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Thorgal – 7 – L’enfant des étoiles

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Thorgal – 7 – L’enfant des étoiles

Ce sujet a 17 réponses, 8 participants et a été mis à jour par Thorgal-BD Thorgal-BD, il y a 1 an et 6 mois.

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  • #31520 Répondre | Citer

    Au moment où Louve va découvrir le monde enchanté de Tjahzi et ses amis dans « La reine des Alfes noirs », cela me fait penser à la découverte du deuxième monde par Thorgal dans « L’enfant des étoiles ». Jolan y a également précédé sa sœur dans « La gardienne des clés ». Ça devient une tradition familiale, un rite d’initiation qui marque la fin de l’enfance dans la famille Thorgalson.

    Thorgal

    L’enfant des étoiles

      Album n°7  
    Septembre 1984

    L’enfant des étoiles, c’est un album exceptionnel à plus d’un titre. Tout d’abord parce qu’on a droit à 3 histoires pour le prix d’une ! Ensuite parce que ces 3 histoires explorent les univers dans lesquels Thorgal évolue : les Vikings, la mythologie et la science-fiction. Chaque histoire nous fait vivre un moment clé de l’enfance de Thorgal tout en l’éloignant un peu plus de ses origines. Car à chaque étape, on assiste à la disparition d’un objet lié à ses parents : le radeau dans lequel il a été déposé bébé (même si les aventures de Louve viennent remettre ceci en question), le boulon fait du métal qui n’existait pas et le talisman qui raconte ses origines atlantes. Ses origines lui sont dévoilées, mais presqu’aussitôt enlevées pour que Thorgal puisse vivre une existence ordinaire parmi les Vikings. Enfin, ça c’est ce qui était prévu, mais on connait la suite !

    La couverture de l’album est magnifique, riche des origines de Thorgal. Sur les murs de ma maison se trouve depuis très longtemps le poster encadré de L’enfant des étoiles. A présent, il décore la chambre de ma fille qui est touchée comme moi par le virus thorgalien.

17 réponses de 1 à 17 (sur un total de 17)
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    Vente planche 2 Le métal qui n’existait pas

    Si j’ai voulu mettre à l’honneur cet album, c’est d’abord parce que « La reine des Alfes noirs » va bientôt nous replonger dans le monde des nains avec Louve, et que Stéph vient d’ajouter de nouveaux personnages issus de l’histoire « Le métal qui n’existait pas » dans l’Encyclopédie des personnages.

    Mais aussi parce qu’a lieu en ce moment la vente d’une planche originale de cette histoire par Banque Dessinée. Moi qui adore découvrir la féérie du monde des nains dans les aventures de Thorgal, je suis comblé. Voici la fiche de présentation avec la description de la planche :

    Thorgal, planche n°2 à l’encre de Chine et à la gouache blanche du récit court « Le Métal qui n’existait pas » de l’épisode « L’Enfant des étoiles ». Cette planche a été prépubliée dans le Super Tintin n°22 en septembre 1983 et en album aux Editions du Lombard en septembre 1984. Superbe composition où l’auteur à conçu un découpage original avec une grande case centrale fouillée tant au niveau des personnages que des décors. Cette planche fait partie d’un récit qui retrace l’enfance du héros et son arrivée chez les vikings. À la suite d’une partie de dames dont l’enjeu était leurs noms respectifs, le père des nains, Ivaldir, doit céder son nom au serpent Nidhogg. Celui-ci accepte toutefois de renoncer à son gain en échange d’un « bijou fait dans le métal qui n’existe pas ». Un des nains est envoyé à la recherche de ce métal. Sans aucun doute une très grande leçon de mise en scène par le duo Rosinski-Van Hamme, soutenu par le trait vigoureux et efficace du maître réaliste. Cette planche de tout premier choix est issue de la meilleure période graphique de cette série et n’est pas sans rappeler son futur chef d’œuvre à savoir « Le Grand pouvoir du Chninkel ». Une pièce incontournable pour collection de haut niveau. Signée, dédicacée et datée 1985. Dimensions : 36 x 47.


    Edit : la planche a été adjugée ce 5 juin pour 9000 €.

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    Avis sur Sens Critique

    Je viens de lire sur le site Sens Critique un commentaire bien inspiré de « L’enfant des étoiles ». L’auteur de la critique, Bastard-Eyperien, y met en évidence les 3 « naissances » de Thorgal dans ces 3 mini-récits :

    Album mineur ? Peut-être. Album original ? Sans aucun doute.

    « L’Enfant des étoiles » est le premier « album-portrait » de la saga, et fournit, après le cycle de Brek Zarith, une pause bienvenue autour des origines de Thorgal évoquées dans le tome 2, par le biais de 3 mini-récits, structurés autour de 3 « naissances » du personnage, qui permettent de lui donner plus d’épaisseur.

    Le premier, « Le Drakkar Perdu » raconte les circonstances de la naissance symbolique de Thorgal, lorsque les Vikings le trouvent. On y trouve notamment un portrait réussi de Leif Haraldson, père adoptif de Thorgal, qui apparaît, par ses valeurs, comme un Thorgal avant l’heure.

    Si ce premier récit était plus réaliste, le second, « Le métal qui n’existe pas », est clairement tourné vers l’heroic fantasy et raconte la première aventure de Thorgal, concomitante de la naissance d’Aaricia. C’est un peu la naissance du personnage en tant que héros que cette histoire nous raconte.

    « Le talisman » reprend quant à lui la fibre SF de la série, maquillée de premier abord comme de l’heroic fantasy, comme souvent dans la saga (à mon humble avis un de ses traits les plus originaux). On y apprend les circonstances immédiatement antérieures à la naissance de Thorgal, ainsi que des éléments sur sa famille d’origine. On y voit apparaître pour la première fois le thème de la mémoire et de l’oubli, abondamment exploitée plus tard dans la série.

    Si les histoires, prises individuellement, ne sont pas renversantes en tant que telles, la construction de l’album, qui place Thorgal au centre de trois univers différents — récit d’aventures « réaliste », récit d’heroic fantasy, science fiction — est particulièrement cohérente et réussie à mes yeux, et, en fin de compte, donne une grande originalité à l’ensemble.

    Bref, un album en apparence mineur, mais qui gagne largement à être relu.

    B-E

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    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre

    Ah, quel album formidable ! Une sorte de quintessence du mythe thorgalien, avec trois histoires aussi courtes qu’intenses. Il y a tout dans « L’enfant des étoiles », avec un sens du mot, du geste, de la mise en scène. Les deux auteurs étaient aux taquets, l’osmose.

    A l’heure des cycles interminables, il est bon de se rappeler qu’une histoire en 10 planches peut être bien meilleure. Le rythme et l’émotion. La bonne idée. Le talent.

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    Le dessinateur Laurent Lefeuvre

    Tjazhi : Une proposition spontanée

    En lisant de ci de là des articles sur l’album « L’enfant des étoiles », je suis tombé sur le blog du dessinateur Laurent Lefeuvre. En 2010, suite à la publication de son premier album aux éditions du Lombard, Laurent a tenté un truc un peu fou : il a proposé de dessiner un album consacré au nain Tjahzi. Laurent avait adoré « L’enfant des étoiles », en particulier l’histoire « Le métal qui n’existait pas » où Tjahzi apparait pour la première fois. L’idée de nouvelles séries parallèles et de one-shots consacrés à des personnages de Thorgal était dans l’air du temps à ce moment-là.

    Au lieu de proposer l’habituel carnet de croquis, Laurent explique le choix qu’il a fait : s’approcher des codes de la féerie, tels qu’on les trouve dans les contes traditionnels ou chez Lewis Caroll. Le résultat, c’est une mini-histoire en 4 pages, pensée comme un préambule à l’aventure proprement dite. Seules les planches 1 et 4 sont encrées, les 2 et 3 sont des roughs avancés. Le détachement par rapport à l’œuvre originale se situe plus sur des influences de mise en scène venues d’auteurs américains, comme le titre incrusté dans le dessin à la Eisner, que par la patte graphique elle-même.

    Laurent a envoyé sa proposition au Lombard, mais comme vous le savez, c’est une autre direction qui a été prise avec les Mondes de Thorgal. Et de son côté, Laurent a lui aussi pris une direction différente, celle du monde des Comics. Vous trouverez les détails de son initiative ici sur son blog.

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    Salut Tjahzi!
    Merci pour cette perle!
    Les dessins de la première planche sont stupéfiants, dignes de Rosinski. En plus les dialogues sont très sympas, imprégnés d’une certaine poésie, profondeur, d’une certaine philosophie même, que je ne retrouve malheureusement plus dans les albums récents…

    (J’émettrai juste quelques réserves sur certaines cases où les visages semblent déformés, et sur le fait de revenir sur une scène antérieure (Thorgal enfant qui rêve au bord de la mer) et de vouloir l’expliquer. Certaines scènes devraient rester mystérieuses selon moi…

    Cet auteur est à mon avis très brillant et devrait poursuivre malgré ce qu’on a bien pu lui dire…
    Félicitations pour avoir trouvé ça Tjahzi, et merci! Tu m’as ramené 20 ans en arrière!

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    J’ai aussi trouvé ce projet très touchant Les planches 2 & 3 ne sont que des esquisses, d’où les visages qui sont imparfaits. 6 mois après avoir envoyé ses planches, l’auteur n’avait toujours reçu aucune nouvelle… et n’en a sans doute jamais reçu.

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    Ce qui m’épate, c’est que c’est probablement un style de dessin incroyablement plus proche de Rosinski que tout ce qui s’est fait jusqu’ici .

    Et il n’a pas été retenu, ni contacté ??? Je comprends pas .

    Pour le scénario, j’ai exactement la même sensation que sylveyrier. D’un côté j’aime le côté poétique, d’un autre, je suis pas fan de cette reprise d’une scène pour l’expliquer…

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    Au contraire, moi j’adore. De plus, c’est très bien expliqué. Cela aurait sans doute pu faire un très bon one-shot… Dommage. De plus, je trouve une meilleure reprise (pour l’instant) de Tjahzi de ce qu’il en a était fait avec Yann.

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    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre

    Hé ! Une perle, c’est vrai !
    Quel beau travail, et quelle preuve encore une fois que la série Thorgal en a inspiré du monde. On ne peut qu’imaginer le temps passé pour réaliser cette petite merveille.
    L’histoire est impeccable, juste décalée et amusante comme il faut, avec des petites allusions disséminées.
    Comme Tyseria, je trouve que reparler du passé n’est pas choquant, d’autant que le propos ne réinvente pas l’histoire, il lui apporte une touche féérique inattendue.

    Quant au dessin, ben c’est du sacré boulot. Il y a le dessin et l’encrage, bien sûr, mais aussi la mise en scène, les cadrages et le découpage, très thorgaliens, très rosinskiens. On ne retrouve pas vraiment cela dans les albums des Mondes, ni chez De Vita, ni chez Surzhenko. J’irais presque jusqu’à dire qu’on ne retrouve plus cela non plus chez Rosinski.
    Validé.

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    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre

    Petite info, l’une des planches de « L’enfant des étoiles » est présentée à Gand au sein d’une exposition sur le thème de l’adoption.

    Cet enfant porté au ciel après avoir été rejeté par la mer, c’est vraiment une belle image. Belle idée, magnifiquement illustrée. C’est quand même chouette, Thorgal.

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    Merci !

    Hello !
    Tombé par hasard sur vos échanges, je dois avouer que j’en suis très touché !
    En effet, j’aurais aimé me lancer dans un one-shot sur ce personnage de Tjazhi.

    Après, en effet, je n’ai pas eu de nouvelles, et ça me semble normal, car mon dessin présente encore pas mal de faiblesses, à tous niveaux.
    Reste l’enthousiasme, et la sincérité de ma démarche.

    J’ai écrit les solides bases (pas plus) d’une histoire avec Tjazhi, assez chouette (dans mon souvenir, en tout cas) rangée… quelque part !

    Je suis sur d’autres chemins actuellement, mais la vie est longue. Peut-être plus tard…

    Merci à vous tous pour vos commentaires, continuez de lire avec amour et sens critique : c’est aux gens comme vous à qui je pense quand je fais un livre.

    Laurent

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    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre

    Hé, c’est sympa Laurent d’être passé par ici !

    Ton projet était très intéressant, c’est bien de l’avoir partagé, ça lui donne une vie qu’il n’aurait pas au fond d’un carton. Il est vrai que ça a bouillonné autour de Thorgal et des Mondes de Thorgal ces dernières années, tu as eu raison de tenter ta chance.
    J’adore l’encrage sur ces planches. Et ce pont, notamment…

    Je viens de passer un bon moment sur ton blog, ou plutôt sur tes blogs, puisqu’il y en a un nouveau : http://laurentlefeuvre.blogspot.fr/

    Beaucoup d’articles très intéressants, notamment parfois pour l’ambiance contes de la crypte que j’aime tant. Et cette couverture de Thierry le chevalier, version commande et version passion.

    Bon, me suis permis de piquer cette très belle illustration, avec notre nain juché sur Falkor.

    Répondre | Lien | Citer

    Merci pour ton passage ici Laurent ! Je te souhaite une longue vie bédéiste, et pourquoi pas un parcours qui te ramènerait un jour sur les traces de Thorgal. 

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    L’Enfant des Etoiles

    Après le cycle de Brek Zarith, il semble que les auteurs ont voulu s’intéresser de plus près à la jeunesse de Thorgal, et c’est tant mieux, car depuis l’Ile des mers gelées, on était resté sur sa faim après la révélation sur son origine céleste. Plutôt que d’inclure dans chaque album des évocations ponctuelles du parcours initiatique du jeune Thorgal, nous avons droit à 3 belles histoires courtes qui s’étalent de son arrivée sur terre à son enfance autour de 10 ans environ. Contrairement aux histoires précédentes, ces trois-ci n’ont pas été publiées dans les pages de l’hebdomadaire Tintin, mais bien dans 3 recueils supplémentaires, nommés « Super Tintin », entre 1981 et 1983. Personnellement j’apprécie beaucoup ce principe d’histoire courte mais très dense, qui se déroule dans une seule unité de temps et d’espace. Cela rappelle le même principe que le magnifique « Presque le paradis… ». Ce qui est particulièrement intéressant ici est que les 3 histoires évoquent chacune un univers très différent: réaliste, fantastique ou science-fiction.

    « Le Drakkoir Noir » est la première histoire courte (de 10 pages), dessinée en 1981 entre les albums de La Galère Noire et d’Au-delà des ombres, et expose de manière très réaliste une expédition périlleuse et dramatique d’un équipage viking qui s’achève par une dernière planche anachronique dans laquelle on découvre de la capsule de survie du vaisseau spatial. Etonnant téléscopage de réalisme épique et de science-fiction.

    Vient ensuite « Le métal qui n’existait pas », dessiné en 1983 entre les albums de La chute de Brek Zarith et d’Alinoë. C’est la plus longue, de 20 planches. Celle-ci nous plonge dans l’univers fantasmagorique des nains, géants, chats ailés et autre serpent polymorphe et jeteur de mauvais sorts.

    Elle fait penser à la série des Chninkel que Rosinski dessinera à partir de 1986. Le moment où l’enfant Thorgal est transformé en adulte par le nain Tjahzi pour combattre le serpent Nidhogg est particulièrement génial. On pourrait croire à un simple rêve de Thorgal, … mais non car à la fin il ne porte plus son bijou fait dans le métal qui n’existe pas !

    Et enfin,  » Le Talisman », indispensable et déroutant, qui nous plonge en plein duel spatial du XXIIe siècle de 2 chevaliers scaphandriers sur leur destrier atomique. Elle a été dessinée avant Le métal qui n’existait pas, en 1982, en parallèle de la diffusion de « Au-delà des ombres ». D’aucun seront surpris et n’apprécieront pas ce mélange des genres, mais personnellement je suis fan de SF et d’ Héroïc Fantasy, donc je suis comblé.

    Et c’est ici cette autre facette de Rosinski qui est mise en évidence. D’ailleurs, en parallèle de Thorgal, il a pu  aussi nous combler des ses merveilleux dessins dans la série d’anticipation « HANS », scénarisée par A-P Duchâteau, dès 1980.

    Image associée

    Au final, L’enfant des étoiles est un album à part, très attachant et émouvant. Indéniablement il aura aussi inspiré Yann, le futur scénariste de la série parallèle « La Jeunesse de Thorgal », qui y puisera les idées de base pour développer de nouvelles aventures plus ou moins pertinentes.

    Et pour conclure, voici ma planche favorite de cet album atypique, formidable recueil de 3 pépites:

    • Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 1 mois par Ray K..
    Répondre | Lien | Citer

    L’enfant des étoiles est un de mes albums favoris !    On y trouve en condensé tout ce qui plaît dans Thorgal. Dommage que la série parallèle consacrée à la jeunesse de Thorgal n’est pas restée dans cette veine…

     

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    Different cover for Portuguese comic (possibly just combining several pictures):
    I wonder why they choose to give Xargos  red hair instead of white on the frontpage?

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    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre

    Album datant de juin 1984, avec effectivement une couverture assez surprenante !
    Il y a du pep’s, ça bouge, Xargos a l’air d’être l’ennemi à affronter.

    Ce n’est pas un album de Thorgal en fait, c’est un recueil un peu comme l’était le journal de Tintin.

    Tu as raison, l’image est curieuse. J’avais vu qu’elle a été complétée par rapport à l’image originelle, avec des cheveux et de la barbe. Par contre, en faisant le petit montage ci-dessous pour vous, je me suis rendu compte qu’en fait le dessin est totalement retouché. On a repassé sur tous les traits, afin de mieux lier les ajouts au dessin originel. Idem pour Thorgal. Est-ce Rosinski qui a fait cela ? Pas sûr.

    Il est possible que le dessin originel ait été décalqué et complété sur une même feuille. C’est amusant.

17 réponses de 1 à 17 (sur un total de 17)


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