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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Thorgal Saga – La cité mouvante – Aouamri, Ozanam & Tatti

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Thorgal Saga – La cité mouvante – Aouamri, Ozanam & Tatti

Ce sujet a 125 réponses, 19 participants et a été mis à jour par Joe Black joe black, il y a 6 heures et 35 minutes.

6 sujets de 121 à 126 (sur un total de 126)
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    Pour ma part, je vais seulement me procurer l’edition collector. Pour le plaisir d’admirer les planches encrées de Mohamed Aouamri!!

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    J’ai acheté la version prestige, elle en vaut la peine. Les planches d’Aouamri sont au top, comme quand il dessinait la Quête. Son dessin est dynamique, détaillé et respectueux de l’oeuvre de Rosinski. On retrouve en effet toute une série d’anciens personnages de la série, et leur retour est assez réussi. Parfois, j’ai trouvé qu’on en faisait un peu trop, mais ça passe quand même, tant l’histoire est fluide et dynamique. Le scénario d’Ozanam est digne des histoires de Van Hamme et se laisse lire avec plaisir. Un des meilleurs Thorgal Saga jusqu’à présent !

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    Dans la presse spécialisée

    « La Cité mouvante » sort demain… Et les premiers retours dans la presse donnent envie de se procurer l’album !   

    « Ce nouvel épisode de Thorgal Saga est écrit par Ozanam. L’auteur nous montre qu’il connaît bien l’univers de Thorgal. Il veut nous faire ressentir les mêmes sensations que nous avions en lisant les 20 premiers épisodes de la saga principale. Et il y parvient. Nous suivons Thorgal dans la cité de Prokletà. Là, il va découvrir quelques secrets de l’endroit. Il est toujours sur la piste de Shaniah, la jeune femme qu’il a bien connue et qui est morte il y a longtemps. Mais derrière tout cela, n’y aurait-il pas un autre piège ? Un piège préparé par celui qui fut un dieu, amoureux d’Aaricia ?

    Ce récit nous propose de nombreux rebondissements et surprises. Il est vraiment bon. Il nous prend et nous embarque dans cette étrange aventure. Le scénariste s’intéresse aussi aux ressentis de Jolan et d’Aaricia, face au départ de Thorgal.

    Aouamri illustre avec brio ce nouvel opus. Son style fonctionne bien dans l’univers Thorgal. Son graphisme a une certaine force visuelle. Il y a de très beaux passages et de très belles cases. Le tout étant mis en couleurs par le talentueux Tatti.

    Les amateurs apprécieront ce nouvel opus de Thorgal Saga ; un récit riche en surprises, nostalgies et émotions où l’aventure a tout de même sa place. »

    « Avec La Cité mouvante, cinquième tome de la collection Thorgal Saga, Antoine Ozanam et Mohamed Aouamri plongent le Fils des Étoiles dans une cité maudite où chaque nuit efface les repères. Entre la résurgence du fantôme de Shaniah, héroïne tragique d’Au-delà des ombres, et le souffle organique d’un dessin qui s’inscrit dans la lignée de Rosinski tout en affirmant sa singularité, cette nouvelle aventure explore la part la plus intime et mélancolique de la légende de Thorgal.

    Si l’univers de Thorgal reste imposant, les auteurs parviennent à y injecter leur propre sensibilité. Le trait de Mohamed Aouamri colle parfaitement à l’univers du « Fils des Étoiles », tout en apportant un souffle visuel nouveau. On sent chez lui un bagage graphique considérable, nourri de ses influences — de Frank Frazetta, « Bible » de ses années estudiantines, à Neal Adams et John Buscema, piliers de l’âge d’or américain, sans oublier Régis Loisel avec qui il a collaboré sur La Quête de l’Oiseau du Temps. Cette diversité irrigue son dessin, à la fois instinctif et organique, où l’on perçoit la sueur, la poussière, les corps vivants et imparfaits, jamais figés.

    Ce style donne à Prokletà, la Cité mouvante, une texture charnelle et réaliste : les pierres semblent respirer, les foules grouillent de vie, et les personnages dégagent une vérité qui dépasse la simple imitation de Rosinski. Là où Grzegorz Rosiński travaillait dans une veine plus picturale et dramatique, jouant sur les contrastes de lumière et la monumentalité des compositions, Aouamri privilégie un rendu plus organique, presque tactile, qui ancre les personnages dans une matérialité brute. Il aime dessiner des corps qui transpirent, des visages marqués, des décors traversés par la poussière et la sueur.

    De son côté, Antoine Ozanam construit un récit qui mêle l’action et l’intime avec finesse. En réintroduisant Shaniah, il joue sur la mémoire affective du lecteur tout en interrogeant le poids du passé sur Thorgal. Son écriture se distingue par un sens du rythme qui alterne moments d’errance, dialogues tendus et éclats de violence. Mais surtout, il parvient à conserver l’humanité du héros, en l’ancrant dans une mélancolie profonde : Thorgal n’est pas seulement un guerrier légendaire, il est aussi un homme accablé par les dieux et hanté par ses fantômes.

    Aouamri aurait sans doute pu reprendre la série-mère, tant sa capacité à conjuguer authenticité et souffle épique se rapproche de l’esprit originel. Mais sa singularité réside ailleurs : dans ce mélange d’hommage et d’instinct, qui fait de La Cité mouvante un album fidèle et en même temps singulier, habité d’une vraie personnalité graphique. »

    Sources : Scenario & ActuaBD

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    J’ai la BD !

    Le style de Mohamed Aouamri saute aux yeux. Nous sommes plutôt chez Loisel que chez Rozinski. Aaricia a des lèvres pulpeuses et respire la sensualité. Thorgal et Jolan semblent plus ronds. Et ce côté charnel se retrouve un peu partout. Notamment, le sang coule beaucoup dans cet opus. Les couleurs, très contrastées, très fortes, appartiennent elles-aussi à un autre univers que celui de Thorgal.

    Côté intrigue, Ozanam développe deux fils dont la liaison à la toute fin sonne artificiel. Après le scénariste distille avec beaucoup de talent une ambiance de mystère. La corruption voulue de Vigrid puis sa rédemption (?) font écho à l’évolution de Shaniah. Je confie ne pas avoir compris l’intérêt de soumettre Aaricia à la tentation. J’y vois un pas de côté par rapport au côté familial de la BD même si la viking reste fidèle à ses valeurs. Nous ne sommes pas dans le tome 34 !

    Il faut encore que je réfléchisse. En conclusion, un bel opus, un peu comme celui de David Etien, malheureusement, pour mon goût, pas au niveau d’Adieu Aaricia voire même de Wendigo

    • Ce sujet a été modifié le il y a 10 heures et 13 minutes par Patrice.
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    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre
    Parution de l'album

    Eh oui vous l’avez compris, l’album est disponible aujourd’hui ! Et donc, attention à vous, à partir de maintenant les conversations qui auront lieu ici seront blindées de SPOILERS comme dans les messages ci-dessus. A vous de gérer !

    De mon côté, j’ai un peu travaillé pour vous avec la fiche album.

    La cité mouvante

    J’ai rédigé une petite intro comme toujours, sous l’onglet « Histoire ». Ce n’est pas ma meilleure mais je me suis efforcé, comme toujours ou presque, de n’utiliser que la première planche de l’album. J’ai brièvement évoqué dans cette intro deux compétences auxquelles je tiens beaucoup, qui sont assez centrales dans ma vision du monde : la connaissance et la détermination.

    Il y a aussi bien sûr les premières planches, les visuels des couvertures et quelques images.

    Je viens d’y ajouter une présentation en images de la version classique de l’album. J’y ajouterai des photos de l’édition prestige dans quelques jours.

    Bonne découverte et bonne lecture à tous et toutes !

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    J’ai beaucoup aimé. J’aime beaucoup cette collection Thorgal Saga d’ailleurs. Chaque auteur peut y mettre sa patte, et chaque lecteur peut être touché ou non par ce qu’il lit, sans que cela nuise à son ressenti des albums du duo Van Hamme/Rosinski. J’ai aimé retrouver et voir Vigrid à côté de ses pompes. J’ai aimé qu’un auteur, l’espace d’un instant, permettre à Thorgal de toucher du bout des doigts une forme d’apaisement en rencontrant cette version de Shaniah, pas si malheureuse. Comme dans un rêve. Il y a de la cruauté mais aussi beaucoup de poésie. On perçoit un réel attachement aux personnages. Les dessins sont magnifiques. Merci aux auteurs !

    • Ce sujet a été modifié le il y a 6 heures et 30 minutes par Joe Black.
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