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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Eclairages – L'image du mois

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Eclairages – L'image du mois

Ce sujet a 14 réponses, 8 participants et a été mis à jour par Thorgal-BD Thorgal-BD, il y a 5 ans et 9 mois.

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    Sujet
  • #189449 Répondre | Citer
    Thorgal-BDThorgal-BDWebmestre

    Je vous propose aujourd’hui, ici, un nouveau concept, que j’ai nommé Image du mois.

    Les scénarios sont abondamment commentés sur le site, mais pas toujours les dessins. Sauf souvent par un ponctuel petit mot du genre « Trop bien les dessins ! Sauf Machin à la page X qu’a une drôle de tête ! ».

    L’image du mois a pour ambition de vous présenter, une ou deux fois par mois, une image sélectionnée dans un album de Thorgal ou des Mondes de Thorgal. Ma méthode sera celle-ci :
    – J’attrape un album (facile, ils sont juste à côté de mon clavier).
    – Je feuillette en dégustant, avec le p’tit doigt en l’air. Si possible en mangeant un bonbon.
    – Je choisis une image qui va bien.
    – J’invente une raison intelligente expliquant pourquoi je l’ai choisie.

    Je profiterai de l’exercice pour déposer l’image du mois dans le sujet de l’album sélectionné, en plus d’ici. N’hésitez pas à donner votre avis, peut-être plutôt dans les sujets dédiés, d’ailleurs, histoire de les faire vivre un peu. Et une fois par an, j’alimenterai une page spéciale du site, en y compilant ces images. Si j’y pense.

    Ouh le taf de malade ! Je ne sais pas si j’y arriverai.

14 réponses de 1 à 14 (sur un total de 14)
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    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre
    La couronne d'Ogotaï

    On commence donc avec cette superbe plongée au pays Qâ, venue de « La couronne d’Ogotaï ».

    Quand ?
    En novembre 1995.

    Qui ?
    Scénario de Jean Van Hamme, dessins de Grzegorz Rosinski, couleurs de Graza.

    Où ?
    « La couronne d’Ogotaï »

    Comment ?
    Transportés par l’étrange technologie du voyageur, Jolan et Jaax se retrouvent au Pays Qâ, en quête d’un objet qui est en train de changer le cours de l’histoire.

    Pourquoi ?
    L’effet de profondeur est saisissant, presque vertigineux, grâce à la maîtrise des ombres et lumières qui structurent les pentes, grâce à l’échelle des différents éléments, notamment les oiseaux qui participent au découpage des plans et des ombres, grâce aussi au visage de Jolan incrusté sur le côté, qui renforce la sensation de vertige, par son regard, sa posture et l’expression de son visage.
    Si on se penche sur l’image, on a presque peur d’y tomber. Faut bien se tenir au bouquin.

    Répondre | Lien | Citer

    Waouh ! C’est Mickey Parade qui t’a donné cette idée-là ?    Idée ambitieuse que j’apprécie beaucoup, moi qui suis très sensible à la qualité des dessins des BD que je lis. Comme je vois, l’envie de mettre en évidence le travail des dessinateurs dans l’Althing revient par une autre entrée ! 

    Vu le formatage des dessins dans les albums plus récents, il sera plus facile de trouver des dessins originaux dans les débuts de Thorgal. Je suis impatient de découvrir la suite des images du mois. 

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    J’apprécie beaucoup le concept aussi !!

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    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre
    La sentence des Walkyries

    Tjahzi a écrit
    Vu le formatage des dessins dans les albums plus récents, il sera plus facile de trouver des dessins originaux dans les débuts de Thorgal.

    Pas d’accord ! Défi relevé !

    Quand ?
    En mars 2012.

    Qui ?
    Scénario de Yves Sente, dessins de Giulio de Vita, couleurs de Graza.

    Où ?
    « La sentence des Walkyries »

    Comment ?
    Retrouvant par hasard le village de son enfance, Kriss assassine au cours d’une nuit d’orage ceux qui l’ont tant fait souffrir.

    Pourquoi ?
    J’avais choisi une autre image, puis une autre… Et je suis revenu à celle-ci. Peut-être, notamment, parce que je ne l’avais jamais vraiment lue. N’étant pas très à l’aise avec les images violentes, dans le contexte de cette série dans laquelle je ne les souhaite pas particulièrement, j’ai tendance à les zapper rapidement.

    J’avais quand même observé certains éléments. Le montage, fabuleux, lie entre elles ces différentes scènes en les fusionnant avec une fluidité quasi-parfaite. L’encrage épais, sirupeux, est tailladé par les lignes de pluie, griffées par la plume du dessinateur. L’humidité vient du sang et du ciel. Elle est à la fois lourde et cinglante.

    La couleur participe au carnage, puisqu’elle glisse peu à peu du bleu nuit au rouge flamme. Kriss est porteuse du feu. Elle perce la nuit et les corps en haut de la scène, elle crée la flamme en son centre, elle est baignée des lueurs de l’incendie tout en bas. Une vraie descente aux enfers, ponctuée de meurtres sauvages.

    Bon du coup, il a bien fallu que je la lise correctement, cette fois-ci, cette image. La variété des cadrages et des angles de vue, mais aussi l’instantanéité et l’enchaînement des assassinats, créent une scène d’un dynamisme effarant. C’est frénétique. Hideux et magnifique.

    Quel a pu être l’état d’esprit du dessinateur, lorsqu’il a imaginé, esquissé, puis créé, cette scène insoutenable ? Il y a beaucoup d’émotion dans ce dessin, qui a dû hanter son créateur.

    On termine la page avec le meurtre d’un couple sous les yeux de leur enfant. Il y a un message là-dedans, mais bon, ça suffit, je vais aller lire un album des Schtroumpfs, ça va me détendre.

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    Thorgal-BD a écrit  Il y a un message là-dedans, mais bon, ça suffit, je vais aller lire un album des Schtroumpfs, ça va me détendre.

    Ne lis pas l’épisode des Schtroumpfs noirs, alors! C’est flippant quand ils sont presque tous passés du côté obscur et qu’on se demande si ce n’est pas la fin… Gnap!

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    Le concept me plaît beaucoup ! Bravo à Thorgal-BD ! Tu arrives à surprendre les fans avertis que nous sommes dans le choix de tes images !

    Sinon, c’est vrai que cette image est horrible, l’album est l’un des plus durs de la série. Et moi non plus, je n’avais jamais osé vraiment m’arrêter à cette page, l’examiner, la détailler…

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    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre
    La chute de Brek Zarith

    Merci Kartlis.

    Pennybridge a écrit
    Ne lis pas l’épisode des Schtroumpfs noirs, alors! C’est flippant quand ils sont presque tous passés du côté obscur et qu’on se demande si ce n’est pas la fin… Gnap!

    Il faut reconnaître que cet album a engendré l’une de mes premières flippes littéraires quand j’étais gamin ! Dans le top 3, il doit y avoir Jorund dans la salle du trésor, les gnap gnap des Schtroumpfs noirs, et bien sûr les Sylvidres d’Albator.

    On continue avec un « vieil » album, que je vous invite d’ailleurs à relire en passant un peu de temps à détailler les dessins et la mise en page, assez fabuleux.

    Quand ?
    En juin 1984.

    Qui ?
    Scénario de Jean Van Hamme, dessins et couleurs de Grzegorz Rosinski.

    Où ?
    « La chute de Brek Zarith »

    Comment ?
    Shardar et Aaricia fuient les souterrains de Brek Zarith, pendant l’attaque du palais par les guerriers vikings. Thorgal les a pris en chasse, mais il doit affronter les pièges imaginés par le maître des lieux.

    Pourquoi ?
    Cet album est pour moi l’un des plus aboutis de la série, et aussi malheureusement l’un des plus méconnus. C’est l’album fondateur pour le personnage d’Aaricia. C’est sûrement aussi l’une des histoires les plus dures, avec une succession de scènes douloureuses, flippantes, voire dérangeantes. Sans temps morts. C’est un album qu’on vit en apnée.
    Les amis, il mérite d’être relu !

    Pas si simple de choisir une scène, d’autant que les premières planches de l’album proposent quelques mises en page très originales, cinématographiques, souvent déployées sur l’ensemble de la planche.

    J’ai choisi l’une des images du labyrinthe. Sur plusieurs pages successives, nous suivons Thorgal ou Aaricia dans leur traversée délicate des souterrains. Le dessin de Rosinski, fin et griffé, s’adapte parfaitement à cet environnement. L’auteur place sa source de lumière (généralement un flambeau) puis travaille tout l’environnement pour répondre à cette lumière, unique et changeante.
    Dans l’image que je vous propose, tout répond au flambeau. Les marches d’escaliers sont presque effacées par la lumière à gauche, uniquement esquissées par une ligne qui les découpe. Mais plus on s’éloigne, vers le haut ou le bas, plus les marches et contremarches se démarquent, avec un trait qui s’épaissit et grignote la lumière.

    L’effet est également plaqué sur les parois de la grotte, sur les visages des personnages, sur les superbes drapés des vêtements.

    La mise en couleurs renforce le phénomène, en ajoutant une profondeur qui aurait pu être simulée à la plume, mais au prix d’une multitude de traits que la couleur ne rend plus nécessaires. Belle complémentarité, avec une palette de couleurs très réduite comme c’était la norme dans les premiers albums de Thorgal.

    On peut aussi remarquer la fumée du flambeau, pas très réaliste mais qui permet de suivre le cheminement et de viser l’objectif.

    Y a même un bonus ! L’image en noir et blanc, et le bleu de coloriage. On ne se refuse rien sur le splendide site Thorgal.com, qui commence tout doucement à devenir l’une des merveilles de l’humanité.

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    Génial.

    C’est un exercice que j’adore. Merci pour l’idée.

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    Super idée ! Les belles images de Rosinski sont tellement nombreuses.

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    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre
    Le royaume sous le sable

    Quand ?
    En novembre 2001.

    Qui ?
    Scénario de Jean Van Hamme, dessins de Grzegorz Rosinski, couleurs de Graza.

    Où ?
    « Le royaume sous le sable »

    Comment ?
    Thorgal tente d’échapper aux hommes qui ont drogué sa famille. Il fuit sa cellule et débouche dans les ruines d’une immense cité millénaire, enfouie sous la terre.

    Pourquoi ?
    D’abord pour des raisons personnelles. Au moment de la parution de l’album « Le royaume sous le sable », j’avais été assez déçu par la couverture au premier abord. Elle était très sombre, avec le titre Thorgal perdu dans le décor, surmonté d’une zone blanche. Avec une bonne lumière la couverture n’était pas désagréable, mais en magasin, avec les reflets qui se déposaient sur la surface glacée, on ne voyait plus rien, à part un p’tit Thorgal tout en bas.
    En fait, je l’ai largement zappée, cette image, alors qu’habituellement je passe du temps sur les couvertures de Rosinski.

    Deuxième raison, cet album est souvent cité négativement, par d’assez nombreux lecteurs. Alors que pour ma part, je l’apprécie bien. Je milite d’ailleurs souvent pour une relecture apaisée de cette aventure atlante. Ce n’est certainement pas le meilleur album de Thorgal, mais il est quand même plutôt sympa.

    Troisième raison, pour les rééditions de l’album, la lumière et les couleurs ont été largement améliorés. La scène est plus lisible et livre mieux ses secrets, ses contrastes et son projet.
    Enfin, la révélation. Quand on retire les titres et logos, quand la toile de Rosinski se libère des contraintes de la publication, elle retrouve tout son sens. Elle peut enfin être lue en entier. Et là, c’est du lourd. Remontez un instant le fil de cet article pour prendre le temps d’observer l’œuvre.
    En fait, je regrette mon jugement de l’époque. Parce que c’est une toile qui, pour moi, est encore une fois particulièrement réussie. La trouée dans le plafond, qui enveloppe Thorgal de lumière et le place sous le projecteur, diffuse sa lueur sur l’ensemble de la scène. Avec comme toujours cette sidérante maîtrise qui permet à l’auteur de savoir où placer chaque couleur, chaque touche du pinceau, pour donner vie et réalisme à une scène imaginaire.
    Ce qui fait également de cette scène une belle réussite, c’est aussi qu’elle nous raconte une histoire. L’histoire d’un homme qui fuit d’autres hommes, en un lieu monumental, écrasant, dans lequel il semble plus en danger que jamais.

    Il n’y aura pas de bonus à chaque Image du mois, mais celle-ci y a droit. Voici tout d’abord deux couvertures de l’édition française de l’album. L’édition originale, et la toute dernière version, plus lumineuse, plus lisible.

    Voici également, juste pour le plaisir et pour faire ça plutôt que d’aller bosser, les couvertures des versions espagnole, anglo-saxonne, polonaise et allemande. Vous verrez que le cadrage varie un peu, mais que ce sont surtout les couleurs et le contraste qui donnent à ces couvertures des ambiances légèrement différentes. La version allemande n’hésite pas à tartiner le plafond de lumière !

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    J’adore ce sujet. Très belle analyse.

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    Nidhogg

    Quand ?
    En avril 2017.

    Qui ?
    Scénario de Yann, dessins et couleurs de Roman Surzhenko.

    Où ?
    « Nidhogg »

    Comment ?
    Alors que Louve se trouve dans l’Entre-deux-mondes, à la recherche d’un serpent de légende, deux compagnons de la petite fille chuchotent dans la nuit. Perchés dans un arbre, Vigrid-araignée raconte à Yasmina-guenon l’histoire des Alfes de lumière, et de la chute de leur peuple.

    Pourquoi ?
    Un album récent, c’est une première dans cette rubrique « Image du mois ». C’est aussi l’occasion de présenter des images que tout le monde n’a pas vues, puisque les Mondes de Thorgal ne sont pas lus par tous les lecteurs de Thorgal.

    Le temps de deux ou trois planches, nous quittons la série Louve pour dévoiler un lointain mythe oublié. Le dessin en profite pour s’échapper lui aussi. Roman Surzhenko se lâche, avec une succession d’images magnifiques et complexes.

    Cernées du cadre flou des souvenirs, ces scènes successives explorent les chemins de la fantasy. Châteaux de rêve, personnages flamboyants ou terribles, guerres épiques et combats perdus, tout y passe. La beauté et l’élégance côtoient la barbarie et la mort. Louve et Aaricia sont bien loin de tout cela, mais visuellement il y a de quoi s’attarder, et y revenir.

    Cette scène vous avait peut-être échappé. La voici donc en entier.



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    Le sacrifice

    Quand ?
    En novembre 2006.

    Qui ?
    Scénario de Jean Van Hamme, dessins et couleurs de Grzegorz Rosinski.

    Où ?
    « Le sacrifice »

    Comment ?
    Thorgal et Jolan viennent d’être emportés par le bifrost, l’arc-en-ciel des dieux, vers une destination inconnue, afin d’affronter la colère d’Odin. Aaricia et les enfants sont recueillis par Vigrid, qui les emporte à bord d’une barque sans voile et sans rame vers le pays de leur enfance.

    Pourquoi ?
    Ce mois-ci, ce n’est pas une image que j’ai choisie, mais une galerie d’images. Cette petite sélection rend hommage au tout premier album de Thorgal réalisé en couleurs directes par Grzegorz Rosinski.

    Cet album, « Le sacrifice », fut particulier pour bien des raisons. Il est le dernier à avoir été écrit par Jean Van Hamme qui annonça son départ à ce moment-là, et ne revint jamais plus. Il est aussi l’album du renouveau pour Rosinski, celui qui lui a donné envie de continuer l’aventure, malgré une certaine lassitude qu’il avait évoquée.

    Dans « Le sacrifice », les techniques de dessin se multiplient, se superposent, se complètent. La première image, ci-dessus, me paraît proposer l’essentiel de ce qui peut être observé dans l’album. L’aquarelle structure et définit l’espace, que des tracés plus clairs ou plus foncés viennent ensuite rehausser. L’eau répond au feuillage et au ciel.

    L’ensemble n’est pas d’une précision parfaite, et pourtant la scène est très lisible, avec une profondeur et un réalisme impeccables et, comme toujours, une excellente répartition des ombres et lumières.

    Le travail du dessinateur et du coloriste se rejoignent, Thorgal entre dans une nouvelle ère.

    Extraites du même album, les images suivantes proposent chacune une ambiance spécifique, avec des techniques de réalisation variées, que je vous laisse découvrir.






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    Les trois sœurs Minkelsönn


    Quand ?
    En février 2013.

    Qui ?
    Scénario de Yann, dessins et couleurs de Roman Surzhenko.

    Où ?
    « Les trois sœurs Minkelsönn »

    Comment ?
    Alors que la famine emporte un à un les membres les plus fragiles de la communauté viking, Thorgal se découvre un lien profond avec des baleines étonnamment attirées par son chant. Pour les Vikings, ce lien n’a qu’un seul intérêt : ils vont pouvoir manger !

    Pourquoi ?
    Il s’agit du premier album d’une nouvelle série, la Jeunesse de Thorgal. Pensé comme un hommage aux premières heures de la série Thorgal, cet album était très prometteur. Des personnages plutôt conformes à ce qu’ils me semblent être, des situations amusantes, inquiétantes ou rythmées, une certaine poésie.

    Le dessin y est particulièrement soigné. On voit sur cette image que l’encrage est varié. La construction de la surface de l’eau est notamment une belle réussite. Les personnages, nombreux, sont détaillés, vivants, précis. La profondeur de la scène est bien maîtrisée, malgré sa complexité. Les ombres et lumières sont posées avec un très grand soin.

    J’ai choisi le noir et blanc, qui accentue l’ambiance rétro et restitue fidèlement le trait. J’ai également choisi de scinder la scène en deux, d’une part pour permettre de l’afficher ici en grand format, d’autre part pour montrer que cette belle image peut tout à fait être lue en deux fois, voire en trois, parce qu’elle nous raconte plusieurs choses simultanément.

    La mise en couleurs est aussi intéressante. Respectueuse des codes anciens de la série, elle propose une palette sobre, peu étendue. L’orange et le bleu jouent sur leurs nuances pour structurer l’espace et poser l’ambiance.


14 réponses de 1 à 14 (sur un total de 14)


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