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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Tjahzi

Toutes mes réponses sur les forums

40 sujets de 1,321 à 1,360 (sur un total de 4,488)
  • Auteur
    Messages
  • en réponse à : Erotisme et Kriss ;) Lien | Citer

    Hé, hé, figure-toi que j’y ai pensé juste après avoir posté mon message !   

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    Bugs a écrit
    Ma question n’était pas claire, le personnage mystère est il lié par le sang à la famille Aegirsson?

    Je l’imaginais bien comme ça.   

     

    Famille?  non 

    ami ou ennemi ? amie

    en réponse à : Largo Winch – Nouvelle édition et encyclopédie Lien | Citer

    Encore quelques visuels de cette nouvelle intégrale de la période Van Hamme.

    Source : FB Largo Winch

    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer
    Bande-annonce sur YouTube

    Thorgal-BD a écrit

    Eh oui voilà, tu étais tout content et maintenant tu te payes la honte avec ta vidéo moisie.

       Si tu veux du plus frais, j’ai ceci sur le compte YouTube du Lombard :

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    humain ?   

    homme ou femme ? femme

    en réponse à : Roman Surzhenko Lien | Citer
    Prix des bédévoles

    Au Festival de la Bulle d’Or, Roman a reçu le « Prix des Bédévoles ». Il faut dire qu’il se donne toujours à fond pour satisfaire son public !   

    Source : Insta de Roman

    en réponse à : Largo Winch – 22 – Les voiles écarlates Lien | Citer

    Salut Kurt, je n’ai vu aucune annonce de tirage limité proposé avec un ex-libris pour le moment. Peut-être dans l’édition prestige qui paraîtra le 6 décembre ?

    Et pourtant, dans les séances de dédicace de la semaine dernière, on retrouve les auteurs signant un ex-libris ! Mystère…

    Source : Editions Dupuis

    en réponse à : Jeux – Jeu de société Thorgal Lien | Citer

    Les icônes sont plus visibles dans la seconde version.   

    La juxtaposition des deux images me parait par contre bizarre… je verrais bien l’image de droite encadrée par un fin bord du même fond boisé qu’à gauche pour donner une unité à la carte.

    en réponse à : Erotisme et Kriss ;) Lien | Citer
    Hommage de Tomasz Ryger

    Kriss de Valnor dessinée par l’artiste polonais Tomasz Ryger, c’est pas rien !    Voilà pourquoi j’ai repris son hommage dans ce sujet consacré à l’érotisme de Kriss. Parce qu’au fond, c’est quand même rare qu’une guerrière parte ainsi vêtue au combat.   

    Source : Tomasz Ryger sur ArtStation

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    Nouveau personnage mystère à dévoiler…

    en réponse à : Undertaker – Dorison et Meyer Lien | Citer

    Tu auras au moins le plaisir de lire les diptyques à la suite sans attendre. 

     Les auteurs font la promo de leur album sur un ton différent…

    Source : Editions Dargaud

    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer

    Ah ça, des mots aussi suggestifs dans la bouche de Kriss, c’est une première dans Thorgal !    Mais comme le dit Hirondl, ce sont des fantasmes (ou des rêves), et là tout devient possible…

    Hirondl a écrit
    Alors oui c’est pas faux, ton commentaire m’a interpellée, sans doute que je le surestime malgré cela parce que j’ai quand même eu une émotion à sa lecture, mais c’est un truc plus subjectif, lié au changement de dessinateur et à la découverte d’un one-shot tant attendu après tant d’années et tant de déceptions.

    J’étais comme toi à la première lecture du tome, un enthousiasme débordant. Puis en seconde lecture, je l’ai comparé aux autres Thorgal, et là je relativise.

    Je parle du manque d’émotion (ou de compassion) transmise par les personnages. Je ne sais pas si c’est dû aux dessins ou aux dialogues… je vais le relire une troisième fois, ça c’est quand même bon signe pour un album de Thorgal.   

    Js a écrit
    Je croyais que Thorgal avait tout résolu dans « Géants » et « La Cage »… Et maintenant il semble avoir un problème avec son « identité personnelle ».

    Ça m’embête aussi, cette double personnalité de Thorgal évoquée par Aaricia. C’est bien assez compliqué avec celle de Louve, dont Yann semble vouloir faire le thème du prochain album…

    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer

    Salut Kmouille,

    Je crois que c’est le lot de tous les lecteurs de Thorgal de continuer à le lire parce qu’ils ont été touchés par lui un jour, parfois lointain. J’ai lu ta chronique dans l’Althing, et je comprends complètement ce que tu ressens. C’est un bon album, mais il manque d’émotion. Comme toi, Thorgal m’a amené à d’autres découvertes dans le monde la la BD, qui actuellement le surpassent. On attend que Thorgal retrouve le leadership dans son domaine, mais il reste du chemin à parcourir…

    Thorgal-BD a écrit
    Eh bien les amis, je me suis permis de récupérer vos photos et la vidéo importée par Tjahzi (parce que je n’ai pas la moindre idée de la façon qui me permettrait de récupérer l’originale du Lombard )

    Euh… j’ai détourné la vidéo du Lombard sur Facebook pour pouvoir la partager ici, mais l’hébergement chez Vimeo n’est pas parfait, notamment les propositions d’autres vidéos à la fin de la lecture. Peut-être faudrait-il demander à Kévin du Lombard un lien plus officiel vers la vidéo qui serait hébergée chez l’éditeur ?

    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer
    Chronique dans le 6-8 de la RTBF

    La radio belge RTBF propose une chronique diffusée aussi en images à propos du nouveau Thorgal. C’est à découvrir ici (durée 5 minutes) : https://www.rtbf.be/auvio/embed/internal/media?id=2565900

    Source : Le 6-8 sur la RTBF

    en réponse à : Roman Surzhenko Lien | Citer
    Festival de la bulle d'Or à Brignais (F)

    Roman participe ce week-end au Festival de la bulle d’Or à Brignais (Rhône). 

    Nombreuses dédicaces en vue !   

    Rendez-vous annuel des bédéphiles, le Festival de la bulle d’Or fête cette année sa 30ème édition ( Il est un des plus vieux festivals de bandes dessinées en France).

    Cette manifestation culturelle propose, durant tout le week-end, des séances de dédicaces avec plus de 50 auteurs, des expositions autour de la BD, des animations pour petits et grands, des ateliers participatifs, des ventes de BD d’occasion, des caricaturistes et portraitistes, un spectacle d’ouverture. De quoi contenter un large public, bédéphile ou pas.

    Et cette année encore, le Briscope est le théâtre rêvé pour cette alchimie toujours vérifiée entre le public, les artistes et les intervenants de tout poil.

    Infos : La Bulle d’Or

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer
    Mandor

    Et JoelJean tapis dans l’ombre tape dans le mille       C’est bien Mandor dans « Le Mal bleu ».

    en réponse à : Largo Winch – 22 – Les voiles écarlates Lien | Citer
    Entretiens dans le journal Le Soir

    Encore un riche entretien avec les auteurs ici pour le journal Le Soir. Et un autre ici consacré à Philippe Francq.

    Les auteurs de Largo Winch au «Soir»: «Les ordinateurs sont aux commandes de la finance mondiale»

    Quand les Bourses tremblent devant le « shadow banking », il faut un héros comme Largo Winch pour éviter le crash. Ses auteurs, Philippe Francq et Eric Giacometti, nous parlent d’éthique financière.

    Dans la nouvelle aventure de Largo Winch, Les voiles écarlates, l’équilibre du monde financier est soumis aux algorithmes de data centers reliés par fibre optique à toutes les Bourses de la planète. Le trading à haute fréquence intoxique les marchés en quelques millisecondes. Le shadow banking des places financières parallèles jongle avec des milliers de milliards de dollars. Dans ce scénario plus proche de la réalité que de la fiction, Largo Winch essaie de préserver une forme d’éthique du commerce. Le héros milliardaire refuse les délocalisations et refiscalise les bénéfices de ses entreprises. Faut-il y croire ?

    Dans les premiers albums de Largo Winch, la finance faisait rêver. C’est moins le cas aujourd’hui ?

    Philippe. Les Golden Eighties de Wall Street sont derrière nous ! La crise des subprimes est passée par là et le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz assure que nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle secousse. Ce pourrait même être imminent, tout en restant aussi imprévisible que les éruptions volcaniques… Largo pour sa part a toujours eu un petit côté moral. C’est un milliardaire totalement improbable avec un vrai côté social.

    Les précautions prises pour qu’un nouveau crash boursier ne puisse pas se reproduire sont insuffisantes ?

    Philippe. On nous avait dit ça en 1929 aussi ! Les dangers du « shadow banking » et des Bourses parallèles sont bien là, alimentés par le développement du trading à haute fréquence.

    Eric. « Shadow banking », ça fait titre de film hollywoodien mais le marché de produits hors du secteur bancaire traditionnel pèse 500.000 milliards de dollars, soit mille fois le PIB de la Belgique ou cinq fois le PIB mondial ! Tout ça se balade au-dessus de nos têtes. Même les régulateurs ne savent pas précisément ce qui se passe avec cet argent. Cette opacité est intéressante pour un scénariste. Via le « shadow banking », ce qui se passe à Singapour peut nous toucher immédiatement.

    L’aventure des « Voiles écarlates » est centrée sur le trading à haute fréquence, qu’est-ce qui vous a excité dans cette thématique ?

    Eric. En 2010, j’étais au service économique du journal Le Parisien. En voyant arriver le « flash crash » du 6 mai, où la Bourse est tombée brutalement avant de remonter aussi vite, nous étions en état de stress. On se demandait si ça allait se reproduire. L’explication officielle était que la responsabilité en incombait à un « fat finger », un type qui aurait appuyé sur la touche milliard plutôt que la touche million. On apprendra plus tard que le responsable était le trading à haute fréquence. Je me suis dit qu’un jour, ça ferait un bon polar financier. Entre-temps, les ordinateurs à haute fréquence sont aux commandes de la finance mondiale.

    Vous avez fait des repérages dans ces data centers hautement sécurisés ?

    Philippe. Je suis rentré dans deux banques à Londres. On était au plus près des traders. Je ne révélerai pas les noms des banques car nous y sommes allés sans les autorisations de la haute direction. Les data centers qui permettent le trading à haute fréquence contiennent ce que les traders appellent des « ordinateurs à pizza », des machines plates, qu’il faut réfrigérer à grands frais avec des climatiseurs.

    Dans les data centers, les systèmes sont doublés ou triplés. Tout est fait pour que ça ne s’arrête jamais, même en cas de panne ! Ce sont des systèmes extrêmement énergivores. La plupart des data centers sont en Caroline du Nord, reliés à des centrales électriques au charbon. Elles sont nichées dans un vaste désert écologique. Selon les spécialistes de l’environnement, en 2020, internet polluera autant que tous les moyens de transport de la planète !

    En décidant de refiscaliser le Groupe Winch, Largo remet en cause l’existence des paradis fiscaux ?

    Eric. Le monde a évolué sur cette question. Même les banquiers suisses ont accepté de lever le secret bancaire. Les « Panama papers » ont montré qu’il y avait des règles du jeu nouvelles.

    Philippe. Autres temps, autres mœurs ! Largo se débarrasse lentement de l’héritage de son père. Il a commencé par le fauteuil du board qui était surélevé, puis par le bureau et l’immeuble du siège. Là, on change la manière de faire et de faire fonctionner le groupe. C’est son père qui avait mis un système en place en vue d’éluder les droits de succession…

    Le FSB a remplacé le KGB et s’intéresse de près à Largo. En 2019, les Russes se préoccupent de finances autant que d’espionnage politique ou stratégique ?

    Eric. Bien sûr ! Sous Eltsine, le pouvoir était parti aux mains des oligarques. Poutine et le FSB ont décidé de les surveiller étroitement. En 2003, Poutine, qui venait du KGB avant d’être président, a réuni les oligarques russes dans son bureau. Il leur a dit de ne plus s’occuper de politique, d’en finir avec l’évasion fiscale. Un seul d’entre eux, Khodorkovski, n’a pas entendu le message et il en a pris pour dix ans. En 2019, à Saint-Pétersbourg, à l’équivalent russe du forum de Davos, le président de la commission des finances de la Douma est venu devant le parterre d’hommes d’affaires pour déclarer : « On a de la chance, personne n’a encore été arrêté cette année ! » Le FSB était dans la salle…

    Avec ses jets privés, Largo n’est pas en décalage avec l’évolution du monde ?

    Eric. Il ne faut pas que Largo devienne une BD moralisatrice. Si Largo ne peut plus prendre l’avion, ne peut plus se servir d’armes à feu. Si Simon ne peut plus ni boire ni draguer… Attention à ne pas basculer dans le marketing éditorial, dans le conformisme… Il faut de l’éthique, ça oui, comme quand il choisit de refiscaliser sa société. Mais dans une BD d’action on ne peut pas circuler en trottinette, sinon ce n’est plus crédible. On ne doit pas se brider. La fiction peut tout se permettre. Lucky Luke avec un brin d’herbe en bouche au lieu d’une cigarette, c’est de l’hypocrisie. Largo a son ADN. Si on veut un héros écolo ou vegan, il faut en créer un autre plutôt que de transformer Largo.

    Philippe. On ne va pas se mettre à faire du « greenwashing » dans Largo. Il faut qu’il reste un héros d’aventures, qui bouleverse l’ordre établi, qui ne se conforme pas toujours aux lois, qui préfère faire justice lui-même alors même que ce n’est pas bien… Il fait ce que nous ne faisons jamais dans la vie.

    Quelle est la place des femmes dans le monde financier très machiste où évolue Largo Winch ?

    Eric. Les temps ont changé ! Largo se prend sa première veste ! Et dans les scènes de sexe, ce n’est plus lui qui tient les rênes. Même dans James Bond, la patronne du MI6 est une femme désormais. L’époque des traders cocaïnés du film Le loup de Wall Street, qui s’envoie des prostituées, c’est terminé. Mais le rôle de la femme par rapport à des héros comme Bond ou Largo reste néanmoins compliqué. Elles ne peuvent pas jouer à égalité parce que le héros c’est tout de même Bond ou Largo. On est, là, dans l’injonction paradoxale. Sauf si Largo devait se mettre en couple…

    Philippe. Je confirme d’abord que Largo ne va pas se marier. Pour le reste, dans l’univers des affaires et du luxe, les hommes riches, propriétaires de yachts et de villas de rêve, qu’ils soient beaux ou laids, ont toujours de jolies femmes autour d’eux. C’est ça la réalité.

    A quand une aventure de Largo Winch en Belgique ou à Bruxelles ?

    Philippe. C’est vrai qu’il n’y a jamais mis le pied sinon de loin, lors de l’explosion d’un yacht au large de la côte belge à la fin de l’album H. Alors qu’on peut voir des citations à propos de la Belgique dans quantité de blockbusters américains comme Iron Man, par exemple…

    Eric. Personnellement, je suis né un 21 juillet et ça me plairait, un album belge de Largo ! Mais si dans le monde entier, on connaît la Maison Blanche, qui incarne le pouvoir de l’Amérique, qu’est-ce qui se passe à l’intérieur des bâtiments européens de Bruxelles ? On n’en sait rien ! C’est la culture de l’opacité. On ne verrait pas un House of Cards dans le Berlaymont ou le Juste Lipse. Les Américains sont plus audacieux à cet égard !

    Philippe. S’il fallait faire quelque chose en Belgique, je choisirais Anvers, la plaque tournante du commerce mondial du diamant.

    Eric. Oui, il est question d’Anvers dans le film de James Bond « Les Diamants sont éternels »…

    Source : Le Soir

    en réponse à : Largo Winch – 22 – Les voiles écarlates Lien | Citer
    Articles du Figaro

    Le Figaro a accompagné la parution de ce nouveau tome de Largo Winch par de nombreux articles. Voici le dernier qui paraît en même temps que « Les Voiles écarlates« .

    LA CASE BD – Le 22e tome des aventures du milliardaire humaniste, Les Voiles écarlates, sort en librairie. Ses deux auteurs, Philippe Francq et Éric Giacometti décryptent une case de ce nouvel album survitaminé.

    « Sur le papier, la série BD Largo Winch n’a peur de rien : 12 millions d’albums vendus depuis 30 ans, et un tirage d’environ 400.000 exemplaires à chaque nouvel album. Le milliardaire humaniste créé par Jean Van Hamme et dessiné par Philippe Francq se porte comme un charme.

    On aurait pu craindre que cette magie n’opère plus avec le retrait de son créateur Jean Van Hamme… Mais en 2017 la parution de L’Étoile du matin scénarisé par le romancier Éric Giacometti a prouvé le contraire.

    Le dessinateur Philippe Francq forme désormais un duo dynamique avec l’auteur d’une quinzaine de thrillers (Le Rituel de l’ombre, Le Règne des Illuminati, Conspiration ou Le Triomphe des ténèbres, en 2018, avec Jacques Ravenne). La suite et la fin de ce diptyque russe, Les Voiles écarlates, conclut de manière magistrale un renouveau du personnage.

     « Largo Winch évolue comme n’importe quel héros archétypal, explique Éric Giacometti. Le personnage créé en BD par Jean Van Hamme et Philippe Francq restera. Il évoluera avec son temps, mais ce sera toujours le même, porteur de cette potentialité romanesque qui le caractérise… Moi, avec Les Voiles écarlates, je n’ai fait que le propulser dans le 3e millénaire, face aux changements sociétaux, l’avènement d’une économie numérique, les oligarques russes, ou la finance digitale… »

    Et quand on s’interroge sur le fait que Largo Winch soit parfois ressenti comme l’un des représentants de l’ultra-capitalisme, ou vu tel un symbole du capitalisme galopant, Éric Giacometti sourit : « Je me souviens d’une citation de Confucius disant à peu près : «Sous un bon gouvernement, la pauvreté est une honte. Sous un mauvais gouvernement, la richesse est aussi une honte » Selon moi, tout est dans le «aussi»…» (Rires).

     

    La demi-planche qui suit a été fortement voulue par Éric Giacometti. Lors d’une séquence de course-poursuite, Largo Winch force l’entrée d’un showroom de voitures de luxe. Au lieu de prendre une splendide Aston Martin DB5 (la voiture fétiche de James Bond), il porte son choix sur un imposant véhicule militaire amphibie russe, le Sherp. « Cette scène comporte un double clin d’œil à James Bond pour les aficionados, analyse Éric Giacometti. Le premier lorsqu’il prend le véhicule russe au lieu du célèbre véhicule de 007 : la jeune femme qui l’accompagne s’en étonne et Largo répond : «Je la laisse à James.» L’autre clin d’œil fait référence à L’Espion qui m’aimait, mais pour le comprendre, il faut lire l’album. »

    Philippe Francq précise : « Je me souviens que notre éditeur souhaitait que l’on explicite ce clin d’œil, en citant James Bond. Mais Éric et moi avons tenu bon. En soi, la scène n’est pas compliquée à mettre en scène. Pour l’anecdote, il n’existe pas de showroom automobile à Saint-Pétersbourg, à l’exception de celui de Rolls-Royce. En me baladant dans la ville, j’ai donc photographié un grand magasin de vêtements de luxe, et j’ai remplacé les mannequins par des véhicules de luxe. »

    En réalité, Philippe Francq n’a eu aucun problème à dessiner une Aston Martin. La véritable difficulté s’est révélée lors de la mise en couleur de l’album. « Nous avions des couleurs franches qui juraient entre elles, du jaune, du rouge Ferrari, du bleu et du vert, précise Francq. Comme la séquence se déroule en hiver, je ne peux pas jouer avec la lumière du jour! Le jour ne se lève plus à cette période de l’année. Il faut donc jouer avec une lumière artificielle. Cette absence de lumière diurne fut d’ailleurs une lourde contrainte de cet album ! »

    Le gros problème, c’était le côté très fatigant pour les yeux d’une telle planche. « J’ai donc fini par trouver le truc, poursuit le dessinateur, en brunissant au maximum le véhicule militaire! Ce qui a rendu la planche tout à fait lisible… »

    Finalement, ce clin d’œil à James Bond a permis aux deux auteurs de faire une mise au point concernant une comparaison qui perdure depuis la création de Largo. Le personnage est très souvent comparé à une sorte de « James Bond de la finance ».

    Or, il n’en est rien. « Largo est un type assez tourmenté, tiraillé entre son côté Spartacus et son côté César. Largo Winch est à la fois un rebelle et le chef d’entreprise d’un groupe mondial. Si l’on peut établir une comparaison entre l’espion britannique et Largo Winch, c’est plutôt dans leurs environnements mutuels. Dans les deux cas, ces héros évoluent dans un univers glamour et sophistiqué, mais c’est tout. »

    C’est pour cela que Largo refuse de prendre la voiture fétiche de l’espion britannique. « Largo règle ses comptes avec 007 ! plaisante Éric Giacometti. On découvre ainsi un personnage plus rude, plus « hard boiled ». Largo Winch est un dur à cuire. Il ne s’achète pas de voitures de luxe. Il n’aime pas les joujoux. Il a sa part d’ombre… »

    Et Philippe Francq de conclure : « Largo Winch n’est pas un héros tapageur. Il n’est pas bling-bling. Il ne possède pas de Rolex… »

     

    Autre article intéressant ici sur Le Figaro où le journaliste accompagne les deux auteurs à Saint-Pétersbourg. Avec une chouette vidéo qui fait le lien entre vues de la ville et planches de la BD.

    en réponse à : Largo Winch – 22 – Les voiles écarlates Lien | Citer
    Interview des auteurs sur Vivacité

    Sur la chaîne de radio belge VivaCité – mais aussi visible sur le web – une interview des deux auteurs de Largo Winch. Cliquez ici : https://www.rtbf.be/auvio/embed/media?autoplay=1&id=2564856

    Source : Vivacité

    en réponse à : Largo Winch – 22 – Les voiles écarlates Lien | Citer
    Sortie de Largo Winch ce 15 novembre

    Parution aujourd’hui de l’album « Les Voiles écarlates« , avec de nombreuses apparitions dans la presse.

    Commençons par le site Actua BD qui accompagne son analyse d’illustrations intéressantes.

    « Le tome 22 de la série Largo Winch paraît aujourd’hui. Il boucle le premier diptyque signé Philippe Francq et Éric Giacometti, ce dernier succédant à Jean Van Hamme au scénario. Nous restons dans la tradition du « James Bond de la finance » avec une intrigue rythmée, haletante et… instructive notamment dans l’exploration de la finance des oligarques russes.

    La publication du tome 21 de Largo Winch avait fait sensation : c’était le premier où Éric Giacometti, écrivain de thrillers à succès, se mettait dans les pas de Jean Van Hamme qui avait décidé de passer le relais. Avec comme cahier des charges de boucler les pistes ouvertes dans le précédent diptyque (les numéros 19-20) et de redynamiser la série en la faisant entre davantage dans l’actualité économique. Il faut dire que Giacometti, ancien journaliste chef de service de la section économique du Parisien, en connaît un rayon.

    On a donc découvert dans le précédent épisode la notion de Trading de haute Fréquence (HFT), de Flash Crash et de l’emprise de plus en plus forte des algorithmes sur la finance internationale. « En quelques décennies, déplorait naguère Jean Van Hamme, l’économie est passée des mains des industriels à celle des financiers… »

    Et des financiers dans les mains des ingénieurs et des mathématiciens. En octobre 2019, le mois dernier, Google affirmait avoir atteint la suprématie quantique ouvrant la voie à un trading robotisé d’ultra-haute fréquence et à la création de blockchains tellement sophistiquées que toute falsification est impossible, en principe.

    En principe, car des voyous, il y en aura toujours à la faveur des bouleversements politiques de la planète qui, majoritairement, n’œuvrent pas pour le bien de tous. Cette fois, notre bon Largo, capitaliste responsable et humaniste, a affaire à une poignée d’oligarques russes pour qui la moralité est une valeur ajustable. Et il est personnellement dans leur viseur. Heureusement, notre milliardaire humaniste en a vu d’autres et dans un épisode magistral au rythme endiablé, il va tenter de se tirer de ce mauvais pas.

    Les filles de Saint-Pétersbourg et les gréements rouge-sang des voiles écarlates donnent du lustre à ce nouveau diptyque. On est bien loin de Tintin au Pays des Soviets même si le gouvernement russe d’aujourd’hui vous a des airs de Soviet Suprême new-look.

    A découvrir également ici sur Actua BD : une longue interview de Philippe Francq. Si vous aimez le dessinateur, vous apprécierez certainement cet entretien !

    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer
    Bande-annonce

    Moi qui me plaignais que XIII et Largo Winch avaient chacun leur trailer, et pas Thorgal,  voilà que ça change !    Le studio Par Bélénos vient de produire une bande-annonce fort réussie pour notre héros favori !

    Source : FB du Lombard

    • Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 6 mois par Tjahzi.
    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer
    Chronique sur Ligne Claire

    Le site Ligne Claire apporte également son point de vue sur le tome 37. Extraits choisis :

    « Dans L’Ermite de Skellingar, Thorgal reprend les rênes, revient quand même sur une face obscure de son passé et va, preux chevalier, voler au secours d’une population martyrisée avant de rentrer, dans ce one-shot, retrouver sa petite famille. Un album, après certaines faiblesses scénaristiques, sous forme de retour aux sources. Yann, dont on connait tout l’éventail du talent, l’a bien compris. Fred Vignaux avait expérimenté ses pinceaux avec Kriss de Valnor. Dans cette reprise de la série mère, il est plus que dans le ton, précis, puissant, évocateur et dans la ligne de Rosinski qui ne s’y est pas trompé en le choisissant. Clair, net, précis, le nouveau Thorgal est en ordre de marche.

    Ce qui est un plus indéniable, hormis le fait qu’on comprenne le scénario, c’est que Yann a donné un aspect très humain à la nouvelle quête de Thorgal. On oublie un peu les dieux comme Vignaux le disait dans son interview. Suspense aussi, tentations, sentiments divers mais à hauteur de femme et d’homme, Thorgal a toujours des fantômes à affronter. Il a en un de moins désormais mais on se doute que sa progéniture peut l’entrainer aussi vers d’autres horizons que son charmant village de pécheurs. Des personnages hauts en couleur, des scènes et des ambiances riches, Vignaux fait, on le redit, un sans-faute. Le tout apporte un nouveau souffle à la série de Rosinski et Van Hamme. »

    J-L. Truc

     

    Source : Ligne Claire

    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer
    Chronique sur Auracan

    Le site Auracan propose une analyse du nouvel album. En voici un extrait :

    « L’essai paraît transformé avec ce nouvel album. On a plaisir à retrouver Thorgal revenu parmi les siens et qui, même s’il a encore des comptes à régler avec son passé, a repris une existence normale. Pas pour longtemps, car un skuta (petit navire marchand) qui transporte d’étranges pèlerins arrivés au village amène aussi à l’enfant des étoiles le point de départ d’un nouveau voyage afin d’honorer un serment.

    Yann développe une intrigue solide qui remet le héros à l’avant-plan. Thorgal part seul affronter l’inquiétant ermite de Skellingar mais son cheminement lui permet aussi de dénouer des événements passés. L’histoire est prenante, accessible à ceux qui se seraient peut-être éloignés de la série au fil du temps et mieux, bouclée sous forme de one-shot, ce qui n’est pas sans rappeler les premiers albums.

    Le scénario associe le spectaculaire à des éléments davantage introspectifs et le dessin de Fred Vignaux répond présent à la restitution de ces différents aspects, en créant notamment le redoutable îlot de Skellingar et les pièges qu’il renferme. Les couleurs de Gaétan Georges s’inscrivent elles aussi dans le cahier des charges.

    Doit-on parler de relance ou de renouveau ? Une chose est sûre en tous cas, « L’Ermite de Skellingar » est un bon Thorgal aux agréables allures classiques qui donne envie de se repencher sur ses prédécesseurs. Belle reprise ! »

    P. Burssens

     

    Source : Auracan

    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer
    Affiche

    Sophie du Lombard nous invite au pied du sapin.   

    Source: Insta de SDL

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    toujours en vie ?  non 

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    jeune ou vieux? vieux   

    en réponse à : Thorgal aux enchères Lien | Citer
    Vente chez Millon

    Vente chez Millon de la planche 12 de « La Gardienne des clés ».   

    Planche à l’encre de Chine publiée en 1991 dans le tome 17 de Thorgal « La Gardienne des clés »Dimensions : 36,5 x 51,1. 

    D’un équilibre parfait, cette planche nous fait ressentir, à travers les personnages pleins d’humanité, une puissance et une qualité graphique d’exception. 

    Source : Ventes du 15-12-2019 chez Millon

    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    viking ?   non 

    homme ou femme ? homme

    série principale?   

    cycle?  non 

    vivant en Europe centrale?  non 

    en réponse à : SOS Bonheur Lien | Citer
    SOS Bonheur Saison 2 tome 2/2

    Le second tome de la saison 2 de SOS Bonheur vient de sortir. C’est l’occasion pour BD Zoom de revenir sur l’ensemble de la série.

    « Lorsqu’une norme est imposée pour assurer le bonheur théorique du plus grand nombre, qu’advient-il de ceux qui, volontairement ou non, s’en écartent ? » C’est avec ces mots que Jean Van Hamme résume, en 2000, le thème de sa série « S.O.S. Bonheur », à l’occasion de la publication de l’édition intégrale de la première saison. C’est avec sa bénédiction que Stephen Desberg reprend, en 2017, le flambeau pour une seconde saison, toujours avec l’épatant Griffo au crayon.

    Dans un futur proche dans un pays qui ressemble au nôtre, dirigé par Gustave Corné, un ministre président qui prône le bonheur organisé, le quotidien des habitants qui souhaitent un autre mode de vie n’est pas facile. Sécurité, intransigeance policière, inflexibilité morale, honnêteté intellectuelle, mariage, éducation, travail, santé sont au programme de ce modèle « démocratique » pour le moins contraignant pour les esprits libres. Prêt à tout pour obtenir sa réélection, Corné compte sur la fortune de Jacques Verdier, richissime homme d’affaires parti de rien à la réussite insolente, animateur TV incontournable. Après Émilie Lisieux, Laziza, Jean-Jacques Denoël, Louis et Anne rencontrés dans la première partie de cette seconde saison, de nouveau réfractaires à l’omnipotence de la figure paternelle présidentielle sont les cibles de la police. Brigitte, jeune femme sans charme qui cumule les emplois pour survivre, repérée par Verdier qui souhaite en faire une vedette TV de son concours de chirurgie esthétique, Virgil Toussaint retraité paisible qui sa pension soldée est contrainte de rejoindre un sinistre village Vacances retraite imaginée par le gouvernement. Sans oublier une voix mystérieuse… Cette implacable chasse au bonheur imposé trouve sa conclusion dans ce second volume. Une conclusion surprenante qui laisse peu de place au vrai bonheur.

    Avant d’être une bande dessinée, « S.O.S. Bonheur » a été imaginé par Jean Van Hamme pour le projet d’une série télévisée qui ne s’est pas faite. Encouragé par Philippe Vandooren, alors rédacteur en chef de l’hebdomadaire Spirou, Van Hamme en écrit une version destinée à la bande dessinée. C’est encore Vandooren qui propose au scénariste le dessinateur alors débutant Werner Goelen, dit Griffo. Publiés par Spirou à partir de 1984, les récits sont réunis en trois albums par les éditions Dupuis à partir de 1988. Sans en avoir le label, le premier volume de cette trilogie sera le premier album de la célébrissime collection Aire libre imaginée et dirigée par Philippe Vandooren. Il est recommandé de lire l’intégrale de ce premier cycle rééditée par Dupuis en 2018.

    C’est avec la bénédiction de Jean Van Hamme que Stephen Desberg présente trente ans plus tard la présente deuxième saison dont le réalisme vous glace le sang. Elle permet de renouer avec cette course impossible au bonheur rêvée par un État providence.

    En trois décennies le dessin de Griffo a évolué, gagné en lisibilité, proposant une riche galerie de personnages. 94 planches superbes et rythmées, témoignages de la maturité artistique de deux auteurs incontournables issus de la formidable explosion qu’a connue la bande dessinée dite « adulte » au milieu des années 1970.

    H. Filippini 

    Sources : BD Zoom & Dupuis

    en réponse à : Catalogue de l'expo Rosinski en 2004 Lien | Citer

    Hier soir, j’envoie un mail au Lombard pour demander s’il n’y a pas une erreur sur le site. Et je reçois dès ce matin la réponse suivante :

    Merci de votre mail et de votre intérêt pour notre maison d’édition. 
    Après avoir vérifié, je vous confirme que le catalogue fait bien 99 pages.
    Au plaisir de vous lire,
     
    Kévin G. pour Le Lombard
    Pôle Numérique & animateurs de communautés
    Ah mais c’est LE Kévin du Lombard qui me répond ! Je ne pensais pas recevoir une réponse de sa part, et encore moins la confirmation qu’il y a bien 99 pages dans ce catalogue. C’est bizarre…
    en réponse à : Le personnage mystère Lien | Citer

    humain ?   

    jeune ou âgé ? âgé

    en réponse à : Undertaker – Dorison et Meyer Lien | Citer
    Chronique sur Actua BD

    Actua BD revient sur le tome 4 d’Undertaker avant de présenter plus en détail le tome 5 qui vient de sortir : L’Indien blanc.

    « Undertaker », le croque-mort hors-la-loi de Xavier Dorison et de Ralph Meyer fait son retour cet automne dans un nouveau diptyque. Entre deux courses-poursuites dans les grands espaces de l’Ouest américain, les auteurs continuent de nous révéler le passé de leur héros.

    Le 1er round de la chasse à l’homme avait tourné à l’avantage de Jeronimus Quint, un chirurgien que Lance Strickland alias Jonas Crow avait croisé pendant la Guerre de Sécession. Quint est en réalité un tueur en série que Strickland pensait avoir neutralisé. Mais il avait sous-estimé le praticien qui s’est révélé être un fin manipulateur…

    Bis repetita dans cette intrigue, Quint échappe une nouvelle fois à notre héros. Le chirurgien a tué le colonel Warwick et a sérieusement blessé Rose Prairie au bras droit, obligeant la malheureuse à le suivre si elle souhaite éviter la gangrène et sauver son membre. Au bout de maintes péripéties, l’Undertaker aidé de Lin réussissent à délivrer Rose Prairie, tandis que le Dr Quint est arrêté par des marshalls. Suite à ces derniers événements, Lin et Rose Prairie prennent la décision de reprendre le cours de leurs vies d’avant : Lin rentre en Chine afin de retrouver son fils et Rose Prairie retourne à sa vie de gouvernante. C’est le cœur gros que les deux femmes quittent Jonas Crow, qui est plus seul que jamais…

    Dans le nouveau tome, L’Indien blanc (T.5), nous nous retrouvons un 25 décembre. Jonas Crow ne s’est pas encore remis du départ de ses ex-partenaires, surtout celui de Rose Prairie dont il était amoureux. Mais peu importe les peines de cœur : la fête de Noël et le travail n’attendent pas : on lui demande d’enterrer le personnel et les passagers d’une diligence de la Barclay, victimes d’une attaque des Apaches Chiricahuas.

    C’est alors qu’une autre vieille connaissance refait surface. Il s’agit de Sid Beauchamp, un ancien compagnon d’armes rencontré également pendant la Guerre de Sécession. Après l’armée, Sid est entré au service -et est tombé amoureux- de Joséphine Barclay, la riche héritière qui possède la moitié des terres de la ville de Tucson, ainsi que la Barclay, la plus grosse compagnie de diligences de l’Arizona. Un mois plus tôt, Mrs Barclay avait assisté aux funérailles de Mrs Warwick, au cours desquels un vieux colonel manchot avait créé le scandale en hurlant le nom de Strickland…

    Mrs Barclay mandate Beauchamp pour qu’il monte une équipe de pistoleros. L’objectif de cette expédition est de traquer les Apaches Chiricahuas qui massacrent systématiquement tous les Blancs qui s’aventurent sur leur territoire. Il faut dire que le chemin de fer se développe massivement dans cette partie de l’Arizona. La menace que font planer les Apaches est désastreuse pour les affaires. Surtout, Mrs Barclay avait un fils du nom de Caleb. Celui-ci avait été enlevé et éduqué dans la culture chiricahuas, afin qu’il devienne ensuite un ennemi des Blancs. Il s’agissait d’une pratique courante des Amérindiens qui s’opposaient à la colonisation de leurs terres. Caleb était devenu “l’Indien blanc” et faisait partie des guerriers chiricahuas qui menaient les expéditions punitives contre les colons.

    Mais lors du dernier assaut, l’Indien blanc a été tué. Beauchamp reçoit donc l’ordre prioritaire de ramener la dépouille du fils à sa mère. Afin de s’assurer le succès de sa mission, Sid propose à Jonas Crow de rejoindre son équipe afin qu’il s’occupe de la dépouille de Caleb et le rende présentable pour ses funérailles. En échange, Crow bénéficiera de la protection de Mrs Barclay et de Sid qui deviendra le prochain shérif de Tucson. Ne l’oublions pas, la tête du lieutenant Strickland est toujours mise à prix…

    Avec ce nouvel épisode de la série Undertaker, Xavier Dorison et Ralph Meyer nous proposent un récit dans lequel les personnages sont tout en nuances. Il n’y a pas de vrais méchants ni de personnages complètements lisses. Le récit aborde les problématiques des mères devant élever seules leurs enfants, du déclin des populations amérindiennes et de la réinsertion des ex-militaires dans la société. Toutes ces problématiques sont confrontées à une question commune : quel avenir le destin leur réserve-t-il ? Un récit passionnant. »

    Source: Actua BD

    en réponse à : 25 ans Lien | Citer

    La voilà ta médaille, capitaine Jack, et moi je suis ton maître Gibbs !   

    en réponse à : Site – Mises à jour Lien | Citer

    Waouh ! Tu fais fort pour l’Armistice, avec 1 an de mises à jour en un coup !    Mais la plus impressionnante est cette dernière fiche, 3 jours après la sortie de « L’ermite de Skellingar »   

    en réponse à : Catalogue de l'expo Rosinski en 2004 Lien | Citer

    Ah, 28 pages avec des petites illustrations, ça calme déjà un peu… est-ce que ça ne ferait pas double emploi avec le contenu de la Monographie ou de l’Artbook de Rosinski ? Je veux bien les photos pour me rendre compte…   

    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer

    Ah oui, la comparaison entre les images est parlante !   

    Abeloth a écrit
    Oui je l’avais souligné quelque part. D’ailleurs Skellig est blindée d’oiseaux.

    C’était dans la première réponse à ce sujet, il y a déjà un an.   

    Abeloth a écrit le 14-11-2018

    Skellingar, un rapport avec l’ile Skellig en Irlande peut être ?

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer
    Masterclass en direct demain sur Adobe

    Ceux qui en auront l’occasion ce mardi 12 novembre à midi pourront interagir en direct avec Fred Vignaux !

    Il participera  à une séance de Masterclass sur la chaîne Adobe France sur Youtube. Vous pouvez poser vos questions ou donner votre avis pendant l’émission grâce au chat. L’intérêt principal sera d’assister au travail de Fred en direct. Pour ceux qui ne peuvent pas être présent, l’émission sera bien sûr enregistrée. Voici la présentation de l’évènement d’Adobe :

    Frédéric Vignaux, dessinateur vient passer un peu de temps et dessiner avec nous pour célébrer la sortie de son premier Thorgal.

    Ce sera l’occasion de revenir avec lui sur sa carrière, ses différentes bandes dessinées, historiques, au dessin, à la couleur mais aussi sur les couvertures. Depuis son Vercingétorix chez Glénat, et les couvertures qui ont suivi, jusqu’à son passage sur Kriss de Valnor dans Les mondes de Thorgal (T7 et T, en passant par le paradis de Neige Origines, il perfectionne son trait au service du récit.

    Cet adepte de la Cintiq viendra nous présenter les différentes étapes de son travail, de la conception à la mise en couleur.

    Infos : Adobe France sur Youtube

    en réponse à : Fred Vignaux Lien | Citer

    Et ce samedi, c’est à la Fnac du Forum des Halles de Paris qu’on pouvait retrouver Fred Vignaux.

    Source image : KingNigel sur Instagram

    en réponse à : Thorgal – 37 – L'Ermite de Skellingar Lien | Citer

    Hé, content de te retrouver Cat !    Et aussi content de voir comme vous faites vivre l’Althing, avec déjà 3 avis postés ce matin. Tous positifs, comme mon état d’esprit à la lecture de ce nouveau tome. J’irai aussi noter mon avis après une relecture un peu plus approfondie de l’album.

    en réponse à : Site – La page d'accueil Lien | Citer

    Ces bandeaux de bas de page sont superbes, je ne m’en lasse pas !   

    Je comprends ton point de vue sur les avis de l’Althing en première page du site. Alors plutôt que les avis, afficher juste le nom de l’album nouvellement noté, sa cote sur 5, et le pseudo de la personne. Il resterait à cliquer pour voir cet avis en détail.

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