICI sur 2DG, pour notre plus grand plaisir. Voici ce qu’il dit de ce dessin :

    Dessin original de Rosinski du début des années ’80 pour un 4ème de couverture des albums THORGAL, refusé a l’époque par les Éditions du Lombard, lui préférant celui de Thorgal en pied avec Aaricia, figurant au dos des albums THORGAL.

    en réponse à : XIII orphelin de son père William Vance Lien | Citer
    Article sur Actua BD

    Encore un bel article richement illustré consacré à Vance ICI sur ActuaBD. Je vous laisse le découvrir, je ne reprends que deux images sur le forum.

    William Vance et Jean Van Hamme dans les années 1980

    en réponse à : Eclairages – Etude de la série Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Beuh, je sais pas, qu’est-ce qui tremble ? Rien ne doit trembler, normalement. J’comprends pas.

    En fait, quand je passe sur un auteur, sa case s’anime, mais aussi tout ce qui est en-dessous, c’est-à-dire les cases des albums. Ça vibre une première fois quand on arrive sur l’auteur, et une seconde fois quand on le quitte. Et comme je passais d’un auteur à l’autre, ça n’arrêtait pas de vibrer.

    Thorgal-BD a écrit
    J’ai retravaillé les espaces, notamment en rapprochant les auteurs de leurs créations.

    Ça j’aime beaucoup, c’est plus dense à présent.

    Thorgal-BD a écrit
    Ah, j’ai aussi ajouté une petite texture, toute légère, extraite d’une image de Roman Surzhenko.

    Comme Hirondl, je trouve la texture trop légère. Et comme elle aussi, je dis ‘good job’ ! 

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    Rhoo… tu ratisses large dans ta question Penny !    Là ça va rétrécir sérieusement le champ des possibles… 

    C’est un humain?  non

    Un dieu?  non

    Un animal? 

    Ou autre (nain, etc.)?  non

    en réponse à : XIII orphelin de son père William Vance Lien | Citer
    XHG-C3

    Laurent a écrit
    « il s’essaie à la SF en couleurs directes avec XGH-C3″

    J’avais lu tout gamin cette BD en prépublication dans « Femmes d’aujourd’hui », magazine auquel était abonné ma mère

    j’avais soigneusement découpé chaque semaine toute les pages pour en faire mon premier album BD, le dessin était sublime.

    Mais depuis je n’ai trouvé nulle part une vraie édition de cette BD, si quelqu’un sait ou la trouver, je suis preneur.

    C’est Vance qui m’a  fait découvrir la bande dessinée, et aimer le dessin surtout.

    Respect et tristesse.

    Salut Laurent,

    Je ne connaissais pas cette BD écrite et dessinée par Vance. L’unique tome de XHG-C3, « Le vaisseau rebelle » paru en 1995 aux éditions Gibraltar, est présenté succinctement sur BDGest. Je vois plusieurs albums d’occasion ICI sur le site de la FNAC.

    Un album de luxe a également été tiré à 750 exemplaires. J’en vois un à vendre ICI sur Bonanza pour 30 €.

    en réponse à : THORGAL, une masculinité douce comme modèle pour la jeunesse Lien | Citer
    Arachnéa

    Hirondl a écrit
    Allez pour le fun, je vous mets un extrait, à vous de trouver l’album et la planche dont on parle :

    « Ils sont seuls et la première case, placée verticalement, accroît encore le vertige ambiant et le danger potentiel de la situation. La case représentant les doigts du grimpeur pointe la difficulté des prises et la force mise en œuvre pour s’y agripper (image 2). Dans la blancheur froide de cette case, seule la main apparaît au centre, renforçant l’importance du geste, la responsabilité de ce père. Son visage est concentré et déterminé (sourcils froncés, regard fixe et dur). Ses traits tirés ne laissent aucune place au doute qui pourrait affoler son enfant dont l’œil écarquillé révèle la peur. Plus qu’un moment d’héroïsme, c’est avant tout la protection de la fille par le père qui est mise en avant. Thorgal, un des rares bons pères de famille dans la BD d’aventure francophone, est ici dépeint dans une attitude paternelle classique. Notons aussi qu’alors qu’il est en difficulté dans les derniers moments de son ascension, il est aidé par ………. »

    Bref, on prend un thé, des petits gâteaux, une bière ou un chat et on va le lire cet article.  Livraison par MP dans tout le royaume Viking.

    Est-ce que ce ne serait pas la planche 11 de l’album « Arachnéa » ? 


    Et je serais très intéressé de recevoir l’article complet par MP, Hirondl. 

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    Bonsoir Louis, on se trouve bien dans le monde viking, mais le personnage mystère n’est pas un Viking.

    en réponse à : XIII orphelin de son père William Vance Lien | Citer
    Vidéos du journal Figaro en 2010

    En 2010, William Vance transmet la série XIII au dessinateur Youri Jigounov. A cette occasion, le journal Le Figaro l’a rencontré dans son atelier à Santander en Espagne.

    en réponse à : XIII orphelin de son père William Vance Lien | Citer
    Hommage des dessinateurs

    On trouve sur la page FB de XIII le témoignage des deux dessinateurs qui travaillent avec Jean Van Hamme sur les derniers tomes de XIII Mystery (voir ce sujet du forum).

    Olivier Grenson a écrit
    William Vance, un maître de la BD nous a quittés hier.
    La vie est souvent étrange, j’ai dessiné la dernière case du dernier XIII mystery hier et dessiné le mot fin. Mais j’ai encore quelques cases à peaufiner. Je termine aujourd’hui les 54 pages.
    Le 27 avril dernier, il y a quelque jours, je lui écrivais ceci:
    « Merci Mister Vance !!!
    Un vrai plaisir de voguer dans votre univers graphique, quel boulot, quelle belle œuvre !
    J’arrive au bout des 54 pages , j’espère ne pas trahir la belle Judith Warner et la belle Jessica.
    Jean m’a donné un beau scénario où la sensualité joue un grand rôle.
    Je suis très heureux de participer à cette grande et merveilleuse aventure !
    Au plaisir… ! »
    Olivier
    il m’a répondu tout de suite… « Merci à toi Olivier en apportant ton magnifique talent à l’univers de XIII !!!
    Excellent WE !!!  »
    Son oeuvre est là et continuera de nous émerveiller parce que, j’en suis sûr, il y a encore des choses à découvrir dans ses pages. Son dessin, sans y paraître parfois, recèle de petites pépites. La dernière case de mon album est en soi un hommage à ses couchers de soleil que j’interprète comme une signature…
    Adieu William et bon voyage…

    Philippe Xavier a écrit
    Comme Olivier Grenson, je venais de terminer les planches du XIII l’enquête bis. Dargaud m’en avait confié la réalisation avec au scénario Jean Van Hamme. Que dire de cette belle aventure ? elle fut respectueuse, challenging, motivante… un rêve de gamin réalisé car Vance est l’un de mes 3 piliers de la BD, ceux qui m’ont donné un l’envie de devenir ce que je suis aujourd’hui. J’ai travaillé comme un sauvage pour que William soit fier de mon travail…et il l ‘était …j aurais aimé lui montrer la BD une fois imprimée…ça sera pour une autre fois, dans un autre monde ! un monde ou l’aventure continue !
    ci dessous une petite case tirée de cette enquête bis ou je m’ étais amusé à dessiner el señor Vance me regardant droit dans les yeux … pour être sur que je faisais du bon boulot :=)))

    triste….

    Enrico Marini rend aussi hommage à William Vance avec un portrait de XIII.

    en réponse à : Eclairages – Etude de la série Lien | Citer

    Moi je dis déjà bravo pour le concept ! Éclaircir qui a fait quoi dans la nébuleuse Thorgal, il était temps ! Surtout que je découvre le charmant visage de Sara Spano, ma journée commence beaucoup mieux ! 

    Maintenant sur le style utilisé au niveau des cases, je trouve ça trop propre, trop lisse, pas assez thorgalien ou même thorgal-bédéen. 

    Ce que je n’aime pas, c’est tout ce qui vibre quand on passe sur les cases des auteurs. J’aurais préféré une mise en évidence des albums qui les concernent et qui ressortiraient d’une manière ou d’une autre. Mais pas faire trembler tout, ça me donne le mal de mer ! 

    Ce qui est évidemment bizarre, c’est de devoir faire défiler complètement la page pour voir en 3 fois tous les intervenants d’un même album. J’aurais préféré le tout en un, même si ce n’est sans doute pas possible de visionner clairement toutes les infos sur un seul écran. Puis c’est vrai que ça doit être bien pratique de faire défiler tout ça sur smartphone.

    Thorgal-BD a écrit
    Je me tâte (en tout bien tout honneur), j’ai presque envie d’essayer de les harmoniser, du coup.

    Tu veux dire quoi par là ? Naan, je ne parle pas du début de ta phrase !  Mais tu pourrais harmoniser quoi ?

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    Et voilà le nouveau personnage mystère. Rien à voir avec le précédent ! 

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer

    Pourquoi Rosinski vend-il ses planches ? Il a effectivement souvent répondu qu’il ne cherchait pas à devenir riche. Il a la chance de pouvoir vivre sans trop se poser de questions grâce au pourcentage perçu sur la vente de ses BD.

    Ce qui n’est pas le cas de la majorité des dessinateurs actuels, comme par exemple Giulio De Vita qui est en train de vendre toutes ses planches de la série Kriss de Valnor. Stratégiquement, ce n’est pas le meilleur choix car ça ne fait pas monter les enchères. Mais quand on n’a pas le choix…

    Pour ceux qui réalisent leurs planches sur support numérique, c’est pire. Ils ne peuvent plus compter sur la vente de leurs planches originales. Alors ils doivent produire beaucoup, comme le fait Roman Surzhenko.

    Auparavant, Rosinski mettait très peu de ses œuvres sur le marché. Il avait un autre projet pour les partager : les présenter au futur Centre de la BD à Delémont en Suisse. Malheureusement, ce projet a subi un coup d’arrêt l’année dernière par manque de financement. La grande vente de 2017 a suivi cette annonce. Peut-être y-a-t-il un lien entre les deux…

    Et puis Rosinski a des enfants, des petits-enfants, et j’imagine fort bien qu’il préfère leur faire profiter de son patrimoine de son vivant plutôt que d’attendre plus longtemps. Il a aussi connu un sacré revers de santé qui doit lui faire voir la vie autrement…

    Mais ce n’est que mon avis, Rosinski reste très discret sur tout cela, ce qui fait partie du charme du personnage. 

    Hirondl a écrit
    Vous connaissez peut-être déjà cette interview où à la fin il envisage de revenir à la ligne claire.

    Oui, on en avait parlé ICI dans le sujet consacré au futur tome 36 de Thorgal. Depuis, aucune planche ni aucune case définitive n’a filtré. Pourtant, l’album doit sortir à la fin de cette année. Le mystère sur la technique picturale utilisée dans ce nouveau tome reste donc entier !

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer

    Oui, fais attention à ne pas te faire dévorer par ta planche !    Bravo Flamby pour ton excellent choix, surtout que les enchères sont restées à un seuil relativement raisonnable pour une planche de ce niveau.

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer
    Mehdi

    C’était tout à fait ça, bravo Penny !    Il s’agit effectivement de Mehdi, le bon géant qui apparait dans « Le drakkar des glaces ».

    en réponse à : XIII orphelin de son père William Vance Lien | Citer

    Photo publiée sur le site du journal Sud Ouest

    William Vance entouré de Jean Van Hamme et Jean Giraud lors de la sortie des tomes 18 et 19 de la saga XIII

    en réponse à : XIII orphelin de son père William Vance Lien | Citer
    Article dans le journal Libération

    Le journal Libération propose ICI un très bel article consacré à William Vance, comprenant une interview de l’éditeur Yves Schlirf.

    La vie de William Vance a été rythmée par les noms. Ceux des personnages qui donnaient leur titre à ses séries, les Bob Morane, Howard Flynn, Ramiro et Bruce J. Hawker. Ceux des auteurs qu’il a croisés, avec lesquels il a collaboré – Hergé, Greg, Van Hamme ou Moebius. Et évidemment ce nom qui manque au héros amnésique de XIII, phénomène de librairie qui a servi de porte d’entrée dans le récit d’aventures pour nombre d’adolescents. Indépassable XIII, qui à partir de la seconde moitié des années 80 a relégué dans l’ombre les œuvres précédentes de Vance tout en lui offrant gloire et argent. Cinquante années dévouées à l’aventure sous toutes ses coutures, du Grand Ouest aux mers peuplées de corsaires, des épopées médiévales au thriller complotiste.

    Après avoir fait ses gammes dans la publicité, à une époque où le dessin n’a pas encore été remplacé par la photographie, le Belge William Van Cutsem entre au journal Tintin. Sous le pseudo de Vance, il y publie avec Yves Duval les aventures de l’officier de la Navy Howard Flynn en 1963. Premier succès. Deux ans plus tard, il s’essaie à l’écriture sur Ringo, western dans lequel il laisse éclater ses influences américaines, des illustrateurs Norman Rockwell et Frank MacCarthy au cinéma d’aventure. D’abord très chargé et détaillé, son style ultraréaliste s’allégera avec le temps, tout en restant emprunt d’une écriture cinématographique. En 1967, Greg, lui propose une histoire d’espionnage. La collaboration sur Bruno Brazil durera une dizaine d’albums chez le Lombard jusqu’à ce que les scénarios viennent à manquer. L’éditeur s’impatiente. Vance, lui, «aime bien changer» et papillonne. Il a repris «Bob Morane» (dix-huit albums tout de même), s’essaie à la SF en couleurs directes avec XGH-C3, a des envies de peinture, et crée son corsaire Bruce J. Hawker.

    L’amour de sa vie. Pressé de faire quelque chose dans la même veine que Bruno Brazil, il y consent à condition qu’on lui dégote un scénariste. Deux noms lui sont présentés : Bob de Groot (Leonard, Robin Dubois et quelques Lucky Luke) et Jean Van Hamme. Le premier est trop occupé, c’est le second qui s’y colle. Ainsi naît modestement XIII, brun ténébreux accusé d’avoir assassiné le président des Etats-Unis alors qu’il émerge tout juste, KO sur la plage, sans savoir qui il est ni ce que signifie ce chiffre romain tatoué sur la clavicule. Les tirages du premier tome en 1984 sont modestes mais les choses s’emballent avec les tomes 2 et 3. Le succès ne se dément pas au fil du temps (14 millions d’exemplaires vendus) et Vance en prend pour dix-huit tomes, s’autorisant quelques escapades, notamment le temps de deux albums de Marshal Blueberry au côté de Giraud-Moebius.

    Splendide metteur en scène d’action qui trouve dans XIII une rampe de lancement internationale, adaptée en série télé et en jeu vidéo, Vance brille aussi par sa capacité à faire naître des décors et à leur conférer une étrange qualité atmosphérique, comme le silence inquiétant de cette forêt enneigée de Là où va l’indien. Des décors qu’il empruntait lors de ses promenades à Santander, en Espagne, sa patrie de cœur. Où il s’est retiré, contraint et forcé de lâcher le crayon en 2010 par la maladie de Parkinson. Willam Vance est mort lundi à 82 ans.

     

    Editeur de Moebius, ami de William Vance qu’il a rencontré bien avant d’être directeur éditorial chez Dargaud et de s’occuper de XIII, Yves Schlirf revient sur ce monsieur «qui se cachait pour dessiner».

    Comment avez-vous rencontré William Vance ?

    J’étais un jeune ado, fan de Ringo et de Bruno Brazil, et je voulais faire une expo avec lui. Je ne saurais dire pourquoi, mais Vance a accepté et a apporté toutes ses planches. Et alors qu’on regardait ses planches dans un café, je lui dis «ça, regarde, c’est magnifique», je fais un grand geste et je renverse mon café sur dix planches. Il est resté très calme et il m’a dit : «C’est pas grave.» C’était vraiment quelqu’un de gentil. Et vingt-cinq, trente ans plus tard, quand je suis devenu directeur de collection chez Dargaud, il m’a offert les planches qu’il m’avait prêtées à l’époque.

    Quel type d’homme était-il ? Il semblait très discret…

    William, c’est quelqu’un qui se cache pour dessiner. Il ne cherchait pas les projecteurs. C’était un monsieur très secret, modeste, presque refermé sur lui-même. Pas du tout une grande gueule. Ça vient du fait qu’il est néerlandophone et il a toujours gardé une culpabilité de moins bien s’exprimer en français face à ce monde de la BD alors très francophone. Quand on a relancé Dargaud Benelux, il n’y avait pas grand-chose au catalogue, hormis XIII, et William savait combien sa série comptait. On allait le voir et on lui disait «William, cette année il nous faut un XIII sinon…» et, même fatigué, il acceptait. Après la perte d’Astérix, on a connu des moments difficiles et, sans Vance, Dargaud n’aurait pas remonté la pente. Il souffrait énormément d’avoir dû déposer le crayon à cause de sa maladie. Mais c’est à peine s’il l’a dit tellement il était pudique. De façon très touchante, il se contentait de dire qu’il ne savait plus dessiner.

    Pour beaucoup, la découverte de Vance est très liée à l’adolescence.

    Oui, tous les tweets qui lui rendent hommage racontent effectivement des souvenirs d’ado. Beaucoup de lecteurs ont découvert Vance à travers la lecture du journal Tintin, qui était alors très important. On a du mal à le mesurer aujourd’hui mais quand William faisait Bruno Brazil, c’était une immense vedette, les gens se ruaient sur lui à la Foire du livre. Ça s’est amplifié avec XIII, évidemment. La dernière séance de dédicaces à Angoulême, le public pressait tellement contre les barrières que Jean Van Hamme est monté sur la table pour exiger que les gens se calment. C’étaient comme des vedettes de rock.

    Vance se distinguait aussi par le côté très américain de son dessin.

    Oui, il regardait beaucoup du côté des dessinateurs et des illustrateurs américains. Bien qu’il n’ait jamais été là-bas. C’était la grosse joke, d’ailleurs. La plage de XIII, c’est celle de Santander, en Espagne, où il vivait. Les bâtiments, pareils. Mais il réussissait à capter une certaine réalité américaine sans y avoir mis les pieds. Il mettait un point d’honneur à tout rendre hypercrédible et adorait la documentation. Il avait chez lui des tonnes d’extraits de magazine découpés. Il tenait à être très juste. Il était en relation avec pleins de gens dans l’armée belge ou américaine qui lui fournissaient des documentations dernier cri pour pouvoir représenter les derniers flingues. Il n’inventait pas le côté technique.

    Mais il travaillait avec des croquis très succincts.

    Avec les années, il avait atteint une certaine maturité pour ne plus avoir à détailler ses croquis, oui. Il était sûr de son dessin. Ce qui est amusant, c’est qu’il faisait un premier découpage à partir du scénario, et après il commençait par mettre les bulles. Ça peut paraître bizarre, mais une fois que c’est mis, au moins, on sait ce qu’il reste pour dessiner. En général, les gens font ça au dernier moment. Un autre petit secret de William, surtout valable pour la seconde moitié de XIII, c’est qu’il commençait un album en dessinant d’abord toutes les parties qu’il aimait bien. Après c’était un cauchemar, il n’avait pas du tout envie de faire les deux tiers restant et passait son temps à pester contre Van Hamme qui lui mettait trop d’intérieurs – parfaitement nécessaires à l’intrigue, mais peu importe. De temps en temps, il trouvait des astuces, remplaçait des bureaux par les jardins de la Maison Blanche.

    Est-ce qu’il gardait une frustration d’être résumé à «XIII» ?

    C’était une relation amour-haine. XIII, c’était le personnage culte qui lui a apporté la gloire et l’argent, mais il rêvait de reprendre Bruce J. Hawker, de dessiner la mer, des bateaux. Et une des dernières choses qu’il a dessinées, dans la douleur, c’est le bateau qui se trouve sur la couverture de XIII où il passe la main à Youri Jigounov. Mais c’était un grand professionnel et chaque année, il retournait au turbin pour dessiner un XIII. C’est une leçon de vie.

    Comment s’est passé sa collaboration avec Moebius sur «Marshal Blueberry» ?

    Jean Giraud a été le premier à le réhabiliter, c’est lui qui surnommait Vance «le Vieux Lion». Quand Moebius (Jean Giraud) dit «William Vance est un grand dessinateur», tout le monde se tait et tout le monde y croit. Il a été très chouette. Pour être franc, sur Blueberry, c’était une époque compliquée. Un petit éditeur l’avait remonté contre Dargaud… Mais William était extrêmement flatté que Jean Giraud, le dessinateur dieu réaliste, lui demande de faire un Blueberry. Ça lui permettait de faire autre chose que XIII et de revenir à ses premiers amours du western. Après, William n’a fait que deux des trois albums prévus. Une fois l’excitation retombée, c’était peut-être moins son truc. Quand on a proposé à Jean [Giraud] de faire un XIII, William aurait pu tiquer. C’est pas évident de se faire «voler» son personnage par Jean Giraud. Si c’est un mec qui dessine moins bien que vous, ça va, mais là… Il a tout de suite dit «ouais, c’est super».

    Par certains aspects, «XIII» marque un certain crépuscule des grandes sagas de BD, qui se sont retrouvées contestées par le roman graphique. Aujourd’hui, on a l’impression que ce souffle, on le retrouve plutôt du côté de la série télé.

    Oui, c’est vraiment ça. XIII, ça a été bâti comme un feuilleton. Jean [Van Hamme] a toujours dit qu’il savait très bien où il allait, c’est pas vrai du tout. Ils connaissaient peut-être la fin, mais je ne crois pas qu’ils avaient une idée du chemin. C’est vrai que c’est un type de BD avec lesquelles les générations de Tintin ont grandi et que XIII est un peu la fin de cette époque. Il y a encore Thorgal. Même si des gens comme Xavier Dorison ou Fabien Nury reprennent ce flambeau de Vance et Van Hamme.

    Autoportrait de William Vance

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 6 – Le drakkar des glaces Lien | Citer
    Chronique sur BDzoom

    Hirondl a écrit
    et pourtant ! J’aurais adoré sauter dessus … le commander sur internet, attendre  le colis toute frémissante, ouvrir le colis en arrachant le carton sauvagement et poser délicatement  l’ouvrage sur la table, sans l’ouvrir, en admirant la couverture, puis imaginer d’avance la soirée à le lire sous ma couette ( oui je suis très préliminaires, j’ai gardé le Thorgal 34 même pas emballé dans du papier cadeau 15 jours posé sous le sapin avant de le lire.)

    Dis, faut pas écrire des trucs comme ça, après moi je me sens tout chose ! 

    Allez, pour te donner envie de l’acheter quand même, voici une chronique positive de l’album, publiée sur le site BDzoom.

    Tout comme « Kriss de Valnor » et « Louve », la « Jeunesse de Thorgal » appartient aux « Mondes de Thorgal », séries dérivées qui ambitionnent d’évoquer les dessous de la saga « Thorgal », imaginée voici plus de quarante ans par Jean Van Hamme et Grzegorz Rosinski. Dans ce sixième volet, le jeune héros recherche la blonde Aaricia, sa bien-aimée.

    Slive la magicienne, la reine de l’île des Mers gelées, celle qui ne meurt jamais, retenue prisonnière depuis neuf longues années par le roi des Vikings du Nord Gandalf-le-fou, parvient à s’enfuir de la tour où elle était enfermée. Celle qui, comme Thorgal, est originaire d’un autre monde n’a qu’une obsession : récupérer la capsule qui lui permettra d’assouvir sa vengeance mais aussi retrouver sa fille Akwila.

    Thorgal, quant à lui, est toujours à la recherche d’Aaricia, son grand amour, la fille de Gandalff disparue à bord d’un bateau avec ses deux amies Isoline et Enyd, alors qu’elle tentait de les soustraire des avances de son frère Björn. Grâce à Enyd, sauvée d’un naufrage par Medhi le marin, l’enfant des étoiles apprend avec soulagement qu’à la suite d’une tempête, sa belle a été recueillie en compagnie d’Isoline à bord d’un navire appartenant au noble Abd El Bouheddi. Bien d’autres personnages évoluent dans ce riche épisode, telle la sorcière Völva, et ses philtres maléfiques, qui joue un rôle de premier plan. Sortilèges, mystères, actions et suspense cohabitent tout au long de cet épisode riche en rebondissements.

    Alors qu’Yves Sente puis Xavier Dorison n’ont pas réussi à imposer leurs idées de renouvellement, Yann est aujourd’hui l’unique scénariste de cette saga à quatre têtes qui devraient bientôt se rejoindre, à l’occasion de la parution du 36èmeopus de la série mère, à l’automne prochain. Plutôt que de chercher à imposer de nouveaux personnages, de nouveaux univers, qui en alourdissent la lecture, il se contente d’utiliser avec gourmandise les seuls fondamentaux. Et c’est peut-être là que réside le secret de sa longévité. Il est secondé avec efficacité dans son entreprise par l’excellent Roman Surzhenko, dessinateur russe né en 1972, qui demeure fidèle au graphisme de Rosinski, lequel signe la superbe couverture. Sa remarquable puissance de travail lui permet de travailler de front sur « Louve » et « La Jeunesse de Thorgal ».

    Des efforts qui paient, puisque dès son arrivée en librairie les ventes de cet album caracolent en tête des hit-parades.

    H. Filippini

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer

    Lus en partie, mais pas achetés. Je préfère de loin les dessins des couvertures à ceux des histoires. Je ne connais pas les dessinateurs qui changent d’album en album, mais c’est pour moi du dessin commercial, avec peu de caractère. Mais je n’ai pas tout lu, ça vaut la peine de les feuilleter pour se faire une idée. Si tu cliques sur les albums déjà parus ICI chez Glénat, tu pourras aller lire les premières pages.

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    Le personnage n’apparaît pas dans la série Kriss, et il ne se prénomme pas Adolf. 

    Il ne porte pas une moustache, mais un collier de barbe.

    en réponse à : Dédicaces Lien | Citer

    Hirondl a écrit 
    ah que ce forum m’a manqué ….. toujours des nouveautés ici !

    Mais … je ne suis pas en vacances ! que fais-je ici ?

    1°) Ma souris au bout du bras s’est perdue

    2°) Je sèche les cours, enfin la classe plutôt (pfff mdr)

    3°) J’ai perdu mes élèves dans un bois sans petits cailloux

    4°) Je me suis fait une double fracture à l’humerus droit parce que ma jument chérie pète un peu trop la forme, plus que moi en tous les cas, et je suis arrêtée pour 6 mois, du coup ben … j’ai du temps.

    Vous avez 2 h pour rendre les copies.

     

    Hé, ça faisait super longtemps Hirondl !! 

    Alors j’opte pour la réponse 4. Mais si c’est ça, 6 mois d’arrêt, c’est fameux ! 

    en réponse à : Roman Surzhenko Lien | Citer

    Roman Surzhenko participe le week-end prochain au festival BD d’Hanret en Belgique. C’est à ce festival que j’ai eu la chance de le rencontrer l’année dernière pour une interview présentée ICI en détail. 

    Voici ce que dit l’un des organisateurs du festival, dans le journal L’Avenir, à propos de la participation de Roman :

     <i>Roman Surzhenko, le dessinateur des Mondes de Thorgal, vient de Rostov en Russie, il part de chez lui à 2 h du matin pour venir nous voir ! Ça n’a pas l’air de le perturber : il est capable d’enchaîner 150 dédicaces sur le week-end !</i>

    Nouveauté cette année, la vente d’originaux des artistes présents. Voici la création originale de Roman :

    Pour les fans de Roman !

    J’ai découvert que Roman a ouvert un compte Instagram où il a posté une série de photos datant de ces dernières années. Je suis sûr que Stéph va s’y plonger pour voir s’il lui en manque certaines dans sa collection ! 

    C’est ici : https://www.instagram.com/romansurzhenko72/

    Pour changer des festivals, j’ai fait une petite sélection de photos avec Roman dans la nature. Comment ça, une des photos n’a pas été prise dans la nature ? Vous croyez ? 

    en réponse à : Forum – Le forum a 20 ans ! Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Le zoom met un peu de flou sur les images, par contre. C’est de ta faute.

    Comment ça, c’est de ma faute ?!  C’est pas de ma faute si les images du site sont de si faible qualité ! Alors si c’est le flou sur le visage de Kriss, elle ne dira trop rien. Mais si ça arrive à Roman ou à Fred, qu’est-ce qu’ils me diront lors d’une prochaine rencontre 

    en réponse à : Thorgal – Intégrale N&B Niffle Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Tu as été plus rapide que moi ! Voici l’article que j’ai posté hier, avec toutes les infos disponibles à l’heure actuelle.

    Rhooo… je trouve ça déloyal, cette possibilité d’antidater un article !

    Thorgal-BD a écrit
    Ce grand volume de 200 pages reprendra les quatre albums qui séparent le cycle de Qâ de celui de Shaïgan-sans-merci : « Aaricia », « Le maître des montagnes », « Louve » et « La gardienne des clés ».

    C’est surprenant de passer d’un tome de 7 albums à un tome de 4 albums, même si ça respecte ainsi les cycles. En tout cas, ça change du format immuable des albums en 48 pages qui s’alignent dans la bibliothèque.

    en réponse à : Thorgal – Intégrale N&B Niffle Lien | Citer
    Tome 3 de l'intégrale de Thorgal

    Niffle a présenté la couverture du tome 3 de l’intégrale de Thorgal. Le recueil de 200 pages qui ne comptera que 4 albums sortira fin août.

    en réponse à : Forum – Le forum a 20 ans ! Lien | Citer

    Moi aussi, j’aime bien que le monde de Thorgal envahisse tous les recoins du forum !  Mais ça reste tristounet dans les coloris, comme on le voit dans l’extrait ci-dessus. Peut-être mettre les titres en couleur ? (Thorgal – La série Ah oui, l’image avec les dieux est trop petite, j’aurais zoomé quelque peu…

    Ah, ces titres qui s’allongent quand on s’en approche, j’aime cette touche TBD !    J’avais pensé à un autre type d’animation en page d’accueil du site, avec des images qui zooment légèrement quand on passe dessus. Par exemple pour les images qui accompagnent les articles, avec ce genre d’animation qu’on trouve dans les premières photos ICI sur ActuaBD.

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    Ce n’est pas Sardham, et c’est plutôt un ami de Thorgal. Enfin dans le sens où les amis des amies de mes amies sont mes amis. Vous avez suivi ? 

    en réponse à : Forum – Le forum a 20 ans ! Lien | Citer

    F5 n’est pas mon amie pour le forum. non L’avantage, c’est que je vois encore l’ancienne version de la page. Comme ça je peux comparer avec la nouvelle que tu as affichée, avant d’aller supprimer les fichiers en cache dans mon navigateur. Et donc je découvre les émoticônes qui sont plus sympas, et le drakkar sur la mer démontée.    Et la case ‘Visuel’ ou ‘Texte’, c’est pour prévisualiser avant d’envoyer la réponse ?

    en réponse à : Dédicaces Lien | Citer
    Muff

    Belle dédicace de 1991 avec Muff actuellement sur Millon.

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    C’est un romain ?  non

    un arabe ? 

    • Ce sujet a été modifié le il y a 6 ans et 12 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    C’est un atlante ?  non

    un méditerranéen ? 

    un amérindien ?  non

40 sujets de 2,721 à 2,760 (sur un total de 4,482)
Plan du site
Mentions légales
© Éditions Le Lombard 2025