Un album plein d'aventures où on prend plaisir à retrouver le jeune Thorgal plein de fougue, qui trouve des compagnons sympathiques pour sauver Aaricia.
J'aime toujours cette incursion dans le monde viking et ses traditions mais j'ai été moins charmée par cet album que par le précédent, il me semble que l'action prend le pas sur l'émotion avec des personnages un peu trop caricaturaux...
En outre, Aaricia et Thorgal sont déjà bien sûrs de leurs sentiments, c'est mignon mais Aaricia a toujours l'allure d'une gamine de 8/10 ans..

Pour moi, c´est exactement comme le précédent, j´avais oublié l´histoire et je l´oublierai à nouveau. En fait, je n´arrive pas à m´intéresser à ce qui est raconté, je m´ennuie. Aucun personnage n´est attachant, soit des têtes de nœud sans nuances (mention spéciale à Gandalf), soit des coquilles vides. Et cela vaut aussi pour les héros, Thorgal et Aaricia dont presque chaque mot sonne artificiel. Mais bon, ça se laisse lire une fois (ou deux si on a oublié et qu´on veut enfin donner son avis).

Fin de l'intrigue commencée dans le tome précédent. Dans cet album Thorgal est poussé à un second rôle et c'est Runa qui prend le rôle principal. Malgré tout l’histoire est toujours plaisant à lire.

La conclusion de l'histoire de Runa, avec Thorgal, Sigurd et Ratatosk à la poursuite d'Aaricia. Belle histoire, avec tous les ingrédients d'héroïsme et d'attention aux personnages qui ont toujours caractérisé la série Thorgal.

J'ai beaucoup aimé cet album et l' évolution de certains personnages de Runa comme Sigurd ou Nigurd qui se révèlent être des personnages très complexes( sans parler de Runa )

Cette fois le dessin est de nouveau très reussi mais les dialogues commencent à sérieusement m'agacer

Gandalf continue sa folie et Thorgal courageux et volontaire à tous les périples. Une histoire qui se finit bien avec une évolution des personnages en continue.

clairement pas l'album préféré de la série, ça s'essouffle et commence à me fatiguer

La jeunesse est ma série dérivée de Thorgal préférée. On retrouve ce qui faisait de Thorgal une bonne série avec une dose d'aventure, de magie, de science-fiction et d'émotions, sans oublier les intrigues politiques.

Ici, on a la fin de l'intrigue commencée dans le tome précédent. Les pions se mettent doucement en place et j'ai vraiment aimé voir d'anciens personnages de Thorgal reprendre vie... bref, un très bon tome.

Et pan, encore du remplissage. Ce n'est pas désagréable mais ce n'est pas une aventure de Thorgal, ça ne doit pas constituer un album.
Après avoir adapté le Seigneur des Anneaux au cinéma, si quelqu'un avait l'idée géniale d'adapter les annexes, cela donnerait un peu la même chose.

Moi il me plait encore bien cet album-là, avec ses terribles guerriers, et Runa qui prend le rôle principal du diptyque. Dommage que ça manque d'intensité dans les combats. Surzhenko est trop gentil dans ses dessins, et Yann trop bavard dans ses dialogues.

Plus je lis cette série, et plus je suis déçu de ce qu’il en ressort, la série mère fourmillait de bonnes idées, la jeunesse de Thorgal parait juste exploiter un filon qui va finir par être complètement à sec.

Je trouve cette album très bien ficelé et super dessiné. Des 3 monde je trouve la jeunesse excellente.

ça manque d'intensité, de profondeur, de dialogues vrais, de personnages intéressant... enfin voilà, tout ça est trop superficiel pour donner un bon album

Plaisant, mais un peu moins bon que le précédent. Je regrette surtout l'arrivée des 2 amies d'Aaricia, ça fait beaucoup de personnages et donc peu de développement pour chacun d'eux.

La fin est beaucoup trop convenue pour du Thorgal. Tout est bien qui finit bien, les héros ressortent de l'aventure à peine décoiffés, y'a un secondaire qui est mort mais c'est pas trop grave. On repense à la mort de Tjall et on se dit, mouais...

Fin du deuxième cycle de la jeunesse de Thorgal... on touche le fond… Une suite sans intérêt, quelconque, sans relief qui ne rehausse malheureusement pas le tome 3… ce fut pénible de lire ce quatrième tome tant les retournements de situations sont mal venues et le déroulement de l'histoire stéréotypé.
Des répliques de séries Z par pelletées à tel point que la brouette des mauvaises idées déborde (Jamais ! Plutôt me trancher moi-même les deux poignets qu'accepter cette infamie / Moi, j'ai une idée / Sacrifiées ?... Non ! Non ! Non ! C'est impossible !...).
Mention spéciale à la scène de la page 37 :
[Sigurd] : Runa ! je…
[Runa] : Oui, sigurd ?! Qu'y-a-t-il ?
[3e case] : Ils s'embrassent langoureusement en croisant leurs épées…
[Résultat] : Navrant, pathétique !
Je vais plutôt relire dans la série mère le tome 7 : L'Enfant des Etoiles ou le tome 14 : Aaricia, cela va me faire le plus grand bien...

C'est épique, c'est beau, les personnages sont attachants... De la vaillance, des combats, le Northland... C'est du Thorgal, du vrai!

Une couverture magnifique, mais une conclusion de cycle qui manque sans doute de piquant.

Le scénario n'est pas très limpide à certains moments, mais l'ensemble reste agréable à lire.

album intéressant, il se laisse lire
c'est toujours un plaisir de retrouver le père Thorgal (même plus jeune) embarqué dans des galères dont il a le secret
les dessins sont excellents et notre héros toujours aussi courageux...

Voilà une histoire rondement menée, dense, avec rebondissements et retournements de situation. Les personnages secondaires sont intéressants, l'intrigue aussi. Tout est basé sur l'amour profond et réciproque d'Aaricia et de Thorgal. Avec Gandalf-le-fou comme méchant, les fans de la saga ne seront pas dépaysés.

Reste le dessin académique, précis, efficace. Surzhenko ne se lâche pas assez, n'apporte pas vraiment une patte personnelle. Peut-être n'ose-t-il pas encore ? Mais grâce à l'inspiration féconde de Yann, "La jeunesse de Thorgal" prend la tête des séries parallèles du héros.

Déçue par le scénario, déçue par les dessins ... dommage. La couverture est superbe.

bon scénario et dessins en cohérence avec l'univers graphique de la série mère, mais manque d'intensité pour être un très bon album

Après une première lecture mitigée, la seconde lecture de cet album, quelques années plus tard, m'a plongé dans une certaine perplexité...
Malgré des personnages secondaires correctement conçus, la lecture de cet album m'est presque difficile.

Le vocabulaire décalé a joué, mais surtout je n'ai pas vraiment ressenti d'émotion. On suit ces personnages sans s'inquiéter pour eux, sans les aimer vraiment non plus. Y compris Thorgal, qui manque de charisme ici.
Avec un autre découpage et d'autres dialogues, cette histoire aurait pu trouver des échos plus positifs en moi.

Ah ! Les mondes de Thorgal, une saga à eux tout seul. Du projet à la réalisation, ils s’en sera passé des événements. Cela dit je ne parle pas des histoires en elles-mêmes, car pour elles c’est plutôt l’inverse : il ne se passe pas grand-chose, et cet épisode du jeune Thorgal ne saurait me contredire.

Rappelez-vous : Thorgal accompagné de Nigurd et Sigurd, partent sauver Aaricia, capturée par les terribles Berserkers. Si l’aventure n’est guère intéressante c’est surtout par un manque d’originalité et de grands rebondissements. Je n’ai jamais ressenti le moindre danger pour les uns ou pour les autres.

Sente se contente de mettre ses personnages en action de temps en temps : une tempête, une femme à la mer, ils perdent le cap dans la nuit... à chaque fois Thorgal est là en bon héros qu’il est, pour sauver tout le monde. Du côté d’Aaricia c’est la même chose, on ne la sent pas réellement en danger.

Je trouve aussi la bagarre de fin assez gentillette, les femmes arrivent à trucider des vikings, même sous l’effet d’une drogue ça me parait aberrant. D'autre part, les réactions de Gandalf sont démesurées pour simplement pouvoir coller avec la série mère.

La lecture reste agréable malgré tout, mais je pense qu’il y a plusieurs problèmes qui se révèlent au bout de ces 4 tomes. D’abord : à qui s’adresse cette série ? J’ai l’impression qu’elle n’est ni pour les enfants, ni trop pour les adultes. A ne pas vouloir se mouiller d’un côté ou de l’autre, les auteurs font dans le consensuel.

Finalement, seul le dessin me semble exempt de défaut. Sans faire scrupuleusement du Rosinski, Surzenkho s’est bien inspiré de l’auteur et c’est une réussite.

Déçue par cet épisode de "La jeunesse de Thorgal". Rien de palpitant ou passionnant, rien d'émouvant. Néanmoins j'apprécie toujours beaucoup le trait de Surzhenko et c'est vraiment dommage que le scénario ne soit pas à la hauteur.

Le plus faible tome de la série : des dialogues peu convaincants, beaucoup de clichés, le combat final est mal exploité...

la saga se poursuit avec toujours autant de passion et d'intérêt, et les dessins fidèles aux auteurs originaux - en attente du suivant

Berserkers, rien qu’au titre on sait que cet album est un récit d’aventure : on va s’attaquer aux affreux méchants !
Ce tome est donc un joli conte guerrier ou un barde explore son coté combattant et son amourette de jeune conquérant. Une aventure fait de rebondissements, de réflexions et d’actions et de nouveaux personnages pour nous amener vers une nouvelle aventure de « la Jeunesse » (peut-être la dernière en 2 tomes ?). Mais ce récit est parasité par des jurons intempestifs, des commentaires redondants et inutiles. Il est vrai que j’ai plus apprécié le dernier KDV6 avec un Dorison qui explore plus la psychologie des personnages. Coté dessin, les pages sont denses, mais les dessins de très bonnes qualités avec des détails étonnants, des décors soignés, de belles couleurs et un superbe Moldi : il mérite sa case d’intro ! Je développe un peu plus sur le forum.. . Si ça intéresse !

Après l'enlèvement d'Aaricia par Runa et les berserkers, Thorgal et ses deux rivaux pour la main de la belle princesse vikings se lancent à leur poursuite. Pendant ce temps-là, Gandalf-le-fou tente de faire disparaitre la moindre trace de ce qui s'est passé ce soir là.
J'ai une fidélité et une tendresse infinie pour Thorgal mais j'avoue que "La jeunesse" n'est pas la meilleure des série dérivée. Elle s'adresse probablement a un public plus jeune car le ton y est beaucoup moins sérieux. le couple Thorgal-Aaricia n'est pas au mieux de sa forme, leur grand amour étant traitée de façon assez niaise, ce qui parfois me tape sur les nerfs. Ça manque un peu de finesse dans le propos.
Néanmoins c'est dynamique, il y a de l'aventure et des héros sympathiques. Alors ça se laisse lire facilement même si les amoureux des débuts de Thorgal n'y retrouveront pas leur compte.

Les différents personnages de Runa, l’album précédent de la Jeunesse de Thorgal, se retrouvent embarqués dans des histoires parallèles qui vont se rejoindre par la suite. Gandalf, après avoir supprimé tous ses invités, veut se servir de Hiérulf pour maintenir son autorité. Pour la skjaldmö Runa, l’aventure tourne mal, jusqu’à l’arrivée providentielle de Sigurd-à-la-belle-chevelure. Et bien sûr, de son côté, Thorgal est le sauveur de sa dulcinée. Tout est bien qui finit bien !

Enfin pas pour tout le monde. De nombreuses personnes se font trucider dans ce nouvel album : d’abord tous les invités à la fête, ensuite les compagnons de Runa, puis tous les Berserkers, et enfin de nombreux combattants, qu’ils soient dans le camp de Moldi ou dans celui de Sigurd. Ça fait beaucoup de morts tout ça, en tout cas trop pour moi dans une seule histoire de Thorgal. On ne s’apitoie guère sur les disparus, à peine pour Nigürd, ce qui reflète dans l’ensemble de cet album un manque d’émotion palpable.

Avec Yann, on retrouve un découpage traditionnel des planches. Ça n’en reste pas moins efficace, avec beaucoup de plans moyens ou rapprochés, et pas mal d’action. De son côté, Roman Surzhenko nous détaille les personnages de manière très soignée. Là où il y a trop de détails, c’est dans leurs bavardages, à vouloir réexpliquer ce que l’image nous montre déjà. Et surtout, cette flopée de jurons avec les noms de tous les dieux possibles, ça en devient fatigant. De manière plus générale, on sent que Yann se documente beaucoup, mais les références sont un peu trop appuyées pour un récit imaginaire comme Thorgal.