Ça y est je suis à bout ... Je donne ce qui me reste de positif à dire pour le dessinateur. Je n'achèterai pas le prochain ... tant pis pour la collection.

Ce nouvel album est quand même une déception. On tourne en rond et l'histoire sent le réchauffé. Pourtant certains personnages sont intéressants et peuvent se montrer plus tortueux qu'il n'y paraît. Que deviendrait ce monde sans des gens avec le cœur de Thorgal ?

Ceci est l´avis que j´avais laissé sur le forum à la sortie. Après avoir relu les tomes 3 à 9, j´en peux plus de cette série qui m´ennuie au plus haut point (pour rester courtoise). Je suis vraiment contente qu´on en ait fini avec cette Jeunesse qui ne ressemblait à rien (toujours pour rester courtoise).

Ouais, toujours bof pour moi. Rien à dire sur le dessin, il me convient. Mon problème reste le même depuis un bout de temps : je lis le tome et je l´oublie presque aussitôt. Ma lecture date d´hier et ma mémoire fait déjà en partie défaut.

Je trouve que ça traîne en longueur cette histoire. Avec cette impression que le scénariste, à la fin d´un album, se dit : « qu´est-ce que je peux bien inventer pour ne pas encore faire la jonction avec la série mère ? ». Conséquence : une aventure qui traîne en longueur, un peu comme le cycle des mages rouges dans la principale. (Oui, je me répète).

Je trouve aussi que Thorgal s´excite beaucoup et répète un peu trop « moi, je veux vivre en paix, je veux pas le pouvoir ou l´argent. ». C’est lourd.

Question lourdeur, également, le besoin de toujours sortir un maximum de mots/expressions à définir en astérisque.

Par contre, les dialogues, eux, m´ont paru moins lourds. Mais peut-être est-ce parce que je suis complètement blasée et que je n´attends plus rien de Yann.

Le coup de Thorgal aux portes de la mort, c’est déjà vu. Et voilà encore de nouveaux dieux.

Bref, rien grand chose qui m´ait plu, à part les dessins

Que de dialogues et de pages qui ne servent à rien dans l'intrigue! Les dessins sont superbes mais l'intrigue peine à accrocher à cause de tous ces combats incessants et des personnages sans épaisseur. Encore une gamine insupportable...ça devient redondant.
Thorgal devient spectateur de sa série qui aurait pu être celle d'un autre tant les caractères de Thorgal et Aaricia ne correspondent pas.

L’intrigue est bien menée et commence par un flash-back qui nous plonge directement dans l'ambiance de l'album.Violence, amour et conflit et trahison, c'est "games of throne" dans le monde de Thorgal. Sydönia et Sveynn se disputent le trône et Thorgal ne peut que subir les conséquences.
Roman Surzhenko est comme à sont habitude toujours irréprochable.

Ce nouvel album est vraiment une déception. On tourne en rond et toute l'histoire sent le réchauffé. Qu'attend Le Lombard pour enfin mettre fin à cette série devenue sans intérêt ?

Intrigue et Trahison... aventure qui ouvre les yeux à Thorgal sur le monde des hommes.

J'en ai tellement marre de cette série à rallonge ! Pourquoi j'ai encore acheté ce tome ?? L'éditeur profite vraiment de notre faiblesse de fans de Thorgal pour étirer la Jeunesse sans plus aucun intérêt ! Cette fois c'est fini, c'est vraiment le dernier pour moi, je vais d'ailleurs revendre tout ça et ne garder que la série principale....

L’intrigue est bien menée, l’histoire captivante, présentant un jeune homme aux convictions fortes, plein de ruse, d’habilité et de courage. Il tente d’éviter une guerre, devant son serment du sang, qui le lie à Sveynn, mais n’y arrivera pas… En effet, face à eux, la jeune princesse Sydönia compte bien reprendre le trône de son défunt père, avec l’aide de la Flygia, esprit lié à sa lignée. Le récit n’oublie pas sa part de fantastique, dans ce nouveau tome plutôt bien mené et captivant, qui se lit facilement. Le dessin est toujours aussi réussi et plaisant, offrant de belles planches à découvrir et des belles scènes d’action, entre autres.

On n’a pas forcément l’impression, en refermant cette bande dessinée, de mieux connaître les personnages qu’avant. Il y a une aventure, et celle-ci est efficace, mais cela ne nous apprend rien de nouveau sur Thorgal. Ou alors j’ai raté quelque chose...

Une aventure en pilotage automatique pour le jeune Thorgal, entre violence, amour et conflit de loyauté.
Mon avis en un mot : Routine...

L'aventure est bien au rendez-vous. Les surprises aussi. D'ailleurs, ce tome va se révéler surprenant plus d'une fois.
Yann parvient à renouveler les intrigues et à bien les faire avancer.
Quant à Roman Surzhenko, son trait reste toujours aussi efficace.
Sydönia est un excellent récit.

De bonnes idées dans ce nouvel album, certes, mais toujours ces dialogues qui ne laissent pas assez la place à l'émotion qui devrait transparaitre des dessins insuffisamment mis en valeur dans ce énième récit de la jeunesse de plus en plus tumultueuse de Thorgal.

Cet album aurait franchement pu être très bon si on était pas déconcentrés par le fait de devoir aller tout le temps chercher une astérisque en bas de page pour comprendre certains termes. Yann devrait faire plus simple dans ses dialogues, et laisser plus de place au dessin magnifique de Roman ainsi qu'à notre imagination.
Mais bon, je note une amélioration certaine dans la qualité du scénario

Un album avec plusieurs bonnes idées, qui se dévoilent peu à peu. Il est quand même dommage que l'essentiel de l'histoire se tourne vers les combats (voire les massacres) au détriment de Thorgal, qui devient plus ou moins un personnage secondaire pris dans le maelström des intrigues de palais.
Sveynn prend enfin de l'épaisseur. Sydönia est amusante, mais elle ne méritait pas l'honneur d'être la tête d'affiche d'une couverture de Rosinski !

Yann nous sert cette fois un récit sous forme de flash-back, car on connait dès la première planche l'état désastreux dans lequel Thorgal se trouve. La suite nous fait découvrir les malheureux évènements qui l'ont amené à se retrouver à nouveau dans l'entremonde.

L'album est truffé de scènes de combat, et les retournements sont nombreux au fil des pages, jusqu'au moment fatidique de la blessure mortelle de Thorgal. Ses pensées vont à sa bien-aimée qui l'attend et qui, espérons-le, le remettra d'aplomb grâce au soutien d'Ayyur, la divinité lunaire de son ami Seck.

Les dessins finement détaillés de Roman Surzhenko sont cette fois agrémentés par les belles couleurs d'Elvire De Cock. Je regrette cependant qu'il n'y ait aucune mise en scène grandiose. L'effet aurait été impressionnant si on avait laissé plus de place pour dessiner l'arrivée du drakkar devant la capitale des Danes, ou la prise d'assaut de la ville.
Mais ce qui m'a particulièrement dérangé dans cet album, ce sont les morts qu’on compte à la pelle, avec des têtes tranchées et des corps transpercés à n’en plus finir. Malgré cela, l'histoire manque d'intensité, les dialogues incessants laissant peu de place à l'émotion. Et le rythme de lecture est bien freiné quand le vocabulaire technique demande des renvois d'explication en bas de page.
Dommage, car le thème de cet album aurait pu donner des scènes bien plus intenses.