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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Tjahzi

Toutes mes réponses sur les forums

40 sujets de 121 à 160 (sur un total de 4,482)
  • Auteur
    Messages
  • en réponse à : Thorgal – 42 – Ozürr le Varègue Lien | Citer
    Ex-libris BDweb

    BDweb propose pour son ex-libris noir et blanc le même dessin que celui présenté par Stéph en couleur à la page précédente du topic. 

    Source : BDweb

    en réponse à : Jeux – Peindre les figurines Thorgal Lien | Citer

    Ah oui, c’est mieux pour les yeux de Thorgal !    Côté forme du visage, tu ne peux rien y changer, il reste quand même assez différent de celui qu’on connait…

    Surprenants, ces pavés au sol pour Aaricia, on voit que les auteurs ont pris pas mal de libertés. Je me réjouis de la voir en couleurs ! 

    en réponse à : Jeux – Peindre les figurines Thorgal Lien | Citer

    Bravo pour tous ces détails  Le plus impressionnant est que tu sais pourquoi tu fais chaque trait de couleur, car tu connais ta source d’inspiration sur le bout des doigts !   

    Juste un détail qui me chipote en gros plan, comme Hirondl, ce sont les yeux de Thorgal (Ah ce regard de Thorgal, nous avons tant de fois fait la remarque aux dessinateurs qui se sont succédés). Pourquoi est-ce que tu as souligné les yeux d’un trait noir ? C’est pour un résultat visuel à distance ?

    Et je suis sûr que tu travailles déjà sur le personnage d’Aaricia !   

    • Ce sujet a été modifié le il y a 6 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Thorgal Saga – La déesse d’Ambre – Bec et Mangin Lien | Citer
    La couverture

    Christophe nous partage son travail en cours sur la couverture de l’album :

    Christophe Bec a écrit

    J’ai commencé aujourd’hui le travail sur la finalisation de la couverture du THORGAL SAGA « La Déesse d’Ambre ». J’ai opté pour une peinture numérique.

    Source : FB de Christophe Bec

    en réponse à : Yves Sente Lien | Citer
    Entretien avec Dargaud

    A l’occasion de la sortie de 2 albums qu’il a scénarisés – XIII, Moscow-Spaso House et Blake et Mortimer, Signé Olrik – Yves Sente répond aux questions de son éditeur Dargaud. Je copie cet entretien dans son intégralité (car notre forum est plus pérenne que la plupart des pages du web), mais je vous encourage à le lire sur sa page d’origine de Dargaud, bien mieux présentée.

    C’est ici : https://www.dargaud.com/actualites/yves-sente-et-la-formule-magique-photo

    Yves Sente et la formule magique

    Les scénarios qu’Yves Sente confectionne avec la dextérité d’un orfèvre ravissent des hordes de lecteurs qui en redemandent depuis 26 ans. Mais qui est donc ce scénariste qui a de l’or dans le stylo-plume ?

    Son nom est Sente, Yves Sente

    L’ex-rédacteur en chef, puis directeur aux éditions du Lombard, est devenu, suite à l’envoi – anonyme ! –  d’un projet d’histoire, l’un des dépositaires de la destinée des agents de Sa gracieuse Majesté : Blake et Mortimer.

    Tout commence en 1998, quand La Machination Voronov, dessinée par celui qui deviendra son binôme et ami, André Juillard, est en passe de devenir un carton.

    Depuis, le scénariste, qui ne délaisse pas ses propres créations originales pour autant, suit les traces d’un autre belge de renom : Jean Van Hamme.

    Ce dernier va lui mettre le pied à des étriers de pur-sang ne demandant qu’à hennir de plus belle : le demi-dieu venu des étoiles, Thorgal, et l’amnésique recherché XIII.

    Les ventes des reprises signées Sente ont largement dépassé les 10 millions d’exemplaires vendus. Pas mal pour un scénariste qui souhaite juste que ses lecteurs passent un bon moment ! Mais comment fait-il ?

    Comment expliquez-vous le succès de la reprise de Blake et Mortimer ?

    Yves Sente : Que les choses soient claires : le succès de la série Blake et Mortimer revient à Jacobs, et rien qu’à Jacobs. Nous, les repreneurs, ne faisons que le prolonger, l’extrapoler. Au moment de la reprise, en 1996, il fut décidé de replacer la série dans son jus, au cœur des années 1950. Excellente idée me semble-t-il.

    Blake, Mortimer et le paradoxe temporel

    Est-ce un souvenir d’enfance d’aujourd’hui ?

    Yves Sente : Les Blake et Mortimer signés Jacobs n’étaient pas des BD historiques ! D’ailleurs, dans les derniers albums, comme Les 3 Formules du Professeur Sato [N.D.L.R. : dont la première partie a été publiée dans le Journal de Tintin de 1971 à 1972], on est clairement dans les années 1970.

    C’est une sorte de paradoxe : pour Jacobs, Blake et Mortimer était une série contemporaine, pour nous, les repreneurs, c’est devenu une série historique, dans laquelle je respecte certains codes de l’époque : les personnages se vouvoient, utilisent des expressions surannées, et naviguent au milieu de très longs textes ampoulés.

    La madeleine 2.0

    Mais il doit y avoir une formule, Professeur Sente ?

    Yves Sente : S’il y en a une, c’est de faire du Blake et Mortimer, pas du Jacobs. Ça, lui seul en était capable. Malgré les codes évoqués plus haut, j’essaie de moderniser le récit. Je suis persuadé que si je faisais un scénario exactement comme ils étaient faits dans les années 1950, il nous tomberait des mains aujourd’hui. Ça ressemblerait à un pastiche, ou pire, un copié-collé.

    Nos cerveaux ont évolué, grâce au cinéma, aux séries. Par exemple, on n’envisagera plus de sortir une histoire sans personnage féminin. On ne met pas de personnages féminins aujourd’hui pour casser un code « jacobsien », non ! Jacobs lui-même aurait aimé en mettre dans ses albums, il l’a souvent dit… La question n’est donc pas de respecter ou non Jacobs, mais plutôt de voir comment réaliser un récit lisible en 2024, tout en donnant l’impression qu’on savoure une madeleine des années 1950.

    Dans vos scénarios, hyper-documentés et construits, il y a toujours un moment « gratuit », qui amène l’attachement aux personnages…

    Yves Sente : C’est en effet mon petit plaisir : ajouter ces scènes apparemment inutiles, comme deux personnes qui parlent sans raison apparente, et qui donnent lieu à un moment d’émotion. Émotion qui manquait un peu. C’est André Juillard qui m’a rappelé que Jacobs avait écrit une biographie de ses héros dans L’Opéra de papier. Mon ami avait tellement raison : je me suis replongé dans ces biographies, de manière à densifier leur psychologie via des flash-back. D’un coup, j’ai trouvé qu’ils devenaient « vrais », et attachants.

    We love XIII

    Et XIII ?

    Yves Sente : À l’époque, j’ai beaucoup dialogué avec Jean Van Hamme, qui me disait toujours : « Yves, tu auras beau faire la meilleure histoire du monde, si on ne s’attache pas à tes personnages, elle n’intéressera personne. » Il a tellement raison : on s’en fiche que Thorgal aille aux enfers, ou batte la sorcière et gravisse le mont machin… Ce qui nous importe c’est qu’il retrouve sa famille, c’est de savoir où en est son amour avec Aaricia, et ce qu’il en est de ces dieux qui lui en veulent. On a de la compassion pour lui, on tremble pour lui, avant d’avoir envie qu’il fasse tel ou tel acte de bravoure. Pareil pour Largo Winch.

    Et que dire de ce pauvre gars qui n’a toujours pas retrouver sa mémoire ?

    Yves Sente : Mais oui ! XIII est le plus mal loti : il a perdu la mémoire, ce qui est déjà horrible en soi, mais en plus, le monde entier lui en veut. Forcément on a envie qu’il la retrouve, qu’il s’en sorte et accède enfin à une vie tranquille, où on lui fout la paix ! Si j’arrive à déclencher l’empathie pour mon personnage principal, la moitié du boulot est faite.

    XIII version Sente : permis de flinguer

    Il y a une grande liberté dans « votre » XIII, rien n’est interdit ? 

    Yves Sente : Si ! Il y a quelques temps, inspiré par la grande liberté des séries comme Game of Thrones, il m’a pris l’envie folle de tuer des personnages. William Vance et Jean Van Hamme m’ont dit : « Pas question ! » Je les ai écoutés… mais je cogitais.

    Alors, avec Iouri (Jigounov, dessinateur de XIII, N.D.L.R.) on a décidé de créer une série de nouveaux personnages, rien qu’à nous. Comme ils nous appartiennent, on a pu les flinguer, les défigurer, ou les tourmenter à souhait, ce qui nous a permis d’apporter un côté actuel à la narration. On essaie, petit à petit, d’amener XIII, ce quasi-retraité, dans le XXIe siècle !

    À propos de retraite, vous pensez à la fin de XIII ?

    Yves Sente : Oui ! Et je sais exactement comment et pourquoi finir ce deuxième cycle. Je peux vous dire qu’en trois albums, ce sera plié !

    Vous arrêterez ?

    Yves Sente : Je ne sais pas encore… Si, d’ici la fin de la série en cours, je me réveille avec une lumière divine, je proposerai de rempiler. Mais si rien ne vient, je laisserai la place à un autre.

    Belgique : patrie des scénaristes d’aventures

    XIII ou Blake et Mortimer représentent une tradition de la BD belge : l’aventure.

    Yves Sente : C’est vrai ! Hergé, Jacobs, Peyo, Jean-Michel Charlier, Greg, André-Paul Duchâteau, Henri Verne, Maurice Tillieux, Jean Van Hamme, Jean Dufaux, Philippe Tome,… La plupart des grands modèles de scénaristes de mon enfance (qu’ils soient, par ailleurs, dessinateur ou pas) sont Belges. Cela ne ne m’empêche évidemment pas d’avoir énormément d’admiration pour les scénarios d’aventures de Goscinny, Graton, Jacques Martin, Derib, Cosey et bien d’autres. Peut-être que la petite taille du pays et sa culture si particulière ont-elles donné aux auteurs belges l’envie d’envoyer leurs héros à l’aventure, aux quatre coins du monde ? Je ne sais pas.

    En tout cas, j’assume avec plaisir faire partie de cette tradition d’auteurs qui aiment raconter des histoires de fiction qui laissent la place toute entière à l’imaginaire et l’aventure pure. Comme ceux de mes modèles, mes récits n’ont (presque) rien à voir avec ma vie ou de quelconques expériences personnelles.

    On le sait, une bonne série, c’est avant tout un bon méchant. Dans cette dernière aventure, Blake et Mortimer se font damner le pion par un méchant très malin : un certain Olrik.

    Yves Sente : Oui, nous avions envie, André et moi, de rendre hommage à Olrik, ce méchant génial et très efficace !

    Pour être aussi fort, et faire tourner les rouages de son entreprise du mal, il faut des moyens. Avec Signé Olrik, nous faisons d’une pierre deux coups : on explique comment Olrik finance ses noirs desseins, et on montre l’humanité de Blake et Mortimer.

    Je suis très triste à l’idée qu’André Juillard ne m’accompagnera plus pour de nouvelles aventures mais je suis content qu’il ait pu terminer cet album, qui sort un peu de la tradition, de l’ordinaire. André a réussi à finir l’album, et de quelle manière !  C’est une belle fin dans tous les sens du terme…

    Source : Dargaud

    en réponse à : Thorgal – 42 – Ozürr le Varègue Lien | Citer
    ex-libris de BDfugue

    Le réseau BDfugue propose en ex-libris le dessin qui a inspiré la couverture de l’édition spéciale.   

    Source : BDfugue

    en réponse à : Le coin des dessinateurs Lien | Citer
    Roam

    Waouh ! Quelle belle foison d’Inkthorgaux !     Je vais commencer par cette image-ci :

    Hirondl a écrit
    Jour 14 : Roam L’errance, la vraie, l’errance psychique et émotionnelle évidemment.  

    L’errance de Thorgal, qui durera tant d’années à fuir les dieux, débute à la fin de l’album « La gardienne des clés » . Ce sera d’ailleurs le point de départ du Thorgal Saga de Mohamed Aouamri et Antoine Ozanam.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 6 mois et 1 semaine par Tjahzi.
    en réponse à : Eclairages – Dans l'atelier de Rosinski Lien | Citer
    Conversations nocturnes avec soi-même

    Piotr Rosinski a partagé il y a quelques mois une petite vidéo fort sympa pour se plonger dans le travail de création de son père. Comme celle-ci est tournée la nuit, elle s’intitule « Conversations nocturnes avec soi-même« . Je trouve que ce topic convient bien pour vous la partager. D’autant plus que Stéph a visité l’atelier de Grzegorz Rosinski en 2011, et que ces images vont certainement lui évoquer de bons souvenirs. Ce film a été tourné en 2005, les images sont de Piotr Jaxa, et le montage de Benoit Toulemonde et Piotr Rosinski.

    en réponse à : Thorgal – 42 – Ozürr le Varègue Lien | Citer
    Dédicaces des auteurs de Thorgal

    Le site du Lombard a publié dans son agenda les dates de dédicaces de l’album « Ozürr le Varègue » , mais aussi d’autres albums de Thorgal. En effet, on aura la chance de pouvoir rencontrer de nombreux auteurs de Thorgal durant cette tournée, principalement dans les FNAC qui proposent une magnifique édition spéciale pour fêter leurs 70 ans.

    • 7 novembre à 18h15 : FNAC Bercy Paris (F) – Rosinski, Duval, Recht, Rouge, Vignaux, Yann
    • 8 novembre à 18h : Librairie Flagey Ixelles (B) – Rosinski, Recht, Rouge, Vignaux, Yann
    • 15 novembre à 18h : FNAC Nantes (F) – Vignaux, Yann
    • 16 novembre à 16h30 : FNAC Bordeaux (F) – Recht, Vignaux
    • 21 novembre : FNAC Genève (CH) – Recht, Vignaux
    • 23 novembre à 16h30 : FNAC Lyon (F) – Duval, Vignaux, Yann
    • 30 novembre : FNAC Louvain-la-Neuve (B) – Recht, Vignaux

    en réponse à : Jeux – Le jeu de plateau Thorgal Lien | Citer
    Présentation du matériel par 'Zone Jeux de Société'

    Pour la « semaine du sociofinancement » (comme ils disent au Québec pour ‘crowdfunding’ ), voici un déballage du contenu de la boîte par un fan de jeux de société qui ne connait absolument pas Thorgal, mais qui a envie de le découvrir grâce à ce jeu arrivé au Canada.   

    • Ce sujet a été modifié le il y a 6 mois et 2 semaines par Tjahzi.
    en réponse à : Le coin des dessinateurs Lien | Citer

    Hirondl a écrit
    Jour 12 : Remote Je me souviendrai toujours de ce que j’ai ressenti le jour où j’ai découvert cette planche … se passer à côté comme ça c’est ballot quand même.

    Un moment très fort, cette occasion manquée de retrouvailles, comme Thorgal et Aaricia en ont connues si souvent…

    en réponse à : Thorgal Saga – De givre et de feu – Etien, Djian & Legrand Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    On vient d’ailleurs de découvrir cette première mise en couleur de Bruno, qui ne serait qu’un essai d’après la rumeur. A vérifier dans l’album lorsqu’il sortira. Les deux ours géants s’appellent apparemment Boubette et Frisqua. Ils roulent et ils glissent sur la blanche blanche neige.

    M’enfin    Ce n’est sûrement pas Bruno qui s’est occupé de ces couleurs moches !

    D’ailleurs, les ours polaires ont un pelage blanc comme la neige…

    en réponse à : Jeux – Peindre les figurines Thorgal Lien | Citer

    Ah, mais qui lui a mis une barbe pareille à Thorgal      Tout en noir, on la voit déjà moins, mais je suppose que ce n’est pas sa couleur définitive…   

    Vu déjà le long processus de mise en couleur des rochers, ça promet pour Thorgal     

     

    Thorgal-BD a écrit
    Il me semble que… attends… oui, c’est bien ça : la communauté réclame une photo de tes Playmobil. Je les comprends. Envoie.

    Je n’ai plus aucun Playmobil à la maison. J’en avais pourtant des tas, qui remontent pour certains aux premières années de leur lancement. Mais j’ai tout refilé à mon neveu il y a déjà pas mal de temps. Je ne sais même pas ce qu’ils sont devenus…   

    en réponse à : Le coin des dessinateurs Lien | Citer

    Dessins très inspirés ! J’apprécie beaucoup tes réinterprétations issues des Thorgal rosinskiens.   

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer

    Ralf a écrit

    Thorgal-BD a écrit
    un Thorgal Saga made in Vignaux à 100%

    Tu veux dire qu’il fait aussi le scénario….?

    Il dit dans l’entretien qu’il sera seul aux commandes, mais qu’il lui faudra peut-être 4 ou 5 ans pour le développer en parallèle de la série principale.

    en réponse à : Thorgal Saga – De givre et de feu – Etien, Djian & Legrand Lien | Citer
    Le coloriste Bruno Tatti

    Avec cette superbe case de l’album, David Etien nous dévoile le nom du coloriste qui travaille sur « De givre et de feu » : Bruno Tatti.

    Celui-ci est loin d’être un inconnu dans la galaxie thorgalienne. Il s’est déjà chargé des couleurs d’un album de « La quête de l’oiseau du temps » dessiné par David Etien. C’est lui aussi le coloriste des derniers tomes de XIII scénarisés par Yves Sente et dessinés par Jigounov. Tout comme les XIII Trilogy scénarisés par Yann et dessinés par TaDuc. Il était aussi le coloriste de « La flèche ardente » scénarisé par Jean Van Hamme et dessiné par Cailleaux et Schréder. Il a participé aux couleurs d’Aristophania scénarisé par Xavier Dorison et dessiné par Parnotte. Et il a également rejoint Fred Vignaux sur son dernier Neige origines.

    Bruno Tatti est donc déjà bien connu des nos auteurs thorgaliens !

    Source : FB de David Etien

    en réponse à : Jeux – Le jeu de plateau Thorgal Lien | Citer

    Tout ça a l’air très sympa, ils y ont mis les moyens… et toi le budget !   

    en réponse à : Jeux – Peindre les figurines Thorgal Lien | Citer

    Waouh ! Ça va être sympa de suivre l’évolution de tes personnages au fil des semaines.  

    Je n’y connais rien en peinture de figurines. Enfant, ma seule expérience a été de colorier des Playmobils spéciaux vendus tout blancs.

    Les feutres proposés étaient efficaces, mes personnages ont conservé leurs couleurs depuis cette lointaine époque.   

    en réponse à : Thorgal en langues étrangères Lien | Citer
    Wendigo en arabe

    On peut déjà retrouver « Wendigo » en arabe, c’est top !   

    Source : Arab Comics

    en réponse à : Thorgal Saga – Shaïgan – Surzhenko et Yann Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Tout à fait, comme souvent.

    En rapport avec la divine BD du Lombard    

    en réponse à : Oraison Funèbre Lien | Citer
    Pierre Christin

    France Info rend hommage à Pierre Christinle scénariste de la bande dessinée Valérian et Laurelinedécédé à l’âge de 86 ans.

    « Scénariste de bande dessinée, écrivain, universitaire et professeur, Pierre Christin s’est éteint à l’âge de 86 ans, laissant derrière lui une œuvre considérable.

    Le scénariste de la série Valérian et Laureline, l’une des grandes figures de la BD, est mort jeudi 3 octobre 2024 au matin, a annoncé son éditeur Dargaud dans un communiqué intitulé « La fin d’une magnifique histoire ». « Sa disparition représente une perte inestimable pour notre métier qu’il aura pleinement contribué à faire grandir, au même titre qu’un René Goscinny », écrit l’éditeur.

    Né en 1938 en banlieue parisienne, Pierre Christin était l’un des auteurs les plus prolifiques du monde de la BD. En cinquante ans de carrière, il a publié une centaine d’ouvrages, multipliant les collaborations avec des dessinateurs majeurs, de Jean-Claude Mézières à André Juillard en passant par Enki Bilal, François Boucq et Jacques Tardi.

    Son parcours avait fait l’objet d’une rétrospective lors du 47e Festival international d’Angoulême. Le 20 novembre 2018, Pierre Christin avait reçu, lors de ce même festival, le prix Goscinny pour son album autobiographique Est-Ouest (Dupuis) ainsi que pour l’ensemble de son œuvre. Lors de la remise des prix, il avait été salué par « une longue et vibrante standing ovation », rappelle son éditeur. Cette récompense s’accompagnera l’année suivante d’une exposition intitulée Dans la tête de Pierre Christin.

    Formé à La Sorbonne puis à Sciences Po Paris, Pierre Christin avait soutenu une thèse de doctorat en 1963 sur Le fait divers, littérature du pauvre. Dans les années 1960, il est pianiste de jazz, journaliste et traducteur à ses heures, et part à la découverte de l’Ouest américain. Selon son éditeur, « il s’enthousiasme aussi bien pour la vie dans les ranchs et les autoroutes urbaines que pour la science-fiction, le polar et la musique noire, qui est alors à son apogée ».

    En 1967, il signe avec le dessinateur Jean-Claude Mézières la première aventure de Valérian, sans imaginer le succès international que connaîtront son héros et son héroïne, Laureline. Le scénariste fut l’un des premiers à oser mettre en avant un personnage féminin fort.

    Cette série de science-fiction traduite dans une vingtaine de langues inspirera des réalisateurs comme George Lucas (auteur de la saga intergalactique La Guerre des étoiles) et Luc Besson qui réalisera en 2017 une adaptation de la BD au cinéma : Valérian et la Cité des mille planètes.

    En 1968, il créé l’IUT de journalisme de l’université de Bordeaux avec Robert Escarpit. Il est toujours resté proche de l’école et de ses étudiants. Il sera aussi un pilier du magazine Pilote.

    Il traitera de sujets graves, nourris par des enquêtes dans le bloc soviétique, avec Enki Bilal, dans des albums devenus de grands classiques de la bande dessinée politique : Les Phalanges de l’Ordre noir (Dargaud, 1979), Partie de chasse (Dargaud, 1983), Le Vaisseau de pierre (1976), La Croisière des oubliés (1975) ou encore La ville qui n’existait pas (1977).

    Avec Annie Goetzinger, il écrira aussi des portraits de femmes, des intrigues intimistes comme La Demoiselle de la Légion d’honneur (Dargaud, 1980) ou Paquebot (Dargaud, 1999). En 2001, il se lancera dans la série L’Agence Hardy, un polar parisien des années 1950 dans une veine féministe.

    Hémisphère Nord en 1992, hémisphère Sud en 1999, il aime autant les voyages au long cours que les balades autour de Paris et, sans jamais oublier la bande dessinée, s’essaie parfois à d’autres types d’écriture : les romans, les correspondances, une biographie de George Orwell en 2019.

    En 2022, il avait perdu son vieux compagnon de route, Jean-Claude Mézières. Il avait replongé dans l’aventure Valérian en écrivant lui-même Valérian vu par, dessiné par Valérie Augustin, une réflexion sur la création, pleine d’humour, à l’image de cet homme curieux et cultivé.« 

    Source : France Info

    en réponse à : Le coin des dessinateurs Lien | Citer

    Waouh ! Je viens de voir ton Aaricia postée l’année dernière Hirondl, elle est magnifique !    

    Bravo pour ta participation à Inktober, c’est très sympa de nous partager tout ça   

    Et j’ai reconnu le trident atlante découvert par Thorgal !   

    en réponse à : Thorgal Saga – Shaïgan – Surzhenko et Yann Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Pour la phrase, pas facile de trouver la punchline que je souhaitais alors je suis parti sur une phrase qui résume un peu l’album, l’état d’esprit du héros.

    Effectivement, c’est la bonne phrase pour résumer la démarche de Shaïgan.   

    Et très belle image côté scène… mais il y a un jeu de mot derrière « Divine rencontre divine »   

    en réponse à : Yves Sente Lien | Citer
    Omula et Rema

    La parution du second tome de ce diptyque est l’occasion de découvrir Omula et Rema, avec Jorge Miguel au dessin et Yves Sente au scénario, publié aux éditions Rue de Sèvres.

    « Dans un monde lointain et futuriste, la population en constante augmentation oblige Omula à embarquer avec ses parents pour une expédition aux confins de l’univers à la recherche d’une nouvelle planète où vivre. A bord du vaisseau, se trouvent les clones de chacun des membres d’équipage, dont celui de la jeune fille, Rema. Au même moment, sur Terre, la cité antique d’Albalonga est le théâtre d’un complot politique. Amulius, fils du roi Procas, manoeuvre en secret pour récupérer la couronne de son père et instaurer un régime autoritaire. Ces personnages de planètes et d’époques différentes, aux destins mystérieusement entremêlés, seront ensemble à l’origine d’événements majeurs de l’Histoire… »

     

    Voici ce qu’en dit Yves Sente sur LinkedIn :

    Le roman graphique « Omula et Rema » que j’ai eu la chance de voir dessiné par le talentueux Jorge Miguel est enfin complet. Le second tome vient de paraître aux Editions Rue de Sèvres et n’attend plus que vous en librairie.
    A tous ceux qui ont lu/traduit Tite-Live à l’école et qui gardent un souvenir ému des « aventures » de Romulus et Remus, fondateurs légendaires de Rome, je propose une « revisite » du mythe… que l’historien romain lui-même aurait du mal à renier… Si vous lisez ce grand récit peplum (mâtiné d’une pointe de SF, si, si…, vous saurez pourquoi.

    en réponse à : Yves Sente Lien | Citer
    Entretien pour Moustique

    Au moment où paraissent 3 nouveaux albums qu’il a scénarisés, Yves Sente répond à l’interview de Moustique :

    « Menant de front projets personnels – Omula et Rema – et blockbusters – Thorgal, Blake et Mortimer, XIII -, un des scénaristes les plus cotés de la bande dessinée belge raconte son travail qui est sa passion, et sa passion qui est son travail.

    À la veille de la sortie de Moscow – Spaso House, vingt-neuvième tome de XIII (le 25 octobre), et de Signé Olrik, trentième aventure de Blake et Mortimer (le 31 octobre), et au lendemain de la parution d’Omula et Rema, diptyque mi-péplum, mi S.F., il est grand temps de demander à Yves Sente comment il a fait tout ça.  Tout ça, quoi ? Vendre 13 millions d’albums dont il a signé le scénario, par exemple…

    Alors que vous terminez un diptyque ambitieux, Omula et Rema, c’est encore de XIII ou Blake et Mortimer dont on va vous parler. C’est frustrant ?

    YVES SENTE – Un peu, mais je comprends, ce n’est pas grave. Dans mon travail, il y a les livres dont on part de zéro, et puis les reprises. Partir de zéro, ça prend du temps, et comme je n’écris pas juste pour écrire, et que je n’ai pas envie d’écrire dix scénarios par an, j’affectionne les reprises et leur côté efficace. Je suis admiratif de mes confrères plus productifs. Moi, je suis un lent, et comme Blake et Mortimer ou un XIII me prennent déjà un temps considérable, je veux accorder le temps qu’il me reste pour des projets auxquels je crois à cent pour cent.

    XIII ou Blake et Mortimer sont des machines qui marchent, ça vous ravit ?

    En effet, et à plus d’un égard. En tant qu’ex-éditeur, je sais comment ça marche : il faut des succès pour financer des projets plus fragiles. Quand j’écris un Blake et Mortimer, j’écris mon histoire, en suivant la recette de Jean Van Hamme : un bon début, un bon milieu, une bonne fin. Caricatural et simpliste ? Peut-être, mais ça reste le cœur de l’affaire ! Financièrement, je suis ­conscient d’être verni, de pouvoir choisir, et même dire non. Je préfère finir ma carrière avec dix ou douze “one shots” dont je serai fier, plutôt qu’avec trente dont j’aurais pu éviter la moitié ! D’ailleurs, en ce moment, j’écris un roman, un thriller d’anticipation, tout seul, sans la moindre image (rire).

    Quand Dargaud cherche une deuxième équipe pour reprendre la série Blake et Mortimer en pleine renaissance, vous êtes retenu. Hasard ou coup de chance ?

    Un peu des deux. J’ai envoyé, de manière anonyme, un synopsis chez Dargaud. La direction l’a lu, et a proposé à André Juillard de travailler avec ce parfait inconnu – moi. André a accepté, et ça a donné La machination Voronov.

    Existe-t-il une formule secrète pour réussir une aventure de Blake et Mortimer ?

    Si formule il y a, c’est de faire du Blake et Mortimer, pas du Jacobs, car ça, lui seul savait le faire. Sinon, je m’échine à respecter les codes, au premier degré, tout en les modernisant. Je tente de créer un récit qui puisse être lu en 2024, tout en donnant l’impression qu’on savoure une madeleine des années 50.

    Comment vos scénarios fonctionnent-ils ?

    Mes scénarios sont ultra-documentés et construits. Ça me prend un temps fou ! Je ne me permets d’écrire que lorsque je sais ce qu’il se passe de la première à la dernière planche. L’écriture va vite, et c’est du plaisir : la langue, le découpage, les petites scènes inutiles mais fondamentales à tout bon scénario. Je tente aussi – et c’est le plus compliqué – de placer de l’émotion, celle qui déclenchera de l’empathie pour mes personnages. Entre le début, quand on trouve une idée, et la fin, quand on a tout solutionné, il y a des moments de souffrance et de solitude.  Ma compagne m’entend geindre et me dit “Tu me fais le coup à chaque fois, mais ça va aller”. Et je dois reconnaître que le temps lui donne raison.

    L’aventure est votre spécialité…

    J’y suis très attaché. Même si je glisse dans mes récits des thèmes de société, le lecteur qui choisit un album d’Yves Sente se dit : je vais passer un bon moment d’évasion. Cela étant, s’il se pose des questions en plus, c’est du bonus. »

    Source : Moustique

    en réponse à : XIII – Sente et Jigounov Lien | Citer
    Tome 29 : Moscow – Spaso House à paraitre le 25/10/24

    Plus qu’un mois avant la sortie du tome 29 de XIII « Moscow – Spaso House » . Sous le crayon de Youri Jigounov, XIII ressemble de plus en plus à Alpha… Voici la couverture classique de l’album, ainsi que celle de l’édition spéciale. Vous trouverez les 7 premières planches de l’album en cliquant sur ce lien vers l’éditeur Dargaud. Et ci-dessous, je vous partage le résumé le plus long pour une BD !   

    « Dans un avion pour Moscou, Boris, l’agent russe du FSB que XIII a connu dans sa jeunesse lors de son infiltration à Cuba, rappelle à notre héros une ancienne mission que sa mémoire avait effacée. En stimulant la mémoire perdue de Jason Mac Lane, le Russe espère découvrir la cachette d’une vieille preuve de complot pouvant être utile pour relancer sa carrière.

    En 1984, du temps de la guerre froide, XIII avait été missionné pour tuer un candidat à la présidence russe jugé un peu trop conservateur par le gouvernement américain dans le cadre du plan de réchauffement des relations Est-Ouest. Mais l’attentat prévu lors d’une réception à Spaso House, la résidence moscovite de l’ambassadeur américain, avait échoué par la faute d’une agente infiltrée du KGB, Nina Orekhova, alias « Babotchka » (« papillon »). Cette dernière, voyant en Jason Mac Lane un jeune idéaliste, glisse dans ses mains une microcassette contenant les preuves de complicités de milliardaires russes et américains dans un trafic d’armes et de technologies militaires entre Soviétiques et Américains vénaux ayant des intérêts communs dans le maintien des tensions entre les deux super puissances. XIII parviendra à s’échapper et sera renvoyé par la CIA à Cuba (qu’il quittera bientôt « pour Maria ». Mais ceci est une autre histoire… cfr tomes 9 et suivants de la série.)

    Aujourd’hui, le passé revient frapper à la porte de notre amnésique. Désireux de mettre la main sur la microcassette dont XIII a oublié jusqu’à l’existence, le GRU, alias les services de renseignements militaires russes, compte forcer un déclic dans la mémoire de Jason Mac Lane. Mais à peine arrivés à Moscou, voilà XIII enlevé par des motards dirigés par Nina qui travaille pour le FSB. Nina propose un marché à XIII. Elle promet de le libérer des gens du GRU et de l’emprise que la Fondation Mayflower a sur son cerveau si, en échange , il l’aide à retrouver la fameuse microcassette. Ensemble, ils pourront alors faire gagner Carrington aux prochaines élections présidentielles américaines et enfin favoriser un climat de détente entre les deux plus vieux ennemis de la politique internationale… »

    Source : Dargaud

    en réponse à : XIII – Par Vance et Van Hamme Lien | Citer
    XIII, 40 ans d'une série culte avec Jean Van Hamme

    Les éditions Dargaud ont mené un entretien avec Jean Van Hamme pour parler des 40 ans de XIII, personnage dont il garde un bon souvenir.   

    en réponse à : Largo Winch par Rosinski Lien | Citer

    J’adore remonter d’anciens sujets, surtout quand ils ont 15 ans d’âge !   

    Je viens de tomber sur un ex-libris que je ne connaissais pas, et je découvre qu’il y a déjà un sujet qui lui est consacré dans le forum. Comme l’illustration avait disparu, je vous remets cet ex-libris de Largo Winch dessiné par Rosinski en 1993. J’ai l’ai aussi découvert sur un autre site, collé dans un album de Largo. Son format déplié est de 17,5 x 39 cm.     

    Sources images : Bédécouverte & AmazonieBD

    en réponse à : Concours – PLV Shaïgan – Thorgal Saga Lien | Citer

    Une chance sur 160, c’est un peu moins que notre concours mensuel… Certains diront qu’ils n’ont alors aucune chance, comme d’habitude… Et d’autres comme moi que la chance arrive un jour ou l’autre !   

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Interview pour Planète BD

    Stéph, j’ai trouvé un plus grand procrastinateur que toi !   

    Fred a été interviewé par Planète BD lors du festival d’Angoulême en janvier dernier, et le résultat sort maintenant en vidéo !   

    en réponse à : Jeux – Le jeu de plateau Thorgal Lien | Citer

    Belle présentation, ça donne envie !   

    Qu’est-ce qui a changé avec le plateau de jeu ?

    en réponse à : Jean Van Hamme – Expositions et rencontres Lien | Citer

    Je vois plutôt ça comme un hommage aux personnages de Van Hamme, sans volonté d’être au plus proche du style des différents dessinateurs, à part bien sûr pour la reprise de Jones.

    en réponse à : Concours – PLV Shaïgan – Thorgal Saga Lien | Citer

    Waouh ! Le concours bénéficie d’une promotion sur le site du Lombard, bravo !   

    Tiens, je n’avais pas encore remarqué que le visuel des personnages n’était pas identique des deux côtés de la PLV… tout ça pour ne pas inverser la cicatrice de Thorgal !   

    Nineinchrem a écrit
    le carton est agrafé à la palette…

    L’enveloppe du gagnant risque de ne pas entrer dans sa boite aux lettres !   

    Thorgal-BD a écrit
    Pas de corps, pas de crime !

    Mais des complices bien placés, même le Lombard antidate sa publication du concours !   

    en réponse à : Jean Van Hamme – Expositions et rencontres Lien | Citer

    Je penche pour Tony Stark.

    en réponse à : Concours – PLV Shaïgan – Thorgal Saga Lien | Citer

    Je vous remets ma première photo prise dans ma librairie pour vous donner envie, je l’avais partagée dans le sujet consacré à l’album Shaïgan. Je suis sûr que si vous insistez, Le Lombard joindra même la palette en bois au PLV que vous aurez gagné !   

    Thorgal-BD a écrit
    Je sais que ça peut faire râler parce que le « contrat initial » n’est pas entièrement suivi, mais je viens de prolonger le concours jusqu’au 28 septembre puisque j’ai enfin pu poster la lettre d’info.

    Thorgal-bd a écrit
    Le concours est ouvert à tous, en France métropolitaine, Belgique ou Suisse, une seule participation par personne, du 10 au 24 septembre 2024.

    N’oublie pas de modifier la date dans le premier post de lancement du concours… 

    • Ce sujet a été modifié le il y a 7 mois et 1 semaine par Tjahzi.
    en réponse à : Jean Van Hamme – Expositions et rencontres Lien | Citer
    Festival Cultissime

    Présence bien réelle cette fois de Jean Van Hamme à Angers comme invité d’honneur du festival Cultissime. Il participera le vendredi 27 septembre à 19h15 à la remise des prix Cultissime, et dédicacera ses albums le samedi 28 de 11h à 12h.

    Source : Cultissime

    en réponse à : Jean Van Hamme – Expositions et rencontres Lien | Citer

    Thorgal-BD a écrit
    Mytho mytho mytho !

    « Si t’as pas de pote mytho, c’est que c’est toi! »   

    Ralf a écrit
    Yves Schlirf qui tenait la librairie Schlirf Book à Uccle

    Toute une époque, effectivement, j’ai aussi eu l’occasion d’y passer, c’était une librairie passionnante à explorer !   

    en réponse à : Thorgal Saga – Shaïgan – Surzhenko et Yann Lien | Citer
    Critique sur Bruce Tringale

    Voici une analyse détaillée de l’album que je vous copie dans son entièreté. Elle provient du blog culturel Bruce Tringale.

    Souviens-toi de m’oublier ! (Shaïgan)

    THORGAL : SHAÏGAN est le troisième album Skäld, une collection donnant carte blanche à des équipes créatives différentes pour produire des One Shot évoluant dans l’univers de Thorgal.

    Après l’incroyable ADIEU AARICIA de Robin Recht qui ouvrait le bal et l’exotique WENDIGO de Rouge et Duval, voici donc un troisième épisode commis par Yann et Surzhenko qui ont l’insigne honneur d’avoir œuvré sur la série LOUVE, une dizaine de tomes pour la jeunesse de THORGAL puis actuellement sur THORGAL, la série mère.

    Cet épisode joue donc la sécurité d’une équipe installée parfois au détriment de vraies surprises. Nous y reviendrons.

    Pourtant SHAÏGAN est le premier album qui pouvait se prévaloir d’avoir un véritable impact sur la continuité de la série de Van Hamme et Rosinski : raconter les événements entre LA MARQUE DES BANNIS et LA COURONNE d’OGOTAI, ce moment où Thorgal pour protéger sa famille décide d’effacer son existence de la mémoire des dieux. Ce faisant il perd la mémoire et manipulé par l’impitoyable Kriss de Valnor, devient Shaïgan sans merci, un pirate sans foi ni loi qui, en plus finira dans la couche de sa pire ennemie.

    SHAÏGAN revient donc sur les faits d’armes de Thorgal de cette époque ; il s’agit comme les super-héros Marvel de charger la barque sans accabler notre héros afin qu’il puisse redevenir noble et héroïque le moment venu : ce n’était pas sa faute, il était possédé et/ou amnésique.

    C’est ici que le bât blesse, SHAÏGAN ne raconte rien de plus que ce que le lecteur s’était imaginé : notre héros soumis par Kriss à une vie de pillage.

    Mais ce que l’imagination pouvait laisser entendre ne laisse ici peu de place à l’empathie pour notre personnage emblématique, qui en niant son identité n’est plus que l’ombre de lui-même.

    Oh, certes, dès le début de la série avec LA GALERE NOIRE, notre héros se transformait en clochard dépressif après la mort supposée d’Aaricia.

    Ici, c’est différent : l’inconscient de Thorgal refuse de se rendre complice des meurtres de Kriss de Valnor qui regagne ici ses galons de plus grande salope du franco-belge. Si vers la fin de la série, Van Hamme lui avait donné un chouia de noblesse, ici il n’en est rien. Pendant ces 80 pages de BD, elle tue, pille, torture, exécute, décapite, poignarde hommes, femmes et…enfants désarmés.

    C’est épuisant et sans nuance sur la longueur, les premières nausées de Valnor due à sa grossesse sont contagieuses pour le lecteur ne pouvant pas atténuer le sentiment de dégout que ce personnage inspire.

    Pire que ça : Thorgal désapprouve ces dizaines de meurtres, exécutions, tortures et intimidations, sans les en empêcher. Il se contente de détourner la tête ou le dos lorsque des innocents se font massacrer en son nom, un Ponce Pilate auquel il était inimaginable d’associer notre héros, défenseur de la vie humaine et de la liberté ! Même si la notion de droit ne s’applique pas à l’âge viking et encore moins à une création de fiction, notre héros reste implicitement comptable de complicité de meurtres.

    SHAÏGAN marque en cela contre son camp : Thorgal est un lâche, un couard, un branleur à qui il faut bien donner une quête, sans doute la plus insignifiante de toute sa carrière (aller cherche une épée qui finalement ne lui servira à rien) pour le voir assurer le minimum syndical de héros sans emploi.

    Tout n’est pas la faute de Yann et SURZHENKO : cette histoire de Shaïgan était à la base une fausse bonne idée de la part de Van Hamme qu’il tuera très rapidement dans l’œuf pour revenir au statu quo : déposséder un héros de ses attributs pour en faire une crevure mais pas trop. Un type incertain qui dit détester Kriss de Valnor tout en finissant à poil chaque journée à ses côtés. Cet album le voit boire plus que de raison sans qu’il devienne un saoulard. Et continue de jouer l’hypocrisie d’un héros qui couche avec son ennemie en lui répétant qu’il la déteste…

    A cela, il faut mentionner des dialogues tellement premier degré qui viennent nuire au sérieux de l’entreprise : montrer que les auteurs ont vu la série VIKINGS et en restituer la violence et la brutalité. Une brutalité souvent étouffante qui transforme Thorgal en série viking lambda sans la noblesse de son héros.

    Ce qui n’empêche pas le lecteur de trouver les couvertures de Surzhenko superbes et de se laisser immerger dans un récit d’aventure correctement troussé mais bien trop prévisible même quand il ne veut ne pas l’être.

    Les dessins sont soignés, le format superbe, tout ça sauve l’album d’une débâcle où Yann s’emmêle les pinceaux : écrire une chasse au trésor sans gloire, ni panache pour meubler et qui n’aboutit à rien, une mise à jour qui ajoute une épine sur la couronne d’un héros, martyr d’une mauvaise idée.

    A l’heure où VINLAND SAGA réussit avec génie à mettre en scène à son tour des Vikings qui tentent d’échapper à la violence de leur peuple, voici un nouvel album stéréotypé au possible qui donne un coup de vieux à la saga THORGAL, une parenthèse qui aurait mieux fait de le rester et une histoire peu glorieuse de Thorgal qu’il est possible… d’oublier.

    Source : Bruce Tringale

    en réponse à : Site – Statistiques Lien | Citer

    Oups ! Je t’ai empêché de dormir, désolé…   

    Thorgal-BD a écrit
    Par exemple, tant que je n’aurai pas enfin réalisé l’ensemble des fiches des tomes 1 à 29, je n’imagine pas lâcher l’affaire.

    Espérons que cela n’arrive jamais !   

    en réponse à : Site – Statistiques Lien | Citer
    Nombre d'utilisateurs

    Oh, c’est en ouvrant ce sujet que je réalise que l’Althing fête ses 20 ans en ce mois de septembre ! Et iléoù l’article qui marque l’évènement ? Hmm ?   

    Mais ce n’est pas la raison qui m’a poussé ici… Pris d’une envie de Thorgal en pleine nuit, j’ai d’abord été lire les premières planches du futur tome 42, avant de me rendre compte que nous étions 300 utilisateurs en ligne à 2h du matin !

    Alors là, je ne comprends pas… Ou tous les lecteurs de Thorgal deviennent insomniaques comme moi, ou il se passe quelque chose de bizarre ici… Cela fait d’ailleurs quelque temps que je trouve le nombres de personnes en ligne particulièrement élevé à tout moment. Mais là en pleine nuit, c’est encore plus surprenant !

    En regardant les statistiques de l’année dernière, on était à plus de 100.000 visiteurs, ce qui correspond à environ 300 visiteurs par jour. Mais pas à 300 utilisateurs en même temps ! Est-ce que le système de comptage a changé ?

    Bon, pour vous rassurer quand même, je suis le seul Thorgalien enregistré sur le forum à cette heure, et je vais d’ailleurs retourner me coucher… Mais ne voyez aucun lien entre ma lecture du tome 42 et mon envie de dormir !   

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