Dommage, la série sur la jeunesse commençait bien avec le premier cycle. Le talent de Roman Surzhenko n'est pas pleinement exploité. Les personnages créés par Van Hamme sont littéralement "abimés". Pour finir, étaler une histoire sur plusieurs albums en faisant du remplissage, permet de multiplier les couvertures de Rosinski certes, mais finit par nous fatiguer.

Yann s'est surement fait plaisir en intégrant ses propres apports à la Jeunesse, mais il y a pour moi un manque de cohérence dans l'intrigue, et cette Slive vu par...ne me plait guère, une Slive acariâtre, bourreau d'enfant...très peu pour moi. Cette fois, j'ai vraiment eu l'impression de lire un "fan-fic", dommage.
Il y a cependant de très belles cases mettant en scène de beaux paysages.

Avis pour les tomes 5 et 6.
Suite directe du tome 4. D´ailleurs, jusqu´à la conclusion au tome 11, il s´agira en fait d´une seule aventure, perso, je n´aime pas, mais bon, ça c'est un choix comme un autre.
Ça se laisse lire, mais comme pour les précédents, difficile de vraiment rentrer dans l´histoire. Toujours pour les mêmes raisons (ça devient lassant de se répéter) :
- Trop de personnages. On passe continuellement de l´un à l´autre avec l´effet que ça casse le rythme plutôt que de le booster.
- Des personnages qui ne ressemblent pas à ceux de Van Hamme
- Des pillages Van hammien : Slive, sa fille, le radeau, l´arme
- Des pillages de Sente : Mahara
- Des auto-pillages : Skald et sa famille
- Des trucs étranges : L´amnésie de Hiérulf, Solveig amoureuse de Thorgal
- Des jurons à qui mieux mieux
- Des dialogues qui manquent de naturel
- Thorgal qui ne sert à rien et aurait mieux fait d´être absent de l´album plutôt que de parcourir les deux tomes à courir d´un bosquet à une cabane en passant par une crique
Bref, l´habituelle liste des défauts de Yann. On devrait s´y habituer, on ne s´y habitue pas.
Ajouté à cela qu´on touche au mythe fondateur (pure madeleine de Proust pour moi), il fallait sortir autre chose que ce récit un peu bancal de tous les côtés.

Nouvelle histoire avec cette fois ci le retour du personnage Slive. Comme Thorgal est sensé la rencontré que dans le premier album de la série principale, il a une quête secondaire avec la recherche d'Hiérulf.
La couverture est magnifique, c'est la meilleure de la série. Les dessins sont bons et l'histoire n'est pas la plus passionnante mais reste agréable à lire.

D'abord , les dessins de Slive n'ont aucun rapport avec la Slive des premiers Thorgals. Ensuite, ce n'est pas dans le genre de Slive d'être aussi cruelle et inhumaine avec un en petit garçon . Et puis son évasion est assez décevante . Sinon l'album n'est pas si mal. Et puis j'aime bien la relation très particulière entre Skald et Sharn.

Mais quand donc Yann laissera t'il les parties intimes de Fenrir tranquilles?! Slive est un de mes personnages préférés de Van Hamme, je suis vraiment déçu de lire un tel album avec elle

Retour sur le personnage de Slive, un de mes personnages favoris, cet album sert encore d'introduction, un album agréable mais on en attends toujours plus.
Belle couverture et les dessins sont toujours bien.

Un album peu intéressant, scénarisé et dessiné à la va-vite. Un petit rappel aux origines célestes de Thorgal, mais qui n'amène vraiment pas grand-chose. Ca sent le remplissage et la machine à fric.

Slive est un personnage qui fait rêver. Un des premiers personnages marquant de la mythologie Thorgal. C'est donc un plaisir de la retrouver. Mais ce volume n'apporte pas grand chose. Il pose les bases d'une histoire en deux volumes. C'est un peu dommage de passer systématiquement sur des formats en plusieurs tomes. À part ça, les dessins sont bons et la couverture est magnifique.

En un sens, Slive est vraiment la Magicienne Trahie grâce à cet album.

Cet album est creux. Le titre, "Slive", semble annoncer une histoire qui sera centrée la magicienne. Mais en fait non. Car comme c'est Thorgal le héro, il faut obligatoirement lui faire vivre une aventure, laquelle se base exclusivement sur la recherche longue et laborieuse de Hiérulf. Une recherche tellement peu intéressante qu'elle ne méritait absolument pas autant de planches.

Cette recherche est, de plus, pratiquement déconnectée de l'évasion de Slive dont traite cet album. Évasion qui est d'ailleurs tout aussi inintéressante. On constate que Anina doit obligatoirement être de retour et le nouveau fils de Thorgal est celui qui aide à l'évasion de Slive... Et bien, si ça, c'est pas une coïncidence !!

Une belle couverture, un beau titre mais peu de chose dans les 46 autres pages à part les dessin de Roman. Beaucoup de personnage sont développé comme skald, la sorcière mais pas Slive. Un album qui sert à peu de choses même pas à me divertir, car à la fin, je suis très frustré.

ça fait du bien de revenir sur des fondamentaux et de voir des vikings au pays des vikings.
Cet album est pour moi excellent.

J'en profite pour donner aussi mon avis sur cet album. Je n'ai pas aimé Le drakkar des glaces que je viens de lire. Mais l'album Slive n'était guère mieux. Il ne s'y passe rien d'intéressant ! J'en ai marre de cette série qui tire en longueur. Elle n'apporte rien, et en plus elle ne respecte pas l'histoire d'origine de Jean Van Hamme !

Ce qui vient immédiatement à l'esprit à la fin de la lecture c'est que c'est déjà fini. Car oui, cet album se lit vite. On peut constater qu'il y a de nombreuses planches sans grande lecture. Il faut dire qu'il n'y a pas de grandes explications à fournir dans ce tome. Thorgal part à la recherche de Hierulf pendant tout l'album, on le voit tantôt à droite, tantôt à gauche et on se dit qu'il ne sert pas à grand chose. De l'autre on a Aaricia qui tente de sauver ses copines en prenant la mer. Enfin Gandalf rend visite à Slive qui va tenter de s'échapper en manipulant un enfant. Tout ça fait gentillet, c'est fluide, mais j'ai du mal à trouver ça vraiment intéressant. On s'étonnera peut être que Thorgal tue plusieurs personnes sans sourciller et sans grand suspense.

Ce qui par contre peut surprendre, ce sont toutes ces références à des personnages déjà vus à ici ou là. Malheureusement je serai bien incapable de dire où, il va falloir que je relise tous les tomes précédents, notamment de la série mère.

Pour le dessin, même si le trait de Surzenkho est toujours agréable, je le trouve moins bon que par le passé, je me suis surpris à trouver les animaux (lynx, loup) pas toujours bien fait. Par contre il maitrise toujours aussi bien les personnages, féminins comme masculins.

Le tome finit sur un cliffhanger basic qui fonctionne moyennement bien. Pour moi c'est un tome qui se lit très bien, mais sans véritable envergure ni intérêt.

Entre suite et souvenirs... la jeunesse de thorgal nous apporte des explications sur des faits passés, d autres points de vu... bref, pas mal du tout !

Cet album comme les précédents de la jeunesse de Thorgal met du sens à l'histoire de Thorgal.

Le prolifique mais inconstant Yann continue son voyage en drakkar dans les mondes de Thorgal avec une BD choral segmentée en 3 intrigues.

C'est agréable à regarder, les planches défilent à une allure folle jusqu'à la dernière et son cliffhanger qui laisse sur un arrière goût de déjà vu agaçant.
L'album est le début d'un nouveau cycle et se contente d'amorcer de nouvelles intrigues juste ce qu'il faut. C'est assez frustrant surtout que certaines parties comme celle concernant Thorgal est assez vaine. Pour pallier à cela on insère une scène assez grotesque où ce dernier ne semble plus très scrupuleux à tuer son prochain.

Comme l'indiquait le titre cet album marque aussi le retour d'un ancien personnage culte présent à l'origine de la saga. Avec notre magicienne rouquine revient également un peu de S.F mais tout ça lorgne vers le fan service assez stérile. Au final on a effectivement pas grand chose à se mettre sous la dent et le recyclage des anciennes recettes ne fait que trahir la pauvreté scénaristique.

Lecture très fluide mais il ne se passe pas grand chose, et les ressorts de l'intrigue font un peu trop déjà vu.

Bravo aux auteurs pour arriver à imbriquer tant d'éléments et rester cohérent par rapport à un T1 de Thorgal (La magicienne trahie) sortie en 1980 ! J'envie les lecteurs qui découvrent les séries des mondes de Thorgal maintenant :-) Quelle passionnante histoire !

Yann, en roue libre, continue de s’amuser avec le vivier de personnages d’une série mère passée du coté mercantile de la force voilà bien des années, en mélangeant pistes éventuellement intéressantes mais aux développement maladroits (et autres jeux de mots bien inutiles). Surzhenko, avec deux séries en moins sur les épaules, rend une copie plus appliquée que les précédentes.

Un album qui continue de respecter l'univers de Thorgal avec son lot d'héroïsme, d'aventure et de fantastique et qui remplit l'objectif qui lui est fixé : divertir et enrichir la mythologie Thorgal.

Quelle couverture! Elle a la saveur du Thorgal de notre jeunesse! L'album aussi dans l'ensemble. Mais j'ai l'impression que Yann veut tout à coup faire tirer la jeunesse de Thorgal en longueur, pas dans le bon sens du terme... Avec un peu trop de péripéties, on va finir par trouver que Thorgal a bien davantage vécu avant "la magicienne trahie", les Dieux étaient encore plus courroucés à son encontre! Si ça continue, il va faire un premier voyage à Bag Dahd...

En animant les séries Louve (désormais terminée) et La jeunesse, il a ouvertement choisi d'inscrire ces séries dans une veine 'jeunesse'.

Il respecte les codes de base, tout en insistant lourdement sur les références à la mythologie nordique. Monsieur s'est documenté et tient à le faire savoir. Il n'hésite pas à proposer des dialogues plein d'emphase, invoquant sans cesse telle ou telle divinité.

Par contre, l'histoire n'a guère d'intérêt. Thorgal recherche Hiérulf pendant qu'Aaricia tente de soustraire 2 anciennes esclaves à la colère de son frère et que Slive planifie son évasion des geôles de Gandalf.

Pépère et inoffensif.

cet album m'a donné envie d'en relire d'autres (la magicienne trahie, la reine des mers gelées) et je ne me lasse pas des aventures de thorgal

La Jeunesse de Thorgal est globalement aérée et limpide. On y retrouve les personnages des tout premiers albums, ce qui fera palpiter le cœur des fans. On regrettera malgré tout ce sentiment de déjà vu dans nombre de scènes et surtout dans des dialogues usés jusqu'à la corde. Le dessin académique et mécanique de Roman Surzhenko, expert de la tablette graphique, produit un dessin sans âme. A quand la fin de La Jeunesse ?

C'est vraiment le terme qui définit l'album : "agréable". Le scénario se lit facilement, avec quelques idées amusantes comme cette quête sans résultat de Thorgal... Plusieurs histoires se déroulent en même temps, 3 en fait : Skald et Slive / Thorgal qui cherche / Aaricia et ses amies, ce qui maintient un bon rythme.

Retrouver Slive et Sharn, entendre une partie de leur histoire est également très plaisant, surtout que c'est plausible et que la mentalité de Slive est proche de tout ce qu'on a déjà pu voir dans la série-mère.

Le dessin de Surzhenko est toujours aussi bon, les couleurs aussi !

La quête sans fin de Thorgal est finalement assez amusante à suivre. Le personnage se suffit à lui-même.

Il tue trois hommes, par contre, pour ne pas se faire voler son cheval. Beaucoup de morts dans sa jeunesse !

Les dessins sont très beaux, avec comme toujours une foule de détails.

Un album agréable à suivre qui a le mérite de faire revenir Slive sur le devant de la scène.

L'histoire se déroule sur plusieurs plans et les aventures de Thorgal, qui ne fait que chercher Hierulf, ne sont guère palpitantes... l'ensemble reste cependant correct !

Le seul bémol pour moi reste la réaction de Slive avec Skald, qui est complètement démesurée même si du coup elle permet de justifier le mutisme du garçon...