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Jeunesse de Thorgal – 6 – Le drakkar des glaces

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Jeunesse de Thorgal – 6 – Le drakkar des glaces

Ce sujet a 173 réponses, 15 participants et a été mis à jour par sylveyrier sylveyrier, il y a 5 ans et 9 mois.

14 sujets de 161 à 174 (sur un total de 174)
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    Laurent a écrit
    … pendant ce temps, thorgal choppe la crise de la quarantaine et se tape une jolie mauresque, qui n’est autre que le gourou de la réincarnation de son fils , fils qui est devenu trés méchant et qui met le feu partout.

    -alors thorgal tue son fils, pour qu’il se calme un peu, et rentre à la maison en bateau volant importé directement d’amérique du sud

    A ce stade du récit, mon frère m’a conseillé d’arrêter de boire…

        Effectivement vu sous cet angle « un peu satirique », »Thorgal et ses mondes » vont se retrouver dans le rayon « Comédie Burlesque » ! Mais n’est-ce pas le cas pour toutes les grandes séries de science-fiction qui défient le temps ? Les Avengers, La Guerre des Etoiles, Les Schtroumpfs… à la longue, il y a des épisodes complètements tirés par les cheveux… Et c’est peut-être ça la magie, l’irréel qui permet de prendre du recul sur la réalité du monde… Nos cerveaux aime les choses improbables, notre âme aussi, âme d’enfants ou d’adultes pris entre rêves et cauchemars… Alors soyons lucides ! Lisons ces histoires fantasmagorique comme lors d’un apéro pour refaire le monde, sans trop se prendre la tête, de peur de devenir les principaux personnages burlesques ! 

    Mais bien entendu, ce n’est pas pour autant que ces contes modernes doivent être de mauvaise qualité ou bâclés… L’art et le rêve ont un prix, tout de même !

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    Bien sûr qu’il faut du rêve, de la magie, de belles histoires qui nous enchantent. Mais ce qui ne fait pas rêver, ce sont ces histoires de coucheries dans Thorgal !

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    Le détail, c’est que Thorgal n’est pas Avengers ni les Schtroumpfs. Thorgal a toujours eu un style bien plus réaliste que les œuvres sus-citées. Thorgal fait rêver, certes, et contient de nombreux détails fantastiques, mais c’est un autre genre.

    L’irréel est présent dans Thorgal, mais reste irréel pour les personnages qui le vivent, qui s’en étonnent, s’en effrayent et en soulignent l’étrangeté. Thorgal, c’est l’intrusion du fantastique dans un monde très similaire au nôtre. Ce n’est pas le cas pour les Shtroumpf ou Avengers. Les Schtourmpf, c’est un monde moyenâgeux bon enfant où la magie est monnaie courante. Quand à l’Univers de Marvel, les créateurs reconnaissent eux-mêmes que le monde qui y est dépeint n’est pas le nôtre.

    Si on devait leur coller l’étiquette d’un genre littéraire, Thorgal tend plus vers le fantastique, par opposition aux Schtroumpfs, qui sont plutôt du merveilleux.

    Merveilleux et fantastique

    Les récits merveilleux et fantastiques peuvent paraître très proches ; leur différence fondamentale est l’appréciation face au surnaturel :
    • dans un récit merveilleux, les données du monde surnaturel sont acceptées comme allant de soi par le lecteur, on observe de sa part une confiance, une crédulité, l’auteur ayant bien ménagé l’arrivée du merveilleux pour qu’il passe inaperçu. Personne ne s’étonnera donc dans un conte de fées de l’existence de dragons ou des sorcières.
    • le fantastique reste ancré dans la réalité. L’événement surnaturel n’est pas admis comme tel ; il crée une <i>hésitation</i> de la part du héros et du lecteur, qui peuvent soit trouver une explication rationnelle de l’événement, soit pencher pour son caractère surnaturel. Mais le fantastique prend fin dès qu’une réponse tranchée est apportée.

    Source : Wikipedia

    Ce pourquoi, la satire de Laurent est pertinente. Thorgal a perdu beaucoup de sa dimension réaliste pour dériver doucement vers une série plus extravagante.

    Ceci dit, j’ai trouvé particulier que certaines critiques indique que le public cible de la Jeunesse soit les plus jeunes… la scène de la mort de Ramaha, franchement…

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    J’ai fini par lire Le drakkar des glaces… et honnêtement, bof. C’est très moyen.

    C’est pas non plus atroce, parce que ce qui est atroce, on le retient tandis que là, je ne vais rien garder de cette histoire.
    Les actions s’enchaînent assez bien, avec un rythme qui n’est pas désagréable. Mais aucune de scènes ne m’a touchée, rien n’était crédible. La scène Anina/Slive/Skald ne m’a pas du tout convaincue par exemple. Je trouve que ça ne sonne pas juste.

    Les personnages sont insupportables. Gandalf est d’une bêtise et d’une cruauté étonnantes. OK, dans « Thorgal », il l’est aussi mais il est plus que ça, la preuve en est faite avec son courage quand il se bat aux côtés de Thorgal ou les liens qu’il a avec sa fille. Dans « La Jeunesse », il est lâche et veule. Yann n’apporte rien d’intéressant au personnage et pire, il ne respecte pas le matériau donné par JVH ! Pareil pour Bjorn… Je ne le vois pas du tout abandonner les recherches concernant Aaricia si facilement. Ca ne correspond pas. Et ça m’énerve autant que les réactions de Thorgal. Non mais Thorgal n’a jamais été comme ça ! Pourquoi lui faire ça ? Ou Medhi. Franchement, est-ce que vous connaissez un personnage aussi cliché que ce géant tout droit sorti des Mille et une nuits ? Et Solveig, c’est quoi cette idée stupide et ridicule de la faire tomber amoureuse de Thorgal ?

    Les dessins de Surzhenko ne suffisent pas à sauver l’impression que je retire de cette lecture. D’ailleurs, même si Slive est très belle, certains dessins m’ont quand même déçue ! Solveig est très moche, et Skald aussi d’ailleurs.

     

    Quand j’ai fermé le livre, je me suis dit : « Bon, oublie ça, c’est pas la série principale de toute façon. » Et je me suis brutalement rendu compte que si ce n’était pas la série principale, elle allait ressembler sous peu à ça.

    Je me pose vraiment des questions.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 5 ans et 10 mois par Kartlis.
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    Tout à fait d’accord avec toi Kartliss.

    Et tu pointes encore un autre détail qui fait mal : la pauvreté des personnages de Bjorn et Gandalf, alors que Van Hamme a toujours créé des personnages forts.

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    bon … je n’avais pas acheté Slive en me disant : si le prochain est sympa j’achèterai les 2.

    Et voilà …. j’ai pas hyper envie d’acheter Le drakkar des glaces non plus, du coup il me manque les 2 derniers. J’ai quand même envie de les acheter juste par esprit thorgalien, mais je n’ai pas non plus envie d’encourager l’esprit mercantiliste de ces éditions.

    et pourtant ! J’aurais adoré sauter dessus … le commander sur internet, attendre  le colis toute frémissante, ouvrir le colis en arrachant le carton sauvagement et poser délicatement  l’ouvrage sur la table, sans l’ouvrir, en admirant la couverture, puis imaginer d’avance la soirée à le lire sous ma couette ( oui je suis très préliminaires, j’ai gardé le Thorgal 34 même pas emballé dans du papier cadeau 15 jours posé sous le sapin avant de le lire.)

    mais rien de tout ça … moi Yann dès le départ j’en peux plus … je me suis bien habituée au dessin de surzhenko, mais pas aux dialogues de Yann.

     

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    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre

    Rooh… Tous ces albums de Thorgal qui vont sous les couettes des filles, les éditeurs n’imaginent même pas.

    A part ça, je réagis juste sur l’option d’achat. Tu as complètement raison sur la notion de plaisir, de l’achat, de l’attente, de la couverture, de la lecture… J’ai moi aussi toujours un gros coup de cœur quand arrive un album, qu’il soit au final à mon goût, ou non. Du coup, je suis d’accord avec toi. Il faut jouer l’équilibre, et voir si les 12 euros sont amortis, si on va relire l’album ou l’oublier, si on va en discuter entre amis sur l’excellent forum Thorgal.com ou glander sur Fortnite avec la bave qui coule.

    Pour ma part, je n’achète que rarement un album de Thorgal en nouveauté, puisque l’éditeur me l’envoie généralement. Ça m’enlève une partie du plaisir ! Oh le vilain cadeau, qui m’empêche de revenir des courses avec une BD sous le bras et un sac de Tagada.

    Du coup, j’achète régulièrement des Thorgaux pour offrir. Je suis fournisseur non officiel de Thorgaux dans la région. Je ne pas combien de fois j’ai acheté « Les archers », ça doit être indécent.

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    en fait c’est bizarre … j’adore acheter une BD, mais acheter un Thorgal c’est pas pareil, c’est un peu comme la différence entre faire un voyage et faire un pèlerinage, sauf que je ne vais pas à pied l’acheter vu où j’habite !

     

    et aussi j’avais oublié le paramètre de l’augmentation du prix des albums dans mon choix d’acheter ou non ! et dans mon cas c’est pas compliqué la monnaie d’echange chez moi c’est l’heure d’équitation, payer le prix d’une heure à cheval (presque) se réfléchit à 2 fois.

     

    Je suis bien partie pour lire l’album à Ochan et pas sous « mes couettes », ni même ma queue de cheval.

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    Chronique sur BDzoom

    Hirondl a écrit
    et pourtant ! J’aurais adoré sauter dessus … le commander sur internet, attendre  le colis toute frémissante, ouvrir le colis en arrachant le carton sauvagement et poser délicatement  l’ouvrage sur la table, sans l’ouvrir, en admirant la couverture, puis imaginer d’avance la soirée à le lire sous ma couette ( oui je suis très préliminaires, j’ai gardé le Thorgal 34 même pas emballé dans du papier cadeau 15 jours posé sous le sapin avant de le lire.)

    Dis, faut pas écrire des trucs comme ça, après moi je me sens tout chose ! 

    Allez, pour te donner envie de l’acheter quand même, voici une chronique positive de l’album, publiée sur le site BDzoom.

    Tout comme « Kriss de Valnor » et « Louve », la « Jeunesse de Thorgal » appartient aux « Mondes de Thorgal », séries dérivées qui ambitionnent d’évoquer les dessous de la saga « Thorgal », imaginée voici plus de quarante ans par Jean Van Hamme et Grzegorz Rosinski. Dans ce sixième volet, le jeune héros recherche la blonde Aaricia, sa bien-aimée.

    Slive la magicienne, la reine de l’île des Mers gelées, celle qui ne meurt jamais, retenue prisonnière depuis neuf longues années par le roi des Vikings du Nord Gandalf-le-fou, parvient à s’enfuir de la tour où elle était enfermée. Celle qui, comme Thorgal, est originaire d’un autre monde n’a qu’une obsession : récupérer la capsule qui lui permettra d’assouvir sa vengeance mais aussi retrouver sa fille Akwila.

    Thorgal, quant à lui, est toujours à la recherche d’Aaricia, son grand amour, la fille de Gandalff disparue à bord d’un bateau avec ses deux amies Isoline et Enyd, alors qu’elle tentait de les soustraire des avances de son frère Björn. Grâce à Enyd, sauvée d’un naufrage par Medhi le marin, l’enfant des étoiles apprend avec soulagement qu’à la suite d’une tempête, sa belle a été recueillie en compagnie d’Isoline à bord d’un navire appartenant au noble Abd El Bouheddi. Bien d’autres personnages évoluent dans ce riche épisode, telle la sorcière Völva, et ses philtres maléfiques, qui joue un rôle de premier plan. Sortilèges, mystères, actions et suspense cohabitent tout au long de cet épisode riche en rebondissements.

    Alors qu’Yves Sente puis Xavier Dorison n’ont pas réussi à imposer leurs idées de renouvellement, Yann est aujourd’hui l’unique scénariste de cette saga à quatre têtes qui devraient bientôt se rejoindre, à l’occasion de la parution du 36èmeopus de la série mère, à l’automne prochain. Plutôt que de chercher à imposer de nouveaux personnages, de nouveaux univers, qui en alourdissent la lecture, il se contente d’utiliser avec gourmandise les seuls fondamentaux. Et c’est peut-être là que réside le secret de sa longévité. Il est secondé avec efficacité dans son entreprise par l’excellent Roman Surzhenko, dessinateur russe né en 1972, qui demeure fidèle au graphisme de Rosinski, lequel signe la superbe couverture. Sa remarquable puissance de travail lui permet de travailler de front sur « Louve » et « La Jeunesse de Thorgal ».

    Des efforts qui paient, puisque dès son arrivée en librairie les ventes de cet album caracolent en tête des hit-parades.

    H. Filippini

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    Merci Tjahzi, pour cet élan de fièvre acheteuse ))

    Le texte présente un synopsis (auprès de ma blon-de il fait bon fait bon fait bon … pauvre Thorgal ) puis il nous cite scénaristes et dessinateurs successifs, donc il ne reste qu’une seule phrase s’apparentant à une critique, positive en effet : « Plutôt que de chercher à imposer de nouveaux personnages, de nouveaux univers, qui en alourdissent la lecture, il se contente d’utiliser avec gourmandise les seuls fondamentaux.« , ensuite l’article vante aussi la qualité du travail de Surzhenko grâce à l’efficacité d’un seul mot : « excellent« . Bon.

    La méthode est connue : il s’agit de critiquer en négatif pour faire du positif, les autres étaient nuls, si tu fais le contraire tu seras bon.

    « avec gourmandise » : étonnante formulation quand même 

    « les seuls fondamentaux » : on y croit ou pas ? ou on y croit pas ?

    Mais pour moi ce n’est pas seulement les problèmes de scénario qui pose problème, c’est qu’il se contente d’utiliser des dialogues pourris.

    Cela dit je suis encore capable d’aller l’acheter.

     

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    et si Yann …

    donc je les ai achetés

    et  j’ai relu toute la jeunesse, j’ai même relu les Thorgaux historiques 1 et 2, vu qu’on s’en rapproche.

    et je vais sacrément me contre-dire car mon avis a évolué sur les 2 créateurs, comme quoi toujours se faire un avis par soi-même.

    Je vais me raviser quant à la sévérité de ma critique à l’égard de Yann : les dialogues de la jeunesse sont mieux que dans Louve (moins de blagues, moins de brouettes de grand-mère et moins de phylactères), et le scénario n’est pas mal dans le global (hors trucs inutiles comme la minute Beverly Hills entre Solveig et Thorgal …. ) . Définitivement j’aime bien le cycle des sœurs Minkelsonn pour le fait que Thorgal y a une mission très proche de ce qu’on connait dans la série mère. J’ai découvert l’histoire de Slive avec plaisir.

    Finalement en mettant côte à côte le cycle de Slive de Surzhenko et celui de Rosinski ce qui me frappe c’est la différence de dynamisme dans le découpage des cases, et le manque de ruptures dans le format uniforme des planches chez Surzhenko. Par exemple la rencontre entre Slive et ce qui semble être Anina p21 aurait méritée des ruptures diagonales, un truc un peu plus violent dans le graphisme. En fait j’ai eu un coup de cœur pour le dessin de Surzhenko, mais le montage des cases est trop plat et ne sert pas les scènes d’actions. Rosinski joue beaucoup plus avec les plongées et contre-plongées pour créer une tension dramatique. Surzhenko le fait aussi p23 de l’album SLive lors de l’éboulement, mais c’est timide. De plus ça manque de codes graphiques propres à la BD pour exprimer la vitesse et le mouvement, les onomatopées manquent d’expression (p8 le gros félin méchant ne fait pas un petit « grrr » !!! mais ferait plutôt GRRROOOAAAR et la flèche de Thorgal un bon DZAINGG  TCHAC !) Ce qui me rappelle que le maitre est aussi un graphiste, pas seulement un dessinateur. Surzhenko varie peu « l’encrage » aussi, les lumières et la couleur varient peu, ce qui donne un côté monotone des planches en extérieur, bref l’ennui vient plus de la mise en images que du scenario pour le coup.

    J’aimerais bien voir une version n&b du dessin de Surzhenko aussi.

    Et il y a une case super bizarre p30 ou Thorgal est content avec son cheval, ils ont l’air de danser, cette case est un peu bébête et aucun des deux ne tient debout. (il y en a une comme ça dans Slive p11, oú Thorgal saute sur son cheval, sauf que je vous assure qu’on se casse l’humerus pour moins que  ça).

    J’espère que dans le prochain tome on aura une réponse au pourquoi de la colère de papa Gandalf attachant Thorgal au rocher et sa fillotte au mat du drakkar.

    Pour finir j’ai fermé les albums de la jeunesse en me disant que je suis quand même curieuse de la collaboration de Yann avec Rosinski, et que son travail ne sera peut-être pas comparable avec celui fait sur Louve (j’espère).

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    Hirondl a écrit
    (il y en a une comme ça dans Slive p11, oú Thorgal saute sur son cheval, sauf que je vous assure qu’on se casse l’humerus pour moins que  ça).

    Par curiosité, pour ne pas se casser l’humérus, Thorgal aurait du poser ses mains sur la croupe avant de sauter (comme un saut au cheval d’arçons)?

    Répondre | Lien | Citer

    pour arriver en courant pour sauter dessus !? disons qu’il faut surtout que l’animal ait les 4 pieds au sol et soit pas à moitié en train de se cabrer ou de se barrer, ensuite il faut plutôt attraper les rênes ou la crinière pour rapidement avoir le contrôle,(les loulous n’aiment pas trop qu’une brutasse leur saute dessus) surtout pas s’appuyer sur les reins, lancer la jambe très fort très haut, avec le haut du corps qui fait contre poids plutôt vers le bas et l’avant.

    Si on a l’intention de le faire avec l’animal en mouvement ça devient de la voltige et il faut beaucoup de force mais  ça notre Thorgal en a, c’est un excellent cavalier certes mais il ne peut pas faire l’impossible.

    on est plus proche de ça dans la réalité, le buste reste proche du cheval, question de centre de gravité, plus il est prés du cheval moins on a de risque de s’envoler :

    La case de Thorgal montre 2 mouvements contraires, si le cheval exerce une force vers le haut que ce soit par le devant (cabré) ou par derrière (coup de cul) Thorgal ne peut pas retomber sur son dos, il va plutôt apprendre à voler vu son élan. En plus son buste est trop haut par rapport au cheval, même pour un cascadeur de voltige cosaque (au moins aussi costaud que Thorgal) c’est pas possible :

     

     

    Rosinski n’a jamais fait prendre ce genre de risques à Thorgal, même au pire ça restait réaliste : du saut d’obstacle, un bon coup de cul, ou un ptit cabré sur la plage, une chute (Kriss qui abat se pauvre poney, j’en pleure encore).

     

    Hirondl, critique équestre pour Thorgal, quand vous voulez.

     

     

     

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    Mes impressions sur le drakkar de glace

    Je l’ai lu la semaine dernière, et relu cette semaine et ai été globalement agréablement surpris. Je ne me suis pas (peu) ennuyé, contrairement à la plupart des derniers albums sortis. Le personnage de Slive est vraiment intéressant je trouve. On découvre enfin comment elle perd son œil, et c’est assez logique je trouve. Certaines scènes, répliques font mouche comme « Je te souhaite de perdre un jour quelqu’un de cher!… » qui fait écho de manière subtile à L’Ile des mers gelées. Ou encore Gandalf qui met une racée à son crétin de fils, et défend Thorgal, une fois n’est pas coutume…

    Par contre toute la partie sur Thorgal qui part à la recherche d’Aaricia n’est vraiment pas passionnante et originale, heureusement les apparitions de Slive relève le récit. Et où est le drakkar de glace?

    Bref j’ai plutôt bien aimé, sans doute un 3 ou 4/5 

     

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