Nos papys belges nous ont accompagné toute une vie. Une vie à lire de la BD, à l’époque où elle était moins diffuse, plus partagée, plus « générationnelle ».
Je suis, comme vous, marqué par la disparition de ces auteurs qui sont là depuis toujours et qui ont porté la BD franco-belge et initié tout ce qui fait ce qu’elle est aujourd’hui.
Oui, ils me manquent tous mes papys.