Toutes mes réponses sur les forums
-
AuteurMessages
-
Imaginales à Epinal (F) du 23 au 26 mai
Grzegorz Rosinski sera mis à l’honneur du 23 au 26 mai aux Imaginales d’Epinal, le festival des littératures de l’imaginaire. Les pays nordiques sont cette année les pays invités sous la thématique « Natures » dans ce festival qui réunit les passionnés de fantasy, de fantastique et de science-fiction. Thorgal a été choisi pour illustrer l’affiche en posant devant le château d’Epinal. Pour ceux qui connaissent déjà cette illustration, je vous propose de retrouver les modifications qui ont été apportées par Piotr Rosinski au dessin de départ.
L’évènement principal est l’exposition « Rosinski fantastique, de Jules Verne à Thorgal » qui se tiendra du 15 mai au 30 juin au Musée départemental. On pourra y admirer des planches originales de Thorgal, du Grand Pouvoir du Chninkel et de nombreuses autres illustrations de Rosinski.
Au cœur du festival, deux autres expositions seront également consacrées à Thorgal :
- « Thorgal, l’épopée en BD » présentera notamment les illustrations des trente-six couvertures réalisées par Rosinski pour sa série.
- « Thorgal et la saga des Vikings », réalisée en collaboration avec le magazine Historia, présentera le Monde Viking au travers des aventures du héros.
Et ce n’est pas tout : Grzegorz participera le samedi 25 mai à 21h à une carte blanche, et à plusieurs rencontres-débats durant les 4 jours du festival ! Vous trouverez le programme complet des Imaginales ICI.
Source : https://www.imaginales.fr
Repérages à Saint-PétersbourgPhilippe Francq a écrit
Autres souvenirs du repérage effectué à St-Pétersbourg : la Cathédrale de la Trinité, le pont Bolsheokhtinsky, le bas-relief à la gloire de Lénine… L’ambiance du prochain tome de Largo Winch, « Les Voiles Écarlates », sera russe !Source : Instagram de Philippe Francq
Largo Winch – Introduction à la financeEn complément du diptyque en cours, les éditions Dupuis proposent en septembre prochain un ouvrage de vulgarisation sur la finance 2.0. illustré par Philippe Francq. Tous les détails ici :
http://www.thorgal.com/sujet/largo-winch-introduction-a-la-finance
Vigrid
Petrov
Vlana
Ilenya
(déjà demandé
)
Sargon
Orchias
Galathorn
Volsung de Nichor
Nidhogg
Tlalac
La dame d’Umbria
Xargos
Björn
Slive
Jorund
Dédicaces à Villemonble et Narbonne (F)Fred Vignaux participera à des séances de dédicaces les 2 prochains week-ends :
Le samedi 18 mai de 10h à 19h à la Journée de la BD à Villemonble (Île-de-France).
Le samedi 25 mai après-midi et la journée du dimanche 26 mai au Salon du Livre du Grand Narbonne.
Posté 12 mai 2019 à 22 h 14 en réponse à : Kriss de Valnor – Tirage de Tête – La Dague du Temps Lien | CiterIllustrations pour l'édition collector du TTFred Vignaux partage sur sa page Facebook les portraits de Kriss qu’il vient de réaliser pour la version collector du tirage de tête de « La Dague du Temps ».
Vœux de bonne année 1978 à Jean Van HammeVue sur le net, cette superbe dédicace destinée à Jean Van Hamme. Grzegorz Rosinski lui souhaite ses meilleurs vœux pour l’année 1978. Magnifique
Ce dessin a été publié dans l’autobiographie de Jean Van Hamme, Mémoires d’écriture.
Les Trois Vieillards du pays d'AranEn vente actuellement ICI sur 2DG, la planche 29 de l’album « Les Trois Vieillards du pays d’Aran ».
- Dimensions : 36 x 47 cm
- Prix de vente : 10 000 €
Que ne ferait-on pas pour la Gardienne des clés…
Publicité dans le journal TintinVue ICI sur le net, cette ancienne vente d’un dessin de Thorgal à l’encre de Chine. Il a été publié dans une publicité du journal Tintin.
Crayons de couleur ThorgalPour fêter les 30 ans de Thorgal, la librairie Raspoutine de Lausanne a sorti fin 2006 une boîte de crayons à l’effigie de Thorgal. La boîte métallique contient 12 crayons de couleur Caran d’Ache au nom de Thorgal-Raspoutine. Elle est accompagnée d’un certificat signé de la main de Rosinski, avec au recto les portraits des principaux personnages de la série. Il en a été tiré 250 exemplaires, dont 51 hors commerce. L’illustration qui orne la boîte a également fait l’objet d’un ex-libris édité par Raspoutine à 160 exemplaires. Le tout accompagnait la sortie du tome 29 de Thorgal, « Le Sacrifice ».
Deux exemplaires de cette boîte de crayons sont actuellement mis en vente ensemble sur le site d’enchères Catawiki. La dernière boîte en vente sur ce site avait atteint le montant de 80 €. Cette vente-ci se clôture demain :
https://encheres.catawiki.eu/kavels/25898663-thorgal-2-blikken-dozen-kleurpotloden-thorgal-2006
Dessin original à voir ici : https://www.2dgalleries.com/art/thorgal-les-archers-34249
Aniel
Ingvild
Ilenya
Louve
Gandalf
Frigg
Tu m’as bien intrigué avec ce Phaios… c’est finalement une recherche sur le net qui m’a permis de le dénicher… chez toi !
http://alphecca.free.fr/syrane/phaios.php
Phaios
Migaïl
Nazca
Inky, bravo pour ta recherche iconographique !
Effectivement, les poses que tu compares sont très proches des originaux. Malgré tout, Roman a aussi placé Nidhogg dans d’autres positions que Grzegorz. Et il ne s’est jamais caché qu’il se voulait le plus fidèle possible aux dessins classiques de son maître. C’est ce qui fait sa force pour une reprise de personnages bien connus comme Nidhogg, dont on n’aurait sans doute pas apprécié une réinterprétation plus personnelle.
Ce qui me dérange surtout dans les dessins de Roman que tu as présentés, c’est le manque de relief, d’ombrages, de profondeur, en particulier dans ta première comparaison. C’est comme si on avait un dessin en 2D chez Roman, et l’autre en 3D chez Grzegorz. Merci en tout cas pour ces mises en perspective, c’est très intéressant. Pour une première participation au forum, tu es bien parti !
Ah oui, je viens de me replonger dans « Entre terre et lumière » pour le plaisir des yeux, et je n’ai pas été déçu par la tenue sexy de la vieille Kriss !
Thorgal-BD a écrit
Mais pas mal de pseudos genre « Marcel58 » ou « dsk1624 », pas sûr de les voir se balader sur le forumJe me demande si cette habitude de pseudos chiffrés ne vient pas des adresse e-mails ou autres identifiants utilisés ailleurs. Moi je promets que je ne m’appelle Tjahzi qu’ici !
Nineinchrem a écrit
Et oui… bientôt les pierres seront toutes choisies le 1er du mois !Et quand est-ce qu’on pourra les voir, ces pierres noires et blanches qui sont choisies ? Hmm ?
J’ai lu aussi que les frais (et le nombre) de retours de librairie des invendus ont joué dans le déséquilibre financier. Finalement, je me demande si je n’ai pas vu plus de BD de Sandawe en bibliothèque qu’en librairie…
Quelques histoires que j’ai bien aimées chez eux : Hel’Blar, Parallèle, Oliver et Peter, Sara Lone…
Tu parles de la tenue qu’elle porte à quel moment ?
Nouvelle règle du jeu à découvrirHop, hop, hop, je suis prêt avec une nouvelle règle !
Allez-y, lancez-moi 3 personnages !
Adaptation de la Quête de l'Oiseau du TempsL’adaptation des BD d’héroic fantasy a le vent en poupe. En attendant l’arrivée de la série Thorgal, on parle à présent de l’adaptation de la Quête de l’Oiseau du Temps en série ! C’est à lire sur le site 9e Art.
En mai 2018 les éditions HiComics publiaient en France le comics I kill giants. Dans le même temps, l’oeuvre faisait l’objet d’une adaptation en film par le réalisateur danois Anders Walter. Et visiblement le cinéaste est inspiré par l’art séquentiel : cette fois il se tourne vers la France pour adapter La quête de l’oiseau du temps de Serge Le Tendre.
Anders Walter aura de quoi faire puisque l’univers de la saga est vaste : elle compte deux cycles, et un troisième dessiné par Régis Loisel est prévu. D’après Variety, le réalisateur a fait part de son enthousiasme quant à ce projet :
La quête de l’oiseau du temps est une lecture épique avec un twist émotionnel qui brisera votre coeur. Une vraie pépite, pleine d’aventure, de folie et de chaos, et avec un message sous-jacent sur l’érotisme et l’empowerment des femmes qui promet un personnage principal féminin inspirant.
Serge le Tendre a quant à lui exprimé son excitation quant au choix du réalisateur, ajoutant que lui et Loisel appréciaient son travail. Aucune fenêtre de sortie n’a pour l’instant été annoncée.
Interviews pour RTS & 24heures (CH)De passage au Salon du Livre de Genève, Jean Van Hamme a été interviewé dans l’émission Vertigo de la radio RTS. Cet entretien de 45 min. est à écouter ici :
https://www.rts.ch/play/radio/vertigo/audio/linvite-jean-van-hamme-roi-de-la-bd?id=10378386
Il a aussi répondu à une interview pour le quotidien 24 heures. Voici le contenu de cet entretien, toujours aussi cash avec JVH.
Jean Van Hamme: «J’ai divorcé de mes personnages»
Le créateur de «Thorgal», «XIII» et «Largo Winch» a arrêté ses séries à succès. De passage au Salon du livre, le scénariste aux bientôt 44 millions d’albums vendus s’explique.
Son père lui prédisait un brillant avenir d’ingénieur commercial. Lui-même s’imaginait romancier. Jean Van Hamme s’essaiera aux deux. Directeur chez Philips, il en démissionnera en 1976 pour se consacrer à l’écriture, lançant une série de bouquins à la SAS autour d’un héros nommé… Largo Winch. Succès très relatif, malgré d’évidentes qualités de narration. C’est avec la bande dessinée que la carrière de ce Bruxellois décolle. Décisive, la rencontre avec Grzegorz Rosinski va aboutir à la création de «Thorgal». Plus tard, il y aura «XIII», puis «Largo Winch», transposé avec succès en BD. Et tant d’autres, des one-shots mémorables («Histoire sans héros», «Le grand pouvoir du Chninkel», «Kivu») au scénario de «Diva» pour Beineix, en passant par les séries «Les maîtres de l’orge», «Wayne Shelton» et «Lady S». Sans oublier la reprise de «Blake et Mortimer».
Entré dans «Le Petit Larousse» en 2013, Van Hamme a signé les histoires des plus grands succès de la BD franco-belge de ces trente dernières années. À 80 ans, l’homme aux bientôt 44 millions d’albums vendus a désormais pris de la distance avec la plupart de ses créations. Pour autant, l’imaginaire de ce grand voyageur reste vif. «Ce n’est pas le besoin d’écrire qui me pousse, mais le désir de raconter une histoire. J’aime créer des personnages, leur inventer un passé, façonner leurs caractères», explique-t-il dans les coulisses du Salon du livre.
Pourquoi avez-vous renoncé à vos best-sellers?
Pour différentes raisons. Lorsque vous devez imaginer chaque année un «Thorgal», un «XIII» et un «Largo Winch», cela devient un peu routinier quelque part. Le côté régulier et obligatoire induit un risque de lassitude. Je suis content d’avoir stoppé ces séries en plein succès. C’est quand même mieux que d’arrêter parce que l’on ne veut plus de vous.
Existe-t-il un moment inévitable où toute série s’essouffle? Vous avez éprouvé ce sentiment?
«XIII» était une saga. Elle devait comporter une fin. Je suis arrivé à ma conclusion. Yves Sente, qui a repris le flambeau, a rebondi dans une autre direction. «Thorgal», qui vit dans une espèce de VIe siècle hypothétique, ne peut pas se déplacer facilement. Au bout d’un certain temps, j’en ai eu assez de ce personnage. En ce qui concerne «Largo Winch», un désaccord avec le dessinateur Philippe Francq fait que j’ai préféré arrêter. Il y a bien des gens qui divorcent. Moi, j’ai divorcé de mes personnages parce qu’ils commençaient à m’ennuyer. Je tournais en rond.
Vous suivez ce que font vos successeurs?
On m’envoie un exemplaire des nouveaux albums. Dans «Thorgal», je suis complètement perdu. Je ne m’y reconnais pas. 25 000 personnages s’entrechoquent, c’est complètement fouillis. Manifestement, les nouveaux auteurs n’ont pas capté l’esprit de «Thorgal». Dans le cas de «XIII», je trouve que le cycle du Mayflower (ndlr: entamé par Yves Sente en 2011) commence à tirer en longueur. Quant à «Largo Winch», je n’ai pas compris grand-chose à la nouvelle histoire. Le dessinateur a incité le scénariste à revenir au vrai métier de Largo Winch, la gestion de l’argent. Résultat plombant.
Vous conservez un droit de regard sur vos anciennes séries?
J’ai conservé ce qu’on appelle le droit moral. Vous pouvez l’exercer – et je l’ai fait une fois – si vous pensez que l’on déforme complètement la nature de votre personnage. En l’occurrence, Yves Sente m’avait aimablement soumis un scénario de «XIII». À la lecture de celui-ci, j’ai constaté qu’il avait l’intention de faire couper une des mains de Jones (ndlr: une des héroïnes de la série) par un malfrat. Or, ce personnage pilote des avions. Je lui ai fait remarquer que si on lui tranchait une de ses mains, elle ne pourrait plus jamais piloter. Il m’a expliqué qu’il voulait un moment d’émotion. D’accord, mais pas comme ça! Je suis intervenu en lui disant: «Tu lui casses les doigts, mais tu ne lui coupes pas la main!»
Si vous avez tourné le dos à plusieurs héros fameux, il en est deux auxquels vous n’avez pas renoncé: Blake et Mortimer…
Je m’amuse comme un petit fou quand j’écris que Mortimer assomme le méchant avec une pantoufle de 45 grammes. C’est complètement idiot et je le sais, mais cela fait partie du jeu. Mon dernier «Blake et Mortimer» est écrit. Il aura pour titre «Le dernier Espadon». Parution attendue en 2020.
On murmure que nos deux héros vont s’opposer pour des raisons politiques…
Ils ne s’opposent pas, mais je remets certaines choses à leur place. En fait, ils exercent tous les deux un sale métier. Blake opère dans le contre-espionnage. Ici, pour la première fois, il a honte de ce qu’il fait. Un de ses informateurs en Irlande, un agent double, est mort à son service. Ce type était père de famille. Blake se rend compte que son job n’est pas aussi glorieux que ce qu’il pensait. Finalement assez loin de James Bond. Quant à Mortimer, il a créé l’Espadon… une machine de guerre qui ravage tout.
En reprenant «Blake et Mortimer», vous avez concrétisé un rêve de gosse?
Tout à fait. J’ai découvert cette série avec «Le secret de l’Espadon», la toute première histoire de Blake et Mortimer, en cours de parution dans les premiers numéros du journal «Tintin». J’avais 6 ans et demi. J’ai trouvé cela d’une modernité incroyable. Jusque-là, je n’avais lu que des trucs insignifiants. Pour moi, ce fut la révélation de la bande dessinée. Quand, près de cinquante ans plus tard, on m’a proposé d’en écrire un scénario, je n’ai pas hésité. Comme une boutade, j’ai dit à mon éditeur que je serais même prêt à le faire gratuitement!
Comment avez-vous mis à profit le temps libre dégagé par l’abandon de vos grandes sagas?
Précédemment, les trois quarts de mon temps étaient dévolus aux séries que je menais, le dernier quart étant réservé à un projet extérieur, comme «Blake et Mortimer», ou à un one-shot. Désormais, je lis davantage tout en continuant à voyager. Et j’ai mené à bien l’écriture d’une pièce de théâtre à la Agatha Christie. Tout le monde coupable potentiel, unité de lieu, unité de personnages. Personne n’en a voulu!
Cet accueil plutôt froid pour votre nouvelle activité littéraire vous a-t-il surpris?
Pas vraiment. On croit toujours que la notoriété dans un domaine entraîne un accueil favorable ailleurs. Ce n’est pas du tout le cas. Greg et Charlier, d’autres scénaristes de bande dessinée connus, ont cru en leur temps que leur célébrité suffirait à faire vendre les livres qu’ils avaient écrits. Cela n’a pas fonctionné. Le public n’est pas le même entre le roman et la BD. Le théâtre, c’est pareil. Ce qui m’ennuie, c’est qu’on ne me dit pas pourquoi on me refuse. Un directeur de théâtre m’a glissé qu’on parlait un peu trop de sexe dans ma pièce. C’est une explication, même si elle ne me convainc pas. J’imagine aussi que certains sont réticents à miser sur un type de 80 ans. Notez bien que cela ne m’a pas empêché de dormir.
L’écriture théâtrale, c’est très différent d’un scénario de BD?
Non. J’ai une écriture assez visuelle, donc je cerne bien les personnages. Il existe quelques petites différences. Au théâtre, un personnage qui parle ne peut pas s’exprimer exactement comme dans un dialogue qui serait lu. Mais ce sont des nuances. En bande dessinée, je suis un auteur classique. En théâtre, c’est pareil. Le genre que je préfère, ce sont les bonnes vieilles pièces avec une intrigue et un suivi. J’ai envie d’une véritable histoire quand je vais au théâtre. Pas d’assister aux états d’âme de gens qui font part de leur mal de vivre.
Source : 24 heures
- Ce sujet a été modifié le il y a 6 ans par Tjahzi.
Yesss
Pennybridge a écrit
Tu y étais quasiment lors de ton 1er essai, et la différence est ténue et la règle précise difficile à trouver, donc je valide. C’était « Les nominés ont déjà discuté avec un personnage ne vivant pas sur Mitgard. »Avec les nouveaux scénaristes depuis Van Hamme, il est dommage que trop de personnages vivent ce genre d’expérience. L’exception devient presque la règle…
Waouh ! C’est toi le Mathieu en question ? Tu suis Roman vraiment partout !
Intégrale Luxe Sioban N&BLokocha a écrit
Pour notre intégrale luxe du cycle « Sioban », elle est imprimée et est actuellement chez le relieur, nous devrions récupérer les livres dans 15 jours! Après, promis, je ferai des photos avec une présentation complète (je sens que je vais encore galérer pour mettre les photos sur le forumL’intégrale de luxe N&B du cycle Sioban arrive bientôt !
Voilà ce qu’en dit Les Corsaires de la BD, l’association éditrice :
Nous avons eu la confirmation que le relieur est en train de finaliser les intégrales « Complainte des Landes perdues », nous devrions les recevoir d’ici fin du mois. Il nous reste à récupérer les certificats signés et nous pourrons envoyer les premières commandes…
Nous maintenons exceptionnellement le cadeau offert, soit l’ex-libris de Philippe Xavier pour toute commande avant le 17 mai.L’ouvrage comprend :
- les planches n&b des 4 albums du cycle
- un cahier graphique 32 pages
- taille 30×40 cm format fini
- un ex-libris de Grzegorz Rosinski
- couverture simili cuir, marquée au fer à chaud
Au total près de 270 pages. Le tirage est limité à 100 exemplaires numérotés et 20 hors-commerce.
Les acheteurs de ce premier opus de la série seront prioritaires pour la deuxième intégrale luxe du Cycle « Les Chevaliers du Pardon » prévue pour fin 2020-début 2021.
Cet album de luxe peut être commandé ICI.
Infos : Les Corsaires de la BD
C’est chouette de remettre à jour la page « Collection » !
Ça m’a permis de découvrir ce jeu que je n’avais jamais testé. J’ai tout lu, et même essayé la démo. C’était très court, donc je ne suis pas sûr d’avoir pu aller jusqu’au bout de l’essai (en fait, ça s’arrête après la présentation des membres de la famille de Thorgal). Il ne me reste plus qu’à dénicher le jeu vidéo et un vieux pc.
Pennybridge a écrit
Tjahzi a écrit
Et si la règle était : Les personnages sont déjà sortis de Midgard ?
Tu y es presque!!
Et si c’était : Les personnages ont traversé plusieurs Mondes
Roman & JeanBelle rencontre au Salon du Livre de Genève où Roman a retrouvé Jean Van Hamme et son épouse.
Source : Instagram de Roman
Aristophania, couverture tome 2Le second tome d’Aristophania, la série de french fantasy de Xavier Dorison et Joël Parnotte, paraîtra en octobre prochain.
Voici une interview de Joël pour « Un Amour de BD ».
Salon du Livre de Genève (CH)Roman est déjà arrivé au Salon du Livre de Genève où il va enchaîner des dédicaces pendant 4 jours !
Source : Instagram de Roman
Nouvelle mise en couleurEncore une planche de Sioban avec sa nouvelle mise en couleur par Bérengère Marquebreucq.
Source : La Complainte des Landes Perdues
Les forteresses circulaires du roi Harald à la Dent bleueA l’heure où Harald à la Dent bleue apparait dans la Jeunesse de Thorgal, cet article concernant ses forteresses circulaires nous en dit un peu plus sur l’ambition du premier roi chrétien du Danemark. Je vous recommande vivement le site Idavoll dont est extrait l’article. C’est le meilleur site francophone consacré aux Vikings, animé par une passionnée comme Stéph avec Thorgal.com.
Danemark – Les forteresses circulaires ou la propagande du roi chrétien Harald à la Dent bleue
Harald Iᵉʳ de Danemark était avide de pouvoir. « Il voulait montrer qu’il était partout présent dans le pays. » Voilà ce qui ressort clairement des vestiges archéologiques que sont les forteresses circulaires, selon une nouvelle théorie.
Durant son règne d’environ 30 ans, le roi viking surnommé Harald à la Dent bleue a enchaîné les projets de construction, notamment une palissade géante à Jelling, un pont de 760 mètres de long – le plus long de Scandinavie à l’époque – et une extension considérable au Danevirke, le rempart défensif situé à la frontière du sud.
Mais les plus remarquables ouvrages de ce roi bâtisseur restent probablement les forteresses circulaires. Au nombre au moins de 5, elles font la taille d’un stade sportif de nos jours, et sont réparties à travers tout le pays. Borgring près de Køge, Trelleborg près de Slagelse, Aggersborg (la plus grande avec 240m de diamètre) près d’Aggersund, Fyrkat près de Hobro et Nonnebakken à Odense, formeraient le sceau du pouvoir royal sur le pays.
Une stratégie de construction sur fond de propagande
Depuis 4 ans, Jens Ulriksen, chercheur au musée du sud-est du Danemark (Museum Sydøstdanmark), dirige les fouilles de la forteresse viking Borgring [cf vidéo en fin d’article]. La forteresse a été découverte près de Køge en 2014 et est aujourd’hui connue comme l’une des célèbres places fortes d’Harald à la Dent bleue, construite à la fin des années 900.
Dans l’article scientifique qu’il a récemment présenté lors d’une conférence, Jens Ulriksen explique pourquoi, selon lui, la stratégie de construction du roi Harald visait des zones précises, lesquelles avaient pour objectif d’optimiser la propagande royale.
Les forteresses ont été érigées aux carrefours de circulation de l’époque et, ce faisant, dans des endroits où elles pourraient être vues par le plus grand nombre possible de personnes importantes, selon Jens Ulriksen. Son point de départ consista donc à examiner tous les sites connus aujourd’hui en lien avec le célèbre roi viking, afin de déterminer ce qui les caractérise: « Ce qui est frappant, c’est qu’ils sont tous reliés à d’importants corridors routiers, c’est-à-dire des routes couramment empruntées depuis des siècles. Je pense que oui, il y avait un plan clair derrière cela. «
Les gens importants devaient voir la forteresse
L’idée, selon Jens Ulriksen, était probablement de montrer de manière ostentatoire le pouvoir du roi. Un roi qui fut officiellement le premier à adopter le christianisme et qui, peut-être posément, mais sans doute avec fermeté, demanda à son peuple de faire de même.
Ces symboles du pouvoir devaient bien sûr être placés en des endroits très fréquentés. Mais pas par n’importe qui. Des personnes importantes.
D’après le chercheur, il semble que les forteresses aient été installées aux carrefours de routes qui connectaient certains des plus grands centres de pouvoir de l’Âge Viking. C’est le cas, par exemple, de Borgring, situé entre Lejre, un des lieux les plus importants de l’époque au Danemark, et Strøby Toftegård, qui fut également la résidence d’un grand homme. « À 7 kilomètres de là se trouve un autre endroit, Bjæverskov, qui fut très influent, et en traçant des lignes entre ces 3 endroits, Borgring est tout simplement au milieu du triangle. Sur une artère de circulation entre ces lieux très importants.«
D’énormes quantités de terres ont été déplacées
Jens Ulriksen a expliqué que les hommes importants de Lejre et de Strøby Toftegård n’avaient pas d’autres choix que de passer par Borgring, par exemple lorsqu’ils se rendaient à des fêtes religieuses. « Si vous regardez comment il fallait qu’ils se déplacent entre les deux endroits – et il ne fait fait aucun doute qu’ils ont été amenés à le faire – il est évident qu’ils passaient par Køge pour traverser la rivière, exactement là où Borgring a été édifié. »
« Il faut se demander: ‘Pourquoi est-ce exactement là?’ Cela aurait pu se trouver dans toutes sortes d’autres endroits. » a-t-il poursuivi. Car il eut été bien plus facile, d’après les découvertes de Jens Ulriksen, d’édifier la forteresse ailleurs. Des études géophysiques ont montré qu’il a fallu déplacer environ 2 000 à 3 000 mètres cubes de terre avant même de pouvoir commencer à construire. Cela correspond à 5 à 6 fois le contenu d’une piscine de 25 mètres.
Un pouvoir royal toujours présent
À l’ouest de l’île de Seeland, où se trouve la forteresse de Trelleborg, à proximité de l’actuelle ville de Slagelse, il est possible d’observer la même configuration. Ici, Jens Ulriksen met en évidence deux établissements importants, à Tissø, connu pour être l’un des plus grands et des plus importants sites vikings de tout le nord de l’Europe, et à Boeslunde. « Sur la route entre les deux, il fallait traverser la rivière Tude, et le plus pratique était de passer par Pine Mølle. Or non loin de là, à 1 800 mètres du cours d’eau, Harald à la Dent bleue a bien sûr placé Trelleborg, que l’on peut clairement voir depuis le barrage du moulin.«
« Comme un rappel du roi à tous ceux qui voyageaient, pour dire qu’il s’agissait d’une nouvelle époque avec une nouvelle foi et un nouveau roi« , a-t-il ajouté. Jens Ulriksen estime que le site a toujours été nettement visible dans le paysage, de sorte que le pouvoir royal était toujours présent, même si le roi en personne ne s’y trouvait pas, comme un symbole de sa personne-même.
Toutefois, d’autres archéologues ont suggéré que les forteresses avaient plutôt été conçues pour résister aux attaques et fournir au roi une armée mobile.
Harald Ier, le roi chrétien
La nécessité de voyager pour manifester son pouvoir fut très certainement un véritable défi pour beaucoup de rois des temps passés. Le problème était qu’il y avait à travers le pays beaucoup d’hommes importants intéressés par le rôle de décideur et prêts à défier quiconque ayant l’audace de se proclamer roi. Aucun roi ne pouvait, et pour cause, s’imposer partout et en même temps auprès des personnages les plus influents du pays.
En outre, Harald à la Dent bleue fut le premier à avoir voulu convertir son peuple au christianisme. Certains avaient peut-être déjà pris cette décision pour eux-mêmes, mais d’autres, les païens, ne résistèrent que davantage.
Par ailleurs, le roi avait d’autres nombreux défis à relever plus au sud, avec le Saint-Empire romain germanique. Jens Ulriksen considère en ce sens, les forteresses circulaires comme faisant partie de l’éternelle histoire de la lutte pour le pouvoir, à la fois nationale et dans les autres pays, sous le règne d’Harald Ier.
« Je crois qu’Harald à la Dent bleue, avec ses forteresses, a pensé qu’il était nécessaire de s’afficher comme roi chrétien, nouvellement baptisé, par rapport à l’empereur allemand, à son propre peuple et aux grands hommes locaux qui avaient du pouvoir dans leur région« , a déclaré Jens Ulriksen.
Un message au nouveau dieu?
La taille des forteresses circulaires varie, mais leur conception est étonnamment similaire. En particulier, leur stricte implantation géométrique est frappante: elles possèdent toutes 4 ouvertures respectivement distribuées aux 4 points cardinaux, i.e exactement à 90 degrés les unes des autres. Lorsque ces 4 portes sont reliées entre elles en passant par le centre, il est amusant de relever que les forteresses circulaires forment, vues d’en haut, une croix à l’intérieur d’une roue.
Bien entendu, il était impossible à l’époque de voir les forteresses du ciel. « Mais savez-vous qui le pouvait? », a interrogé Jens Ulriksen, avant de répondre: « Dieu le pouvait« . Harald a-t-il pensé avec ses sujets qu’il pouvait envoyer un message à son nouveau dieu, lui indiquant qu’il était désormais devenu un vrai chrétien? Personne ne peut le savoir.
Cependant, cela pourrait être a minima une piste de lecture, selon le chercheur: « C’est sujet à controverse, mais je pense qu’il est frappant que nous ayons affaire à un nouveau roi chrétien, qui érige au moins 5 forteresses en forme de croix à travers le pays. Le fait qu’Harald à la Dent Bleue ait pu inaugurer le christianisme au Danemark avec ces forteresses mérite donc réflexion.«
Une nouvelle façon de regarder les forteresses
Avant même sa publication, la nouvelle théorie de Jens Ulriksen éveille de l’intérêt dans les milieux de l’Archéologie. À la fin de la conférence, la plupart ont convenu que sa présentation avait été des plus intéressantes.
Cela inclut l’archéologue Mads Runge, inspecteur en chef des musées de la ville d’Odense, qui faisait partie du public: « Les idées de Jens sont passionnantes, car il déploie un faisceau de perspectives et place les forteresses dans un contexte plus large. C’est une nouvelle façon de regarder ces sites », a déclaré Mads Runge, lui-même responsable d’un projet de recherche intitulé De l’espace central à la ville. Il traite de la concentration du pouvoir qui a eu lieu au Danemark au cours de l’Âge du Fer, à l’Âge Viking avec ses nombreux petits chefs à la tête de clans, jusqu’au début du Moyen Âge.
Une contribution pertinente pour l’Archéologie
Mads Runge a lui-même travaillé de manière intensive à la forteresse Nonnebakken à Odense et pense pouvoir relever certaines des tendances observées par Jens Ulriksen concernant Borgring et Trelleborg: « Nous pensons que nous avons une situation similaire autour de Nonnebakken et Odense. À la fin de l’Âge du Fer et au début de l’Âge Viking, de petits centres de pouvoir se trouvaient à la périphérie, et tout à coup Nonnebakken, vient se placer au milieu de l’ensemble et prend le relais dans la structure du pouvoir.«
« Cela correspond au tableau dressé par Jens: certains grands hommes ou chefs ont pu exercer leur pouvoir sur des zones assez petites, puis l’un d’entre eux s’empare du pouvoir sur une zone plus grande. Cela montre le développement de la société et une partie importante de la formation du royaume« , a-t-il poursuivi.
Mads Runge considère la recherche de Jens Ulriksen comme une contribution extrêmement pertinente – également dans le cadre de ses propres recherches. « Il ouvre des perspectives plus larges, où nous pouvons, entre autres choses, parler plus généralement de la formation du royaume. C’est, à mon avis, dans ce sens que nous devrions aller avec l’Archéologie « , a-t-il conclu.
Ah oui, excellent comme travail !
Le santon espagnol
Du vol pour le prix, mais sans doute pas très légal non plus…
Hélas pour la Gardienne, c’est un projet non commercial.
Tu crois que tu saurais la peindre sans trembler Fred
- Ce sujet a été modifié le il y a 6 ans par Tjahzi.
BO BDStridorn a écrit
Un grand merci à Steph et à Tjahzi pour faire vivre ce site de grande qualité. J’y ai vécu de grands moments voire des soirées entières ! C’était très sympa ! Merci.Sacrées soirées, en effet !
Stridorn, au plaisir de te voir repasser par ici un jour ou l’autre…
BO BD est un blog de conseils d’écoutes musicales pour Bandes Dessinées. Pour accompagner la lecture de « La Dent bleue », il propose ceci :
Le conseil musical est aussi accompagné d’un commentaire positif sur l’album (Source BO BD) :
Dans ce septième volet de la jeunesse du plus célèbre des vikings de la BD Franco-Belge, on retrouve notre héros à la poursuite d’un navire arabe où Aaricia est retenue prisonnière et destinée à être livrée à Harald à la Dent Bleue, féroce ennemi de Gandalf.
C’est à Thorgal qu’échoit le commandement de l’expédition de sauvetage et ce n’est pas pour plaire à Sveynn, rejeton bâtard du chef viking, qui compte bien se débarrasser de son rival afin de briller aux yeux de son géniteur.
Gageons que Yann a visionné quelques épisodes de feu la série Vikings, son scénario étant aussi riche en retournements de situations, en trahisons, en combats et en protagonistes aux noms fleuris, que la série en question.
C’est cependant pour le mieux, ce nouvel album de La Jeunesse étant, toutes séries confondues, l’un des plus attrayants que j’ai lu ces dernières années, avec un dessin toujours signé Surzhenko qui, tout en suivant le cahier des charges, donne à voir de belles séquences réalistes aux couleurs vives mais bien adaptées à l’univers viking.
Ce commentaire contient quand même quelques erreurs relatives au scénario de l’album. Les avez-vous trouvées ?
Et si la règle était : Les personnages sont déjà sortis de Midgard
Récap'Bon, il est temps de faire le point sur les personnages qui correspondent au critère à découvrir.
Ceux pour qui c’est OK
Frigg, Louve, Loki, Thorgal, Aaricia, Kriss, Vigrid, Nidhogg, Tjahzi, La Gardienne des clés, Volsung, Odin, Jolan, Geirroed, Ingvild, Arlac
Ceux pour qui c’est pas OK
Pied d’arbre, Aniel, Salouma, Fural, Skald, Gandalf, Solveig, Tjall, Muff, Ogotaï, Syrane, la jeune peinturlurée de Brek Zarith, Falster, Slive
Figurine ThorgalCurieuses figurines de Thorgal à vendre actuellement sur le site espagnol Todocoleccion. Il en existe une version peinte et une version à peindre.
Figurine en résine, édition artisanale, peinte à la main
Hauteur de 14 cm (sans compter le piédestal)
Editeur : Artesania
Date d’édition : 2001
Source : Todocoleccion
Waterloo Vikings Days 4 & 5 mai 2019 (B)Curieux mélange des genres à Waterloo, lieu de défaite de Napoléon en 1815 : Les Waterloo Vikings Days !
Voici le programme détaillé du week-end des 4 & 5 mai :
« La Ferme de Mont-Saint-Jean vous ouvre les portes de son mystérieux royaume peuplé de créatures étranges aux rites « VIKING » : marché Viking des métiers anciens (plus de 100 artisans) où ferronniers, potiers, souffleurs de verre, danseurs, chanteurs, jongleurs, acrobates animeront le site historique de la ferme de Mont-Saint-Jean …
12 clans vikings réunis : Immergez-vous dans un authentique village viking de plus de 100 reconstituants qui vous feront vivre la vie des villages vikings.
Venez découvrir et/ou participer aux combats et aux joutes Vikings venus de cette époque où chaque village envoyait les braves de leurs contrées s’affronter …
MARIAGE VIKING : Venez vous marier dans la plus pure tradition Viking et inviter vos amis pour l’occasion.
Assistez au travail des animaux domestiques ; aux spectacles des rapaces, les poneys, …
Un marché nocturne le samedi soir avec spectacles de feux et concerts en l’honneur du Roi Ragnard et ses chefs de clan (animations et concerts).
Ne manquez pas les nombreux concerts et spectacles durant 2 jours féériques … Entrez dans la Légende du monde des Vikings !
- MARCHÉ VIKING des métiers anciens – 11h à 20h.
- Plus de 100 artisans (vendeurs de cuirs, de potions, travail du métal, tissage, …).
- Le VILLAGE VIKING – 11h à 18h
- Plus de 100 reconstituants vous feront découvrir les secrets de ce peuple ; leurs cuisines, la confection des armes, la préparation des combats, les loisirs, …
- Les spectacles des RAPACES, les balades en PONEYS, …
- Spectacles des Rapaces dans la cour de la ferme – 12h / 15h30 / 17h.
- Balades en Poney VIKING pour les enfants – 11h à 18h.
- Les DÉFILÉS VIKING – 15h00 et 17h30.
- Près de 100 guerriers VIKING Défilent à travers le site de Mont-Saint-Jean.
- Les COMBATS VIKING (démonstration des différents combats d’époque) – 13h / 16h.
- Espace de combats entre le village Viking et le marché des artisans.
- Les JOUTES VIKINGS (Tirs à l’arc, à la hache, du javelot, …) – 11h30 à 18h.
- Différentes épreuves au sein du village viking (le publique peut se confronter à nos guerriers vikings).
- Des MUSICIENS, JONGLEURS, CRACHEURS DE FEU, CRÉATURES MYTHIQUES déambuleront – 11h à 18h (jusqu’à 22h le samedi).
- Groupes de musique, Monstres sacrés, jongleurs, cracheurs de feu, …
- Le MARIAGE VIKING – mariage, banquet et concert Viking – samedi à 14h et 19h et dimanche à 14h.
- MARIAGE selon les rites VIKING (sous réservation).
- Célébration par groupe de 10 couples.
- Suivi d’un banquet et CONCERT.
- MARIAGE selon les rites VIKING (sous réservation).
Renseignements : http://waterloovikingdays.be
Thorgal-BD a écrit
Également, je vous montre les petites cartes que j’ai glissées dans les enveloppes avec les billets pour les gagnants (postés mercredi). Conservez-les, les gens, c’est collector, il n’y a que vous qui les avez !Hé ! Ils ont trop de chance les gagnants !
-
AuteurMessages