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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Tjahzi

Toutes mes réponses sur les forums

40 sujets de 1,841 à 1,880 (sur un total de 4,488)
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    Messages
  • en réponse à : Jean Van Hamme – Expositions et rencontres Lien | Citer
    Salon Livre Paris

    Jean Van Hamme était présent hier au Salon du Livre de Paris. D’abord pour une séance de dédicaces, ici sur l’album Western. (photos Dalecooper123)

    Jean a ensuite participé au Grand Portrait sur la scène BD du Salon :

    « Jean Van Hamme, le Midas du scénario. »

    Jean Van Hamme a dit :
    Il y a un point commun à toute fiction : c’est une quête contrariée. Ce qui fait l’intérêt de l’histoire, c’est la manière dont les personnages vont se jouer des obstacles.

    Jean Van Hamme a dit :

    Faire un Blake et Mortimer, c’est comme proposer Cyrano à un acteur !

    Jean Van Hamme mimant une scène de la série pour le public…

    Olivier Grenson a posé une question à Jean Van Hamme par vidéo :

    Si vous étiez dessinateur, lequel seriez-vous ?

    Jean Van Hamme a répondu :

    Un bon !

    Source : Twitter des Editions Dargaud

    en réponse à : Thorgal – Intégrale N&B Niffle Lien | Citer

    Je suis aussi impatient de découvrir ce nouveau tome. Je prends chaque fois le temps de regarder en détail tous les traits dessinés par Rosinski !   

    en réponse à : XIII – Sente et Jigounov Lien | Citer
    XIII tomes 25 et 26 en 2019

    Yves Schlirf, le directeur éditorial de Dargaud, nous annonce la sortie des tomes 25 et 26 de XIII pour cette année !

    Source : Twitter de Schlirf

    en réponse à : Largo Winch – 22 – Les voiles écarlates Lien | Citer
    Largo fête Tintin

    Philippe Francq rend hommage à Tintin pour ses 90 ans !

    Dessin réalisé en 2010 pour le journal Le Figarohttps://www.instagram.com/philippe_francq

    en réponse à : Thorgal – Intégrale N&B Niffle Lien | Citer
    Intégrale Thorgal – Tome 4

    Le quatrième tome de l’intégrale N&B reprendra 6 albums de Thorgal pour un total de 296 pages : L’Épée-soleil, La Forteresse invisible, La Marque des bannis, La Couronne d’Ogotaï, Géants, La Cage. Niffle proposera le tome 4 dès le 5 avril au prix de 49 €.

    Source : Amazon

    en réponse à : Xavier Dorison Lien | Citer
    Aristophania vue par son dessinateur

    Joël Parnotte a répondu à deux interviews consacrées à Aristophania. On y apprend que la série scénarisée par Xavier Dorison se déclinera en 4 albums, dont les prochains tomes sont prévus pour octobre 2019, 2020 et 2021. Joël y dévoile son enthousiasme pour cette série.

      Entretien écrit sur Branchés Culture.

    Entretien audio sur RTBF Culture.

    en réponse à : Jean Van Hamme – Expositions et rencontres Lien | Citer
    Salon Livre Paris 2019

    Le Lombard sera présent au Salon du Livre qui se déroulera ce week-end à Paris. Voici le programme des rencontres avec les auteurs.

    Comme vous pouvez le constater, Jean Van Hamme sera présent le samedi 16 mars. D’abord pour dédicacer ses ouvrages de 14h à 16h. Puis il sera mis à l’honneur sur la Scène BD de 16h à 17h. Actua BD présente cette rencontre :

    Jean Van Hamme sera mis à l’honneur du Grand Portrait. Un scénariste que l’on ne présente plus, auteurs de certaines des séries les plus célèbres de ses 40 dernières années. Dès 1968, il publie un roman graphique, Epoxy, signé par Paul Cuvelier. On connaît les grandes étapes de sa carrière, mais on oublie souvent Histoire sans héros (1977), SOS Bonheur (1988 ), son roman graphique Le Grand Pouvoir du Chninkel. Ce sont ses best-sellers comme Thorgal (1977), XIII (1984), Les Maîtres de l’orge (1992), Largo Winch (1977) ainsi que la reprise de Blake & Mortimer en 1996, dont il posera les bases du renouveau qui sont encore respectés aujourd’hui. Il a travaillé avec les plus grands dessinateurs et a pesé, certaines années, à lui seul 10% du marché de la bande dessinée. Mais l’auteur n’en a pas terminé, et annonce revenir sur le célèbre duo créé par Edgar P. Jacobs avec ce qui devrait être sa  » meilleure histoire !  » selon ses propres mots. On a hâte de l’interroger à ce propos.

    Le Grand Portrait : Jean Van Hamme, le midas du scénario en partenariat avec Zoo le mag, se tiendra le samedi 16 mars, de 16h00 à 17h00, animé par Line-Marie Gérold de Zoo et en présence du scénariste.

    Source: Actua BD

    en réponse à : Jeu d'éleusis Lien | Citer

    Ah, super Maxime     

    Allez, j’attaque avec Thorgal, Tjahzi et la Gardienne des clés.

    en réponse à : Mathieu Mariolle Lien | Citer

    J’ai déjà écouté plusieurs de ses émissions sur Nota Bene, notamment celles sur les Vikings. Benjamin Brillaud est agréable à écouter, malgré un débit de parole très rapide. Ses émissions manquent un peu d’illustrations, même si elles sont fort bien documentées.

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 7 – La dent bleue Lien | Citer

    Hello Stéph, j’ai bien aimé ton petit texte d’introduction à l’histoire !  

    http://www.thorgal.com/album/la-dent-bleue/?section=histoire

     

    Par contre, je me demande comment Yann va donner du sens au titre qu’il a choisi… sur un coup de poing de Mehdi dans la face d’Harald   

    en réponse à : Dedicace : quelle valeur ? Lien | Citer

    Salut Anna   

    D’expérience, je dirais que les ex-libris de Rosinski tournent autour de 15-20 €. Tape ces mots clés sur eBay pour voir ce qui se vend et à quel prix. Mais tu peux bien sûr d’abord proposer ta vente ici.   

    en réponse à : Rosinski dans la presse Lien | Citer
    Entretien pour le Huffingtonpost

    Grzegorz Rosinski a répondu à quelques questions pour le Huffingtonpost au Québec.

    Rosinski : la grande évasion de « Thorgal »

    Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
    Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
    Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
    Vivre entre ses parents le reste de son âge !

    Jamais des vers n’auront mieux décrit Thorgal que ce poème de Joachim de Bellay. Et même si le poète a mentionné Ulysse, on peut facilement le remplacer par Thorgal. Puisque tout comme le héros d’Homère, il rentre enfin à la maison après son très long voyage. 42 ans d’errance pour le mythique voyageur qui l’auront conduit vers l’infini et plus loin encore. Un retour à la maison qui marque aussi les adieux de son créateur Rosinski, 12 ans après ceux de Van Hamme. À l’occasion de la sortie de son 36e ThorgalAniel, nous lui avons téléphoné. Discussion avec un nouveau retraité.

    « Je ne suis pas vraiment à la retraite. Je suis à la retraite de la bande dessinée, oui, mais pas de l’illustration. Je vais continuer à explorer le langage de l’image, que ce soit comme peintre et illustrateur, mais plus à partir de la bande dessinée, du moins plus à temps plein », explique-t-il au bout du fil, avec un ton empreint d’un mélange de douce fermeté et d’assurance.

    42 ans avec le même héros, c’est tout un bail. Un bail qui, on l’imagine, a dû être difficile à rompre, chaque case, chaque planche devait être trempé dans l’encre de la nostalgie et du souvenir. « Pas du tout, affirme le bédéiste, pas du tout. À la différence de beaucoup de bédéistes, je ne considère pas Thorgal comme mon enfant. C’est un personnage de bande dessinée, il n’est pas vivant. »

    Un aveu emblématique de la franchise, de l’authenticité d’un bédéiste qui s’exprime sans filtre et sans faux-fuyant et qui laisse même transpirer un certain soulagement. « J’ai eu quelques ennuis de santé ces dernières années et j’ai dû restreindre mes activités. » Ne plus s’occuper de Thorgal, un travail à temps plein, devrait lui permettre de souffler un peu.

    Mais il n’y a pas que la santé qui a justifié sa décision. Il y avait aussi un besoin de retrouver une liberté créatrice qu’il avait peut-être perdue avec toutes ses années au côté de son héros baraqué aussi droit et tranchant qu’une épée forgée par les terribles dieux du nord. Comme si Thorgal était devenu au fil du temps une cage dorée.

    « Oui c’est la bonne expression. Comprenez-moi bien j’ai adoré travailler toutes ces années sur Thorgal. Je ne regrette pas ce que j’ai fait et je recommencerai demain le même parcours. Mais ça me prenait beaucoup de temps et je n’avais pas vraiment le temps de faire autre chose », souligne celui qui a quand même eu le temps de réaliser d’autres séries, comme la géniale Complainte des Landes Perdue ou encore La Vengeance du comte Skarbek.

    « J’aurais aimé l’amener graphiquement plus loin. Mais les lecteurs ne me laissaient pas beaucoup de latitude. Aussitôt que je bifurquais un peu, ils me le faisaient savoir », rajoute le dessinateur qui garde quand même une certaine nostalgie de ses premiers pas dans l’univers de la fantaisie franco-belge. « J’ai adoré cette période. Je faisais mes classes, je découvrais les techniques et le langage de la bande dessinée. Je me donnais la liberté d’expérimenter. Avec le temps, Thorgal est devenu une cage dorée. Une cage qui m’a permis de bien vivre ma vie certes, mais une cage dorée quand même », confie celui qui a littéralement inventé le métier de bédéiste dans sa Pologne communiste natale.

    « Ça n’existait pas quand j’étais gamin. Mes professeurs à l’Académie des beaux-arts de Varsovie ne considéraient pas la bande dessinée comme de l’art. Personne ne pouvait donc m’aider ou me servir de modèle. J’ai dû trouver moi-même les réponses à mes questions. »

    Ce qui ne l’empêche pas de se forger une excellente réputation d’illustrateur en Pologne qui lui permet de rencontrer Carlos Blanchart, éditeur belge de cartes de vœux en visite en Pologne à la recherche de nouveaux talents. Ce dernier impressionné par sa virtuosité, qui toutefois ne convenait pas pour les cartes de vœux, le met en contact avec Jean Van Hamme, jeune scénariste en quête de dessinateur.

    Rosinski lui présente quelques planches dont une qui raconte l’histoire d’un Viking. L’aventure Thorgal commençait. « À l’origine, Van Hamme ne s’intéressait pas à la fantaisie, ce n’était pas sa tasse de thé. Il a créé Thorgal pour moi. » Ce qui explique peut-être pourquoi après 29 albums le scénariste quitte le bateau. « Il considérait qu’il n’avait plus rien à dire, qu’il avait fait le tour du jardin. »

    Le tour du jardin, Sente le fera aussi après cinq albums cédant sa place à Dorison, le temps d’un album, et à Yann pour ce nouvel opus. Si le dessinateur ne tarit pas d’éloges sur le travail de Van Hamme et Sente, il reste toutefois silencieux sur celui de Dorison. La légende raconte qu’il y aurait eu quelques différends artistiques entre les deux créateurs.

    Mais que ce soit Van Hamme, Sente, Dorison ou Yann, Thorgal reste indissociable du graphisme de Rosinski et on peut se demander comment son héros survivra à son départ.

    Bah, qui vivra verra. D’ici là, on attend avec impatience les prochains travaux du légendaire dessinateur. Et qui sait, peut-être qu’un jour, pour le plaisir, il se frottera de nouveau à Thorgal.

    On ne sait jamais, ça ne coûte rien de rêver.

    R. Laplante

    Source: Huffingtonpost

    en réponse à : Mathieu Mariolle Lien | Citer
    La Voie du Sabre tome 3

    Trois ans et demi après le tome 2, la série La Voie du Sabre de Mathieu Mariolle se poursuit avec « L’Incendie de l’Esprit ». Ce tome 3 sortira le 15 mai aux éditions Glénat, en voici le synopsis et de premières images.

    Un récit d’apprentissage sur les routes d’un Japon médiéval et mythologique

    Pour parfaire l’éducation de son fils Mikédi, le chef de guerre Nakamura Ito le confie à un rônin du nom de Miyamoto Musashi. Un samouraï de légende, le plus grand maître de sabre qu’ait connu l’Empire des quatre Poissons-Chats. Ensemble, pendant six longues années, le maître et l’apprenti vont arpenter la route qui mène jusqu’à la capitale Edo, où l’Impératrice-Dragon attend Mikédi pour en faire son époux.
    Mais la Voie du Sabre est loin de trancher l’archipel en ligne droite : de la forteresse Nakamura aux cités flottantes de Kido, du Palais des Saveurs à la Pagode des Plaisirs, Mikédi apprendra les délices de la jouissance, les souffrances du combat et la douceur perverse de la trahison.

    Source images : FB du dessinateur Federico Ferniani

    en réponse à : Dédicaces Lien | Citer
    Enchères chez Vermot & Associés

    Quelques belles dédicaces de Rosinski des années ’80 en vente la semaine prochaine chez Vermot & Associés

    en réponse à : Largo Winch – 21 – L'étoile du matin Lien | Citer

    Salut François, 

    Même si quelques planches du tome 21 font le lien avec le tome 20 de Largo Winch, il s’agit bien d’un nouveau diptyque qui débute là pour se terminer dans « Les Voiles écarlates » à la fin de cette année.

    En te lisant, j’ai l’impression que tu as zappé « 20 secondes » car toutes les réponses à tes questions se trouvent dans ce tome 20 de Largo.

    en réponse à : Thorgal, la série TV Lien | Citer
    Werk ohne Autor

    Pas encore d’info sur la série consacrée à Thorgal. En attendant, le dernier film de son réalisateur Florian Henckel von Donnersmarck sort chez nous dans les salles de cinéma, avec une très bonne appréciation du public. 

    Casting du film « Werk ohne Autor »

     

    Florian Henckel a répondu à une interview pour la chaîne TV belge à voir ICI. Et à un entretien pour le journal Le Soir que vous pouvez retrouver ICI

    Werk ohne Autor un grand film beau, fort et émouvant

    « Ne détourne pas le regard, tout ce qui est vrai est beau. » Le cinéma de Florian Henckel von Donnersmarck a quelque chose de sensible, de beau, de vrai. Onze ans après son Oscar pour La vie des autres, le réalisateur allemand prouve une fois encore son talent et sa vision avec Werk ohne Autor, qui parle tant de la société que de l’art et de la vie.

    Inspiré par la vie du peintre allemand Gerhard Richter, le film raconte le destin de Kurt (Tom Schilling), jeune étudiant en art, dont la vie sera hantée par le régime nazi, puis communiste. Tout commence à Dresde en 1937. Le petit Kurt découvre une exposition d’art moderne (appelé « art dégénéré » sous le régime nazi…) avec sa tante Elizabeth (l’incroyable Saskia Rosendahl). La première étape d’un parcours complexe où le petit garçon deviendra homme… et artiste.

    Pendant un peu plus de trois heures, mais qui passent en un battement de cil, une respiration, le spectateur suit le parcours de Kurt, les relations, les rencontres et les événements qui l’ont influencé. Il y a évidemment sa tante Elizabeth, puis Ellie (Paula Beer), le grand amour de sa vie.

    Avec une sensibilité hors pair, Florian Henckel von Donnersmarck filme la trajectoire de cet artiste allemand qui a traversé la Seconde Guerre mondiale, mais aussi le régime socialiste. Un environnement qui a marqué sa vie, son art et sa perception de choses. Son éveil à la beauté et à la laideur du monde.

    Florian HvD pénètre au plus près des émotions. Werk ohne Autor est un film sur l’art, sa perception, sa sensibilité, sur le désir, mais aussi sur la vie et sur l’Allemagne au XXe siècle. Toujours en essayant de comprendre, de manière décomplexée, les mécanismes qui ont rythmé notre société. C’est beau, fort et émouvant. Un grand film porté par la musique sensible de Max Richter, qui touche au cœur le spectateur.

    Onze ans après son Oscar pour « La vie des autres », Florian Henckel von Donnersmarck touche au cœur avec son « Werk Ohne Autor », un film inspiré par la vie du peintre Gerhard Richter.

    En 2006, il bouleversait avec La vie des autres, qui lui avait valu un Oscar. Après un passage pas trop réussi à Hollywood (The Tourist), Florian Henckel von Donnersmarck est de retour aux fondamentaux avec Werk ohne Autor, l’histoire de Kurt (Tom Schilling), jeune étudiant en art, dont la vie sera hantée par le régime nazi, puis communiste. Un film inspiré par la vie du peintre allemand Gerhard Richter, personnalité incontournable de l’art contemporain.

    Florian Henckel, comment est née l’idée de ce film ?

    Ça a commencé par une discussion avec Jürgen Schreiber, journaliste au Der Tagesspiegel, où il m’a dit qu’il écrivait une biographie sur Gerhard Richter. Je n’ai au départ pas bien compris pourquoi il faisait cela car de nombreuses biographies avaient déjà été écrites sur Richter. Il m’a expliqué qu’il avait écrit son portrait pour le journal et que, comme à son habitude, il avait fait des recherches pour connaître le contexte. Il y avait une histoire connue sur Richter à propos de sa tante, une femme très sensible à l’art. Elle a développé de la schizophrénie et a été euthanasiée par les nazis. Cette partie de l’histoire était connue. Mais ce que Schreiber a découvert, c’est que le beau-père de Richter avait été impliqué dans ce qu’on appelle le programme d’euthanasie. Je trouvais que c’était un point de départ intéressant car ça me permettait de raconter une histoire où les victimes et les criminels vivent ensemble sous le même toit. De la même manière qu’en Allemagne, après 1945, les victimes et les meurtriers devaient reconstruire le pays ensemble. Le point de départ a été Gerhard Richter, ses innovations dans le monde de l’art, puis j’y ai greffé ma propre colonne vertébrale car je ne voulais pas rester bloqué sur sa biographie. C’est ça qui est le plus intéressant. Si je savais qu’il y avait un vrai Docteur Jivago, ça m’intéresserait beaucoup moins. C’est ça qui fait la beauté du cinéma : on peut s’emparer de quelque chose pour en faire quelque chose de plus sincère. Je crois beaucoup en la fiction.

    « Werk ohne Autor » balaye une grande partie de la vie de votre personnage principal. Pourquoi avoir choisi cette temporalité éclatée ?

    Je n’ai jamais pensé raconter cette histoire dans une période plus courte car, pour moi, c’est l’histoire de quelqu’un qui se libère. Il fallait donc d’abord que je montre pourquoi il n’était pas libre. Petit garçon, Kurt a été façonné par les nazis puis par les communistes lorsqu’il était jeune homme. Il doit ensuite se débarrasser de tout ce qui l’a façonné et trouver sa propre voie. Pour moi, ça faisait sens de traverser toutes ces périodes.

    Vous montrez la période nazie de manière très décomplexée…

    J’ai essayé de rester dans le point de vue de Kurt, de regarder la période nazie comme il la voyait : à travers les yeux d’un enfant. Je pense aussi que c’est très important de parler de cette période de la manière la plus sincère possible. Je pense que si la période nazie était comme elle est montrée dans beaucoup de film américains et allemands, où le mal est immédiatement apparent, une grande partie de la population allemande aurait rejoint la résistance et aurait essayé de tuer Hitler. Je pense que c’est un problème de montrer les choses comme ça parce que si on décrit le mal comme ça dans le passé, on ne le reconnaîtra pas lorsqu’il se présentera de nouveau dans le futur.

    Vous parlez d’ailleurs assez librement des crimes perpétrés par les nazis, des chambres à gaz…

    La dernière phrase que sa tante dit à Kurt avant d’être tuée par les nazis, c’est : « Ne détourne jamais le regard », ce qui signifie : regarde le mal dans les yeux. Pour moi, ça veut aussi dire de ne pas faire confiance au jugement des autres sur les choses. Peut-être même aussi à son propre jugement : continue de te questionner. Tout cela est inclus dans « ne détourne jamais le regard ». Et je pense que nous n’aurions pas rendu justice à cette maxime si nous nous étions dit que nous ne pouvions pas montrer cela. Je ne voulais pas « faciliter » les choses en ne les montrant simplement pas. Ça a évidemment demandé des recherches : nous avons travaillé consciencieusement pour parler de ça, donner le bon esprit. Je pense que ce qui compte beaucoup, c’est l’esprit avec lequel on envisage quelque chose. Si vous racontez quelque chose avec le bon esprit, avec le bon point de vue, vous pouvez tout montrer et raconter.

    La complexité de cette période transparaît d’ailleurs à travers le personnage de Sebastian Koch : il est supposé être un monstre, mais on a aussi une certaine empathie pour lui…

    La complexité de ce personnage est aussi due à Sebastian Koch lui-même. C’est un acteur brillant. Je suis allé le trouver pendant que j’écrivais le scénario en lui disant que je voulais qu’il interprète ce personnage et qu’il en fasse quelque chose de complexe, pas seulement quelqu’un que les gens détestent. Il devait interpréter ce personnage avec toutes ces atrocités et en même temps d’une certaine manière convaincante. Il faut comprendre comment une personne peut en venir à commettre des actes aussi atroces parce que je ne pense pas qu’on naisse aussi mauvais. On a lu beaucoup de livres ensemble, dont La généalogie de la morale de Nietzsche, pour qu’il s’en imprègne pour son personnage. Si ça ne signifiait pas que l’on comprenait ce personnage, ça nous permettait de l’inclure dans une réalité. En tant qu’Allemands, on passe tellement de temps à réfléchir à cette période et malgré ça, je ne parviens pas à m’expliquer comment quelque chose comme ça a pu se produire.

    Ce film est un peu un retour aux sources. Avez-vous envie de refaire un film à Hollywood ?

    Ça dépend. Ce qui m’importe avant tout, c’est d’avoir une liberté totale et l’endroit où je fais les choses n’a pas d’importance, tant que vous avez une histoire que vous voulez raconter et que vous êtes 100 % libre.

    G. Moury

    en réponse à : Blake & Mortimer – Sente et Juillard Lien | Citer
    Planche du tome 2 de La Vallée des Immortels

    Sur cette nouvelle planche de la suite de « La Vallée des Immortels », on visualise clairement la place consacrée aux textes sur une page de Blake & Mortimer.

    Source : Twitter d’Yves Schlirf

    en réponse à : Jeu d'éleusis Lien | Citer

    Ah mais là, je me suis clairement planté en classant Gunnar !    Désolé pour la méprise… tu avais donc bien vu aussi Penny !   

    en réponse à : Concours – Les pierres d'Odin Lien | Citer

    Il faut que j’avoue une chose… j’ai joué à ce jeu comme les susnommés « sérial players ».   

    En fait, en revenant sur le site après une semaine d’absence, j’ai découvert le jeu, et je n’ai trouvé nulle part la date de clôture. Alors j’ai foncé comme un fou à travers tout, sans rien lire de ce que tu avais mis des semaines à rédiger ! Juste pour aller cliquer comme un frénétique sur une pierre noire avant qu’il ne soit trop tard !

    Pourquoi une pierre noire ? D’abord parce que les noires brillent, et pas les blanches. Et puis parce qu’un nain préfère les pierres des profondeurs aux pierres du bord de mer. Oui, oui, j’ai pensé à tout ça en fonçant à travers tout ! Mais là je viens de relire tout en détail, et je suis frustré d’avoir cliqué si vite, parce que je ne vois plus ces 2 x 49 pierres magiques s’afficher et briller. Donc oui, ça me ferait plaisir de revoir les plateaux de jeu.   

    Ensuite j’ai lu toute cette discussion sur le forum, et j’ai vu que le cinquième message ci-dessus faisait double emploi, puisqu’il est complètement repris dans le premier. Puis j’ai finalement terminé le parcours à l’envers en lisant l’article en page d’accueil du site, et j’ai trouvé une petite coquille dans le comptage des lots.   

    A propos de coquille, le titre du concours a été détourné dans sa présentation sur BDGest : 

    https://www.bdgest.com/forum/concours-mensuel-thorgal-com-les-larmes-d-odin-t85933.html

     

    Au final, bravo Stéph pour cette excellente initiative, ça fait plaisir d’avoir un bonus en étant membre du forum  !   

    en réponse à : Présentations Lien | Citer

    Bienvenue Nicolaas-le-balafré      

    en réponse à : Statuettes et bustes Lien | Citer

    Arnaud de La Marque Zone nous avait répondu ceci en janvier :

    Arnaud_lmz a écrit

    J’ai eu les photos d’un premier master peint il y a une dizaine de jours mais ça ne correspond pas à mes attentes. Je suis donc actuellement en train de revoir cette partie pour avoir un résultat qui soit vraiment au plus proche du travail digital de David.

    La sortie va donc être plus tardive que ce que je pensais.

    A suivre…

    Arnaud

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 7 – La dent bleue Lien | Citer
    Nouveaux personnages

    Thorgal-BD a écrit
    Paradoxalement, dans cette série je préfère quand les personnages originels n’apparaissent pas. Vivement donc que Thorgal prenne à nouveau la mer, si possible sans Gandalf, sans Bjorn, sans Hiérulf, sans Solveig… En fait j’aimerais ne plus jamais revoir aucun des personnages de Van Hamme dans aucun album de Thorgal. Je suis bien trop attaché à eux.

    Ah mais voilà, il suffisait de demander, et Roman t’a entendu !   

    Sur sa page Instagram, il nous partage quelques portraits de nouveaux personnages. Allez, on retrouve quand même Thorgal et Aaricia.   

      Thorgal et Mehdi

      Mehdi et KO

      Sveynn

      Thörbiorg

      Harald

      Aaricia

      Un geôlier

      Un ex-prisonnier

    Source : Compte Instagram de Roman Surzhenko

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 7 – La dent bleue Lien | Citer

    En rentrant hier soir, j’ai lu les 10 premières planches de l’album. Voulez-vous savoir ce qui est le pire ? C’est que ce matin, je ne me souvenais de rien, au point de me demander si je les avais vraiment lues !   

    Mais oui, c’est en les relisant aujourd’hui que je m’en suis rappelé… enfin, il n’y a pas grand-chose à se rappeler : les 10 planches ne sont qu’une mise en place de l’histoire, et encore, je ne suis pas sûr que ce soit terminé… tout ça est beaucoup trop long. Alors oui, on nous glisse quelques informations historiques, géographiques, culturelles… Ça ressemble plutôt à la série « Ils ont fait l’histoire », avec moins de contenus, et plus de dialogues…

    Alors je me rabats sur les dessins fouillés de Roman. Tiens, connaissez-vous le jeu utilisé par les marins sur le bateau d’Aaricia ?

    en réponse à : Largo Winch – 22 – Les voiles écarlates Lien | Citer

    Héhé ! En postant cette image, j’ai bien pensé que ça allait te titiller de la remettre en forme.   

    Et un autre qui nous titille, c’est Philippe Francq qui a découvert comment nous faire patienter en postant de temps en temps une photo de son travail sur Largo Winch. Voici le commentaire qui accompagne ces deux dernières images.

    Photos de mon atelier avec notamment la maquette de l’avion dont je me suis inspiré pour le « Mowgli Jet ».

    Source : Instagram de Philippe Francq

    en réponse à : Jeu d'éleusis Lien | Citer
    Règle découverte !

    Maxime a découvert la règle du jeu que j’avais choisie pour trier les personnages !   

    La règle était : On a vu les personnages recevoir une blessure sanglante.

    Bon, après coup, je me suis rendu compte que cette règle n’était pas si claire que ça. Effectivement, la blessure n’a pas toujours été vue dans l’album, mais elle est bien présente. Est-ce que j’accepte les blessures internes ? Non, je me suis limité aux blessures visibles. Et est-ce que j’accepte aussi les personnages mortellement blessés ? Là oui, je les ai comptés… Enfin voilà, tout ça pour dire que cette règle était trop compliquée. 

    Mais bravo à tous pour vos recherches !  

    en réponse à : La coloriste Graza Lien | Citer
    La Fille de Paname

    J’ai eu la chance de découvrir dans ma bibliothèque publique les deux derniers albums mis en couleur par Graza : La Fille de Paname. La mise en couleur est même partagée entre Graza et son mari Kas qui a dessiné ce diptyque paru entre 2011 et 2014. Depuis sa participation aux albums de Thorgal, elle ne s’occupe plus que des BD dessinées par son mari, qui se font d’ailleurs trop rares. Car leur collaboration donne des résultats superbes, comme par exemple les couvertures des albums de « La Fille de Paname ».

    Cette histoire nous plonge dans le Paris de la Belle Époque, mais du côté des marginaux, des bandes de voyous qui s’emparent de la rue et y font la loi. Amélie, la fille de Paname, ne les fuit pas, elle s’en accommode même fort bien pour mener sa vie comme elle l’entend. C’est au bras de ces voyous qu’elle se sent la plus heureuse. Ce diptyque qui repose sur l’histoire vraie de « Casque d’Or » vaut la peine d’être découvert ! 

    Les 2 tomes de « La Fille de Paname » sont parus dans la collection Signé du Lombard, avec Laurent Galandon au scénario.

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 7 – La dent bleue Lien | Citer

    Je suis de ton avis Floriane. Sur cette planche, je trouve aussi l’attitude de Thorgal inadaptée au personnage.

    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer

    Eh oui, il n’y a plus de planches originales à vendre quand on dessine sur tablette numérique. Et vu le prix auquel partent ses planches, Grzegorz a bien fait de dessiner sur du papier traditionnel.   

    en réponse à : Bonjour à tous et à toutes Lien | Citer

    Ouh! Tu vas fâcher le webmestre à dire bonjour comme ça n’importe où !   

    Mais je suis impatient de voir tes dessins.   

    en réponse à : Blake & Mortimer – Sente et Juillard Lien | Citer
    Projet de couverture tome 2 Vallée des Immortels

    Désolé Fred, je ne peux pas te répondre, je ne l’ai pas lu…

    L’éditeur de Dargaud nous partage un projet de couverture pour le second tome de « La Vallée des Immortels ».

    Source : Twitter d’Yves Schlirf

    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer
    Interview de Fred Vignaux pour La Ribambulle

    Le mois dernier au festival d’Angoulême, Fred Vignaux a accordé une interview à La Ribambulle. En voici un extrait qui donne des indications sur son travail pour le tome 37 de Thorgal, à paraître fin de cette année. 

    Fred, comment s’est déroulé le passage de flambeau ?

    Celui-ci s’est passé en deux temps. L’annonce officieuse a eu lieu courant mai, Gauthier Van Meerbeeck (directeur éditorial du Lombard) m’a contacté. Puis il y a eu l’annonce officielle à Bruxelles lors de la présentation par Grzegorz du dernier album. C’est une décision collective entre Le Lombard et lui. Grzegorz retrouvait un peu de lui dans mon dessin. On peut considérer aussi que c’est un peu une suite logique car dans la continuité des aventures de Kriss et des retrouvailles avec Thorgal.

    Y aura-t-il plus de pression pour le premier Thorgal que sur Kriss ?

    Il y aura plus de pression sur la technique de dessin car sur Kriss d’autres dessinateurs s’étaient déjà emparés du personnage (G. De Vita, Roman Surzhenko), donc je ne devais pas m’inscrire dans un style particulier, je pouvais donc conserver le mien. Pour Thorgal, le « gap » ne peut pas être trop important avec le trait de Grzegorz mais en même temps si j’ai été choisi c’est aussi pour la particularité de mon dessin et donc je vais aussi faire ce que je sais faire le mieux.

    Grzegorz conservera-t-il un droit de regard sur la série ?

    Oui, je vais lui soumettre la première vingtaine de planches et il me fera part de ses commentaires. Cette supervision durera le temps qu’il jugera nécessaire.

    Quelle sera la technique utilisée ?

    Pour la couleur, elle sera faite à l’ordinateur par Gaëtan, qui a fait un travail formidable sur Kriss. Quant au travail sur les dessins et l’encrage de Thorgal, j’ai commencé en traditionnel et puis en fonction du temps qu’il me reste, j’adapterai mon travail entre numérique et papier. Le numérique permet de ne pas être tributaire du travail de correction, ce qui permet sur certaines planches complexes de faire le meilleur travail possible. Grzegorz aime qu’on travaille en tradi sur les planches car c’est aussi une assurance de revenus pour garantir la retraite. Il continuera à faire les couvertures, ce qui est un grand honneur.

    Où en est le prochain album ?

    Celui-ci a déjà été entièrement écrit par Yann, la moitié est storyboardée et une quinzaine de pages déjà encrées. Il s’agit d’un one-shot mais il y a un fil rouge qui commence à pointer. On va sans doute être rattrapé par le passé de Thorgal….

    Propos recueillis par Jean-Luc Delorme le 25 janvier 2019 dans les caves de l’exposition éphémère Thorgal au festival d’Angoulême.

     

    Source : https://la-ribambulle.com/dans-la-bulle-de-fred-vignaux

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Interview pour La Ribambulle

    Le mois dernier au festival d’Angoulême, Fred Vignaux a accordé une interview à La Ribambulle.

    Fred, comment s’est déroulé le passage de flambeau ?

    Celui-ci s’est passé en deux temps. L’annonce officieuse a eu lieu courant mai, Gauthier Van Meerbeeck (directeur éditorial du Lombard) m’a contacté. Puis il y a eu l’annonce officielle à Bruxelles lors de la présentation par Grzegorz du dernier album. C’est une décision collective entre Le Lombard et lui. Grzegorz retrouvait un peu de lui dans mon dessin. On peut considérer aussi que c’est un peu une suite logique car dans la continuité des aventures de Kriss et des retrouvailles avec Thorgal.

    Y aura-t-il plus de pression pour le premier Thorgal que sur Kriss ?

    Il y aura plus de pression sur la technique de dessin car sur Kriss d’autres dessinateurs s’étaient déjà emparés du personnage (G. De Vita, Roman Surzhenko), donc je ne devais pas m’inscrire dans un style particulier, je pouvais donc conserver le mien. Pour Thorgal, le « gap » ne peut pas être trop important avec le trait de Grzegorz mais en même temps si j’ai été choisi c’est aussi pour la particularité de mon dessin et donc je vais aussi faire ce que je sais faire le mieux.

    Grzegorz conservera-t-il un droit de regard sur la série ?

    Oui, je vais lui soumettre la première vingtaine de planches et il me fera part de ses commentaires. Cette supervision durera le temps qu’il jugera nécessaire.

    Quelle sera la technique utilisée ?

    Pour la couleur, elle sera faite à l’ordinateur par Gaëtan, qui a fait un travail formidable sur Kriss. Quant au travail sur les dessins et l’encrage de Thorgal, j’ai commencé en traditionnel et puis en fonction du temps qu’il me reste j’adapterai mon travail entre numérique et papier. Le numérique permet de ne pas être tributaire du travail de correction ce qui permet sur certaines planches complexes de faire le meilleur travail possible. Grzegorz aime qu’on travaille en tradi sur les planches car c’est aussi une assurance de revenus pour garantir la retraite. Il continuera à faire les couvertures, ce qui est un grand honneur.

    Où en est le prochain album ?

    Celui-ci a déjà été entièrement écrit par Yann, la moitié est storyboardée et une quinzaine de pages déjà encrées. Il s’agit d’un one-shot mais il y a un fil rouge qui commence à pointer. On va sans doute être rattrapé par le passé de Thorgal….

    Quel sera le rythme de parution ?

    Les lecteurs étant habitués à deux nouveautés par an, on continue sur le même rythme avec La jeunesse de Thorgal vers le mois de mars et un Thorgal en décembre.

    Le festival d’Angoulême, un passage obligé ? Une corvée ?

    Non c’est une belle rencontre. C’est l’un des deux événements majeurs en BD en France et le dernier Kriss n’était pas sorti pour Saint Malo. C’est donc le « gros » festival pour le défendre, de plus le tirage de tête est sorti en avant-première pour le festival chez BD Empher. Je dédicace également Neige et Ils ont fait l’Histoire chez Glénat. Un festival bien chargé qui met fin à quatre mois de promotion car après je bloque tout pour avancer sur le Thorgal.

    Que penses-tu du grand prix de cette année, Rumiko Takahashi ?

    L’avantage c’est que c’est une femme, une des deux seules que la profession aie élue. Ce n’est pas cependant un(e) auteur(e) que je suivais car en manga je suis plutôt SF mais je reconnais bien sûr son talent et elle répond parfaitement au côté international du festival.

    Si tu pouvais élire ton propre grand prix ?

    J’aurai choisi des noms en « ski » : Jodorowski… Rosinski et pour faire une exception Jean Van Hamme.

    Propos recueillis par Jean-Luc Delorme le 25 janvier 2019 dans les caves de l’exposition éphémère Thorgal au festival d’Angoulême.

     

    Source : https://la-ribambulle.com/dans-la-bulle-de-fred-vignaux

    en réponse à : Jeu d'éleusis Lien | Citer

    On approche… la règle est liée à la mort, aux armes, aux combats, mais pas particulièrement avec Thorgal ou les siens…

    Slive   

    Tjall   

    Alinoë  non 

    Pourquoi non pour Alinoë ?   

     

     Règle du Jeu d’Eleusis

      Thorgal, Jolan, Varth, Aaricia, Kriss de Valnor, Sigwald-le-Brûlé, Louve, Aniel, Solveig, Wor-le-Magnifique, Gandalf-le-Fou, Crow, Griz, Ewing, Orgoff, Muff, Véronar, Nidhogg, Volsung, Votiak, Ilenya, Voriaz, Varth, Xargos, Bjorn, Slive, Tjall

    non  La gardienne des clés, Syrane, Inga, Hydalgor, Frigg, Manthor, Darek, Lehla, Xia, Haynée, Kahaniel, Azzalepstön, Orchias, Petrov, la gardienne d’enfants, Shardar, Zorn, Tjahzi, Kheela, Gunnar, Shaniah, Haynée, Jorund, Géant anneaux Freyr, Alinoë

    en réponse à : Forum – Le forum a 20 ans ! Lien | Citer

    Ah oui, ça ne marche pas à tous les coups, mais c’est pas mal…   

    Pourquoi lire Thorgal ?

    Vignaux

    Kriss de Valnor

    • Ce sujet a été modifié le il y a 6 ans et 2 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Forum – Le forum a 20 ans ! Lien | Citer

    Rosinski

    Dans l’atelier de Grzegorz Rosinski

    Premières planches de « La dent bleue »

    en réponse à : XIII – Sente et Jigounov Lien | Citer
    XIII History

    Quelques images et mots mystérieux lâchés par Yves Schlirf annoncent un album particulier de XIII pour l’automne :

    Un XIII History ? A découvrir pour la rentrée 2019 !

    Source : Twitter du directeur éditorial de Dargaud

    en réponse à : Jeunesse de Thorgal – 7 – La dent bleue Lien | Citer

    L’histoire se poursuit et se répète… on en est déjà au cinquième tome d’une histoire qui n’en finit plus depuis « Runa ». Ce qui manque dans la Jeunesse, ce sont des récit qui ont une vraie fin, qui se suffisent à eux-mêmes, et qui nous laissent un souvenir impérissable. En attendant, j’apprécie toujours autant le travail de Roman sur les vêtements vikings, c’est un vrai plaisir de les admirer en détail !

    en réponse à : Wayne Shelton Lien | Citer

    Nouvelle planche de Wayne Shelton diffusée par Yves Schlirf.

    Source: Twitter d’Yves Schlirf, éditeur chez Dargaud

    en réponse à : Piotr et Zofia Rosinski Lien | Citer
    Grzegorz & Kasia

    Piotr nous partage un portrait de ses parents, Grzegorz et Kasia, croqués dans les années ’70 par le dessinateur tchèque Kája Saudek. 

    Source : FB de Piotr Rosinski

    en réponse à : Largo Winch – 22 – Les voiles écarlates Lien | Citer

    Philippe Francq au travail sur le crayonné du tome 22 de Largo Winch.   

    Source : https://www.instagram.com/philippe_francq

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