Abonnement newsletter

X
X

S'enregistrer sur ce site

Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

Top

Yves Sente

Bienvenue

Yves Sente

Ce sujet a 92 réponses, 23 participants et a été mis à jour par Tjahzi tjahzi, il y a 4 ans et 2 mois.

13 sujets de 81 à 93 (sur un total de 93)
  • Auteur
    Messages
  • Répondre | Lien | Citer
    Merci pour vos réponses

    Merci pour vos réponses.

    Répondre | Lien | Citer
    Ptirou

    Laurent Verron réalise en ce moment une fresque sur l’album qu’il prépare avec Yves Sente pour la fin 2017.

     

    Voici un commentaire de Laurent Verron publié sur Inedispirou à propos de cet album de Ptirou.

    « Yves Sente m’a soumis un projet autour de Spirou. D’emblée, je lui ai répondu qu’étant déjà catalogué dessinateur de reprise, cela ne m’intéressait pas; mais il a insisté en me disant qu’il ne s’agissait pas d’une aventure de Spirou, mais de l’histoire du groom ayant inspiré Rob-Vel. Ce dernier a été steward sur les transatlantiques qui reliaient Le Havre à New York, et sur lesquels travaillaient aussi des grooms. Il avait eu l’occasion d’en rencontrer un qui était rouquin et débrouillard. Plus tard, quand il est devenu dessinateur de BD et que Dupuis lui a demandé de créer le personnage de Spirou, Rob-Vel s’est souvenu de ce groom du [sur]nom de Ptirou. Yves a lu cette anecdote dans la monographie des Pissavy-Yvernault : La Véritable Histoire de Spirou (Dupuis, 2013). J’ai donc accepté, parce qu’il ne s’agissait pas en effet d’une histoire avec Spirou, mais d’un one-shot. Dupuis a signé le projet, qui fera partie de la collection « Spirou par… ». Yves Sente a écrit le scénario, fait le découpage, et j’ai attaqué le dessin au printemps 2014. »

    Répondre | Lien | Citer
    Il s'appelait Ptirou

    Yves Sente et Laurent Verron viennent de publier « Il s’appelait Ptirou » qui raconte les aventures du groom qui a inspiré Rob-Vel pour créer son personnage de Spirou. Voici la présentation de l’album par l’éditeur Dupuis.

    C’est une surprenante et dramatique histoire que celle qui fut contée le soir de ce Noël 1959, dans une demeure de la banlieue de Charleroi. Réunis auprès de leur oncle Paul, trois enfants impatients réclament un récit, lequel sera inspiré d’un épisode vieux de presque trente ans…

    La Grande Dépression fait rage à cette époque malmenée : tensions sociales, grèves et conflits sont le lot quotidien des entreprises industrielles. Celle de Henri de Sainteloi, grand patron de la Compagnie Générale Transatlantique, ne fait pas exception à la règle. Poussé par ses actionnaires à renégocier les frais de locations des quais, Monsieur de Sainteloi doit se rendre à New York et en profite pour y emmener sa fille unique, Juliette, ravissante enfant atteinte d’une grave insuffisance cardiaque. À des kilomètres de Paris, sur les rives pluvieuses de la Seine, le cirque Marcolini est en deuil : Madly, sa trapéziste vedette, est victime d’un tragique accident qui force Ptirou, son fils, à quitter les saltimbanques pour tenter sa chance en Amérique, là où dit-on tout est possible à qui poursuit ses rêves. Sur le paquebot en partance pour le Nouveau Continent, voici l’histoire d’une improbable rencontre, d’une aventure bouleversante.

    Laurent Verron, le digne héritier de Roba, Peyo et Franquin, et Yves Sente le scénariste aux mille visages se sont immergés dans l’atmosphère de ces années grises afin d’en restituer brillamment l’essence. Le trait enlevé de Verron magnifie ce panorama plein de caractère d’une époque en proie à la lutte des classes, sur fond d’immigration et de vastes traversées. Cette épopée transatlantique, que colorent les romans de Dickens, fait se côtoyer la grande Histoire avec la petite à travers les destinées de ses deux jeunes héros. « Il s’appelait Ptirou », ou les origines du personnage de Spirou créé par Rob-Vel, réinvente l’aventure romanesque.

    Une présentation inspirée de l’album est accompagnée d’une interview des auteurs ici sur BD Zoom. En voici un extrait :

    Réunis le soir de Noël 1959 dans une belle demeure de la banlieue de Charleroi, trois enfants écoutent le fascinant récit de leur oncle Paul : trente ans plus tôt, à l’époque de la Grande Dépression, sur un paquebot en partance pour New York, l’intransigeant grand patron Monsieur de Sainteloi et sa fille Juliette, atteinte d’une grave insuffisance cardiaque, vont rencontrer un certain Ptirou, un orphelin devenu groom… Livré en 76 planches d’une exceptionnelle densité narrative et psychologique, ce nouvel opus non officiellement inscrit dans la série dérivée « Le Spirou de… » se hisse au sommet, aux côtés du mythique « Journal d’un ingénu » d’Émile Bravo (200.

    Un destin touchant, et une tranche d’histoire pour l’histoire du journal de Spirou : c’est par la réunion de ces deux aspects que sera initiée par Yves Sente le chantier scénaristique de cette nouvelle aventure, opération par ailleurs parallèle à ses reprises précédentes de grands classiques franco-belges, dont « Blake et Mortimer » (2000), « Thorgal » (2007 à 2013) et « XIII » (depuis 2011). Parcourant l’ouvrage « La Véritable histoire de Spirou » (Christelle et Bertrand Pissavy-Yvernault, 2013), l’auteur s’arrête (page 54) sur l’anecdote narrée par Robert Velter : alors steward à bord du paquebot L’Île-de-France, le futur cocréateur du personnage de Spirou témoigne du bouleversant accident dont fut victime un jeune mousse de sonnerie, un groom vêtu de rouge et usuellement chargé d’apporter les courriers ou les cigarettes aux passagers. Né le 21 avril 1938, le futur héros de Rob-Vel ne se déparera plus jamais du costume ni du goût de l’aventure, mais une part de sa mystérieuse naissance laissait grande ouverte les portes de l’imaginaire…

    BD Zoom 
    Outre le touchant duo Juliette-Ptirou, l’autre héros du récit, l’observateur et le relais du lecteur, c’est bien sûr Robert Velter : quelle fut la part de documentaire et d’imaginaire pour récréer la vie de ce futur auteur ?

    Yves Sente 
    Le point de départ est venu de cette anecdote racontée par Rob-Vel lui-même concernant ce mousse de sonnerie qu’il avait connu et qui s’était tué accidentellement en tombant au fond d’une cale. L’anecdote est racontée en 2 ou 3 lignes dans le livre de Christelle et Bertrand Pissavy-Yvernault. Cette anecdote a fait « tilt »… et j’ai décidé d’inventer une vie complète à ce gamin qui n’aura jamais su qu’il a été à l’origine de la création d’une figure emblématique de la BD franco-belge.

    Ex-libris Canal BD

    On peut feuilleter les premières pages de l’album sur le site de l’éditeur :

    http://www.dupuis.com/le-spirou-de/bd/le-spirou-de-il-s-appelait-ptirou/71058

     

    • Ce sujet a été modifié le il y a 6 ans et 4 mois par Tjahzi.
    Répondre | Lien | Citer

    Sente sort aujourd’hui « Cinq branches de coton noir » un one-shot qui se passe pendant le débarquement en 1944. Est-ce que quelqu’un en a entendu parler?

    Répondre | Lien | Citer
    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre
    Cinq branches de coton noir

    J’en ai lu d’excellentes critiques.

    Voici le mot de l’éditeur (Dupuis) :

    Philadelphie, 1776. Mrs Betsy est dépêchée par les indépendantistes américains pour concevoir le tout premier drapeau des futurs États-Unis d’Amérique. Sa domestique, Angela Brown, décide alors de transformer cet étendard en un hommage révolutionnaire, en y adjoignant en secret un symbole inestimable…

    Douvres, 1944. Le soldat Lincoln se morfond dans son camp militaire, entre discriminations raciales et bagarres quotidiennes. Jusqu’à ce qu’il reçoive une lettre de sa soeur, Johanna, annonçant qu’elle a découvert dans les possessions de leur tante décédée les mémoires d’Angela Brown – rien de moins qu’un témoignage d’une rareté et d’une valeur exceptionnelles. Si l’histoire relatée dans ces mémoires est réelle, alors c’est l’histoire des États-Unis qui est à récrire.

    Sauf que l’emblème américain est aux mains des Allemands nazis, qui l’ont dérobé ainsi que d’innombrables trésors, au cours de leurs pillages. S’ensuit donc la mise en place d’une opération de la plus haute importance, à laquelle participe Lincoln…

    Quand Yves Sente rencontre Steve Cuzor, c’est la petite histoire et la grande Histoire qui se percutent dans un album aux allures d’épopée. Par l’ampleur de sa narration et la densité de son graphisme, ici sublimé par le noir et blanc du tirage de luxe, Cinq branches de coton noir est d’ores et déjà une œuvre mémorable.

    Répondre | Lien | Citer

    J’ai lu « Cinq branches de coton noir », une brique de 176 pages ! Il y a de quoi se passionner pour les aventures de ces soldats noirs qui veulent prendre une part plus active dans les combats de l’armée américaine. Leur mission qui parait accessoire, au milieu du tumulte de la guerre, devient un sacré enjeu. Au fil des pages, on traverse de nombreux lieux de batailles, mais on traverse aussi le temps pour retrouver l’origine du drapeau qu’ils ont la mission de ramener à tout prix.

    La BD nous immerge dans l’histoire de l’indépendance des USA, puis au cœur de la seconde guerre mondiale. Mais cette histoire sert de toile de fond à un récit imaginaire qui aborde le racisme dont sont victimes les noirs américains. Côté scénario, cela traîne pas mal en longueur, surtout au début du récit. Mais le dessin très travaillé de Steve Cuzor fourmille de détails, rappelant même des visages d’acteurs célèbres. J’espérais une autre fin à cet album, mais bon, Yves Sente aime les mélodrames…

    Répondre | Lien | Citer
    Le meilleur souvenir d’Yves Sente au festival BD d’Angoulême

    • Ce sujet a été modifié le il y a 6 ans et 1 mois par Tjahzi.
    Répondre | Lien | Citer
    Dédicaces à Bruxelles

    Journée spéciale Yves Sente et ses dessinateurs le 30 novembre au cinéma Palace à Bruxelles

    Samedi 30 novembre 2019, la librairie Brüsel aura le plaisir de recevoir Yves Sente et ses dessinateurs pour une journée spéciale à l’occasion de la sortie des nouveaux albums XIII et Blake & Mortimer !

    Au programme :

    → De 11h à 13h30 : rencontre-signature-dédicace avec Yves Sente et Iouri Jigounov pour XIII tome 26 « 2132 mètres ».

    → À 15h : conférence sur Blake & Mortimer

    → À partir de 16h : signature-dédicace avec Teun Berserik, Peter Van Dongen et Yves Sente pour Blake et Mortimer tome 26 “La vallée des Immortels”  et Hubert Védrine pour « Olrik : la biographie non autorisée ».

    Conditions d’accès à l’événement : https://www.brusel.com/blog/evenements/journee-yves-sente/

    Répondre | Lien | Citer

    Tjahzi a écrit

    Journée spéciale Yves Sente et ses dessinateurs le 30 novembre au cinéma Palace à Bruxelles

    Samedi 30 novembre 2019, la librairie Brüsel aura le plaisir de recevoir Yves Sente et ses dessinateurs pour une journée spéciale à l’occasion de la sortie des nouveaux albums XIII et Blake & Mortimer !

    Au programme :

    → De 11h à 13h30 : rencontre-signature-dédicace avec Yves Sente et Iouri Jigounov pour XIII tome 26 « 2132 mètres ».

    → À 15h : conférence sur Blake & Mortimer

    → À partir de 16h : signature-dédicace avec Teun Berserik, Peter Van Dongen et Yves Sente pour Blake et Mortimer tome 26 “La vallée des Immortels”  et Hubert Védrine pour « Olrik : la biographie non autorisée ».

    Conditions d’accès à l’événement : https://www.brusel.com/blog/evenements/journee-yves-sente/

    XIII et Blake et Mortimer, 2 séries avec lesquelles Yves Sente est vraiment à l’aise et se fait plaisir.

    Répondre | Lien | Citer

    On retrouve Yves Sente dans cette courte vidéo, particulièrement enchanté par le monde de Blake & Mortimer.

    Dans le cadre du Salon du Livre historique de Versailles, Yves Sente, le scénariste de Blake et Mortimer (La Vallée des Immortels), et Hubert et Laurent Védrine, les auteurs d’Olrik, la biographie non autorisée (chez Fayard) ont participé à la conférence « L’Histoire s’invite dans Blake et Mortimer ». Rencontre animée par Etienne de Montety. Extraits de la rencontre et de la séance de dédicaces du nouvel album de Blake et Mortimer par Peter Van Dongen et Yves Sente.

    Répondre | Lien | Citer
    Interview dans l'hebdo belge Télémoustique

    Les poules aux œufs d’or d’Yves Sente…

    Répondre | Lien | Citer
    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre

    Je n’avais pas envisagé les choses sous cet angle, mais il est vrai qu’avec plusieurs équipes travaillant en même temps sur les mêmes personnages, les différents auteurs peuvent ressentir une certaine frustration. Et tout simplement, peut-être, ne pas être satisfaits du travail des autres équipes, qui empruntent des chemins ne correspondant pas forcément à ceux que l’on souhaite.

    Les sorties plus nombreuses font certainement baisser les ventes, ça paraît logique, la demande se dilue dans l’offre.

    Répondre | Lien | Citer
    Entretien sur Actua BD

    Sur Actua BD, entretien approfondi avec Yves Sente suite à la sortie du second tome de « La Vallée des Immortels ».

    Yves Sente : « Je m’étais fixé le défi de rassembler les thématiques chères à Jacobs en une seule histoire. »

    « Le scénariste de Blake et Mortimer le plus prolifique depuis la reprise de leurs aventures nous explique comment il a relevé le challenge du diptyque de « La Vallée des immortels », et comment il conçoit globalement son approche pour cette série mythique.

    Le second album de La Vallée des immortels recèle quelques surprises, dont une part de fantastique. Avez-vous voulu, à l’image du Mystère de la Grande Pyramide, mêler archéologie et mythologie de la civilisation rencontrée ?

    Je m’étais fixé le défi de rassembler un maximum de thématiques chères à Jacobs en une seule histoire. Les albums de Blake et Mortimer font soit la part belle à l’aventure avec les confrontations militaires et géopolitiques, sont soit une enquête archéologique, ou portées sur la science-fiction (L’Énigme de l’Atlantide). Dans ce cas-ci, j’avais l’opportunité de rassembler l’enquête archéologique, la situation géopolitique tendue ainsi qu’une touche de fantastique avec cette fameuse Vallée des immortels. Concernant ce dernier élément, un peu moins réel, c’est au lecteur de décider ce qu’il désire croire ou non, comme cela a effectivement été le cas dans la conclusion du Mystère de la Grande Pyramide.

    Avez-vous écrit cette conclusion en vous inspirant de la bague du Mystère de la Grande Pyramide, car le lien entre les deux éléments paraît évident ?

    Cette similitude ne m’a pas poussé à écrire le scénario dans cette direction, mais lorsque c’était sur papier, j’ai réfléchi, comme toujours, afin de m’assurer que cet élément soit bien « jacobsien ». J’ai effectivement repensé à cette bague, qui m’a peut-être inconsciemment influencé, mais en faisant ce lien a posteriori, je me suis rendu compte que si Jacobs l’avait réalisé ainsi en son temps, je pouvais également utiliser mon ressort scénaristique, car il correspondait à l’univers de Blake et Mortimer. »

    Pour la suite de l’entretien, c’est ici sur Actua BD.

13 sujets de 81 à 93 (sur un total de 93)


Vous pouvez utiliser BBCodes pour formater votre contenu.
Votre compte ne peut pas utiliser les BBCodes avancée.



Question de sécurité
Qui suis-je ?
 Thorgal -  Aaricia -  Jolan 

Plan du site
Mentions légales
© Éditions Le Lombard 2024